A l'Esperluette.
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A l'Esperluette.
Voui voui, une bise pour ta peine.
J'ai bien aimé "OMAR TATOUER" ce midi aussi.
J'ai bien aimé "OMAR TATOUER" ce midi aussi.
Kalimsha- Messages : 1546
Date d'inscription : 03/06/2013
Age : 46
Localisation : Entre deux zoos
Re: A l'Esperluette.
Parfois, je suis obligé de poster mes conneries pour arrêter d'avoir envie de le faire, pis, ça me fait de la place pour la suivante.
Merci pour la bise, je t'en fais aussi, mais je ne danse pas les slow.
Merci pour la bise, je t'en fais aussi, mais je ne danse pas les slow.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
Bon pis y a mon petit moi qui reste, à laver les verres et balayer par terre.
Odime- Messages : 3355
Date d'inscription : 05/02/2013
Localisation : Des airs
Re: A l'Esperluette.
I
L'eau claire ; comme le sel des larmes d'enfance,
L'assaut au soleil des blancheurs des corps de femmes ;
la soie, en foule et de lys pur, des oriflammes
sous les murs dont quelque pucelle eut la défense ;
L'ébat des anges ; - Non... le courant d'or en marche,
meut ses bras, noirs, et lourds, et frais surtout, d'herbe. Elle
sombre, ayant le Ciel bleu pour ciel-de-lit, appelle
pour rideaux l'ombre de la colline et de l'arche.
II
Eh ! l'humide carreau tend ses bouillons limpides !
L'eau meuble d'or pâle et sans fond les couches prêtes.
Les robes vertes et déteintes des fillettes
font les saules, d'où sautent les oiseaux sans brides.
Plus pure qu'un louis, jaune et chaude paupière
le souci d'eau - ta foi conjugale, ô l'Épouse ! -
au midi prompt, de son terne miroir, jalouse
au ciel gris de chaleur la Sphère rose et chère.
III
Madame se tient trop debout dans la prairie
prochaine où neigent les fils du travail ; l'ombrelle
aux doigts ; foulant l'ombelle ; trop fière pour elle ;
des enfants lisant dans la verdure fleurie
leur livre de maroquin rouge ! Hélas, Lui, comme
mille anges blancs qui se séparent sur la route,
s'éloigne par delà la montagne ! Elle, toute
froide, et noire, court ! après le départ de l'homme !
IV
Regret des bras épais et jeunes d'herbe pure !
Or des lunes d'avril au coeur du saint lit ! Joie
des chantiers riverains à l'abandon, en proie
aux soirs d'août qui faisaient germer ces pourritures !
Qu'elle pleure à présent sous les remparts ! l'haleine
des peupliers d'en haut est pour la seule brise.
Puis, c'est la nappe, sans reflets, sans source, grise :
un vieux, dragueur, dans sa barque immobile, peine.
V
Jouet de cet oeil d'eau morne, je n'y puis prendre,
ô canot immobile ! oh ! bras trop courts ! ni l'une
ni l'autre fleur : ni la jaune qui m'importune,
là ; ni la bleue, amie à l'eau couleur de cendre.
Ah ! la poudre des saules qu'une aile secoue !
Les roses des roseaux dès longtemps dévorées !
Mon canot, toujours fixe ; et sa chaîne tirée
Au fond de cet oeil d'eau sans bords, - à quelle boue ?
Arthur Rimbaud.
L'eau claire ; comme le sel des larmes d'enfance,
L'assaut au soleil des blancheurs des corps de femmes ;
la soie, en foule et de lys pur, des oriflammes
sous les murs dont quelque pucelle eut la défense ;
L'ébat des anges ; - Non... le courant d'or en marche,
meut ses bras, noirs, et lourds, et frais surtout, d'herbe. Elle
sombre, ayant le Ciel bleu pour ciel-de-lit, appelle
pour rideaux l'ombre de la colline et de l'arche.
II
Eh ! l'humide carreau tend ses bouillons limpides !
L'eau meuble d'or pâle et sans fond les couches prêtes.
Les robes vertes et déteintes des fillettes
font les saules, d'où sautent les oiseaux sans brides.
Plus pure qu'un louis, jaune et chaude paupière
le souci d'eau - ta foi conjugale, ô l'Épouse ! -
au midi prompt, de son terne miroir, jalouse
au ciel gris de chaleur la Sphère rose et chère.
