Mais où est Uccen ???
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Re: Mais où est Uccen ???
Nan c'est pas un goût c'est parce que ça ne me choque pas moi (...) et ce n'est ni plus beau ni plus moche qu'autre chose.
Quoique plus appétant que les trucs criards enjolivés de meufs (pour caricaturer).
C'est la nature quoi.
Quoique plus appétant que les trucs criards enjolivés de meufs (pour caricaturer).
C'est la nature quoi.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Cela ne me choque pas non plus (je voulais faire de la chirurgie donc ... ^^)
Merci de m'avoir répondu
Merci de m'avoir répondu
r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
Patate a écrit:Ma petite chienne-crève-coeur
Celle de droite ou celle de gauche ?
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Patate a écrit:Ma petite chienne-crève-coeur
Celle de droite ou celle de gauche ?
L'une ne va pas sans l'autre, tu t'en doutes bien !
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Quand l'impossible devient hiiiiiiiiii mage in able
mais est-ce ça marche avé la bière ? et de la Kro ou d'la Heineken
avec le petit accent de ta Précieuzzzzzzzzzzzz
Aïe ne quine (blow)job
mais est-ce ça marche avé la bière ? et de la Kro ou d'la Heineken
avec le petit accent de ta Précieuzzzzzzzzzzzz
Aïe ne quine (blow)job
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Tel que je comprends le phénomène, il se produit un vide en haut du verre, qui agit un peu comme une ventouse. Qui produit un effet de succion. On remarque au début que le chiffon est utilisé pour chasser l'air qui est en haut du verre. Et néanmoins on observe un "vide" au dessus de l'eau. Maintenant si on faisait la même expérience, en l'absence d'atmosphère, j'imagine que ça marcherait beaucoup moins bien. Puisque c'est la pression de l'atmosphère qui permet cet effet ventouse.Patate a écrit:Quand l'impossible devient hiiiiiiiiii mage in able
mais est-ce ça marche avé la bière ? et de la Kro ou d'la Heineken
avec le petit accent de ta Précieuzzzzzzzzzzzz
Aïe ne quine (blow)job
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
stauk arrête immédiatement les splications scientifiques ...
"On remarque au début que le chiffon est utilisé pour chasser l'air qui est en haut du verre"
heu... bé non le verre il est toujours plein de vide (air) ^^
c'est parce que le chiffon est préalablement mouillé et poussé dans le fond de verre que l'effet ventouse peut opérer. 'fin il me semble. pis merde c'est pas le sujet !! le sujet c'est la bière !!!
"On remarque au début que le chiffon est utilisé pour chasser l'air qui est en haut du verre"
heu... bé non le verre il est toujours plein de vide (air) ^^
c'est parce que le chiffon est préalablement mouillé et poussé dans le fond de verre que l'effet ventouse peut opérer. 'fin il me semble. pis merde c'est pas le sujet !! le sujet c'est la bière !!!
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
s'pa ton fil, c'est le fil de Sélène.Patate a écrit:stauk arrête immédiatement les splications scientifiques ...
Faites attentions à bien fermer vos quotes. La modération à le devoir désormais de réparer les messages mal quotés.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
patstauk a écrit:
Faites immédiatement attentionz à bien fermer les splications . La modération (s'pa ton fil) A le devoir désormais de répèrer les messages mal conclus.
Et alors qu'est-ce tu veux ça nous foute !
Hein ?!
Pour être banni le temps qu'ils comprennent et réagissent rétrospecactivement (car la loi et la loi et pas vu pas pris n'existe pas, bien fait pour TAGGLE) ?
L'essplication c'est qu'y a pas de sens,
seule la pleurnicherie compte.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
##### a écrit:
seule la pleurnicherie compte.
parle pour TAGGLE
poo- Messages : 44
Date d'inscription : 30/09/2014
Re: Mais où est Uccen ???
Chez Cora ils offrent des espèces de petites images animées. Des lapins qui se brossent, un dain qui léchouille son petit faon, des Suricats qui courent.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Au lecteur
La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.
Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.
Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.
C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.
Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.
Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas ! n'est pas assez hardie.
Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,
Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;
C'est l'Ennui ! - l'oeil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !
Charles BAUDELAIRE
La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.
Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.
Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.
C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.
Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.
Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas ! n'est pas assez hardie.
Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,
Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;
C'est l'Ennui ! - l'oeil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !
Charles BAUDELAIRE
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Brumes et pluies
Ô fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau
D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau.
Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue,
Où par les longues nuits la girouette s'enroue,
Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau
Ouvrira largement ses ailes de corbeau.
Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres,
Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,
Ô blafardes saisons, reines de nos climats,
Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres,
- Si ce n'est, par un soir sans lune, deux à deux,
D'endormir la douleur sur un lit hasardeux.
Ô fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau
D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau.
Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue,
Où par les longues nuits la girouette s'enroue,
Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau
Ouvrira largement ses ailes de corbeau.
Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres,
Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,
Ô blafardes saisons, reines de nos climats,
Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres,
- Si ce n'est, par un soir sans lune, deux à deux,
D'endormir la douleur sur un lit hasardeux.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
L'avertisseur
Tout homme digne de ce nom
A dans le coeur un Serpent jaune,
Installé comme sur un trône,
Qui, s'il dit : " Je veux ! " répond : " Non ! "
Plonge tes yeux dans les yeux fixes
Des Satyresses ou des Nixes,
La Dent dit : " Pense à ton devoir ! "
Fais des enfants, plante des arbres,
Polis des vers, sculpte des marbres,
La Dent dit : " Vivras-tu ce soir ? "
Quoi qu'il ébauche ou qu'il espère,
L'homme ne vit pas un moment
Sans subir l'avertissement
De l'insupportable Vipère.
Tout homme digne de ce nom
A dans le coeur un Serpent jaune,
Installé comme sur un trône,
Qui, s'il dit : " Je veux ! " répond : " Non ! "
Plonge tes yeux dans les yeux fixes
Des Satyresses ou des Nixes,
La Dent dit : " Pense à ton devoir ! "
Fais des enfants, plante des arbres,
Polis des vers, sculpte des marbres,
La Dent dit : " Vivras-tu ce soir ? "
Quoi qu'il ébauche ou qu'il espère,
L'homme ne vit pas un moment
Sans subir l'avertissement
De l'insupportable Vipère.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
L'héautontimorouménos
Je te frapperai sans colère
Et sans haine, comme un boucher,
Comme Moïse le rocher !
Et je ferai de ta paupière,
Pour abreuver mon Saharah,
Jaillir les eaux de la souffrance.
Mon désir gonflé d'espérance
Sur tes pleurs salés nagera
Comme un vaisseau qui prend le large,
Et dans mon coeur qu'ils soûleront
Tes chers sanglots retentiront
Comme un tambour qui bat la charge !
Ne suis-je pas un faux accord
Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie
Qui me secoue et qui me mord ?
Elle est dans ma voix, la criarde !
C'est tout mon sang, ce poison noir !
Je suis le sinistre miroir
Où la mégère se regarde.
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Je suis de mon coeur le vampire,
- Un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamnés,
Et qui ne peuvent plus sourire !
Je te frapperai sans colère
Et sans haine, comme un boucher,
Comme Moïse le rocher !
Et je ferai de ta paupière,
Pour abreuver mon Saharah,
Jaillir les eaux de la souffrance.
Mon désir gonflé d'espérance
Sur tes pleurs salés nagera
Comme un vaisseau qui prend le large,
Et dans mon coeur qu'ils soûleront
Tes chers sanglots retentiront
Comme un tambour qui bat la charge !
Ne suis-je pas un faux accord
Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie
Qui me secoue et qui me mord ?
Elle est dans ma voix, la criarde !
C'est tout mon sang, ce poison noir !
Je suis le sinistre miroir
Où la mégère se regarde.
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Je suis de mon coeur le vampire,
- Un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamnés,
Et qui ne peuvent plus sourire !
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
L'irrémédiable
I
Une Idée, une Forme, un Être
Parti de l'azur et tombé
Dans un Styx bourbeux et plombé
Où nul oeil du Ciel ne pénètre ;
Un Ange, imprudent voyageur
Qu'a tenté l'amour du difforme,
Au fond d'un cauchemar énorme
Se débattant comme un nageur,
Et luttant, angoisses funèbres !
