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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 2:15

Revz a écrit:
Culinimbus a écrit:ahh...on parle de moi ??? Dent pétée

Quel étrange personnage tu es.. Very Happy
Serais tu une sorte de nombril géant? Perplexe Dent pétée

Je pencherai pour un mélange entre un nuage et un euh un .... bonne question, justement je me disais que j'avais rien à me poser comme question avant de m'endormir. 

un truc entre le ciel, le nuage, le nombril et le euh le lingus dort ou le lingot d'Urss ? whaou, vivement j'ai hâte de voir le résultat éventuel Smile

Bonne nuit, je vous réponds demain en fait je réponds quand ça me tilte, des fois ça me tilte pas tout de suite, faut que ça me trotte parfois sur certains points, forcément, un peu comme les machines à laver, triage du linge ou du beau linge, température différente, triage du linge délicat, pas délicat, on s'en fout ce pull on l'aime pas de toute façon, et puis quand ce sont des nouvelles affaires, on teste. où on voit si en fait ça rentre ou pas dans sa machine. ou si c'est le linge du voisin dont on a pas besoin. ou alors du moins pas pour son raisonnement, mais qui sait pour son enrichissement, ou son divertissement.

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 2:24

Je crois que c'est quand j'ai vu mon nouveau médecin me dire que j'avais plus le sourire que j'ai compris que la première fois où il m'avait vue y'a un mois sans jamais m'avoir vue Smile....au vu de ce que je lui racontais, il avait surpris et triste pour moi Smile

(j'ai un charme fou et un coté adorable qui provoquent des effets doudouille curieux Wink)

chouette donc y'a quelqu'un de nouveau qui m'a vue deux fois et qui est déjà content, il semblerait alors qu'enfin tout soit quasi redevenu normal.  Razz

chouette 2 : ça sent le plaçage du "bon ça va je suis pas en sucre non plus dans peu de temps.

chouette 3 : comment ça ton cordonnier il ne te fait pas de calins ? Razz

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 10:36

C'est tout à fait ça. une histoire d'une seule étiquette.
Et de statistiques globales, et de statistiques personnelles.
Je pense que aussi, la solitude peut porter à tous les mélanges, s'entendre ne veut pas pour autant dire devoir perdre pour autant son identité.
Je ne pense pas sans être pessimiste pour autant qu'on change totalement de destin, de parcours, ou son histoire. Je n'ai eu aucun problème avec des personnes qui sont cohérentes comme cela.
J'ai eu des soucis avec des personnes qui se croient quelque chose qu'ils ne sont pas par des truchements qui ne sont pas les bons. Des personnes se leurrent et se sont leurrées. On ne devient pas autre chose que ce que l'on est par mariage, par fréquentations Smile
Je me souviens de mon voisin qui était devenu je ne sais pas quoi, c'était bizarre ce grésillement soudain, qu'est ce qu'il avait du me mettre dans une case et inventer ma vie, mes pensées, mes idées, ma sensibilité. En fait il pétait plus haut que son cul. De fait il a côtoyé des personnes du niveau de son pétage plus haut que son cul Smile et s'est noyé à essayer de vivre une vie correspondant en tout à son pétage plus haut que son cul Smile
De fait il avait tiré des conclusions. Alors que du coup nous faisions connaissance (parce qu'il avait besoin d'une amie subitement), il s'est subitement rendu compte de tout en même temps. Ca s'est traduit à chacun de mes propos par des : mais t'aurai du être, mais tu devrais penser. Smile
Défaut ou qualité je ne sais pas, mais il est déjà assez rare que quelqu'un ose me parler comme ça. Il y a quelque chose depuis toujours qui fait que me dire qui je suis, d'où je viens, où je vais, ce que je dois faire ou penser c'est prendre un certain risque. Le prendre c'est déjà me montrer qu'on est un peu con. Pas parce que je serais intelligente. Mais juste parce qu'avec moi c'est simple. Je suis simple, je peux être complexe, je ne montre pas toute ma complexité, et je ne me montre pas compliqué, je montre ce qui est simple et basique. Donc forcément ne pas voir un simple et basique est déjà un révélateur de l'autre.
Je vais pouvoir désormais mourir de rire et c'est ce que je fais. Sur le fait que des personnes se soient retrouvés le bec dans l'eau et l'air bien con à vouloir me remettre à ma place. Parce que si j'y étais déjà  tongue. Je n'ai pas de souci avec ce que je suis, ce que j'ai fait, ce que je suis devenue, et je n'ai pas souhaité devenir autre chose que moi même, moi même éventuellement en plus grand, dans le sens le plus agé..... J'ai et je conserve un profond respect pour ceux celles qui font la même chose.
Je me suis rendue compte qu'en fait il est des personnes qui voudraient que tu sois comme ci afin de leur renvoyer en plus une image de ce qu'ils ne sont pas. Peut être pour ça aussi que l'histoire du QI généralisé me gène. Imaginons le QI comme un vélo, il ne sera pas utilisé à la campagne comme à la ville, comme au Tibet ou en Ardéche.
Il était dit dans des bouquins, qu'il fallait particulièrement répercuter. Ce que j'ai toujours fait dans ma vie. C'est même au dessus de communiquer. D'un, du coup je n'ai pas souvenir d'avoir détesté qui que ce soit. Pour détester, il faut accumuler je sais pas quoi et être équipé de je ne sais pas quoi. Comme je n'ai pas laissé rentrer quoi que ce soit, merci madame lucidité semble t il. On ne peut pas faire appel à ça. Du coup je n'ai jamais plus rentrer dans les "on est toutes pareilles". voire même dans les "on" tout court. Smile
On s'autorise à penser dans les milieux autorisés. alors madame elle s'est fait son "je m'autorise moi même à penser dans mon milieu à moi en moi et à ma maison de penser ce que je veux".
ca permet de mieux comprendre. d'abord un serrage de fesses désormais, et ensuite le fait que tout à coup je me retrouvais dans une conversation où il semblait logique que je devais être homophobe.... forcément Smile déja et ensuite de droite semble t il.
il y avait l'étiquette de "sortir du lot", alors arrivé l'expression "sortir du paquet ?".
Je me souviens que j'avais apprécié de côtoyer Philippe. Qui lui semblait dubitatif quant au fait que je ne lui suive pas sur ces histoires de duchesse tongue .
En fait elles y perdent beaucoup, mais je n'en ai pas vu beaucoup ou alors elles étaient bien cachées, fréquentaient les concerts de rock punk. D'ailleurs en y pensant je trouve cela bien dommage, se retrouver chacun à sa façon dans un pogo  Very Happy Very Happy Very Happy comme instants puis ensuite souvenirs "magiques" ça se serait posé là.
Il me semble que j'ai fait une balade un temps beaucoup trop long, dans les idées fausses de personne, dans leur a priori, dans leur jugement, dans leur pêtage plus haut que leur cul. Et dis donc ça a pêté bien plus haut d'en bas, que bizarrement d'en haut. Je n'ai pas eu de problèmes à faire un écart vers le haut (ou alors vers le coté Smile) puisque questions prouts j'ai aussi une grande culture Smile quand on s'est s'adapter à tous les milieux forcément la façon de pêter en fait partie.
Ca peut parfois dénoter du coup (dénoter c'est drôle placé ici) mais pour ma part je pète pareil partout Smile
Je dois avoir inclus le mode "dis moi comment tu pêtes, je te dirai qui tu es" ?
Pendant que je ne m'y retrouvais plus par rapport aux autres, mais moi ça allait encore, beaucoup de personnes se sont retrouvées. Du coup j'ai rien pigé aux déductions que les autres faisaient, surtout avec juste quelques mots, quelques phrases qu'ils me sortaient, ça voulait rien dire pour moi.
Je trouve alors qu'avoir des problèmes d'égo ça doit pas être simple mais si en plus on s'ajoute des problèmes de se disperser dans des vies qui ne sont pas les siennes..... ça doit pas aider du tout à trouver sa place. Déjà des personnes peuvent être paumées entre "ce que tu es, ce que tu peux, ect".
Il y a donc des personnes qui cumulent. Le problème d'identité perso. Etre perdue entre ses mois et avoir fréquenté des milieux divers tout en sachant pas leur milieu de base ? ajouté en cela en plus se paumer dans le miroir en face ou tenter de déformer le miroir....
On ne peut alors évidemment pas faire une "synchro" avec des personnes qui ne sont pas "synchro" avec elles mêmes.
Il ne faut pas faire d'empathie de milieu, ou d'empathie de maladies Smile Ca doit faire super mal et ça sert à rien.
Comme apparemment il ne faut pas penser con quelqu'un. Et il faut être clair semble t il avec son environnement et son passé.
Je vois bien le choc de l'égo démoli du doué tiens totalement différent de l'égo assuré du normo pensant. En mode nitro je me demande si on peut mieux faire, tout y est pour que ça pête, et que ça puisse forcément pas se retrouver. ce n'est pas dans le même espace temps.
alors se retrouver dans des lieux communs, et la douance permettrait de "créer" des lieux communs. Mais il ne faut pas se vautrer dans l'idée que du coup tout le monde devient commun.
Ce qui m'a blessée et heurté le plus je pense c'est que les prouts sont venus de là où ils n'auraient pas du venir. Et ceux qui les ont fait ne pourront pas les réparer. C'est pour cette raison que ça fait un bug dans mon histoire, des personnes se sont trompées de mon histoire à ma place. Un truc du genre comme si ils avaient été incapables d'imaginer, d'envisager la probabilité que je puisse évoluer Smile Genre le dominant qui a juste la fonction de dominant pas le statut. Qui part dans un bordel qu'il ou elle se débrouillera avec où il force pour dominer alors que logiquement il domine déjà  tongue mais il s'en rend compte qu'après Smile
Du coup quand on me disait j'aimerai être à ta place, il y a même des personnes qui se rendaient compte qu'en fait c'était la leur aussi mais non pas par des efforts, du travail, ect, ils elles étaient à une autre.
J'en conclus qu'il y a des personnes qui ont de gros problèmes avec eux mêmes et que moi je n'aimerai pas à leur place.
On ne change pas l'historique de là où on a posé son cul, et on ne change pas de chaise parce qu'on a posé un jour son cul dessus. Donc je n'avais pas à me demander cette expression : le cul entre deux chaises. Mon cul est sur ma chaise et je sais très bien où elle se trouve.
Je ne veux pas devenir ce que j'aurai du être puisque je l'ai été et je le suis ce que je suis. et je suis devenue ce que je voulais. et je le reste.
J'ai toujours aidé parce que c'était facile des personnes qui voulaient devenir elles mieux qu'elles sont Smile mais aider des personnes qui voulaient me forcer à les aider pour qu'elles deviennent ce qu'elles ne sont pas et ne seront jamais à devenir mieux qu'elles ne pourront jamais être. 
Il y alors des personnes encore plus totalement dans le déni que je ne l'avais déjà remarqué. Il faut être fier de soi. ëtre fière de soi de ce que l'on est pas, alors là le concept m'a totalement dépassé et je l'ai laissé me dépasser Smile
Je suis assez sympa pour pas dire en brut à quelqu'un à quel point il est nul à mes yeux, devoir modifier mon avis qui me vient tout seul à la gloire de quelqu'un et gloire qui n'est pas, faudrait tout de même voir à ne pas vouloir qu'on fasse pousser les orties pour attendre que mamie ait vieilli pour la pousser dedans.
Avoir le projet de faire ce dont si on pose on peut même pas l'envisager, et si on s’assoit pour regarder c'est évident, ça rentre dans des espaces temps où moi je ne vais pas hein. Ben non c'est pas la peine d'insister, déjà on voyait bien qu'on pouvait aller nulle part ensemble mais en plus vers nulle part et en me demande de faire un voyage intérieur à ta place.... t'es gentil, gentille Smile toussa toussa mais que nenni, y'a un crabe farci qui m'attend quelque part.
Parfois alors il ne faut pas se demander où il va ou bien où elle va, en fait c'est juste elle ou il va pas. !
Il semblerait qu'il existe des personnes qui sont des métaphysiques à elles toutes seules. Ca va leur être difficile de se faire des copains Smile et moi je suis déjà plus là, partie loin là bas, du genre bien hors de leur champ de "pas rayonnement ou rayonnement à l'envers", histoire qu'elles me zappent bien, surtout, oh oui, oh oui, pas de souci et que je ne passe surtout pas à un moment dans leur raisonnement et surtout pas comme une solution.
j'ai pas pris option "résolution de problèmes insolubles" au bac que j'ai pas passé, je suis complexe moi, pas compliquée, en fait c'est la faute à la vie, c'est parce qu'elle est pas assez longue pour pouvoir être trop intelligent.... la complication elle vient juste du délai... trop intelligent mais pas assez pour trouver un moyen de demander un tiers temps  cat mais comment ça donc je peux pas ouvrir plusieurs copies en même temps et sur un même sujet voire dans le même sujet et je n'ai pas le droit à plus de temps que les autres pour le faire ? je proteste limite je porte plainte pour outrage à l'extension de mon potentiel et de mon intelligence .....  Razz. Personne n'a jamais prévu de mettre un carré "et donc sinon en aparté je tenais quand même à vous préciser.....en dix pages......" dans les copies d'examen, je m'outre....