III
Madame se tient trop debout dans la prairie
prochaine où neigent les fils du travail ; l'ombrelle
aux doigts ; foulant l'ombelle ; trop fière pour elle ;
des enfants lisant dans la verdure fleurie
leur livre de maroquin rouge ! Hélas, Lui, comme
mille anges blancs qui se séparent sur la route,
s'éloigne par delà la montagne ! Elle, toute
froide, et noire, court ! après le départ de l'homme !
IV
Regret des bras épais et jeunes d'herbe pure !
Or des lunes d'avril au coeur du saint lit ! Joie
des chantiers riverains à l'abandon, en proie
aux soirs d'août qui faisaient germer ces pourritures !
Qu'elle pleure à présent sous les remparts ! l'haleine
des peupliers d'en haut est pour la seule brise.
Puis, c'est la nappe, sans reflets, sans source, grise :
un vieux, dragueur, dans sa barque immobile, peine.
V
Jouet de cet oeil d'eau morne, je n'y puis prendre,
ô canot immobile ! oh ! bras trop courts ! ni l'une
ni l'autre fleur : ni la jaune qui m'importune,
là ; ni la bleue, amie à l'eau couleur de cendre.
Ah ! la poudre des saules qu'une aile secoue !
Les roses des roseaux dès longtemps dévorées !
Mon canot, toujours fixe ; et sa chaîne tirée
Au fond de cet oeil d'eau sans bords, - à quelle boue ?
Arthur Rimbaud.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
N’oublie pas la chanson du soleil, Vassili.
Elle est dans les chemins craquelés de l’été,
dans la paille des meules,
dans le bois sec de ton armoire,
… si tu sais bien l’entendre.
Elle est aussi dans le cœur du criquet.
Vassili, Vassili, parce que tu as froid, ce soir,
Ne nie pas le soleil.
Sabine SICAUD
Elle est dans les chemins craquelés de l’été,
dans la paille des meules,
dans le bois sec de ton armoire,
… si tu sais bien l’entendre.
Elle est aussi dans le cœur du criquet.
Vassili, Vassili, parce que tu as froid, ce soir,
Ne nie pas le soleil.
Sabine SICAUD
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
Camarades
Vous avez l'oubli trop facile
Et votre colère tombe vite
Vous êtes vivants... vous aimez rire
Le bourgeois raconte qu'il aime rire
Alors vous riez avec lui
Pourtant son rire n'est pas le même que le votre
Ce n'est pas un véritable rire
L'homme rit
Le bourgeois ricane
Ecoutez
En 1871 les communards sont tombés par milliers
Monsieur Thiers souriait
Les femmes du monde souriaient
Elles se payaient une pinte de bon sang
Pendant la fameuse glorieuse dernière avant-dernière grande guerre
Le président Poincaré rigolait dans le cimetière
Oh pas aux éclats naturellement
Un petit rire discret
Un petit gloussement
Un rire d'homme du monde
Un joyeux rire d'outre-tombe
Depuis le mois de février on a tué en France beaucoup d'ouvriers
Le président Doumergue n'a pas cessé de sourire
C'est une habitude... un tic
Deibler aussi quelquefois sourit...
Tardieu sourit...
Hitler aussi...
C'est le sourire du capital le sourire de la bourgeoisie
C'est le rire de la "Vache qui rit"
Un rire aimable
Un sourire impitoyable
Excusez-moi je regrette dans le fond je vous aime bien
Mais si je donne l'ordre de vous abattre comme des chiens
C'est parce que c'est la coutume
Je suis là pour ça je n'y peux rien
C'est la coutume
Il y a trop de travailleurs dans le monde
Il faut les expédier dans l'autre
Trop de travailleurs
Trop de cafés
Trop de fraises des bois
Trop d'instituteurs
À la mer le café
Aux vestiaires la canne à sucre
À l'égout le beurre
Aux chiottes les primeurs
Il ne faut pas rire avec ces gens-là
Jacques Prévert
il devait être énervé ce jour là, le Jacquot..
Vous avez l'oubli trop facile
Et votre colère tombe vite
Vous êtes vivants... vous aimez rire
Le bourgeois raconte qu'il aime rire
Alors vous riez avec lui
Pourtant son rire n'est pas le même que le votre
Ce n'est pas un véritable rire
L'homme rit
Le bourgeois ricane
Ecoutez
En 1871 les communards sont tombés par milliers
Monsieur Thiers souriait
Les femmes du monde souriaient
Elles se payaient une pinte de bon sang
Pendant la fameuse glorieuse dernière avant-dernière grande guerre
Le président Poincaré rigolait dans le cimetière
Oh pas aux éclats naturellement
Un petit rire discret
Un petit gloussement
Un rire d'homme du monde
Un joyeux rire d'outre-tombe
Depuis le mois de février on a tué en France beaucoup d'ouvriers
Le président Doumergue n'a pas cessé de sourire
C'est une habitude... un tic
Deibler aussi quelquefois sourit...
