Besoin de solitude et faux self
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Besoin de solitude et faux self
Je suis en train de me poser la question de l'existence d'un lien entre le besoin de solitude et une incapacité à être soi même en présence des autres. Je sais personnellement que quand je suis avec les autres j'ai l'impression de disparaître, de ne plus être moi, je ne me reconnais même pas dans ma timidité (extraverti contrarié).
Je finis par m'enfermer dans la solitude, en croyant que je ne peut pas être moi même tout en étant avec les autres et pourtant c'est mon vœu le plus cher à l'heure d'aujourd'hui.
Je souffre aussi de ce gouffre qu'il y a chez moi entre potentiel et réalité, dans tous les domaines.
Le besoin de solitude n'est il pas en réalité le besoin d'être soi même ? Et la souffrance liée à la solitude le besoin d'être avec les autres ?
Quelque chose m'échappe encore mais je ne sais pas quoi. Besoin de vos avis pour faire avancer ma réfléxion :p
Je finis par m'enfermer dans la solitude, en croyant que je ne peut pas être moi même tout en étant avec les autres et pourtant c'est mon vœu le plus cher à l'heure d'aujourd'hui.
Je souffre aussi de ce gouffre qu'il y a chez moi entre potentiel et réalité, dans tous les domaines.
Le besoin de solitude n'est il pas en réalité le besoin d'être soi même ? Et la souffrance liée à la solitude le besoin d'être avec les autres ?
Quelque chose m'échappe encore mais je ne sais pas quoi. Besoin de vos avis pour faire avancer ma réfléxion :p
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
Re: Besoin de solitude et faux self
Mettre dans les mains des autres la responsabilité de la gestion de nos besoins?
Chercher en eux une mère de substitution(qu'ils ne peuvent pas être)?
Parce qu'il y a encore en nous un enfant insécurisé qui n'a pas eu l'occasion de vivre pleinement ses émotions.
Parce qu'il n'y était pas autorisé parce que la mère recherchait en lui la satisfaction de ses propres besoins.
Qu'il fallait qu'il réponde aux besoins de sa mère avant de voir les siens propres satisfaits.
Ca éveille qqch en toi?
Alice Miller inside
Chercher en eux une mère de substitution(qu'ils ne peuvent pas être)?
Parce qu'il y a encore en nous un enfant insécurisé qui n'a pas eu l'occasion de vivre pleinement ses émotions.
Parce qu'il n'y était pas autorisé parce que la mère recherchait en lui la satisfaction de ses propres besoins.
Qu'il fallait qu'il réponde aux besoins de sa mère avant de voir les siens propres satisfaits.
Ca éveille qqch en toi?
Alice Miller inside
Invité- Invité
Re: Besoin de solitude et faux self
Bien sur que ça éveille quelque chose en moi, ça décrit ma vie jusqu'ici...
La suite de tout ça, c'est quoi ?
La suite de tout ça, c'est quoi ?
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
Re: Besoin de solitude et faux self
Mettre mon faux-self à mon service et non plus me sentir à sa merci.
Il est utile dans ces moments où je n'arrive pas du tout à connecter avec mon entourage (parce que je m'ennuie) et qu'un acte de rébellion
serait déplacé ou irrespectueux...
Chercher un ou des endroits où pouvoir l'oublier complètement (avec une amie, un endroit à la maison, avec les enfants...)
Aimer la solitude, parce que de toute façon même l'Hermite le plus Hermite peut se retrouver en compagnie si jamais il change d'idée.
Puis m'assumer différente, ça aussi c'est en train de faire une bonne différence,
mon faux-self pèse moins parce qu'on dirait que je le vois venir, agir et que je décide de le laisser aller.
Je ne sais pas si ça t'aide mais c'est ce que tu m'as inspiré
Il est utile dans ces moments où je n'arrive pas du tout à connecter avec mon entourage (parce que je m'ennuie) et qu'un acte de rébellion
serait déplacé ou irrespectueux...
Chercher un ou des endroits où pouvoir l'oublier complètement (avec une amie, un endroit à la maison, avec les enfants...)
Aimer la solitude, parce que de toute façon même l'Hermite le plus Hermite peut se retrouver en compagnie si jamais il change d'idée.
Puis m'assumer différente, ça aussi c'est en train de faire une bonne différence,
mon faux-self pèse moins parce qu'on dirait que je le vois venir, agir et que je décide de le laisser aller.
Je ne sais pas si ça t'aide mais c'est ce que tu m'as inspiré
Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
Localisation : Dans le coin du cercle
Re: Besoin de solitude et faux self
j'en suis là... Si j'en crois Alice Miller, et ça me semble intéressant, se permettre d'éprouver la colère à l'égard de sa mère de ne pas nous avoir aimé inconditionnellement. De ne pas avoir créé un espace pour nous où toutes nos insécurités pouvaient s'exprimer et être résorbées par le regard rassurant de la mère.Zeppo a écrit:Bien sur que ça éveille quelque chose en moi, ça décrit ma vie jusqu'ici...
