Jamais surdoué irresponsable n'a été aussi stupide que moi depuis 2000 ans

Salutation à vous tous,

à mes jours enfantins, j'ai toujours ressenti une certaine forme de différentiabilité comparer aux autres, encore de même aujourd'hui je ressens une frustration à l'égare psychologique sur le plan réflexionnel d'autrui qui me fait encore ressentir un certain creux.
Mais pour ne vous mentir, je suis un être stupide et fort détestable, à vrai dire, pour m'apprécier à un degré maximal qui s'arrête sur une forme abstraite et une acceptation de certaines choses qui se casseront un jour et qui se transmutera en haine envers moi à en revenir à une utilisation assez conséquente d'une forme d'ostracisme de manière aussi récurant que j'essayerais d'établir des échanges avec vous.


Selon une analyse personnelle, il y est fort à parier que le degré de ma réflexion est passé dans l'ombre à cause d'une intense tentative d'intégration qui m'a obligé à paramétrer mon cerveau pour que mon système réflexionnel soit parallèle à autrui. Beaucoup de personnes m'ayant souvent répondu à mes craintes que l'intelligence est encré et qu'elle est simplement caché ( Elle en ressort parfois sous un certain taux de puissance plus ou moins importante ( en prenant en compte les conditions néfastes ) à certains moment de la vie.
Être sous un faux-self est sans doute une des pires stupidités que j'ai pu faire durant mon existence actuellement, le coeur ainsi que le cerveau en prennent de sacrés dommages, en sortir est encore beaucoup plus blessant, difficile et complexe que le subir. Partir dans un faux-self requière un sacré niveau de sadomasochisme que je ne souhaite à personne.

Par la suite, ce qui met d'avantage un poids sur le problème en question en est résolu sous deux formes assez semblables d'un certain point de vu.
Les problèmes liés à une habitude forte que tout vient sans jamais levé le petit doigt ainsi un passage sous des maladies psychologiques. ( Dépression, insomnie et j'en passe qui s'en résulte en terme général à un abaissement plus ou moins conséquent du quotient intellectuel surtout que le temps ne fait qu'augmenter l'ampleur des dégâts.

La totalité ne fait qu'augmenter frustration et semi-dépression, on s'éloigne de jour en jour de l'idéal, chaque secondes de perdu est ressenti tel un enfoncement de clou, pour ce qui concerne l'introspectivité de soi, on se voit immonde, malgré que certaines personnes, rare et d'excellente humeur ou excessivement anxieuse à faire un comparative à vous mettre sur le sommet de la pyramide ( ce qui à tendance à être encore plus blessant et très insupportable sur tout plan ), cette vision hideuse vous met à ne plus vous regarder dans votre miroir.

Mais malgré que ses rares personnes me font souvent comprendre qu'elles ne me comprennent, que je suis dans un autre univers et me vantent d'une intelligence incroyable (ce qui à tendance généralement à m'énerver, surtout quand ces derniers émettes l'idéologie d'une échelle de supériorité et mettes également en avant un narcissisme qu'ils ont imaginé qui est visé sous ma vue qu'ils inventent en y mettant sans doute des choses fantastiques et palpitantes ), je ne me vois comme un sombre crétin sans aucune valeur à qui personne ne devrait prendre le soin et la peine de songer de communiquer voir même de réfléchir à ma personne.

Une personne de mon entourage familial, qui, parfois à tendance à mettre l'intelligence sur l'échelle de la supériorité ma souvent dit "L'intelligence c'est savoir s'intégrer", mais à qu'elle prix j'aurais gagné la guerre ? A partir d'un taux trop élevé, la substance est trop danse pour une réelle intégration, le mélange de l'eau et de l'huile est un bon exemple, ce sont tout deux des liquides mais ne se mélangent pas et restent différents dans énormément de plan.


Aujourd'hui, je ne souhaite pas être seul, je ne souhaite plus être seul, je veux plus être un crétin, je souhaite enlever le bridage que j'ai mis pour crypter mon cerveau.