Contre un gigantesque remous
Qui va chantant comme les fous
Et pirouettant dans les ténèbres ;
Un malheureux ensorcelé
Dans ses tâtonnements futiles,
Pour fuir d'un lieu plein de reptiles,
Cherchant la lumière et la clé ;
Un damné descendant sans lampe,
Au bord d'un gouffre dont l'odeur
Trahit l'humide profondeur,
D'éternels escaliers sans rampe,
Où veillent des monstres visqueux
Dont les larges yeux de phosphore
Font une nuit plus noire encore
Et ne rendent visibles qu'eux ;
Un navire pris dans le pôle,
Comme en un piège de cristal,
Cherchant par quel détroit fatal
Il est tombé dans cette geôle ;
- Emblèmes nets, tableau parfait
D'une fortune irrémédiable,
Qui donne à penser que le Diable
Fait toujours bien tout ce qu'il fait !
II
Tête-à-tête sombre et limpide
Qu'un coeur devenu son miroir !
Puits de Vérité, clair et noir,
Où tremble une étoile livide,
Un phare ironique, infernal,
Flambeau des grâces sataniques,
Soulagement et gloire uniques
- La conscience dans le Mal !
I
Une Idée, une Forme, un Être
Parti de l'azur et tombé
Dans un Styx bourbeux et plombé
Où nul oeil du Ciel ne pénètre ;
Un Ange, imprudent voyageur
Qu'a tenté l'amour du difforme,
Au fond d'un cauchemar énorme
Se débattant comme un nageur,
Et luttant, angoisses funèbres !
Contre un gigantesque remous
Qui va chantant comme les fous
Et pirouettant dans les ténèbres ;
Un malheureux ensorcelé
Dans ses tâtonnements futiles,
Pour fuir d'un lieu plein de reptiles,
Cherchant la lumière et la clé ;
Un damné descendant sans lampe,
Au bord d'un gouffre dont l'odeur
Trahit l'humide profondeur,
D'éternels escaliers sans rampe,
Où veillent des monstres visqueux
Dont les larges yeux de phosphore
Font une nuit plus noire encore
Et ne rendent visibles qu'eux ;
Un navire pris dans le pôle,
Comme en un piège de cristal,
Cherchant par quel détroit fatal
Il est tombé dans cette geôle ;
- Emblèmes nets, tableau parfait
D'une fortune irrémédiable,
Qui donne à penser que le Diable
Fait toujours bien tout ce qu'il fait !
II
Tête-à-tête sombre et limpide
Qu'un coeur devenu son miroir !
Puits de Vérité, clair et noir,
Où tremble une étoile livide,
Un phare ironique, infernal,
Flambeau des grâces sataniques,
Soulagement et gloire uniques
- La conscience dans le Mal !
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Aïe, j'n'ai pas le temps de tout lire ce soir ..... Surtout du Baudelaire, pas assez gai ...
Mais cette phrase m'a interpellée ..
Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Tu sais Chacal, que les helminthes (de porc: ) sont proposés comme traitement pour la "maladie de Crohn", (et c'est à l'étude pour d'autres maladies: beurrrkkkkk!)? Et que notre intestin est "notre deuxième cerveau"?
Tu ne manges peut-être pas de cochon, chacalinou, mais si tu souffres d'une maladie inflammatoire chronique, ce seront peut-être les vers qui parasitent les intestins des cochons, qui t'aideront à guérir ....
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2005040400
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Mais où est Uccen ???
Uccen a écrit:Je dirais même que vous êtes comme les autres en pire.
* Je ne trolle quasiment jamais.