Tardieu sourit...
Hitler aussi...
C'est le sourire du capital le sourire de la bourgeoisie
C'est le rire de la "Vache qui rit"
Un rire aimable
Un sourire impitoyable
Excusez-moi je regrette dans le fond je vous aime bien
Mais si je donne l'ordre de vous abattre comme des chiens
C'est parce que c'est la coutume
Je suis là pour ça je n'y peux rien
C'est la coutume
Il y a trop de travailleurs dans le monde
Il faut les expédier dans l'autre
Trop de travailleurs
Trop de cafés
Trop de fraises des bois
Trop d'instituteurs
À la mer le café
Aux vestiaires la canne à sucre
À l'égout le beurre
Aux chiottes les primeurs
Il ne faut pas rire avec ces gens-là
Jacques Prévert
il devait être énervé ce jour là, le Jacquot..
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: A l'Esperluette.
Si vous voulez, pendant que vous buvez le café, je vous en lis un d'Emile Verhaeren : Celui de la fatigue.
Ce soir, l'homme de la fatigue
A regarder s'illimiter la mer,
Sous le règne du vent despote et des éclairs,
Les bras tombants, là-bas, s'est assis sur ma digue.
Le vêtement des plus beaux rêves,
L'orgueil des humaines sciences brèves,
L'ardeur, sans plus aucun sursaut de sève,
Tombaient, en loques, sur son corps :
Cet homme était vêtu de siècles morts.
Il n'était plus la vie,
Il n'était point encor la mort ;
Il était la fatigue inassouvie.
Il avait vu brûler d'étranges pierres,
Jadis, dans les brasiers de la pensée :
Les feux avaient léché les cils de ses paupières
Et son ardeur s'était cassée
Sur l'escalier tournant de l'infini.
Sa tête avait nourri toutes les gloses.
Il traînait après lui une aile grandiose
- Ridicule - dont les pennes tombaient ;
Des nuages vitreux le surplombaient,
Mais néanmoins une chimère dernière
Allumait d'or son casque et sa bannière.
Lassé du bien, lassé du mal, lassé de tout
Il maintenait debout
Encore, un dernier voeu, sous l'assaut des contraires :
Ayant tant vu sombrer de choses nécessaires,
Qui se heurtaient pour leur rapide vérité,
Lui, qui se souvenait d'être et d'avoir été,
Qui ne pouvait mourir et qui ne pouvait vivre,
Osait aimer pourtant sa lassitude à suivre,
Entre les oui battus de non, son chemin, seul.
De tout penseur ardent, il se sentait l'aïeul.
Le sol du monde était pourri de tant d'époques
Et le soleil était si vieux !
Et tant de poings futilement victorieux
N'avaient volé au ciel que des foudres baroques.
Et c'est décidément : " Misère ! " à toute éternité
Qu'à travers sa planète et vers ses astres
La tête pâle et sanglante de ses désastres,
Pendant mille et mille ans criera l'humanité.
Certes, mais se blottir en la rare sagesse,
D'où rien ne transparaît que le savoir
Et la culture et la discipline de sa faiblesse ;
Entr'accorder la haine et le désir ; vouloir,
A chaque heure, violenter sa maladie ;
L'aimer et la maudire et la sentir
Chaude comme un foyer mal éteint d'incendie,
Se déployer sa peine et s'en vêtir ;
Avoir, de ses malheurs mêmes, l'orgueil ;
Aimer enfin celui qui, dans les villes, passe
Et qui s'assied, en souriant devant le seuil
Du temple, où vont prier les hommes de sa race.
Et puis le proclamer, mais n'ériger l'espoir
Que pour, sournoisement, l'abattre avec sa haine ;
Contrarier l'aurore avec le soir ;
Torturer le présent avec l'heure prochaine ;
Trouver de la douceur en son angoisse, lasse
De n'avoir plus la peur de la menace ;
N'éclairer pas d'un trop grand feu
L'énigme à deviner par delà les nuages,
Qui fit songer les sages
Qu'un Dieu connu n'est plus un Dieu.
Ce soir, l'homme de la fatigue,
Tout lentement, a soulevé,
Comme un trésor désencavé,
Aux bords du fleuve, où mon âme navigue,
La science de la fatigue.
Ce soir, l'homme de la fatigue
A regarder s'illimiter la mer,
Sous le règne du vent despote et des éclairs,
Les bras tombants, là-bas, s'est assis sur ma digue.