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 10:48

Rester à l'écart ou en recul d'un truc où tu dois être dedans Smile Moi je te dis que ça te fait regretter à donf d'avoir préféré jouer le cocker... au lieu de te concentrer plutôt sur les vecteurs et la géométrie.

tu vas voir qu'ils vont réussir à me faire repasser le bac pour pouvoir piger des gens psychiatriquement, non mais je te jure, tu vois pas comment on m'opprime et personne ils bougent pour me filer un coup de main, bande d'égoistes  Razz.

il faut reconnaitre que de tenter de sauver de sa place quelqu'un qui y est et qui s'y sent très bien, y'a quand même de l'effort, de la volonté, et de la recherche  Razz.

Les émotions fortes et être émue est venu de là, des personnes qui descendent de leur piédestal où forcément toi tu les as mises qui en descendent pour reconnaître les efforts que toi tu as fait pour trouver la tienne et y vivre. C'est tip top de la balle. C'est le cadal complexe. Le must. Chapeau bas ça veut rien dire sinon, si c'est chapeau c'est sur ta tête donc forcément ça peut pas être en bas, ça me semblait pourtant évident.

La soeur de mon cordonnier lui a dit au tél que c'était son anniversaire à elle, du coup mort de rire il me dit : j'ai fait allo, allo, au moment où elle me le disait. Je lui ai dit : moi je t'aurai répondu : salaud salaud  Razz

Donc après des années de recherche ça se confirme, certains doués et douées sont des débiles profonds qui se marrent de blagues pourries et incompréhensibles qui ne font rire qu'eux mêmes, mais ils se marrent pour plusieurs, ça compense (et compenser chez un cordonnier..... c'est so shure).

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 10:50

Donc parfois faut comprendre pour aller mieux soi mais ne pas dire à des personnes qui par leurs actes ou leur comportement ont fait ou t'ont fait beaucoup de mal.

Sinon t'es pas cohérent avec ta douleur ressentie.

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 11:38

ah oui faut pas confondre et donc ressentir un rejet de sa personne, là où quelqu'un fait juste un tri. "peut rien m'apporter, sers à rien dans ma vie, on vient pas du même endroit, on ne va pas au même, on a pas la même direction, même si on a tous les deux une citroen, tu savais que chez citroen, y'a souvent un problème avec la direction ? "
le meilleur argument contre la marine reste son bouquin où elle demande de l'aide parce qu'elle a de gros problèmes..... du coup votez pour moi pour.... m'aider..... à l'eau à l'eau tour de contrôle, vous m'entendez ? ici charlie, on en justement en train d'apprendre à danser le tango et on se disait que....
en fait dans un tu y'a un pavé argumenté avec plein de trucs.
je trouve que son vrai soi c'est quand tu te sens bien d'avoir dit un truc, mieux, cette sensation particulière quand ton propos correspond à ce que tu es, du coup tu t'en tapes ce qu'on en pensera, dira, puisque comme c'est ton toi pur, c'est sûr, personne ne peut le remettre en question, ou alors sinon, et là ça serait une découverte, lorsqu'on dit ils sont plusieurs là dedans, ils le sont réellement et physiquement.
c'est incroyable, ça n'aurait réellement pas pu se passer autrement....
cool est de pouvoir s'échapper de la réalité, mieux vaut tout de même s'arrêter à la limite où elle risquerait de nous échapper Smile
"salut je cherche la réalité, je l'ai perdue :" celle là elle ne fera rire personne, même pas le gars en blanc là avec sa blouse.... même pas si tu l'appelles House.... les gens sont pas marrants en fait. après chercher à s'échapper de où on serait placé pour avoir eu une échappée de la réalité..... ça promet de grands moments avec la Citroen chez Midas, et qui décoiffe en plus Smile

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 11:46

PI voleuse Smile

Re: Ici, postez une chose négative de votre journée

news lifes - news lifes :) - Page 19 Empty par jolindien Aujourd'hui à 11:39

glander

Être avec soi auprès du silence
car la pensée est bruyante
ne pas penser à la solution
puisque parfois la pensée crée le problème


------------------------------------------------

écureuil, queue, rousse, .....tu sais ce qu'il te dit le mammouth ? chez Carr ouf ? que les meilleures courses de caddie sont quand même celles qu'on a faites chez UNis Co.