Si j'ai bien compris ce qu'était un troll, mais je doute (beaucoup). L'on me qualifie par contre souvent ainsi j'ai l'impression, ou mes interventions. Les zèbres adorent les trolls, ils les appellent de leur voeux pour les condamner dans la foulée, les tancer et leur demander d'aller voir ailleurs. Ce me semble, ces équidés pratiquent comme une xénophobie, à tout le moins une forme d'entre-soi rigide et sclérosant, peut-être est-ce là un réflexe victimaire, cherchant dans cet isolement volontaire, régulièrement motif de plaintes mais absolument recherché, le moyen de brandir une douloureuse singularité collective, dont ils épousent les prétendues caractéristiques afin d'en mieux chanter les affres et célébrer leur communion, entre deux coups tordus, quelques vacheries, le tout enrobé d'humilité fanfaronne.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Ma patrie est comme une barque
Qu’abandonnèrent ses haleurs
Et je ressemble à ce monarque
Plus malheureux que le malheur
Qui restait roi de ses douleurs
Vivre n’est plus qu’un stratagème
Le vent sait mal sécher les pleurs
Il faut haïr tout ce que j’aime
Ce que je n’ai plus donnez-leur
Je reste roi de mes douleurs
Le coeur peut s’arrêter de battre
Le sang peut couler sans chaleur
Deux et deux ne fassent plus quatre
Au Pigeon-Vole des voleurs
Je reste roi de mes douleurs
Que le soleil meure ou renaisse
Le ciel a perdu ses couleurs
Tendre Paris de ma jeunesse
Adieu printemps du Quai-aux-Fleurs
Je reste roi de mes douleurs
Fuyez les bois et les fontaines
Taisez-vous oiseaux querelleurs
Vos chants sont mis en quarantaine
C’est le règne de l’oiseleur
Je reste roi de mes douleurs
Il est un temps pour la souffrance
Quand Jeanne vint à Vaucouleurs
Ah coupez en morceaux la France
Le jour avait cette pâleur
Je reste roi de mes douleurs
Qu’abandonnèrent ses haleurs
Et je ressemble à ce monarque
Plus malheureux que le malheur
Qui restait roi de ses douleurs
Vivre n’est plus qu’un stratagème
Le vent sait mal sécher les pleurs
Il faut haïr tout ce que j’aime
Ce que je n’ai plus donnez-leur
Je reste roi de mes douleurs
Le coeur peut s’arrêter de battre
Le sang peut couler sans chaleur
Deux et deux ne fassent plus quatre
Au Pigeon-Vole des voleurs
Je reste roi de mes douleurs
Que le soleil meure ou renaisse
Le ciel a perdu ses couleurs
Tendre Paris de ma jeunesse
Adieu printemps du Quai-aux-Fleurs
Je reste roi de mes douleurs
Fuyez les bois et les fontaines
Taisez-vous oiseaux querelleurs
Vos chants sont mis en quarantaine
C’est le règne de l’oiseleur
Je reste roi de mes douleurs
Il est un temps pour la souffrance
Quand Jeanne vint à Vaucouleurs
Ah coupez en morceaux la France
Le jour avait cette pâleur
Je reste roi de mes douleurs
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
##### a écrit:Youpi ça c'est du coach j'en reste sur le fion !
bah ouais mais c'est vrai ...
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Il n’y a pas de non-choix. Ne pas choisir c’est dormir ou se reposer sur l’autre. C’est quand même un choix – mais un choix négatif.
Ne pas faire de choix signifie qu’on est sous la dépendance des autres. Ce n’est qu’en décidant qu’on avance.
Bien sûr, des choix signifient renoncements, deuils à faire, parfois.
Chaque fois que tu dis « oui », à quoi dis-tu « non » ?
Chaque fois que tu dis « non », à quoi dis-tu « oui » ?
Ne pas faire de choix signifie qu’on est sous la dépendance des autres. Ce n’est qu’en décidant qu’on avance.
Bien sûr, des choix signifient renoncements, deuils à faire, parfois.
Chaque fois que tu dis « oui », à quoi dis-tu « non » ?
Chaque fois que tu dis « non », à quoi dis-tu « oui » ?
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
J'en reste donc sur le fion.
Décharné.
Sans la chair qui me permettrait d'être un peu à l'aise.
Tant de choses vraies, qui sont,
se heurtent, se blessent, autour de l'objet qui demeure objet,
objet lucide à lucidité inutile.
Décharné.
