questionnement sur l'érythrophobie, complexe de l'abatros, et la douance ? (recherche témoignages et/ou avis)
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questionnement sur l'érythrophobie, complexe de l'abatros, et la douance ? (recherche témoignages et/ou avis)
Bonjour,
C'est le premier post que je crée j'ai découvert ce site il y quelque mois il m'a l'air assez vif avec des postes contenant de bon avis et témoignages j’espère en recevoir autant.
J'aimerais surtout avoir des témoignages sur des personnes atteinte ou connaissant des personnes atteinte éreuthophobie (ou érythrophobie), des personnes ayant vécu ou sont dans une inhibition intellectuel et enfin sur votre avis sur la possibilité que je sois une hpi ou non car j'ai rdv vendredi chez le psy pour la première fois et j’hésite vraiment à en parler de ces doutes sur la douance par peur de me tromper et paraître prétentieuse.
(érythrophobie) depuis maintenant a peu prés 2 ans j'ai développée une phobie social qui s'acroit et se combine à un isolement du a ma dépression, plus je m'isole et plus je rougit.
Aujourd'hui l'erythrophobie est à un stade extrême ou je rougit presque systématiquement lorsqu'on regarde mon visage pendant plusieurs secondes et sa peut être n'importe qui inconnu, famille, amis, et encore plus étrange un jour j'ai eu l'impression que mon chat fixer mon visage et j'ai sentit que je rougissait. J'ai l'impression d’être devenue bizard et folle d'autant plus que je n'ai jamais rougit avant cette phobie, j'était sociable et pas de nature timide en général. Je viens de voir que cette phobie est souvent à vie ce qui m’inquiète énormément je n'ai pas envie de supporter sa constamment, chaque sortit est synonyme d'angoisse.
Je pense que cette phobie est lié à une très faible estime de moi pour ma personnalité j’oserais même dire un dégoût pour certaine facette de ma personnalité. J'ai l'impression que les gens en voyant me visage réussiront à lire certaines facette de ma personnalité, ne me comprendront pas et émettrons un jugement péjoratif à mon insu, je suis vraiment sensible à ce que pense les gens de moi. Je me suis souvent demandée quel à était le précurseur déclencheur de cette maladie, j'ai songé à l'inhibition intellectuel en me crée un masque de pseudo débilité refusant ma vrai personnalité s'exprimer par peur de rejet et jugement des autres, et me retrouvant à saturé d'enfouir ma vrai personne et aujourd'hui la laissant s'exprimer pleinement tout en ayant honte et peur de ce qu'on va penser de moi. Est ce que certain ce sente concerné et ont réussi à s'en sortir ou plutôt appris à faire avec ?
(inhibition intellectuel) C'est dans un passage sur le livre de JSF "trop intelligent pour être heureux" que j'ai découvert cette notion.J'ai effectué quelques recherche sur le complexe de l'albatros malheureusement j'ai pas trouver grand chose comme pour l'érythrophobie, j'aurais aimer des livres approfondit sur le sujet.
J'ai scruté mes bulletins scolaire depuis le cp afin de trouver quel a été le déclique qui m'a mis en échec scolaire et m'a plongé dans une inhibition intellectuel.
cp: d'enfant très fine et très vif mais qui a du mal a se fixer des limites dans sa façon de se comporter avec la l'adulte
Puis des le second trimestre un ennuies, des points vert se transformer en points rouge pour des activités simple mais rébarbatif comme copier au tableau des phrases sans fautes ect.. On me disait que je voulais aller trop vite et que je fesait des étourderies.
ce1: bons résultats mais difficultés à rester concentrer sur mon travail
ce2: 1er trimestre on me qualifié d'enfant avec le profil type de la bonne élève mais timide et qui manque de confiance en soi et enfin c'est au 2eme trimestre ou le déclique est venu je n'ai pas réellement compris pourquoi. Enfant pénible, qui respect seulement les règles qu'elle veut, bons résultats mais qui pourra grandement être améliorée si elle écoutait et se relisait, n'ait pas intéressé par les apprentissage ect...