Croyez-vous qu'une sociabilité conséquente avec des personnes ayant un paramétrage cérébral partiellement égal au miens de base me ferait-il bien ?
Croyez-vous que je suis un crétin fini, que j'ai une folie relativement développé ou suis-je simplement trop différent des autres et que trop de paramètres extérieurs ont un poids titanesque sur ma personne ?
Qu'en est-il votre vision et votre avis sur le sujet ? Qu'elles sont vos conseils pour m'aider ? Dois-je me faire interner pour folie ?

Je crois que tu gagnerais à étudier le comportement des personnages de séries tv pour mieux comprendre les gens, comprendre les sous-entendus, les motivations, comment ils communiquent certaines choses en en disant d'autres. Essaie de partir du principe que tu n'es pas trop différent pour parvenir à entrer en communication avec n'importe qui, privilégie les tournures simples et les mots pas alambiqués qui n'ont pas forcément un sens dans le contexte (Exemple de phrase à simplifier : "à mes jours enfantins, j'ai toujours ressenti une certaine forme de différentiabilité comparer aux autres, encore de même aujourd'hui je ressens une frustration à l'égare psychologique sur le plan réflexionnel d'autrui qui me fait encore ressentir un certain creux."). Les pléonasmes allongent les phrases sans apporter d'informations supplémentaires, à éviter donc car on aurait tendance à oublier le début et ne pas comprendre où tu veux en venir.  

C'est mon humble avis.

Le titre c'est une référence à 99 francs ?

Bon, déjà, si tu ne veux plus être seul, alors c'est le début du changement. De ce que tu écris, je retiens que tu associes solitude et crétinerie, et c'est en symétrie avec ce que te dis cette personne de ta famille, que l'intelligence c'est de s'intégrer. Pour ce qui est de l'intégration, comme tu le dit, à quel prix auras-tu gagné la guerre. S'intégrer n'est pas une fin en soi, enfin, je crois que ce n'est pas ce que tu recherches, puisque ça revient à adopter un faux-self.

Je crois que tu devrais dissocier toutes ces notions. Tu es intelligent, et tu te sens seul, ce sont là deux faits qui ont peut-être des liens l'un avec l'autre, mais pas forcément une causalité stricte. Il y a plein de facteurs qui font qu'on se retrouve seul, ou que les relations tournent court. Te sentir plus intelligent et ne pas pouvoir communiquer sur certains plans parce que les autres ne suivent pas, t'éloigne certainement de beaucoup de gens, mais il y a aussi des formes de communication simples qui ne sont pas creuses. Pas destinées à être profondes ou durables, peut-être, mais toutes les relations ne sont pas profondes ni durables.

Ce qui est compliqué c'est de se défaire d'une part de croyance comme la fatalité du rejet ou de la haine ; d'autre part, de la détestation de soi et des autres (je ne crois pas qu'on puisse délier ces deux-la, en fait). Donc de comprendre les représentations et les images que nous avons, et puis de s'en affranchir, parce qu'en réalité, on ne peut pas dire "toujours" ou "jamais", il faudrait arriver au bout de sa vie et faire des statistiques pour savoir si "toujours" et "jamais" sont vrais, avec tous les biais de confirmation inhérent. Ce que je veux dire par là, c'est que ce qui a été a été, mais que tout est encore possible, tant qu'on veut changer et comprendre, aller vers plus de légèreté. En sachant qu'on ne sait pas ce qu'on trouvera, ni en quoi on changera, ni ce qu'on vivra.

Je ne sais pas quelles personnes ont un paramétrage cérébral semblable au tien, et puis est-ce un critère ? Aller vers les personnes qui t'acceptent, avec qui tu te sens bien, avec lesquels un lien, si ténu soit-il, peut vivre. Ne pas trop en attendre non plus, laisser de l'espace, trouver ton propre espace.

ZC permet de se tester dans ses relations aux autres, c'est un bon outil d'expressions de soi, avec tout ce que ça veut dire de difficultés, de façons de trébucher, de retours bienveillants ou plus rugueux, mais aussi de découvertes.

Je me permets de poster une réponse courte.
Quel âge as tu ?

Toujours là ?