L'humour inter supermarché, inter régional, toussa toussa, c'est pas une vie tu sais, c'est la lutte, le triage pour faire piger une blague qui du coup n'a plus aucun sens au final.... et tout ça avec un terrible effort pour ne pas être reconnu, moi je dis qu'on devrait avoir une prime d'heures supp  Razz

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Message par jolindien Dim 19 Juin 2016 - 11:47

Aliénation culturelle et sociale (dixit numéro6)
Qui est fou
ou qui se sent fou
qui qui est traité de fou
ou qui s'en fou
On est tous aliénés
Mais la prison est intérieure


jolindien

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 11:51

jolindien a écrit:Aliénation culturelle et sociale (dixit numéro6)
Qui est fou
ou qui se sent fou
qui qui est traité de fou
ou qui s'en fou
On est tous aliénés
Mais la prison est intérieure


Oui mais tu sais six j'en suis revenue. il sait même pas que chez les Doors y'a jamais eu un seul bassiste fixe et chez Acdc une tripotée.... moi je dis qu'il faut laisser les jeunes avancer à leur rythme.....

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 11:55



ici tu passes de jeune chouette à vieux hibou en deux secondes, accroches toi bien à ton totem même si tu t'en aies pas trouvé.... retrouver son coté animal et donc primaire..... pendant que tu es censée d'humaniser encore plus grâce à ta nouvelle intelligence....

je repasse en mode singe et je décroche d'une branche.... y'a pas que les arbres dans la vie, y'a les poteaux aussi....

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 12:18

J'aime bien ton idée de direction Smile Comme il me posait problème, j'ai fait le choix de les imaginer toutes et de m'assurer que je pouvais toutes les prendre.
Ba oui, si j'ai vendu ma voiture et que je suis pieton, c'est bien pour pouvoir me servir de mes jambes, utiliser les transports, et m'acheter n'importe quel véhicule pour la suite.
L'avantage d'etre un verre d'eau, qu'il soit a moitié plein ou pas du tout d'ailleur, mais je suis loin d'etre vide ca c'est sur, voir tout plein ou deux fois pleins, pret à remplir au temps du vide que de laisser la place à une motiée d'eau, car etre un verre d'eau ne laisse aucune supposition possible et raisonnable quand a son contenant.
L'avantage de l'eau, s'est qu'il se retrouve dans toutes les boissons. Meme l'absynthe n'est pure qu'a 90%, les 10 % ne sont pas du vinaigre, et s'il l'était, il y aurait quand meme de l'eau de dans.
Moi j'aurais dit a l'eau à l'eau, sans vouloir noyer personne parceque ça casserait les noux , et sale-eau sale-eau, il y a quand meme de l'eau, alors c'est sur que si on veut de l'eau et pas de la grenadine, ba oui l'eau est sale, mais pas pour tout le monde.
Ce qui est sur, c'est que moi, l'eau j'en bois quasiment jamais, et que il n'y a pas vraiment de boissons que je n'aime pas. ca serait plutot boire de l'eau qui m'embetterais, car meme si je bois les paroles des autres, moi je me bois pas moi meme. Avec un peu de citron ça passe bien, du moment qu'il est vert et pas jaune. forcément je suis un verre d'eau comme je disais plus haut, et en plus j'aime pas les chinois. C'est pas raciste, ni rat, ni si st, mais il faut bien ne pas aimer tout le monde sinon on pourrait croire que quand on dit Aimer il manquerait un ptit bout de la trinity - aimer, pas aimer, Aimer-, pour un Néo, Né eau, ça serait un peu d'homme age.
En tout cas t'inquiete pas, la réalité je l'ai pas père du, mais je l'ai multi-pliée, un peu comme une cuit hier, du coup ba j'ai pas le probleme d'as en soeur.
Sur le tris j'aime bien moi j'ai bien trié, non pas éli-minet ou éli-miner, mais plutot choisi de pas fréquenter car pas sert a rien, apporte rien etc.
Nan je ne part pas dans toutes les directions, je les étudies toutes parceque aujourd'hui je ne veux en prendre aucune, pas le mot-ment, jamais ne ment, mais j'attends l'instant ou l'un se tends, a voir.
Le probleme serait une indiférence réelle et un interet virtuelle, car l'interet de l'indifférence et aussi riche que l'interet de la différence, mais qu'en réalité, le virtuel est une réalité, sinon on pourrait pas communiquer ici et zc n'existerait pas. donc le reel existe bien en virtuel, à la différence que tu peux pas mettre une claque à l'autre quand il la mérite ni la recevoir non plus quand on la mérite.
bref, tout ca c'est tres simple en effet, et quand on commence a se demander si la direction est la meme ou différente en soi, c'est une compléxité de fait.
Enfin voila, ca m'a fait marer d'écrire comme ca, en fait je peux écrire a peut pret n'importe comment, mais vivre n'importe comment ba non ca c'est pâs possible parceque n'importe comment est un comment en soit, meme si cela m'importe.

Bon week end a toi Very Happy

et moi faut que j'arrete de manger des madelaines, car de toute facon jsuis pas tres gateau gateux, et plutot mari m'a deux laines car je préfere les pulls bicolores, unis c'est sympa, mais par pour les pull, plutot pour les pousses!
Car on dirait pas comme ca, mais le primptemps et déja bien avant sait! Wink

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 13:16

http://www.artdeseduire.com/tripler-orgasme/






Comment Tripler L’intensité
De Ses Orgasmes


Aujourd’hui, je vais vous révéler le moyen le plus puissant pour donner des orgasmes INTENSES aux femmes!
Et je suis certain que vous allez être surpris
Vous vous demandez pourquoi ?
Parce que ça n’a aucun rapport avec la taille de votre sexe.
Ça n’est pas une énième position sexuelle acrobatique.
Et ça n’est pas non plus un médicament, un sextoy ou un nouveau soi-disant point G.
Non. Ça n’est rien de tout cela, car le meilleur « outil » pour faire jouir bruyamment une femme, c’est…
SON CERVEAU !
Je sais, ça peut sembler absurde… Mais laissez-moi tout vous expliquer :
Vous le savez vous-même, pour les hommes, le plaisir sexuel est principalement PHYSIQUE.
Si vous voyez passer une fille canon avec des fesses galbées, une poitrine rebondie et un visage d’ange… Votre corps va réagir à « ses atouts » et va, par un signal biologique, vous signifier que ça serait bien « faire sa connaissance » et plus si affinité...
Dans ces moments là, vous vous foutez de savoir quelle voiture elle conduit, ce qu’elle fait dans la vie, ou si elle sait aligner deux mots !
Rien de neuf sous le soleil…
Pour les femmes, le « déclencheur » du plaisir sexuel est en revanche TRES DIFFERENT.
Votre copine ne scrute pas votre torse, vos jambes ou votre membre viril.
Alors certes, si une femme regarde Brad Pitt, elle sera certainement attirée par lui… Mais aucune femme ne ressentira jamais une PULSION semblable à celles des hommes.
Alors quels déclencheurs peuvent bien provoquer chez les femmes une stimulation sexuelle comparable à celle des hommes ?
La réponse est simple : en faisant naître chez elles des sentiments spécifiques.
Ou, dit plus simplement…
Les femmes CHERCHENT les émotions fortes.
Parvenir à libérer les émotions de votre copine (et à les influencer au lit) est essentiel au plaisir féminin.
SURTOUT si vous vous voulez lui donner ce qu’elle désire réellement : des orgasmes qui lui retourneront le cerveau et la feront trembler de plaisir la tête au pied.
La plupart des mecs ne comprennent pas ceci :
Une femme ne peut atteindre l’orgasme que si elle est pleinement dans l’instant présentet qu’elle se laisse aller corps et âmes.
Relisez bien cette phrase, elle est importante.
Les meilleurs amants sont ceux qui parviennent à pénétrer le cerveau d’une femme et à lui faire ressentir des émotions intenses pendant l’amour.
N’importe quelle femme vous le dira : ses orgasmes les plus puissants sont ceux qui contenaient la charge émotionnelle la plus forte !
Bien sûr, il existe des orgasmes physiques provoqués par la stimulation clitoridienne, vaginale ou anale…
Néanmoins, pour vous considérer comme un vrai expert du plaisir féminin, vous devez parvenir à stimuler une femme à la fois physiquement ET mentalement.
Lorsque vous y parviendrez, vous réussirez VRAIMENT à impressionner une femme au lit !
Par conséquent, LA clef pour donner un orgasme mémorable à une femme est de la guidervers les émotions que vous voulez qu’elle ressente.
Et le premier moyen d’y arriver est…
De l’amener à l’orgasme par LA PAROLE !
Je ne vous dis pas de lui DEMANDER d’avoir un orgasme, mais de l’emmener à la jouissance grâce à vos mots.
Lorsque vous sentez que votre copine ou femme est proche de jouir (indices : elle bouge les hanches de haut en bas, elle gémit bruyamment, elle mouille ENORMEMENT ou dit qu’elle va jouir), encouragez la doucement en lui répétant les phrases suivantes d’une voix calme et posée :
« J’ai envie de te faire jouir »
« J’adore te sentir toute trempée »
« Laisse-toi aller, jouis pour moi »
Ça peut vous sembler un peu ridicule… Mais ça marche ! Et je vais vous expliquer pourquoi…
Pour qu’une femme ait un orgasme intense, elle doit perdre COMPLETEMENT le contrôlede son corps. Lorsque vous la rassurez et lui montrez qu’elle peut avoir entièrement confiance en vous et se lâcher pleinement, elle aura un orgasme phénoménal !
C’est aussi simple que ça Smile
Profitez bien de cette technique, et souvenez-vous les orgasmes les plus intenses commencent dans son CERVEAU.
Giulia P. 
P.S. : Si vous voulez découvrir des DIZAINES de techniques pour :