En entrant au collège j'était motivé et j'avais hâte d'y être j'avais entendu qu'on allait apprendre pleins de chose, qu'on aurait des profs différents ect.. J'était au 1er trimestre très actif en classe bien que j'ai eu quelques bavardages et un manque de travail à la maison ont m'a attribué les félicitations, j'était parmis les premières de la classe sans effort.
Des remarques de camarades en me disant "t'es une intello en faite" que je prenait mal, je ne sait pas si c'est des remarques dans ce genre qui m'ont poussé à l'inhibition intellectuel mais j'ai vite chuté d'année en année. A partir de la 5eme j'ai commencée petit à petit à faire l'idiote, j'ai vu que sa amuser la galerie, j'était le centre de l'attention, et je me fesait apprécié des autres, on aimer m'a compagnie, du coup j'ai jouer ce rôle de débile,cancre de la classe de plus en plus jusqu’à me retrouver en première avec environ 4 de moyenne des exclusions, conseille éducatif ect.. J'ai voulu arrêter l’école passer mon bac en candidat libre et travailler en même temps mais mes parents et m'a cpe me pensait incapable de réussir le bac même en allant et en écoutant les cours, je suis donc allez en bep avec un dégoût des cours. A la suite du bep j'ai commencer travailler en crèche et passer mon bac en autodidacte en le préparant en 3 mois j'ai découvert un grand intérêt pour seulement les matières scientifique et un peu la philo avec des problème familiaux qui m'ont empêcher de travailler comme je le souhiater j'ai obtenue malgré tout des notes allant de 15 à 17 dans ces matières. Durant ma dépression je me suis isolé de tous, j'ai commencer à m’éloigner et garder seulement quelque copines de la primaire et du collège, je me suis découvert dans ces temps des centres d’intérêt tel que la musique classique (piano, violon), la philosophie, psychanalyse, physique quantique, astrophysique, mathématique, j'ai pas mal de bouquins chez moi que je cache par peur de ce qu'on va penser ce qui est plutôt bête dit comme sa, chez moi ma famille mes amis en général ne s'intterèsse pas à sa et j'ai pas envie de paraître bizard. Je continue encore un peu de donner l'air stupide et ne pas etre intéressée pas grand chose et de faire semblant de ne pas savoir quoi faire comme études, aussi j'associe la réussite de mes exam à de la chance et en disant que je l'ai eu de justesse. Les personnes dans l'inhibition ont-elles conscience seul de l’être au moment de l'inhibition ?
Surdoué? cette question m’obsède depuis des mois je ressent à la fois l'impression de me reconnaître tellement dans les caractéristiques (90%) et d'associer un nom à pleins de choses que je ne comprenais pas dans mon comportement, mais en même temps une peur de me tromper et de me rendre compte que j'ai été prétentieuse. J'ai passer des test de qi sur internet comme mon-qi.fr j'ai obtenue des résultats dans les 125-132, d'autre sur internet normal,puis le pre test de mensa ou on me disait que j'avait réussi un bon score mais en dépassant le temps d'environ 5min et le test en ligne ou mes chance etait moyenne, puis mensa belgique comme quoi j'avais un bon score ect...Je compte passer le test à mensa des qu'il y a une date, en attendant j’hésite à parler de mes doutes au psy.
Penser vous que beaucoup de personnes même sans être surdoué peuvent correspondent à la majorité des caractéristiques?
Avez passez des test en ligne sans obtenir un score vous classant dans les hpi ?