Sans la chair qui me permettrait d'être un peu à l'aise.
Tant de choses vraies, qui sont,
se heurtent, se blessent, autour de l'objet qui demeure objet,
objet lucide à lucidité inutile.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Tiens si j'alla picoler.
« Qui boit seul est indigne de vivre. »
« Qui boit seul est indigne de vivre. »
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Quoi ?
Qui c'est qu'a dit ça ?
Un mec qui voulait se rendre intéressant...
Qui c'est qu'a dit ça ?
Un mec qui voulait se rendre intéressant...
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Si tu me lis invitée, c'est pas terrible,
mais c'est bien tout de même.
On est comme l'on est.
mais c'est bien tout de même.
On est comme l'on est.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Je ne spécule pas,
quant à Pom d'apyréxie m'est son absence/présence..
quant à Pom d'apyréxie m'est son absence/présence..
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Chaque être humain possède son âme-sœur. Au moment où l’homme est sorti comme une flamme, comme une étincelle du sein du Créateur, il était un, et ces deux parties se complétaient parfaitement ; chacune était la moitié absolue de l’autre. Ces deux moitiés sont maintenant séparées, chacune a pris une direction différente et elles évoluent séparément.
Si elles peuvent se reconnaître au cours de leur évolution, c’est que chacun porte l’image de l’autre dans la profondeur de son être, chacune a marqué l’autre de son sceau. Chaque être humain possède ainsi l’image de son âme-sœur au-dedans de lui. Cette image est très floue mais elle existe. C’est pourquoi chacun vient sur la terre avec cet espoir obscur qu’il rencontrera quelque part une âme qui lui donnera tout ce dont il a besoin et qu’il y aura entre lui et cette âme une harmonie, une fusion indescriptible. (…)
Malheureusement, très souvent, lorsque la première moitié s’incarne, l’autre ne s’incarne pas. Que se passe t-il donc quand nous avons la sensation de rencontrer notre âme-sœur ? De l’autre monde, elle pense à nous, elle désire notre bien, notre bonheur et grâce à ce lien mystérieux qui existe entre elle et nous, elle sent notre aspiration vers une vie supérieure, vers la beauté. Elle entre donc dans un être et apparaît devant nous durant quelque temps. Voilà pourquoi par exemple, une femme trouve soudain son bien-aimé dans un homme : son âme-sœur est entrée pour très peu de temps dans une maison terrestre, elle fait des signes à sa bien-aimée, lui envoie son amour sans que l’homme lui-même sache qu’il est ainsi habité. (…)
Deux âmes-sœurs sont donc tout l’une pour l’autre et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même plénitude. Donc, tous les êtres que vous avez rencontrés depuis le commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou femmes que vous avez eu, tous les amants ou maîtresses vous ont quittés parce qu’ils n’étaient pas pour vous. Vous avez peut-être été ensemble un moment mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas.
Tandis que deux âmes que Dieu a créées ensemble sont absolument faites l’une pour l’autre, rien ne peut les séparer et elles n’ont aucune crainte de l’être. Lorsque dans un couple, l’un ou l’autre a peur que l’on vienne séduire son partenaire, c’est que ce partenaire n’est pas le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme mais il part avec une autre ; un homme aime une femme mais elle l’abandonne…
Les âmes-sœurs au contraire se reconnaissent avec une certitude absolue et ne peuvent se quitter.
L’être humain rencontre son âme-sœur douze fois pendant ses réincarnations terrestres. Mais le plus souvent cette rencontre provoque la mort, parce que les conditions de l’existence s’opposent à la réalisation d’un amour aussi parfait, aussi absolu. La pièce de Shakespeare, Roméo et Juliette traite ce sujet de la rencontre de deux âmes-sœurs.