  • Mettre rapidement une femme dans « l’humeur idéale » pour des parties de jambes en l’air épiques

  • Inciter votre copine à vous faire avec enthousiasme des petites gâteries

  • La faire jouir grâce son point-G et son point D (le trop méconnu Deep Spot), mais aussi grâce à des orgasmes clitoridiens et vaginaux intenses et mémorables…

  • Lui donner des orgasmes à répétition ET l’amener à l’éjaculation féminine






Se faire pénétrer le cerveau en passant par le point D voire le point G (oui mais lequel) ?) Ca doit être quelque chose quand même, si en plus il faut d'abord plutôt réussir à la faire taire .... (les Triplettes de Belleville ?même si vu et revu ? au lit do ?) et si de plus il faut canaliser ses émotions pour lui en provoquer des fortes..... c'est pour ça que lire normalement j'aime bien aussi sinon parfois les choses basiques se transforment en 3 D, l'approfondi précède le simple.... et ça pertube la lisibilité du truc de base afin d'y ajouter qu'ensuite les particularités plus complexes...., mieux vaut des fois un PN (PH neutre) qu'un PN. Ca doit être un mode "falaise visiteur du dimanche) où on doit pas forcément passer là tout de suite en mode "vision archéologique" sinon l'autre à coté il va tout de suite penser qu'on en tient une couche.... entre granité, ou Granola, il faut faire ton choix Smile


Je crois que c'est pour ça que je vois plus clair quand je pars du basique.... pas plus clair sur le basique, mais sur le plus complexe....


Du coup le gars est mal barré en fait, faut d'abord qu'il lui mette la tête à l'envers avant de lui retourner le cerveau.... ou pas.


ah oui y'a aussi des portes dans les portes de la perception, ils ont tout prévu, ils avaient qu'on s'ennuie.... un jour.... à l'HP

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 13:24

Toi qui est fort en langue, traduis le texte ci dessus en langue doué, un coup pour voir, que je vérifie si tu ne vas pas du coup l'air de rien en inventer une nouvelle....  Razz

la langue transpo..... quelque chose..... là tu colories les voitures en rouge, t'es en pleins phares bleus.... et les essuies glaces vont porter plainte direct....

Il va s'en dire qu'on inclut forcément le mode traduction à un autre doué ou traduction à un normo pensant  Razz


comme quoi si on s'est vu coller l'étiquette "latin" faut voir à vite la décoller. sinon notum coitum


Dernière édition par On me l'avait pas dit :) le Dim 19 Juin 2016 - 13:30, édité 1 fois (Raison : pareil si on fait de l'orgue...)

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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 15:19











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Message par Invité Dim 19 Juin 2016 - 20:16

https://fr.wikipedia.org/wiki/Seul_dans_Berlin



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D'habitude je reviens pas avec ces idées "oxygénées" là de la plage, c'est très curieux, cette histoire de film.

D'habitude je vais évacuer là où on a évacué... Ca fait des drôles de liens qui se lient pas comme ça d'habitude.

Comme quoi les habitudes et la routine....

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Message par jolindien Lun 20 Juin 2016 - 7:29

Les habitudes...au présent, présent à soi,
mais qui veut être rassuré(e)?


   "c'est que maintenant que je suis au bout du bout de moi-même"

La fin est un début
L'esprit croit qu'il est arrivé
Mais arrivé ou?
et si chaque étape engendre une autre...
n'oublions pas que chaque étape transforme l'état (global)
L'équilibre à besoin de ce chaos
Chaos qui se défait des limitations humaines
Puisque alors chaque chose vaut autant que le tout

La somme d'expériences ou chaque expérience transforme l'équilibre entier.

Rien n'est un obstacle sauf nous-même alors?
je trouve ceci très beau...que nous portions le problème et la solution
De la montagne et l'alpiniste, qui est le masque de l'autre, ...des doubles masques?
Tiens je me range dans une boite...l'important est-il le contenu...? Le contenant?
En dehors et en dedans du fait que nous sommes  les deux...et justement pour cette caractéristique, l'important serait la somme
Un peu l'idée de la non pensée, cet état permettant la perception du tout (de ce que j'en ressens) puisque l'idée de place, comparaison, valeur n'existe pas,
Cela existe dans notre pensée, notre création (souvent notre illusion de création ...).

Je ne peux qu'essayer d'expliquer avec des mots ce qu'il m'est possible de percevoir de cet équilibre (être humain)
Il faut je crois se tourner vers soi, mais sans se regarder...fermons les yeux pour vraiment se voir.
Et oui voir ou regarder rejoint l'objet, ou le sujet.

jolindien

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Message par Invité Lun 20 Juin 2016 - 14:38


Il faut je crois se tourner vers soi, mais sans se regarder...fermons les yeux pour vraiment se voir.
Et oui voir ou regarder rejoint l'objet, ou le sujet.

Pour se tourner vers soi, il faut se ressentir. Comme dirais Kalthu : "arretez de réfléchir, ressentez"!
Enfin moi je fais les 2, ca évite les grand écarts Razz Mais dans un premier temp, le message de Kalthu est fort utile Razz

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Message par Invité Lun 20 Juin 2016 - 14:53

http://www.one.be/uploads/tx_ttproducts/datasheet/Reperes_et_limites_Pour_aller_plus_loin_01.pdf
--------------------------
http://www.ressources-actualisation.fr/articles/psychologie/comment-gerer-ses-emotions/
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https://coaching.ooreka.fr/comprendre/colere
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Furby Boom de la marque Hasbro - Le Grand test - Mon petit journal ...

technopiges.canalblog.com › Jeux et jouets


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5 nov. 2014 - Nul besoin de présenter Furby, la bestiole qui sévit dans les ... On sait pas comment ça fonctionne, ça change de voie, ca s'arrête jamais et .... de demander que l'on lui change les piles parce qu'il s éteint tt seul merci bcp.


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https://fr.wikipedia.org/wiki/Vide
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http://www.larecherche.fr/savoirs/dossier/3-vide-n-est-pas-vide-01-04-2013-99466


La vitesse de la pensée a été mesurée


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Comprendre la signification d'un objet sur une image prend de 500 à 750 millisecondes, ont découvert des chercheurs de l'Université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland) en plaçant des électrodes sur le cerveau d'un patient. Les neurologues, sous la direction du Pr John Hart, ont réussi à déterminer qu'il fallait de 250 à 300 millisecondes, ou un quart de seconde, pour commencer à comprendre ce qu'est l'objet représenté. De 250 à 450 millisecondes supplémentaires sont nécessaires pour que la personne définisse complètement quel est l'objet. "Les résultats obtenus sont une preuve supplémentaire que l'information s'accumule graduellement dans le cerveau, et non pas d'un seul coup, ou pas du tout", écrit le Pr Hart, dans les Proceedings de la National Academy of Sciences. Selon lui, comprendre les différentes étapes de cette accumulation de savoir et leurs liens pourrait aider les scientifiques à mieux analyser les pertes de compréhension et de la parole chez les patients victimes d'une congestion cérébrale ou atteints de la maladie d'Alzheimer.
[size=33]Pierre Zaoui ou "La traversée des catastrophes"[/size]

Il y a des livres qui vous font du bien à mesure des certitudes qu'ils dérangent et des questions qu'ils laissent sans réponse.