Aussi une question au sujet du faite que les zèbres pensent trop et qu'ils voudraient débranché leurs cerveaux, cette notion est subjectif je trouve, pour ma part j'ai jamais vraiment remarqué dans ma vie que je penser trop sa ne m'a jamais agacer sauf depuis a peu près 2 ans et récemment vers septembre avec une obsession sur l’existence ou non de dieu,questionnement sur la véracité des religions, je m'obstiner tellement à vouloir une réponse que j'avait envie de mourir afin de l'obtenir (bien que je ne suis pas suicidaire), puis d’autre obsession tel que en ce moment la surdouance à avaler des livres sur le sujet, recherche sur le net pendant des heures au points de saturé mais c'est comme une addiction j'arrive pas à m'en empêcher de continuer les recherches bien que j'en ai marre, ou le fait d'aimer analyser les personnes et le faire inconsciemment mais en ce moment qui tourne à l'obsession à vouloir absolument tout comprendre, analyser, tout décortique chez mon ex avec qui on à repris contact par message lire et relire la conversation, tiré le moindre sens de sa ponctuation tel que les 3 petits points, le questionner sur le sens de certains mots dans une phrase qui me le laisse ambiguë quand à son sens. Je me retrouve à l'agacer et récolter des remarques comme "franchement tu laches pas l'affaire! tu décortiques chaque mot utilisé!" "non mais c relou! et tu me prends pour un c** en me disant j'ai pas compris... " ect.. j'arrive vraiment pas à laisser ces obsessions de coté est ce que sa vous le fait aussi ?
J'ai vraiment l'impression par moment de faire fausse route au sujet de tout sa....
ps: vraiment desolé du pavé pas obligé de tout lire pour repondre seulement les paragraphes en questions: erythrophobie, inhibition, ou surdouance. Merci d'avance
C'est le premier post que je crée j'ai découvert ce site il y quelque mois il m'a l'air assez vif avec des postes contenant de bon avis et témoignages j’espère en recevoir autant.
J'aimerais surtout avoir des témoignages sur des personnes atteinte ou connaissant des personnes atteinte éreuthophobie (ou érythrophobie), des personnes ayant vécu ou sont dans une inhibition intellectuel et enfin sur votre avis sur la possibilité que je sois une hpi ou non car j'ai rdv vendredi chez le psy pour la première fois et j’hésite vraiment à en parler de ces doutes sur la douance par peur de me tromper et paraître prétentieuse.
(érythrophobie) depuis maintenant a peu prés 2 ans j'ai développée une phobie social qui s'acroit et se combine à un isolement du a ma dépression, plus je m'isole et plus je rougit.
Aujourd'hui l'erythrophobie est à un stade extrême ou je rougit presque systématiquement lorsqu'on regarde mon visage pendant plusieurs secondes et sa peut être n'importe qui inconnu, famille, amis, et encore plus étrange un jour j'ai eu l'impression que mon chat fixer mon visage et j'ai sentit que je rougissait. J'ai l'impression d’être devenue bizard et folle d'autant plus que je n'ai jamais rougit avant cette phobie, j'était sociable et pas de nature timide en général. Je viens de voir que cette phobie est souvent à vie ce qui m’inquiète énormément je n'ai pas envie de supporter sa constamment, chaque sortit est synonyme d'angoisse.
Je pense que cette phobie est lié à une très faible estime de moi pour ma personnalité j’oserais même dire un dégoût pour certaine facette de ma personnalité. J'ai l'impression que les gens en voyant me visage réussiront à lire certaines facette de ma personnalité, ne me comprendront pas et émettrons un jugement péjoratif à mon insu, je suis vraiment sensible à ce que pense les gens de moi. Je me suis souvent demandée quel à était le précurseur déclencheur de cette maladie, j'ai songé à l'inhibition intellectuel en me crée un masque de pseudo débilité refusant ma vrai personnalité s'exprimer par peur de rejet et jugement des autres, et me retrouvant à saturé d'enfouir ma vrai personne et aujourd'hui la laissant s'exprimer pleinement tout en ayant honte et peur de ce qu'on va penser de moi. Est ce que certain ce sente concerné et ont réussi à s'en sortir ou plutôt appris à faire avec ?