Si elles peuvent se reconnaître au cours de leur évolution, c’est que chacun porte l’image de l’autre dans la profondeur de son être, chacune a marqué l’autre de son sceau. Chaque être humain possède ainsi l’image de son âme-sœur au-dedans de lui. Cette image est très floue mais elle existe. C’est pourquoi chacun vient sur la terre avec cet espoir obscur qu’il rencontrera quelque part une âme qui lui donnera tout ce dont il a besoin et qu’il y aura entre lui et cette âme une harmonie, une fusion indescriptible. (…)
Malheureusement, très souvent, lorsque la première moitié s’incarne, l’autre ne s’incarne pas. Que se passe t-il donc quand nous avons la sensation de rencontrer notre âme-sœur ? De l’autre monde, elle pense à nous, elle désire notre bien, notre bonheur et grâce à ce lien mystérieux qui existe entre elle et nous, elle sent notre aspiration vers une vie supérieure, vers la beauté. Elle entre donc dans un être et apparaît devant nous durant quelque temps. Voilà pourquoi par exemple, une femme trouve soudain son bien-aimé dans un homme : son âme-sœur est entrée pour très peu de temps dans une maison terrestre, elle fait des signes à sa bien-aimée, lui envoie son amour sans que l’homme lui-même sache qu’il est ainsi habité. (…)
Deux âmes-sœurs sont donc tout l’une pour l’autre et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même plénitude. Donc, tous les êtres que vous avez rencontrés depuis le commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou femmes que vous avez eu, tous les amants ou maîtresses vous ont quittés parce qu’ils n’étaient pas pour vous. Vous avez peut-être été ensemble un moment mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas.
Tandis que deux âmes que Dieu a créées ensemble sont absolument faites l’une pour l’autre, rien ne peut les séparer et elles n’ont aucune crainte de l’être. Lorsque dans un couple, l’un ou l’autre a peur que l’on vienne séduire son partenaire, c’est que ce partenaire n’est pas le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme mais il part avec une autre ; un homme aime une femme mais elle l’abandonne…
Les âmes-sœurs au contraire se reconnaissent avec une certitude absolue et ne peuvent se quitter.
L’être humain rencontre son âme-sœur douze fois pendant ses réincarnations terrestres. Mais le plus souvent cette rencontre provoque la mort, parce que les conditions de l’existence s’opposent à la réalisation d’un amour aussi parfait, aussi absolu. La pièce de Shakespeare, Roméo et Juliette traite ce sujet de la rencontre de deux âmes-sœurs.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
##### a écrit:Si tu me lis invitée, c'est pas terrible,
mais c'est bien tout de même.
On est comme l'on est.
de plus en plus drôle !!!
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Dès demain ... oh! si je pouvais partir, dès demain! Renaître, ressusciter! Il faut leur prouver ..., que Paulina sache que je peux encore être un homme, Il suffirait ... d'ailleurs, maintenant, il est trop tard, mais demain... Oh! J'ai un pressentiment, et il ne peut en être autrement! J'ai maintenant quinze louis d'or et j'ai commencé avec quinze florins! Si l'on débute avec précaution ... Est-il possible que je sois un si petit enfant? Est-ce que je ne comprends pas que je suis un homme perdu? Mais ... pourquoi donc ne pourrais-je pas ressusciter? Oui! Il suffirait, une fois dans ma vie, d'être prudent, patient et ... c'est tout! Il suffirait, une seule fois, d'avoir du caractère et, en une heure, je peux changer toute ma destinée. L'essentiel, c'est le caractère. Je n'ai qu'à me souvenir de ce qui m'est arrivé il y a sept mois à Roulettenbourg, avant de me ruiner définitivement. Oh! Ce fut un remarquable exemple de résolution : j'avais tout perdu, tout...
C'était le moment de m'en aller. Mais un étrange désir d'empara de moi. J'avais besoin de provoquer la destinée, de lui donner une chiquenaude, de lui tirer la langue."
Je fais si peu de cas de tes sentiments, semble-t-elle dire, que tout ce que tu peux me dire, tout ce que tu peux ressentir pour moi m'est parfaitement indifférent.
Comme je n'ai aucun espoir et suis un zéro à vos yeux, je parle franchement : je ne vois que vous partout et le reste m'est égal. Pourquoi et comment je vous aime, je l'ignore. Savez-vous, vous n'êtes peut-être pas belle du tout ? Figurez-vous que je ne sais même pas si vous êtes belle ou non, même de visage ! […] Dans ma petite chambre, en haut, il me suffit de me rappeler ou d'imaginer le frôlement de votre robe pour être prêt à me mordre les doigts. Pourquoi êtes-vous fâchée contre moi ? Parce que je me déclare votre esclave ? Profitez, profitez de mon esclavage !