La suite de tout ça, c'est quoi ?
j'extrapole par rapport à ce que j'ai lu jusqu'à présent:
Nous empêchant de nous forger dans la conviction que l'émotion n'est pas dangereuse. Qu'on peut la suivre les yeux fermés.
Invité- Invité
Re: Besoin de solitude et faux self
Alors quoi, il faut se permettre d'éprouver cette colère ou pas ? Je l'ai fait, à une époque, aujourd'hui je prend sur moi, j'emmagasine plutot mais de temps en temps ça pète. Mon action a un peu aggraver la situation. Je lis un autre livre en ce moment "Cessez d'être gentil, soyez vrai !", c'est ce livre qui m'a fait me poser ces questions.
Ta dernière phrase ne fait pas beaucoup écho en moi et je n'y vois pas beaucoup de sens, ça pourrais vouloir dire que je suis enfermé dans cette conviction au point que je la prenne pour une réalité.
Segva : J'ai pris l'habitude de prendre mon faux self pour quelque chose de mal, il m'est devenu inconfortable. Je me dis que je doit avoir la force nécessaire pour m'affirmer ou ne pas voir les gens, mais d'un autre coté je sais, comme toi, que dire la vérité n'est pas toujours bienvenue
Ta dernière phrase ne fait pas beaucoup écho en moi et je n'y vois pas beaucoup de sens, ça pourrais vouloir dire que je suis enfermé dans cette conviction au point que je la prenne pour une réalité.
Segva : J'ai pris l'habitude de prendre mon faux self pour quelque chose de mal, il m'est devenu inconfortable. Je me dis que je doit avoir la force nécessaire pour m'affirmer ou ne pas voir les gens, mais d'un autre coté je sais, comme toi, que dire la vérité n'est pas toujours bienvenue
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
Re: Besoin de solitude et faux self
y a pas de il "faut", mais se permettre de l'éprouver me semble être un chemin vers la libération... Et même la vouloir au moment où elle survient est le top, pour moi... Parce que la vouloir me semble être la clé pour ne pas en être prisonnier.(et éventuellement commettre des actes à conséquences néfastes....)Alors quoi, il faut se permettre d'éprouver cette colère ou pas ?
l'émotion est pour moi le révélateur le plus direct de la réalité... Le propre de la réalité étant de ne pas exister...ça pourrais vouloir dire que je suis enfermé dans cette conviction au point que je la prenne pour une réalité.
Invité- Invité
Re: Besoin de solitude et faux self
[quote="p2m"]
A vrai dire je ne connais pas mes émotions et pour moi elles sont plutôt synonyme de faiblesse. Parler avec mes émotions, très difficile, les exprimer, impossiblel'émotion est pour moi le révélateur le plus direct de la réalité... Le propre de la réalité étant de ne pas exister...ça pourrais vouloir dire que je suis enfermé dans cette conviction au point que je la prenne pour une réalité.
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
Re: Besoin de solitude et faux self
les sujets dont vous parlez semblent etre pour moi differentes phases de la reconnaissance de soi
-reconnaitre son faux self et s'en servir pour se proteger de l'exterieur
-mais ce faux self, par deffinition, ce n'est pas soi >>arrive un moment ou on est pret a le liquider, il devient genant comme une vieille peau trop étroite
-exprimer son moi par la colere, elle me semble inevitable parsqu'elle devient le moyen de se debarasser de sa vieille peau, une forme de rebellion. alors vient la question de savoir la diriger sans se saborder auprés de ceux que l'on tient a épargner .... a moins qu'un reglement de compte soit necessaire ^^
-l'ouverture a autrui qui me semble en correllation avec la demande de retrouver son moi primaire
peut etre zeppo des rencontres entre zebres serait une solution pour toi : ils sont en mesude de facto de comprendre ton repli , et par consequent te laisser le temps de te detendre sans te casser les pieds
-reconnaitre son faux self et s'en servir pour se proteger de l'exterieur
-mais ce faux self, par deffinition, ce n'est pas soi >>arrive un moment ou on est pret a le liquider, il devient genant comme une vieille peau trop étroite
-exprimer son moi par la colere, elle me semble inevitable parsqu'elle devient le moyen de se debarasser de sa vieille peau, une forme de rebellion. alors vient la question de savoir la diriger sans se saborder auprés de ceux que l'on tient a épargner .... a moins qu'un reglement de compte soit necessaire ^^
-l'ouverture a autrui qui me semble en correllation avec la demande de retrouver son moi primaire
peut etre zeppo des rencontres entre zebres serait une solution pour toi : ils sont en mesude de facto de comprendre ton repli , et par consequent te laisser le temps de te detendre sans te casser les pieds
kikadissa- Messages : 225
Date d'inscription : 21/07/2013
Re: Besoin de solitude et faux self
De faiblesse? vraiment? Ca me semble intéressant à creuser...Zeppo a écrit:A vrai dire je ne connais pas mes émotions et pour moi elles sont plutôt synonyme de faiblesse.