PAR MICHEL SCHNEIDER
Publié le 27/12/2010 à 10:29 | Le Point





Le philosophe Pierre Zaoui, avec sa Traversée des catastrophes, n'a pas écrit un manuel de self help ni un bréviaire de vie par temps de détresse. Avec un ton d'une incroyable force, parce que, justement, il ne force jamais la voix, il nous parle des choses de la mort, des choses de la vie et de ces trous qu'y creusent les catastrophes, au nombre desquelles il range l'amour. Extrayant des expériences les plus banales le noyau dur de la survie, il s'attache plus aux fêlures qu'aux fractures, aux contradictions (le malheur d'être heureux, le bonheur d'être malheureux) qu'aux recettes de bien vivre.
news lifes - news lifes :) - Page 19 Zaoui2"Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve", disait Hölderlin. Moins tragique, sans verser dans l'hédonisme ou le vitalisme, Zaoui goûte plus les saveurs amères du malheur de l'homme sans l'homme que la misère métaphysique de l'homme sans Dieu. Il cherche plutôt du côté des écrivains (Beckett, Kafka, Fitzgerald) que des philosophes (Levinas, Nietzsche) ce qui fait le non-sens de la vie.
"La vie, ça finit mal"
Tomber malade, tomber amoureux, c'est toujours vers le bas que nous entraînent les catastrophes, et rien n'est plus agaçant que ces expressions : "faire son deuil", "se relever" ou "rebondir", qui désignent des issues vers le haut. La maladie (surtout celle des proches), la mort (surtout celle de l'autre) sont une hémorragie d'être "conceptuelle, morale et affective", une perte de soi, une plongée dans ce qui ne devait pas arriver, qui nous déloge de nos certitudes identitaires. 
La vie, "ça finit mal", dit Zaoui, et les malheurs petits ou grands se traversent, mais ne se surmontent jamais complètement. Traverser, c'est son mot d'ordre. Disons plutôt son mot de passe, au sens aussi de la passe que l'on franchit en naviguant de récif en récif. Traverser les idées reçues, les bons sentiments, accepter, quand meurt quelqu'un, ce soulagement : "ce n'est pas moi ; pas ce coup-là", reconnaître la valeur morale de cette fuite devant la mort illustrée par Jackie Kennedy en Chanel rose, grimpant sur le capot de la limousine et tournant le dos à son mari, le crâne explosé.
La souffrance n'est pas pensable, mais c'est ce qui donne à penser. Avec l'intensité de ceux qui ont vécu des désastres, mais les évoquent à distance de pensée, Zaoui conclut à "la valeur absolue de la vie". Belle ou moche, impure plutôt que sacrée, "la vie continue". La vie est increvable.


La traversée des catastrophes, une philosophie pour le meilleur et pour le pire de Pierre Zaoui (Seuil, 380 p., 23 euros).




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Manuel de vie à l’usage des survivants
À propos de : P. Zaoui, La Traversée des catastrophes, Seuil.








par Julie Henry , le 23 juin 2011 


Mots-clés Télécharger l'article


Comment bien vivre le mal, sans se hâter de le dépasser, ni en faire un tremplin vers une autre vie ? Dans un essai original, qui tente de sonder la « grande santé » jusque dans nos expériences les plus ravageuses, P. Zaoui entreprend de penser ce qui se donne ordinairement comme indicible et incompréhensible ; mais le peut-on sans se poser en consolateur ?


Recensé : Pierre Zaoui, La Traversée des catastrophes, Seuil 2010. 373 p., 23 €.

Pour une éthique athée






Dans cet ouvrage au titre porteur en ces temps de crises et d’incertitude, Pierre Zaoui nous met immédiatement en garde : son intention n’est pas de nous apprendre comment surmonter ou dépasser les catastrophes qui nous surviennent. Il ne s’agit pas en effet d’atteindre au plus vite l’autre rive, mais de continuer de vivre en traversant les événements douloureux, difficiles ou encore bouleversants que la vie nous réserve. Et continuer de vivre, ce n’est certes pas laisser s’y déliter la vie, mais ce n’est pas plus prétendre y découvrir la vraie vie, comme si ces catastrophes étaient une forme de rédemption, une antichambre de ce que serait une vie authentiquement humaine, caractérisée par la béatitude et la plénitude. Car l’objectif de cet ouvrage est exprimé dès le sous-titre de l’Introduction : proposer des « idées pour la constitution d’une éthique athée », à la fois sans consolation et s’appuyant sur la puissance affirmative de la vie elle-même, humaine – trop humaine.
Et ce n’est pas là le dernier des paradoxes que l’auteur se plaît à manier avec habileté, afin de débusquer les catégories trop bien pensées – et surtout trop rassurantes, pour être pertinentes face à la complexité de la vie – des philosophies traditionnelles. Il n’est pas question pour l’auteur de considérer comme illégitime toute philosophie, mais de s’appuyer sur une lignée choisie (Parménide, Nietzsche, Deleuze, entre autres), afin d’assigner un programme courageux et radical à ce que pourrait être une nouvelle philosophie de la vie : d’une part, « tenter de penser à égalité de traitement la vie et la mort, le plaisir et la souffrance, […] et aussi bien la merde et le kitsch […], le beau et le laid, le vil et le glorieux, le misérable et le riche » (p. 28) ; et d’autre part « philosopher ce qui [nous] entoure et ce qui [nous] tombe dessus » (p. 30). La question ne serait donc plus de se faire une idée vraie de toute chose, mais d’avoir une idée juste de tout ce que l’on rencontre, de tout ce qui nous survient sans que nous l’ayons choisi ni voulu.
Se donner ce programme comme tâche nous mène alors sur un parcours semé d’embûches et au terme par définition incertain ; comme nous le dit P. Zaoui, ce qui compte n’est pas de se représenter ce qui pourrait advenir après, mais de continuer de vivre pendant. En suit une série d’affirmations et de contre-affirmations, qui sonnent parfois comme des imprécations, bien que l’auteur se défende de vouloir donner des leçons de vie bonne ou de vie vraie : il faut y aller, mais seulement quand il le faut et parce qu’il le faut ; il ne faut pas renoncer à toute négativité existentielle, mais il ne faut pas non plus élever cette dernière au rang de moteur de l’existence ; il ne faut ni supporter patiemment son sort en attendant le paradis, ni jouer les héros en se complaisant à surmonter toutes les catastrophes. On ne peut nier que le programme soit convaincant lorsqu’il énonce les écueils à éviter, mais l’on ne peut non plus s’empêcher de se demander ce qu’il nous reste, une fois toutes ces illusions déconstruites ; et si traverser les catastrophes, c’était aussi s’aider des adjuvants de la vie réelle que sont le rêve, l’imaginaire, les croyances et autres consolations ?

La maladie, la mort, le deuil … la vie !






Reprenant à son compte l’affirmation de D. Winnicott selon laquelle « l’absence de troubles psychiques, c’est peut-être la santé, mais ce n’est pas la vie » [1], P. Zaoui entame ensuite avec courage et détermination une grande traversée des catastrophes inséparables de la vie, qui sont à la fois les plus intimes et les plus signifiantes socialement, les plus singulières et les plus universelles. Fort de ses convictions existentielles et non doctrinaires, et dans un texte qui relève à la fois du roman, du journal, du manuel et de l’essai, il multiplie les perspectives et mêle les points de vue, amenant son lecteur à une sorte d’expérimentation immanente de ce que pourrait être vivre ces événements de différentes manières, indissociablement subjectives et communes. Cette traversée elle-même s’apparente à une véritable épopée, ponctuée de mots justes (« vivre en vérité, c’est vivre sans garantie », p. 65), d’affirmations politiquement incorrectes (la souffrance n’est pas la compagne de la création, bien plutôt, « le malheur est l’alambic ordinaire de la méchanceté », p. 89), de thèses fortes (« penser la mort du dedans de la vie est renoncer à expérimenter vraiment la vie comme la mort », p. 145), comme de slogans (« il n’y a que la mort qui existe ; la vie, elle, insiste  », note, p. 165).
Mais cet ouvrage confronte également, et sans concession, de grands courants philosophiques à l’expérience de la vie la plus commune, ni héroïque ni délabrée, la « vie tout court », avec son lot de joies et de souffrances. Ainsi, P. Zaoui s’interroge sur ce que serait vivre un événement inattendu à la mode épicurienne – devenir responsable de ses actes, même lorsqu’ils apparaissent comme des accidents –, à la mode stoïcienne – savoir être digne de ce qui nous tombe dessus et y jouer son rôle –, ou encore à la mode cynique – transformer ses mauvais penchants en force vitale, avec comme risques le ressentiment et la vanité. De même que, tout en montrant les apports de la notion de « pulsion de vie », il relève que certains de ses usages peuvent être éthiquement dévastateurs et politiquement réactionnaires, avant de proposer de lui substituer le couple « ligne de vie / ligne de mort » (p. 182-184). L’on oscille donc toujours entre concept et expérience, théorie et pratique, affirmations et restrictions, avec pour objectif affiché d’être au plus près des méandres de la vie, et avec comme danger sous-jacent de définitivement s’y perdre et de ne plus savoir qu’en penser.
On ne peut toutefois que louer la grande honnêteté avec laquelle P. Zaoui affronte les expériences de la vie dans leur singularité et leur complexité, la radicalité avec laquelle il tente d’esquisser une éthique sans jugement de valeur, et la patience avec laquelle il fait face à chaque affect, sans jamais éluder, y compris quand leur étude vient infirmer ses théories présentes. L’on comprend ainsi son recours fréquent aux images et métaphores parlantes, comme lorsqu’il parle du désespoir propre à l’expérience du deuil, qui est « en vérité plus maritime que fluvial, et fonctionne, non par engloutissement brutal et complet comme lors d’une crue, mais par vagues asynchrones », désespoir dans lequel « on se sent dès lors trop bouchon et trop ballot, toujours à contretemps » (p. 221-222). Et l’on ne peut qu’admirer la force vitale avec laquelle l’auteur affirme que le devoir dû aux morts doit être dans une juste articulation avec la nécessaire préservation des survivants, que l’on n’a pas à apprendre à mourir, puisque toute mort arrive toujours de l’extérieur, comme par effraction, ou encore qu’il s’agit de ne mourir qu’au moment où on meurt, et donc d’affirmer la vie jusqu’au bout. Finalement, tout pourrait se résumer en cette phrase : la maladie, le mourir, le deuil sont avant tout des « expériences vivantes » ; et les traverser, c’est aussi savoir les expérimenter le moment venu.

