Phobie sociale

tu resume bien off
bin oui si je post sa s'est que s'est en partit mon cas . totalement enfaîte .

Valerian, je te souhaite de trouver la porte de sortie qui mène vers la lumière 

je l'et déjà trouver sa s'appel " ne plus avoir d’acné" après sa ira mieux , bin oui s'est un facteur qui favorise la dé sociabilisation si tu ne savais pas ^^

Je ne fait pas de phobie sociale, mais malgré tout je me reconnais un peu dans certaines phrases de la première vidéo (ça m’apparaît plus comme les signes d'une dépression latente à mon avis)

J'ai trouvé un lien qui parle du sujet, information de la partie centrale
http://www.anxietesociale.org/ps.htm

putain chiotte!!!!!!!
je suis une phobique sociale.

Héhé, moi aussi.
J'ai suivi une TCC il y a quatre ans, mais le monstre est vite revenu à la charge.
J'ai passé une bonne partie de mon enfance et de mon adolescence à me forcer avec les gens, je le fais toujours mais j'ai de plus en plus de mal à fournir des efforts pour m'adapter, dépasser mes difficultés et avoir l'air normale.
Là, je commence à creuser mon trou pour une hibernation longue durée. Si ça vous dit, une communauté troglodyte.

J'étais dans la personnalité évitante (je me reconnaissais dans tous les critères) avant d'être détectée zèbre. J'ai pas mal avancé et s'il me reste des traits ça va quand même beaucoup mieux!

J'ai eu ça lorsque j'étais jeune. Un drôle de truc.
Quand je suis "fragilisée" ça peut revenir mais de façon moindre et j'ai la chance apparemment d'avoir réussi à passer outre et à me trouver des techniques pour pallier à tout ce que j'avais :

la timidité
je pense une peur du monde extérieur qui m'avait été transmise en famille
et peut être ensuite au fur et à mesure par comme dire ça, j'appelle pas ça des rejets, puisque je ne me souviens pas les avoir vécus sous ce jour là, mais des réactions, c'est ça des réactions qui ont du aussi loin que je me souvienne au fur et à mesure me générer des blocages mais pas complets.

j'ai le sentiment d'être passée outre beaucoup de choses par motivation et envie de faire certaines choses. un espèce de mécanisme, j'y arrive pas, je vais le faire quand même , j'ai peur je vais quand même aller voir doucement, je me suis faite rembarrée, je vais aller demander pourquoi.

je me permets de dire cela puisque jeune, très jeune on avait dit de moi dans le corps médical que j'aurai un problème de relations humaines, que je pense aujourd'hui avoir vaincu justement en ayant vécu et en ayant probablement beaucoup lu sur les relations humaines, les humains, les interactions et d'avoir beaucoup "pratiqué", observé, essayé.

si ça peut servir à quelqu'un/quelqu'une....

Je suis d'ailleurs je vais le mettre encore profondément touchée et ça fait longtemps que c'est le cas par un monsieur que je vois.

je pense que j'ai commencé à le remarquer parce qu'il me rappelait des choses que j'avais faites. je le voyais dans une rue, marchant, puis s'arrêtant, hésitant, et hop faisant demi tour, je le sentais me regarder comme un obstacle dans la rue et ça m'a parlé beaucoup, j'ai mis très longtemps à être à l'aise dans la rue, à savoir quelle posture avoir, comment me positionner vis à vis des gens.

je fais court,

je revois souvent ce monsieur mais dans d'autres endroits et ça me fait chaud au coeur, dans mon supermarché, il fait ses courses (évidemment je sais tout le monde mais vous verrez je pense ce que je veux dire, lieu fermé, un peu plus clos, avec des inconnus) ou il avance avec plus d'assurance désormais.

et surtout, j'adore les couchers de soleils et je l'ai vu au même endroit au même coucher de soleil, je sais pas s'il m'a remarqué, je le souhaite mais dans le bon sens pour lui parce ce n'est pas méchant mais je n'ai pas ou plus la même allure que lui et si il a vu qu'on a un point commun, ça me fait penser à le raconter que je pense du coup que j'ai du m'habituer à me faire remarquer et donc en arriver à ce que cela ne me fasse plus rien.

Il avait l'air bizarre et mal à l'aise que je sois dans les 3 mètres de son champ d'action, je suis donc partie un peu plus loin sachant très bien que si des gens me voyaient prendre des photos d'un soleil qui se souche sur une gare, ils me trouveraient bizarre mais je pense que les gens ça fait très très longtemps que je ne les vois plus enfin ceux qui pourraient me dire que je suis bizarre à qui en fait je ne laisse aucun place pour pouvoir venir me le dire

La phobie sociale ou la prétention de croire que le monde tourne autour de toi.