(inhibition intellectuel) C'est dans un passage sur le livre de JSF "trop intelligent pour être heureux" que j'ai découvert cette notion.J'ai effectué quelques recherche sur le complexe de l'albatros malheureusement j'ai pas trouver grand chose comme pour l'érythrophobie, j'aurais aimer des livres approfondit sur le sujet.
J'ai scruté mes bulletins scolaire depuis le cp afin de trouver quel a été le déclique qui m'a mis en échec scolaire et m'a plongé dans une inhibition intellectuel.
cp: d'enfant très fine et très vif mais qui a du mal a se fixer des limites dans sa façon de se comporter avec la l'adulte
Puis des le second trimestre un ennuies, des points vert se transformer en points rouge pour des activités simple mais rébarbatif comme copier au tableau des phrases sans fautes ect.. On me disait que je voulais aller trop vite et que je fesait des étourderies.
ce1: bons résultats mais difficultés à rester concentrer sur mon travail
ce2: 1er trimestre on me qualifié d'enfant avec le profil type de la bonne élève mais timide et qui manque de confiance en soi et enfin c'est au 2eme trimestre ou le déclique est venu je n'ai pas réellement compris pourquoi. Enfant pénible, qui respect seulement les règles qu'elle veut, bons résultats mais qui pourra grandement être améliorée si elle écoutait et se relisait, n'ait pas intéressé par les apprentissage ect...
En entrant au collège j'était motivé et j'avais hâte d'y être j'avais entendu qu'on allait apprendre pleins de chose, qu'on aurait des profs différents ect.. J'était au 1er trimestre très actif en classe bien que j'ai eu quelques bavardages et un manque de travail à la maison ont m'a attribué les félicitations, j'était parmis les premières de la classe sans effort.
Des remarques de camarades en me disant "t'es une intello en faite" que je prenait mal, je ne sait pas si c'est des remarques dans ce genre qui m'ont poussé à l'inhibition intellectuel mais j'ai vite chuté d'année en année. A partir de la 5eme j'ai commencée petit à petit à faire l'idiote, j'ai vu que sa amuser la galerie, j'était le centre de l'attention, et je me fesait apprécié des autres, on aimer m'a compagnie, du coup j'ai jouer ce rôle de débile,cancre de la classe de plus en plus jusqu’à me retrouver en première avec environ 4 de moyenne des exclusions, conseille éducatif ect.. J'ai voulu arrêter l’école passer mon bac en candidat libre et travailler en même temps mais mes parents et m'a cpe me pensait incapable de réussir le bac même en allant et en écoutant les cours, je suis donc allez en bep avec un dégoût des cours. A la suite du bep j'ai commencer travailler en crèche et passer mon bac en autodidacte en le préparant en 3 mois j'ai découvert un grand intérêt pour seulement les matières scientifique et un peu la philo avec des problème familiaux qui m'ont empêcher de travailler comme je le souhiater j'ai obtenue malgré tout des notes allant de 15 à 17 dans ces matières. Durant ma dépression je me suis isolé de tous, j'ai commencer à m’éloigner et garder seulement quelque copines de la primaire et du collège, je me suis découvert dans ces temps des centres d’intérêt tel que la musique classique (piano, violon), la philosophie, psychanalyse, physique quantique, astrophysique, mathématique, j'ai pas mal de bouquins chez moi que je cache par peur de ce qu'on va penser ce qui est plutôt bête dit comme sa, chez moi ma famille mes amis en général ne s'intterèsse pas à sa et j'ai pas envie de paraître bizard. Je continue encore un peu de donner l'air stupide et ne pas etre intéressée pas grand chose et de faire semblant de ne pas savoir quoi faire comme études, aussi j'associe la réussite de mes exam à de la chance et en disant que je l'ai eu de justesse. Les personnes dans l'inhibition ont-elles conscience seul de l’être au moment de l'inhibition ?