Pourquoi les émotions sont synonymes de faiblesse?
Invité- Invité
Re: Besoin de solitude et faux self
kikadissa : aucun zèbres à part ma soeur et ma mère à disposition, mais les deux son beaucoup trop impliquées pour m'apporter un point de vue nouveau. Je vis dans une ville assez petite mais à la rentrée je part faire mes études à Strasbourg. J'espère vraiment rencontrer des gens qui me comprennent parce que jusqu'ici j'ai plus eu l'impression d'être une présence dérangeante (et elle l'était surement), à parler et à ne voir que par mes problèmes.
p2m : Oui, il y a peut être des raisons inconscientes mais là tout de suite j'ai quelques raisons possibles : peur de perdre ma virilité, j'ai souvent été considéré par une tapette par ceux pour qui le rapport de force était important, et puis je me pose la question de mon homosexualité en ce moment, et ma peur de ne plus aimer les femmes me fait fermer les yeux la dessus. peur de me faire manipuler, j'ai compris il y a 2 ans seulement que ma mère avait une trop forte emprise sur moi et je l'ai même soupçonné d'être PN (ajd je remet la définition en question et me demande si sa dépression et sa détresse ne lui donne pas ces traits PN). Peur d'être pris pour un con, j'ai toujours été le gars trop gentil, trop généreux. Aujourd'hui quand j'y pense les gens me reprochent plutot le contraire. J'ai le sentiment que certaines choses viennent du rapport au père et peut être aussi de l'image du père que j'ai mais j'en suis pas sur et quand je creuse le sujet me parait trop plat pour que toutes les émotions et le vécu liés à mon père soient conscients
p2m : Oui, il y a peut être des raisons inconscientes mais là tout de suite j'ai quelques raisons possibles : peur de perdre ma virilité, j'ai souvent été considéré par une tapette par ceux pour qui le rapport de force était important, et puis je me pose la question de mon homosexualité en ce moment, et ma peur de ne plus aimer les femmes me fait fermer les yeux la dessus. peur de me faire manipuler, j'ai compris il y a 2 ans seulement que ma mère avait une trop forte emprise sur moi et je l'ai même soupçonné d'être PN (ajd je remet la définition en question et me demande si sa dépression et sa détresse ne lui donne pas ces traits PN). Peur d'être pris pour un con, j'ai toujours été le gars trop gentil, trop généreux. Aujourd'hui quand j'y pense les gens me reprochent plutot le contraire. J'ai le sentiment que certaines choses viennent du rapport au père et peut être aussi de l'image du père que j'ai mais j'en suis pas sur et quand je creuse le sujet me parait trop plat pour que toutes les émotions et le vécu liés à mon père soient conscients
Zeppo- Messages : 170
Date d'inscription : 09/04/2013
Age : 29
Localisation : Montcuq
Re: Besoin de solitude et faux self
ah il y a un moment où je me suis aussi posé la question de l'homoséxualité. vers 20 ans. ça me semble être une phase normale pour quelqu'un qui a besoin d'intégrer toute la palette de ses émotions, pas besoin de t'apposer l'étiquette de "tapette" pour autant...
Invité- Invité
Re: Besoin de solitude et faux self
Zeppo, ça me rappelle plein de choses ce que tu écris...
La solitude me permettait je pense non pas d'être moi-même, puisque je ne savais pas qui j'étais, mais de pouvoir être puisque comme toi quand j'étais à l'extérieur, j'avais le sentiment de ne pas exister. Je souffrais de trop de solitude, et pourtant j'ai toujours pensé qu'elle m'a permis de me construire, aussi, petit à petit. Un moyen d'échapper à l'emprise.
En ce sens, ça peut être bien que tu puisses t'éloigner pour tes études, mais les premiers temps seront peut-être difficiles. Ma première année de fac a été d'une solitude absolue, je n'arrivais pas à créer le moindre lien. Ce qui s'est nettement arrangé l'année suivante, je ne sais plus comment. N'hésite pas à chercher de l'aide ou du soutien si c'est compliqué les premiers temps.