Oui c’est un trouble, une maladie, une névrose, comme tu veux. Mais faut avouer, quand même , faut avoir une sacrée dose de prétention pour croire que tout le monde, tout le temps, t’observe, te juge, parle de toi, alors qu’en réalité, il faut l’admettre, la réalité est tout autre, tristement banale et affligeante : tout le monde s’en fout, ou presque.

Un orgueil démesuré inversement proportionnel au niveau d’estime de soi, on pourrait résumer ça comme ça.

Pas faux. Enfin suite à des événements traumatisants, perso je cherche toujours le thérapeute qui va m'aider à remettre les tiroirs en place.
Je vais tenter hypnose et EMDR. Pour l'instant en trois ans j'ai seulement rencontré cinq incompétents... juste de quoi nourrir ce blog: https://bouletiseerayonnante.wordpress.com/2016/03/31/va-voir-un-psy/

Drôle et très agréable à lire !

Je trouve la réaction du psy numéro 4 bien disproportionnée...
Hospitalisation, dis-donc, rien que ça !
Ca me semble à moi aussi bien normal d'avoir des pensées sombres de temps en temps... si on ne peut même plus en parler à son psy... (mais où va le monde ?)

Eh ben, oiseau, à défaut de guérir de ta phobie sociale, tu peux peut être te mettre à l'écriture ? J'ai trouvé tes brèves de séances assez drôles !
Sinon, j'ai souffert de phobie sociale (+ éreuthophobie...) entre l'âge de 15 ans et l'âge de 23/24 ans....des accès d'angoisse en situation sociale reviennent de temps à autre. Je déteste prendre la parole en public, ce qui ne m'empêche pas, dans le cadre de mon travail, d'assurer des formations de 2 à 3 heures... Je ne sais pas si votre phobie est assortie de cette très désagréable "peur de rougir". C'est vraiment chiant, en tout cas. Je rejoins un peu sahounette, même si elle dit les choses d'une manière un peu agressive, qui fait l'impasse sur la souffrance bien réelle liée à cette "pathologie" : j'ai en tout cas quelque peu progressé quand j'ai compris qu'au fond, la plupart des gens ne vous regardent pas plus que cela...qu'ils s'en foutent. En somme, en tant que phobique sociale (et encore plus ereutophobe) on a tendance à surestimer l'importance que les autres vous accordent dans les situations  sociales. C'est quoi, en somme, ce regard que les autres portent sur vous ? Gageons que ce n'est pas le regard des autres, ceux qui sont face à vous, en chair et en os...c'est un autre regard, d'autres yeux, qui vous jugent bien plus durement que vos vis à vis....
Deuxième point : j'ai progressé en cessant de lutter...je laisse l'angoisse passer...je m'en détache...le malaise est là, mais j'évite de m'y identifier - sans quoi, je sais, il me submergera !  troisième point : les béta-bloquants (avlocardyl, par exemple.) permettent de contrôler toutes les manifestations neurovégétatives désagréables qui émergent lors des accès d'angoisse...en somme, l'angoisse psychique peut rester présente, mais les rougeurs, la tachycardie, les mains qui tremblent, ou la sudation excessives disparaissent - ce qui peut aider à affronter progressivement les situations anxiogènes, en tout cas, à ne pas se laisser "dominer" par l'angoisse....cela m'aide lorsque je dois parler en public, assurer une formation, et m'a permis de  soutenir mes différents mémoire (maitrise, dea etc....) sans mal. Quatrième point : les TCCs proposés à l'hôpital Sainte Anne sont de bonne qualité, assez aidante... Dernier point (et j'arrête de vous saouler.) : s'interroger sur le sens du symptôme, pourquoi il apparaît, à tel moment (rejoint la fin du point 1/)? Quelle "jouissance" il vient contrarier ? Est il assorti à un sentiment de honte etc ?
Il faut bien sûr travailler l'estime de soi, la confiance en soi etc...essayer de comprendre pourquoi on est si mal à l'aise dans les situations de "jugement social", se demander pourquoi on ne s'autorise pas à parler en public ? ou qui, à une époque reculée, ne vous y a pas autorisé ?

ddistance: et tout est vrai, c'est terrifiant: ces gens ont face à eux des personnes fragiles, et qui font éventuellement cette démarche pour la première fois... et là on leur dit que leurs angoisses n'ont pas de cause (banalisation) ou au contraire qu'il faut les interner (exagération)... dans les deux cas tu n'es pas "entendu". résultat en sortant de là: soit tu te pends pour de bon, soit tu te sens beaucoup mieux car une partie de toi se marre quand même des énormités entendues...

nikko: les questions sont bien posées!