Surdoué? cette question m’obsède depuis des mois je ressent à la fois l'impression de me reconnaître tellement dans les caractéristiques (90%) et d'associer un nom à pleins de choses que je ne comprenais pas dans mon comportement, mais en même temps une peur de me tromper et de me rendre compte que j'ai été prétentieuse. J'ai passer des test de qi sur internet comme mon-qi.fr j'ai obtenue des résultats dans les 125-132, d'autre sur internet normal,puis le pre test de mensa ou on me disait que j'avait réussi un bon score mais en dépassant le temps d'environ 5min et le test en ligne ou mes chance etait moyenne, puis mensa belgique comme quoi j'avais un bon score ect...Je compte passer le test à mensa des qu'il y a une date, en attendant j’hésite à parler de mes doutes au psy.
Penser vous que beaucoup de personnes même sans être surdoué peuvent correspondent à la majorité des caractéristiques?
Avez passez des test en ligne sans obtenir un score vous classant dans les hpi ?
Aussi une question au sujet du faite que les zèbres pensent trop et qu'ils voudraient débranché leurs cerveaux, cette notion est subjectif je trouve, pour ma part j'ai jamais vraiment remarqué dans ma vie que je penser trop sa ne m'a jamais agacer sauf depuis a peu près 2 ans et récemment vers septembre avec une obsession sur l’existence ou non de dieu,questionnement sur la véracité des religions, je m'obstiner tellement à vouloir une réponse que j'avait envie de mourir afin de l'obtenir (bien que je ne suis pas suicidaire), puis d’autre obsession tel que en ce moment la surdouance à avaler des livres sur le sujet, recherche sur le net pendant des heures au points de saturé mais c'est comme une addiction j'arrive pas à m'en empêcher de continuer les recherches bien que j'en ai marre, ou le fait d'aimer analyser les personnes et le faire inconsciemment mais en ce moment qui tourne à l'obsession à vouloir absolument tout comprendre, analyser, tout décortique chez mon ex avec qui on à repris contact par message lire et relire la conversation, tiré le moindre sens de sa ponctuation tel que les 3 petits points, le questionner sur le sens de certains mots dans une phrase qui me le laisse ambiguë quand à son sens. Je me retrouve à l'agacer et récolter des remarques comme "franchement tu laches pas l'affaire! tu décortiques chaque mot utilisé!" "non mais c relou! et tu me prends pour un c** en me disant j'ai pas compris... " ect.. j'arrive vraiment pas à laisser ces obsessions de coté est ce que sa vous le fait aussi ?
J'ai vraiment l'impression par moment de faire fausse route au sujet de tout sa....
ps: vraiment desolé du pavé pas obligé de tout lire pour repondre seulement les paragraphes en questions: erythrophobie, inhibition, ou surdouance. Merci d'avance
blancus- Messages : 2
Date d'inscription : 24/07/2013
Re: questionnement sur l'érythrophobie, complexe de l'abatros, et la douance ? (recherche témoignages et/ou avis)
Je souffre de phobie sociale. Avant d'en arriver à ce mot j'ai analysé toutes les composantes de mes problèmes sociaux, le pourquoi du comment ça avais changé subitement sans raison apparente, j'ai fait le lien avec mes problèmes familiaux, bref un travail de recherche et de compréhension et j'ai découvert des choses que je n'aurais jamais soupçonné comme le fait que je suis zèbre et que j'ai vécu un burn out (désintégration positive de Dabrowski) et aujourd'hui je cherche à combattre ce problème comme on essaye de vaincre une phobie, en se jetant à l'eau, 2-3 attaques de panique et on s'y fait :p Se féliciter des efforts et non du résultat, ne pas fuir, rester, oser.
Bravo pour le coup du chat
P.S. : Bienvenue !
Bravo pour le coup du chat
P.S. : Bienvenue !
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
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