Cette impression de ne rien ressentir, de ne jamais savoir si ce que je ressentais était réel, l'incapacité d'exprimer les émotions quand elles émergeaient de nulle part et la honte. Je n'ai compris cette honte qu'il y deux ou trois ans, c'est je crois un sentiment dont on parle peu, et dont la fonction est de dissimuler d'autres sentiment, cachés derrière. Tant qu'on a honte, on fuit, et on prend bien garde à ne pas aller voir du côté de ce qui nous fait honte.
La peur d'être faible en exprimant ses émotions, ça a été pour moi la peur d'être vulnérable et donc en danger. L'emprise n'y est pas étrangère, je pense. A partir du moment où j'ai commencé à reconnaître qu'il y avait emprise, puis à m'en dégager doucement, j'ai pu créer d'autres liens avec des personnes qui m'appréciaient pour ce que j'étais. Donc à être attentive à ce qu'ils appréciaient de moi, reconnaître qu'ils n'avaient pas forcément tort, et commencer à exprimer de la bienveillance, de l'affection et des émotions en retour.
La colère, arrive après. Ou la reconnaissance qu'on est en colère, et que l'incapacité à ressentir est aussi une façon de ne pas être en colère et donc de ne pas être "déloyal". Reconnaître son existence suffit pour en atténuer les effets. Savoir qu'on est en colère permet d'une part de regarder d'un point de vue différent, de cerner ce qui nous met en colère et de porter notre attention là-dessus. Il n'est pas nécessaire de l'exprimer et de tout casser, juste de reconnaître et d'accepter qu'elle est là.
Ces jours-ci, j'ai compris que je me plaçais en position défensive le plus souvent, mais que ce que pouvaient percevoir les autres de moi étaient au contraire de la force, que je pouvais être impressionnante (voire terrifiante), et que je ne maîtrisais pas toujours cette force puisque je ne l'avais pas encore tout-à-fait admise et comprise. Grande découverte, changement d'optique et j'envisage maintenant de quitter mes positions défensives qui ne me servent plus à rien...
Le processus a été long, et il n'est pas fini
La solitude me permettait je pense non pas d'être moi-même, puisque je ne savais pas qui j'étais, mais de pouvoir être puisque comme toi quand j'étais à l'extérieur, j'avais le sentiment de ne pas exister. Je souffrais de trop de solitude, et pourtant j'ai toujours pensé qu'elle m'a permis de me construire, aussi, petit à petit. Un moyen d'échapper à l'emprise.
En ce sens, ça peut être bien que tu puisses t'éloigner pour tes études, mais les premiers temps seront peut-être difficiles. Ma première année de fac a été d'une solitude absolue, je n'arrivais pas à créer le moindre lien. Ce qui s'est nettement arrangé l'année suivante, je ne sais plus comment. N'hésite pas à chercher de l'aide ou du soutien si c'est compliqué les premiers temps.
Cette impression de ne rien ressentir, de ne jamais savoir si ce que je ressentais était réel, l'incapacité d'exprimer les émotions quand elles émergeaient de nulle part et la honte. Je n'ai compris cette honte qu'il y deux ou trois ans, c'est je crois un sentiment dont on parle peu, et dont la fonction est de dissimuler d'autres sentiment, cachés derrière. Tant qu'on a honte, on fuit, et on prend bien garde à ne pas aller voir du côté de ce qui nous fait honte.
La peur d'être faible en exprimant ses émotions, ça a été pour moi la peur d'être vulnérable et donc en danger. L'emprise n'y est pas étrangère, je pense. A partir du moment où j'ai commencé à reconnaître qu'il y avait emprise, puis à m'en dégager doucement, j'ai pu créer d'autres liens avec des personnes qui m'appréciaient pour ce que j'étais. Donc à être attentive à ce qu'ils appréciaient de moi, reconnaître qu'ils n'avaient pas forcément tort, et commencer à exprimer de la bienveillance, de l'affection et des émotions en retour.
La colère, arrive après. Ou la reconnaissance qu'on est en colère, et que l'incapacité à ressentir est aussi une façon de ne pas être en colère et donc de ne pas être "déloyal". Reconnaître son existence suffit pour en atténuer les effets. Savoir qu'on est en colère permet d'une part de regarder d'un point de vue différent, de cerner ce qui nous met en colère et de porter notre attention là-dessus. Il n'est pas nécessaire de l'exprimer et de tout casser, juste de reconnaître et d'accepter qu'elle est là.
Ces jours-ci, j'ai compris que je me plaçais en position défensive le plus souvent, mais que ce que pouvaient percevoir les autres de moi étaient au contraire de la force, que je pouvais être impressionnante (voire terrifiante), et que je ne maîtrisais pas toujours cette force puisque je ne l'avais pas encore tout-à-fait admise et comprise. Grande découverte, changement d'optique et j'envisage maintenant de quitter mes positions défensives qui ne me servent plus à rien...
Le processus a été long, et il n'est pas fini
Invité- Invité
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