Des événements et des mots






Terminer ce parcours des petites et grandes catastrophes de la vie par un chapitre sur le bonheur peut sembler paradoxal : ne s’agit-il pas de tenter de conjurer le mauvais sort, ou encore de faire d’une vie de souffrance un passage obligé afin de conquérir douloureusement et de mériter son paradis ? On ne peut affirmer que P. Zaoui échappe pleinement à cet écueil, dans sa volonté effrénée de trouver la meilleure part de nous-mêmes jusque dans le douloureux et l’obscur. Mais l’on comprend mieux son projet en prêtant attention à la caractérisation qu’il donne de son « petit bonheur juif » : rude, difficile, imparfait, mais réel (p. 277). Il ne s’agit pas en effet de rechercher la vérité théologique ou historique du bonheur juif, mais de relever ce qu’il peut avoir de concret, de charnel, de quotidien, sans attendre une quelconque plénitude. On lit ainsi que ce bonheur « n’est qu’à s’éclater, se fêler, se fendre, et ainsi se transfigurer sans cesse » (p. 301). Telle est la condition pour penser le bonheur sans y renoncer, y compris au milieu des catastrophes. En d’autres termes, il s’agit de concilier bonheur et événement.
Et c’est bien là, finalement, l’enjeu de tout cet ouvrage : nous amener à déplacer les catégories morales et logiques qui nous sont familières, afin d’accueillir au cœur de cette pensée fêlée l’événement, comme ce qui échappe aux répétitions coutumières, et est indicible et incompréhensible dans les formes antérieures de discursivité et de rationalité. Ainsi, par exemple, ce qui compte selon P. Zaoui, ce ne sont pas les grands bouleversements bruyants et manifestes, mais les toutes petites catastrophes, qui sont l’écho d’un bouleversement plus profond, continu et irréductible. Ou encore : la grande santé n’est pas la santé robuste, mais la « capacité plus essentielle à extraire de ses souffrances et de ses cassures une puissance d’affirmation supérieure de la vie » (p. 344). On pourrait craindre, dans cette dernière affirmation, un retour à l’exaltation du surgissement du meilleur au sein du pire, mais on est reconnaissant à l’auteur de ne pas donner une version embaumée de la vie, de ne pas prôner le pire pour le pire, et d’avoir le courage d’abandonner toute doctrine préétablie afin de faire face à la vie dans toute sa complexité et dans toute son ambiguïté.
Reste toutefois à s’interroger sur le statut du langage dans cette entreprise, sur la place accordée au discours porté sur ces catastrophes, qui devraient avant tout se vivre et s’expérimenter. Encore une fois, P. Zaoui nous dit tout ce que ce discours ne doit pas être : une conceptualisation abstraite, un pur expérientiel, une exorcisation qui transmue « le poil, la crasse, la boue » au lieu de les penser dans ce qu’ils sont. Mais paradoxalement, le refus de qualifier se traduit par un trop plein de qualifications, le caractère indicible de ces expériences donne lieu à un trop-plein de mots ; à tel point que l’on peut se demander si l’auteur ne finit pas, à force de bons mots et de jeux de mots, par se laisser enivrer par son propre discours. Les interminables énumérations qui disent une chose puis son contraire sont probablement destinées à mettre en scène le fait que les catastrophes de la vie ne sont ni unilatérales ni univoques ; mais l’on finit par craindre que l’auteur ne se paie de mots, à force de les manier trop bien.
L’on est bien, toutefois, dans l’ordre de l’expérimental, de l’indéterminé qui cherche quand même à se dire, et surtout à se penser, parce que « penser n’est pas s’arrêter de vivre, mais s’arrêter pour vivre, c’est reculer d’un pas dans l’espoir de pouvoir sauter deux pas plus loin » (p. 51). Et il n’en reste pas moins que les référence littéraires sont précieuses, les mentions philosophiques souvent iconoclastes, et le rendu des affects parlant et signifiant, même si l’on soupçonne l’auteur d’avoir souhaité que chacun puisse s’y reconnaître, se montrant ainsi plus consolant et rassurant qu’il n’était souhaité dans le projet initial ; comme si les paroles, quoique à rebours des discours habituels, constituaient tout de même des onguents acceptables pour nos plaies trop vives – et donc fondamentalement vivantes.

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En quoi consiste une catastrophe ?






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Les Echos | 23/03/2011
Quand on parle de catastrophe tout le monde comprend. Brusque et dramatique chambardement, grand malheur soudain, bouleversement radical de l'ordre des choses... voilà ce qu'on a en tête. A juste titre : c'est ce que désignait déjà l'ancien mot grec « katastrophè » : changement complet, dénouement ultime. Le terme a figuré d'ailleurs parmi le vocabulaire du théâtre, pour dire cette crise finale qui dénoue l'intrigue. Il s'agit donc d'une inflexion qui désorganise -existence individuelle, peuple, économie ou civilisation.

news lifes - news lifes :) - Page 19 FingerForwardSur ce point, pas de contresens à dénoncer, ni de malentendu à défaire. Toutefois, quelques arrière-plans sont à mettre en lumière. D'abord ce singulier paradoxe de toute catastrophe : être à la fois imprévisible et inéluctable. La catastrophe n'est jamais attendue. Pourtant, après coup, on explique qu'il ne pouvait en être autrement. Et les deux sont vrais, mais sur des registres distincts. Chacun sait par exemple que Los Angeles est sur une zone d'activité sismique, ou qu'Israël se trouve sur « la faille syro-africaine ». Inévitablement, des tremblements de terre viendront. Mais, faute de savoir quand, on oublie, au fil des jours, les catastrophes tapies quelque part dans le futur.
Un pas de plus et l'on constate que la catastrophe semble incarner la limite de ce qui est pensable. Tant qu'elle n'est pas là, on estompe son éventualité, même indiscutable. Quand elle survient, on ne peut vraiment la comprendre, tant elle se révèle atterrante, tétanisante. Les survivants sont frappés d'hébétude, ne peuvent croire ce qui arrive. Tout est saccagé à un tel point que les repères manquent : la raison s'y perd. La catastrophe reste dans la conscience comme une tache aveugle. L'intégrer au cours du monde et des pensées se révèle quasiment impossible. Elle demeure de trop, comme un excédent irréductible, un surplus à part, un dehors sur lequel on n'a pas de prise.

Un grand hiatus que révèle la catastrophe est celui qui sépare la raison des affects. On peut calculer des risques, en débattre froidement, les mettre sur le papier. Mais on ne peut véritablement, à l'avance, imaginer l'horreur, ressentir le total désarroi. Logiquement, l'entendement peut envisager un accident majeur, réfléchir aux marges de manoeuvre. Mais la sensibilité est d'un ordre tout différent, car elle ne peut anticiper vraiment : on n'éprouve pas le désespoir par anticipation. La catastrophe n'est donc pas seulement à la limite du pensable, elle marque aussi la frontière du vivable : on ne saurait, sans disparaître, l'éprouver totalement.