Le joueur, Dosto
C'était le moment de m'en aller. Mais un étrange désir d'empara de moi. J'avais besoin de provoquer la destinée, de lui donner une chiquenaude, de lui tirer la langue."
Je fais si peu de cas de tes sentiments, semble-t-elle dire, que tout ce que tu peux me dire, tout ce que tu peux ressentir pour moi m'est parfaitement indifférent.
Comme je n'ai aucun espoir et suis un zéro à vos yeux, je parle franchement : je ne vois que vous partout et le reste m'est égal. Pourquoi et comment je vous aime, je l'ignore. Savez-vous, vous n'êtes peut-être pas belle du tout ? Figurez-vous que je ne sais même pas si vous êtes belle ou non, même de visage ! […] Dans ma petite chambre, en haut, il me suffit de me rappeler ou d'imaginer le frôlement de votre robe pour être prêt à me mordre les doigts. Pourquoi êtes-vous fâchée contre moi ? Parce que je me déclare votre esclave ? Profitez, profitez de mon esclavage !
Le joueur, Dosto
Invité- Invité
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Mais où est Uccen ???
"Il est rare qu'un bonheur se pose sur le désir qui l'avait appelé."
ce qui est vrai pour proust et sagan ne l'est pas pour tout lemonde
ce qui est vrai pour proust et sagan ne l'est pas pour tout lemonde
unbeldi- Messages : 335
Date d'inscription : 11/02/2014
Re: Mais où est Uccen ???
Invité a écrit:Dès demain ... oh! si je pouvais partir, dès demain! Renaître, ressusciter! Il faut leur prouver ..., que Paulina sache que je peux encore être un homme, Il suffirait ... d'ailleurs, maintenant, il est trop tard, mais demain... Oh! J'ai un pressentiment, et il ne peut en être autrement! J'ai maintenant quinze louis d'or et j'ai commencé avec quinze florins! Si l'on débute avec précaution ... Est-il possible que je sois un si petit enfant? Est-ce que je ne comprends pas que je suis un homme perdu? Mais ... pourquoi donc ne pourrais-je pas ressusciter? Oui! Il suffirait, une fois dans ma vie, d'être prudent, patient et ... c'est tout! Il suffirait, une seule fois, d'avoir du caractère et, en une heure, je peux changer toute ma destinée. L'essentiel, c'est le caractère. Je n'ai qu'à me souvenir de ce qui m'est arrivé il y a sept mois à Roulettenbourg, avant de me ruiner définitivement. Oh! Ce fut un remarquable exemple de résolution : j'avais tout perdu, tout...
C'était le moment de m'en aller. Mais un étrange désir d'empara de moi. J'avais besoin de provoquer la destinée, de lui donner une chiquenaude, de lui tirer la langue."
Je fais si peu de cas de tes sentiments, semble-t-elle dire, que tout ce que tu peux me dire, tout ce que tu peux ressentir pour moi m'est parfaitement indifférent.
Comme je n'ai aucun espoir et suis un zéro à vos yeux, je parle franchement : je ne vois que vous partout et le reste m'est égal. Pourquoi et comment je vous aime, je l'ignore. Savez-vous, vous n'êtes peut-être pas belle du tout ? Figurez-vous que je ne sais même pas si vous êtes belle ou non, même de visage ! […] Dans ma petite chambre, en haut, il me suffit de me rappeler ou d'imaginer le frôlement de votre robe pour être prêt à me mordre les doigts. Pourquoi êtes-vous fâchée contre moi ? Parce que je me déclare votre esclave ? Profitez, profitez de mon esclavage !
Le joueur, Dosto
Mais non, tu n'es pas mort .... Tu vas te refaire .... Tu n'es pas Alexeï Ivanovitch, tu es un chacal!! Un chacal indestructible!
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
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