Le vêtement des plus beaux rêves,
L'orgueil des humaines sciences brèves,
L'ardeur, sans plus aucun sursaut de sève,
Tombaient, en loques, sur son corps :
Cet homme était vêtu de siècles morts.
Il n'était plus la vie,
Il n'était point encor la mort ;
Il était la fatigue inassouvie.
Il avait vu brûler d'étranges pierres,
Jadis, dans les brasiers de la pensée :
Les feux avaient léché les cils de ses paupières
Et son ardeur s'était cassée
Sur l'escalier tournant de l'infini.
Sa tête avait nourri toutes les gloses.
Il traînait après lui une aile grandiose
- Ridicule - dont les pennes tombaient ;
Des nuages vitreux le surplombaient,
Mais néanmoins une chimère dernière
Allumait d'or son casque et sa bannière.
Lassé du bien, lassé du mal, lassé de tout
Il maintenait debout
Encore, un dernier voeu, sous l'assaut des contraires :
Ayant tant vu sombrer de choses nécessaires,
Qui se heurtaient pour leur rapide vérité,
Lui, qui se souvenait d'être et d'avoir été,
Qui ne pouvait mourir et qui ne pouvait vivre,
Osait aimer pourtant sa lassitude à suivre,
Entre les oui battus de non, son chemin, seul.
De tout penseur ardent, il se sentait l'aïeul.
Le sol du monde était pourri de tant d'époques
Et le soleil était si vieux !
Et tant de poings futilement victorieux
N'avaient volé au ciel que des foudres baroques.
Et c'est décidément : " Misère ! " à toute éternité
Qu'à travers sa planète et vers ses astres
La tête pâle et sanglante de ses désastres,
Pendant mille et mille ans criera l'humanité.
Certes, mais se blottir en la rare sagesse,
D'où rien ne transparaît que le savoir
Et la culture et la discipline de sa faiblesse ;
Entr'accorder la haine et le désir ; vouloir,
A chaque heure, violenter sa maladie ;
L'aimer et la maudire et la sentir
Chaude comme un foyer mal éteint d'incendie,
Se déployer sa peine et s'en vêtir ;
Avoir, de ses malheurs mêmes, l'orgueil ;
Aimer enfin celui qui, dans les villes, passe
Et qui s'assied, en souriant devant le seuil
Du temple, où vont prier les hommes de sa race.
Et puis le proclamer, mais n'ériger l'espoir
Que pour, sournoisement, l'abattre avec sa haine ;
Contrarier l'aurore avec le soir ;
Torturer le présent avec l'heure prochaine ;
Trouver de la douceur en son angoisse, lasse
De n'avoir plus la peur de la menace ;
N'éclairer pas d'un trop grand feu
L'énigme à deviner par delà les nuages,
Qui fit songer les sages
Qu'un Dieu connu n'est plus un Dieu.
Ce soir, l'homme de la fatigue,
Tout lentement, a soulevé,
Comme un trésor désencavé,
Aux bords du fleuve, où mon âme navigue,
La science de la fatigue.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
La vie est plus belle à deux. Devenez schizophrène.
Dernière édition par Odime le Mar 7 Jan 2014 - 10:58, édité 1 fois
Odime- Messages : 3355
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Localisation : Des airs
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
C'est terrible le stress !!
Un événement stressant provoque une réaction en chaîne qui débute dans le cerveau et aboutit à la production de cortisol par les glandes surrénales. Le cortisol active alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation...) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction. Si le stress est trop fort ou prolongé, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont principalement l'hippocampe6, l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal!!
Le stress est, en biologie, l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent. Selon la définition médicale, il s'agit d'une séquence complexe d’événements provoquant des réponses physiologiques, psychosomatiques!!
un test pour dépister le stress
Si vous voyez les deux animaux de la photo suivante identiques, vous n'êtes pas sous stress.
Sinon, il faut consulter !
Un événement stressant provoque une réaction en chaîne qui débute dans le cerveau et aboutit à la production de cortisol par les glandes surrénales. Le cortisol active alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation...) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction. Si le stress est trop fort ou prolongé, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont principalement l'hippocampe6, l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal!!
Le stress est, en biologie, l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent. Selon la définition médicale, il s'agit d'une séquence complexe d’événements provoquant des réponses physiologiques, psychosomatiques!!
un test pour dépister le stress
Si vous voyez les deux animaux de la photo suivante identiques, vous n'êtes pas sous stress.
Sinon, il faut consulter !