Ceci permet de comprendre que le sous-texte permanent de nos jugements, à propos de tous les types de catastrophe, c'est la mort. Elle est connue de tous, et de tous oubliée. Inéluctable, mais sans que nul sache ni le jour ni l'heure. Elle aussi, elle surtout, est métamorphose radicale, ultime bouleversement, dénouement de l'intrigue... Pour chacun, un jour ou l'autre, comme dit Rabelais dans « Pantagruel », « la fin et catastrophe de la comédie approche ». Limite de la pensée et limite de la sensibilité, la mort ne se conçoit ni ne s'éprouve. Héraclite savait qu'elle ne peut se regarder en face, Epicure rappelle qu'elle n'est rien, au sens où il est impossible, rigoureusement, de la vivre.

Si la mort est l'ultime modèle des catastrophes, le paysage se voit autrement. Car le propre de l'humanité est d'intégrer cette donnée initiale, de vivre avec, et de construire malgré tout des moments de bonheur. C'est là que l'endurance envers toutes les formes de catastrophe puise sa force. Traverser les catastrophes sans se laisser anéantir, c'est montrer que la vie choisit de résister. En fin de compte, les innombrables catastrophes que traversent les individus aussi bien que les sociétés, les corps humains aussi bien que les personnes morales, sont autant de manières d'approcher la mort et de la contourner. La surmonter définitivement est exclu : nul ne saurait la vaincre une fois pour toutes. Mais on peut s'efforcer de continûment l'infléchir.

http://www.rpdroit.com/index.php/le-echos/189-en-quoi-consiste-une-catastrophe


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[*]Interrompre une activité pendant un temps et la reprendre plus tard.

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Synonymes[modifier]

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  • mettre de côté


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Traductions[modifier]

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Chapitre 5 : La synchronisation non verbale et verbale
  
 
1)  La synchronisation Verbale
 
Elle conduit à une relation de proximité, confiance, compréhension, réciproque, ce qui entraîne la communication.
La synchronisation verbale = adapter son registre verbal à celui de son interlocuteur en utilisant des tournures, des structures de phrases, des expressions propres au registre utilisé par l’interlocuteur.
La synchronisation verbale consiste aussi à montrer à l’autre, la quantité de notre écoute par la reformulation qui permet de s’assurer que l’on a bien compris.
 
2)  La synchronisation non Verbale
 
La synchronisation non verbale est comparable à la synchronisation verbale, en observant les éléments non verbaux de la communication d’un interlocuteur, on va tenter de reproduire de façon intelligente (imitation), afin de créer une situtation de communication harmonieuse qui permet le developpement d’une relation de confiance.
Elle concerne la posture, les mouvements du corps, les expressions du visage, la façon de respirer.
 
La synchronisation est une positive attitude à l’égart de l’interlocuteur.
 
3)  L’ancrage
 
L’élément mis en place par la PNL est l’ancrage = Stimulus, quelque chose qui va activer cognitivement (image, geste, odeurs qui stimuluent la mémoire,…). Il va fonstionner sur le même registre VAKOG, comme un élément qui réactive un moment précis de sa mémoire.
L’application en PNL utilise un code destiné à suciter chez l’autre une réaction immédiate.
L’ancrage utilisé chez les commerciaux : trouver, utiliser du vocabulaire pour décrire un produit, pour provoquer un ancrage positif.
Un ancrage peut être :
~ Auditif (vocabulaire, ton,…)
~ Visuel (image,…)
~ Geste (lieu,…)
~ Kinesthésique (odeur, contact,…)
 
Deux types d’ancrage :
~ Positif : dynamique, confiance,…
~ Négatif : incompréhension, exclusion,…
 
4)  Le recadrage
 
La PNL avance que les personnes possèdent en elles de manière consciente ou inconsciente les ressources pour dépasser et surmonter ses propres limites. Elle permet d’identifier ses limites, ses difficultés, puis d’étudier les raisons comportementales ou psychologique de ces problèmes de communication, dans une 3ème temps la PNL permet de trouver les ressources qui permettent de dépasser ses limites et les développer, les utiliser, les mettre en pratique dans des situations de communication.
 
5)  Les croyances et les présuposés
 
Pour la PNL, il est important de les identifier pour pouvoir changer de comportement et surtout pour améliorer les situations de communication et les relations interpersonnelles.
 
6)  Les Objectifs
 
Nous avons tous des limites qui sont généralement perçes de manière négative par les autres. La PNL consiste à dépenser ses limites, les transformer en 3 objectifs à atteindre (il faut qu’il soit réalisable et réaliste) pour cela un objectif doit avoir 5 caractéristiques :
~ Doit être positif
~ Réalisation vérifiable
~ Réalisation dépend uniquement de nous
~ Doit pouvoir se réaliser au moment de sa détermination
~ Doit être bon pour nous et notre environnement (améliorer)
 
Il y a des stratégies pour les mettre en place :
~ Position « métha » ou de « dissociation » : C’est le fait de devenir le spectateur de sa propre situation communicationnelle.
« Métha » : extérieur : prendre un regard extérieur en même temps en se « dissociant » et devenir un observateur extérieur.
Cette technique permet de prendre de la distance avec soi-même et de réaliser une auto-analyse de son comportement.
http://bts-nrc-faustine.over-blog.com/pages/Chapitre_5_et_6_La_synchronisation_non_verbale_verbale_et_Lanalyse_Transactionnelle-887409.html

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------


http://www.boursorama.com/actualites/moins-travailler-et-ralentir-le-rythme-de-vie-les-aspirations-des-habitants-de-six-pays-occidentaux-pour-leur-futur-8cb4cfe0440501a9896f267120b6c64d

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Et oui et ce jusqu'à la fin de tes jours, à chaque fois que tu liras un article où se trouvent plus de 5 fois : " % " dans un article tu penseras à Erik (avec un K) from France. Ca va, y'a pire comme pensée  Razz

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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 22:09

Aujourd'hui on dit "je fête de la musique" Smile

Il y a bien un doué sur cette terre qui sortira quelque part tout au fond à droite et dans ton lcd (lecteur cd enfin voyons mais restez polis, t'es pas à ta maison ici Smile)

qui sortira "je pête de la musique" c'est parce que j'ai un gros Q (I)

http://jespears.bandcamp.com/track/camels

(j'ai le cd euh nananère Wink)

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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 22:13

Avant je savais pas dire des mots alors je mettais des  cat

Maintenant je me mets des  cat mots Smile
AH Sahara, sahara, sahara, les aristo  cat à la Pastille, Ah Sahara, sahara, sahara, les aristo  cat, là là là là, tin tin tin

(ben oui tu prends une pastille toi quand t'as un chat dans la gorge ? t'es bizarre)

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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 22:17

y'a aussi le  cat 21.....

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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 22:37

Il y a des choses que je ne dis a Personne Alors …

Louis ARAGON
Recueil : "Le Fou d'Elsa"
Il y a des choses que je ne dis a Personne Alors
Elles ne font de mal à personne Mais
Le malheur c’est
Que moi
Le malheur le malheur c’est
Que moi ces choses je les sais
Il y a des choses qui me rongent La nuit
Par exemple des choses comme
Comment dire comment des choses comme des songes
Et le malheur c’est que ce ne sont pas du tout des songes
Il y a des choses qui me sont tout à fait
Mais tout à fait insupportables même si
Je n’en dis rien même si je n’en
Dis rien comprenez comprenez moi bien
Alors ça vous parfois ça vous étouffe
Regardez regardez moi bien
Regardez ma bouche
Qui s’ouvre et ferme et ne dit rien
Penser seulement d’autre chose
Songer à voix haute et de moi
Mots sortent de quoi je m’étonne
Qui ne font de mal à personne
Au lieu de quoi j’ai peur de moi
De cette chose en moi qui parle
Je sais bien qu’il ne le faut pas
Mais que voulez-vous que j’y fasse
Ma bouche s’ouvre et l’âme est là
Qui palpite oiseau sur ma lèvre
O tout ce que je ne dis pas
Ce que je ne dis à personne
Le malheur c’est que cela sonne
Et cogne obstinément en moi
Le malheur c’est que c’est en moi
Même si n’en sait rien personne
Non laissez moi non laissez moi
Parfois je me le dis parfois
Il vaut mieux parler que se taire
Et puis je sens se dessécher
Ces mots de moi dans ma salive
C’est là le malheur pas le mien
Le malheur qui nous est commun
Épouvantes des autres hommes
Et qui donc t’eut donné la main
Étant donné ce que nous sommes
Pour peu pour peu que tu l’aies dit
Cela qui ne peut prendre forme
Cela qui t’habite et prend forme
Tout au moins qui est sur le point
Qu’écrase ton poing
Et les gens Que voulez-vous dire
Tu te sens comme tu te sens
Bête en face des gens Qu’étais-je
Qu’étais-je à dire Ah oui peut-être
Qu’il fait beau qu’il va pleuvoir qu’il faut qu’on aille
Où donc Même cela c’est trop
Et je les garde dans les dents
Ces mots de peur qu’ils signifient
Ne me regardez pas dedans
Qu’il fait beau cela vous suffit
Je peux bien dire qu’il fait beau
Même s’il pleut sur mon visage
Croire au soleil quand tombe l’eau
Les mots dans moi meurent si fort
Qui si fortement me meurtrissent
Les mots que je ne forme pas
Est-ce leur mort en moi qui mord
Le malheur c’est savoir de quoi
Je ne parle pas à la fois
Et de quoi cependant je parle
C’est en nous qu’il nous faut nous taire
Merde, donc maintenant faut que je lise des trucs de jeunes pour être synchro, les ombres passent, la vie continue, des fois les ombres c'est un peu comme le facteur aussi, elles passent et repassent plusieurs fois.