- Que voyez vous?:
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
ODIME J'ADORE...LA SOURIS ET LE CHAT ET LE MOT A COTé....!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
Et Semama...là c'est du lourd!!! je kiff....!!!! c'est quoi tes pills????
Et tu es sur que c'est pas le contraire.....ton test est-il fiable !!!!
Et tu es sur que c'est pas le contraire.....ton test est-il fiable !!!!
Anubis- Messages : 2012
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Localisation : Dimensions parallèles
Re: A l'Esperluette.
semama a écrit:
- Que voyez vous?:
En tous cas, celui du milieu n'est pas le même.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
On est donc, bien d'accord Gimli.... !
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
Il paraît que le dauphin fut un chien, retourné à l'eau, et de la vache au chien il n'y a pas loin. Sinon oui, le cortisol en excès crée de gros dégâts, à la longue.
Alors on va continuer avec les bêtises: "
Alors on va continuer avec les bêtises: "
Odime- Messages : 3355
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Re: A l'Esperluette.
je vois un dauphin mâle et un dauphin femelle semana, c'est normal ?
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
doom a écrit:je vois un dauphin mâle et un dauphin femelle semana, c'est normal ?
Horreur, un obsédé sexuel.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
Pour les crapauds et les princesse, je me souvient surtout d'un jeu de rôle.
Haagenti, Prince Démon de la Gourmandise, disait :
"Tu embrasses la grenouille, elle se transforme en princesse, tu lui arraches les cuisses, y a vachement plus à bouffer."
Haagenti, Prince Démon de la Gourmandise, disait :
"Tu embrasses la grenouille, elle se transforme en princesse, tu lui arraches les cuisses, y a vachement plus à bouffer."
Kalimsha- Messages : 1546
Date d'inscription : 03/06/2013
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Re: A l'Esperluette.
Kali tu es gore ce soir!
Odime- Messages : 3355
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Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
kali , on est dans le même camp chérie.....!
En plus j'adore les cuisses de grenouilles, bien plus tendres que des cuisses de princesse transformées...... !
En plus j'adore les cuisses de grenouilles, bien plus tendres que des cuisses de princesse transformées...... !
Dernière édition par Anubis le Mar 7 Jan 2014 - 18:50, édité 1 fois
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
super, j'adore les cuisses de princesse, rhââââ, lovely
doom- Messages : 941
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Anubis- Messages : 2012
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doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
sucer et lécher un prince pour 1 €, non merci
doom- Messages : 941
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totalement ok !!!!
Odime a écrit:La vie est plus belle à deux. Devenez schizophrène.
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
c'est l'heure des hydrates de carbone, j'espère que mes voisins sont là
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
A votre santé, joueurs et joueuses de tout bord......... à l'abordage !!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
tu me la coupes gimli, ça m'assombrit
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
Ne touchez surtout pas à interrupteur....c'est un conseil avisé...!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
Doom, t’arrête tes conneries maintenant!!! non mais !!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
désolé au bar, je suis infréquentable où adulé
censuré par respect pour les autres
censuré par respect pour les autres
Dernière édition par doom le Mar 7 Jan 2014 - 19:33, édité 1 fois
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
Ah non, au secours !!!!!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
C'est un bar doom , et non pas une boite échangiste!!!!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
Oui, Doom, ce n'est pas trop le genre de cette buvette. L'ivrognerie nous importe moins que l'ivresse.
Si tu enlèves la dernière, ça me fera plaisir.
Si tu enlèves la dernière, ça me fera plaisir.
Invité- Invité
Re: A l'Esperluette.
hélas, demain je sais encore comment ça va être
censuré par respect pour les autres
censuré par respect pour les autres
Dernière édition par doom le Mar 7 Jan 2014 - 19:33, édité 1 fois
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
pardon gimli, j'ai du mal avec les codes sociaux, j'édite ( encore que je n'ai pas envie )
doom- Messages : 941
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Re: A l'Esperluette.
et puis enlève la dernière aussi, car je suis d'accord avec gimli, ça devient hors sujet!!!!
Anubis- Messages : 2012
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Re: A l'Esperluette.
excuses moi gimli, j'ai l'humour un peu hardcore
doom- Messages : 941
Date d'inscription : 04/08/2012
Age : 60
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Re: A l'Esperluette.
doom a écrit:pardon gimli, j'ai du mal avec les codes sociaux, j'édite ( encore que je n'ai pas envie )
Je t'assure que j'ai beaucoup de mal aussi avec les codes sociaux, peut être pour ça que je suis exagérément prudent.
Je te remercie.
C'est ma tournée, je vais chercher un Dimey, homme de circonstance.
Invité- Invité
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