Au nom de la mite de Six S'if ancestral...... allez arrêtes de crâner Smile Fais pas ton gamin de 5 ans  Wink

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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 22:41

- En fait tu me testes, hein ouais ? 
- C'est cela, c'est un test "Inhales", ça vient de sortir, un truc profond, très littéraire, cherches pas, tu peux pas comprendre.

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Message par offset Mar 21 Juin 2016 - 23:03

Merci pour Louis Aragon et pour tout le reste Pour Toi
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Message par Invité Mar 21 Juin 2016 - 23:32

Et après cette échappée, si je puis m'exprimer, ainsi, Chers Amis, reprenons plus sérieusement : 





Rencontre : s'ouvrir à l'autre
Toujours rien. On a beau le chercher, le vouloir, lui courir après, « l’autre » ne se décide pas à entrer dans notre vie. Pourquoi ? Qu’est-ce qui bloque ? Analyse et conseils pour se rendre disponible.
Flavia Mazelin-Salvi

 
1 / 4


Sommaire






« Aujourd’hui, la rencontre amoureuse est idéalisée, ardemment recherchée, constate le psychanalyste Gérard Bonnet, auteur deL’Irrésistible Pouvoir du sexe (Payot, 2001) et de L’Autoanalyse(PUF, 2010), mais cela ne signifie pas pour autant que l’on soit prêt, en réalité, à faire de la place à l’autre dans sa vie. » Autrement dit, elle dépendrait au moins autant de notre désir inconscient que de notre volonté. Aussi sincère soit-elle.





Les fantômes du passé




Le psychanalyste avance qu’une rencontre amoureuse n’est jamais celle de deux personnes, mais celle de deux désirs : « Cela se produit quand on se rend compte que notre désir s’articule à celui de l’autre. Mais encore faut-il être dans l’écoute du nôtre pour le percevoir, pour se laisser troubler et déranger par lui. » Toute rencontre amoureuse est un bouleversement. Des sens, des émotions, des habitudes. Un séisme que notre culture du contrôle ne nous prépare pas toujours à « encaisser ». Antoine, 42 ans, célibataire depuis trois ans et père de Léo, 7 ans, avoue avoir préféré jouer la carte de la stabilité plutôt que de voir son mode de vie transformé par une femme « fantasque et fantastique », mère de deux filles de 7 et 4 ans, dont il était pourtant follement amoureux. Il se dit toujours à la recherche de celle qui « le surprendra et le touchera sans le bousculer ». « Se lier en profondeur ne va pas de soi, indique Gérard Bonnet. Cela veut dire être capable d’ouvrir son intimité à l’autre, dans sa différence radicale, dans son inquiétante étrangeté… Et cette menace est renforcée par un discours culturel qui nie la différence des sexes, en dépit de la réalité. Or, si l’on désire accueillir la rencontre, il faudra, y compris dans la durée, affronter et se colleter avec ce que j’appelle “l’abîme de la différence”. Mais encore faut-il ne pas rechercher son semblable et s’être délesté des poids et fantômes du passé. »



« La rencontre est chargée de l’histoire transgénérationnelle, explique le psychanalyste Bernard-Élie Torgemen, auteur de Vivre, c’est magique ! (Maren Sell Éditeurs, 2007). Quand elle se produit, nous sommes toujours plus de deux : il y a moi, l’autre, et ce que chacun hérite du maternel et du paternel. Soit deux personnes réelles et quatre fantômes. La rencontre réactive ce qui, dans nos premiers liens affectifs, était de l’ordre de la fusion et de la “défusion”, versant positif et versant négatif, et, évidemment, cela engendre de la confusion. » Ce n’est qu’après trois ans d’analyse que Fanny, 37 ans, a compris qu’elle était « abonnée aux rencontres foireuses », car, inconsciemment, elle ne voulait pas rompre le lien fusionnel qui la reliait à son père. « Pour qu’il reste le premier, je minais d’avance toutes mes relations en choisissant des tocards. Depuis, je travaille à ma “libération”, ce n’est qu’à ce prix-là que je pourrai m’épanouir sur le plan affectif en rencontrant enfin le bon. »

Renoncer aux loyautés empoisonnées, aux amours oedipiennes, en finir avec les blessures et les expériences malheureuses…, c’est à cela que nous invite la rencontre amoureuse. Celle qui nous inscrit dans une nouvelle dynamique du désir. Sinon, elle n’est que répétition ou malédiction. « Elle peut, en outre, nous renvoyer à ce que j’appelle de “fausses reconnaissances”, prévient Bernard-Élie Torgemen. Quand quelque chose dans l’autre nous rappelle plus ou moins consciemment une figure forte de notre passé affectif, attention à ne pas le prendre pour un signal positif. Au contraire, cela mérite interrogation et vigilance. »

Une histoire de corps
Selon Gonzague Masquelier, auteur de La Gestalt aujourd’hui, choisir sa vie (Éditions Retz, 2008), gestalt-thérapeute, avant d’aller vers une nouvelle rencontre, « il faudrait nettoyer les vieilles blessures de notre vie affective, toutes les émotions bloquées qui sont encore actives (tristesse, rancoeur, colère) et qui nous empêchent d’accueillir l’autre ». Il ajoute que, parmi les toxiques du passé, se trouvent aussi ce que l’on appelle en gestalt-thérapie les introjections, c’est-à-dire les croyances erronées ou limitantes que nous avons héritées de l’enfance ou intégrées à la suite d’expériences malheureuses. « Cela va des généralités sur les hommes ou les femmes aux préjugés sur le couple ou la sexualité, en passant par des certitudes sur nos prétendus manques ou incompétences », détaille Gonzague Masquelier, qui estime que seule une prise de conscience de leur existence et de leur nuisance peut nous en libérer.

Mais, une fois les fantômes du passé neutralisés et les freins levés, reste à affronter la peur, soeur jumelle du désir. « Elle est un élément central dans le processus de la rencontre, affirme Bernard-Élie Torgemen. Elle est à la fois “facilitante” et inhibante. » Pour le psychanalyste, elle agit sur trois niveaux : la réalité (comment l’aborder, me comporter ?), l’imaginaire (la prochaine fois, je dirai ceci, proposerai cela), et enfin le fantasme (il ou elle suscite tel désir, tel souvenir, telle image en moi). Selon l’histoire de chacun, la peur pourra ouvrir ou fermer à la rencontre. La meilleure disposition ? « Être dans son physique, dans ses sens, poursuit Bernard-Élie Torgemen. Les inconscients ne sont pas seuls à entrer en relation, il y a aussi les corps. Une belle rencontre affective et intellectuelle peut devenir stérile si on ne ressent pas l’autre, avec son nez, sa peau… Le corps, c’est l’animal convié à la fête de l’amour, il faut lui laisser un espace pour qu’il puisse s’exprimer et nous parler. » Cela exige que l’on accepte de sortir, au moins momentanément, du contrôle (mon image, mon objectif), que l’on abandonne nos attentes trop formatées, ainsi que nos critères trop rigides sur notre partenaire idéal.

« Il s’agit au contraire de repérer les failles, les imperfections, les singularités de l’autre, insiste le psychanalyste. C’est dans cette brèche, féconde en surprises, en richesses, que se fait l’amour. Il faut en finir avec cette guerre narcissique qui pousse aujourd’hui chacun à chercher dans l’autre un miroir flatteur. » Prendre le risque de s’ouvrir à l’autre, c’est aussi prendre le risque de déplaire, en froissant une certaine image de soi. En bousculant des critères sociaux, voire raciaux ou religieux. Ou, plus simplement, en se surprenant soi-même. Simon-Pierre, 41 ans, divorcé depuis deux ans, a épousé l’été dernier une femme de son âge, « brune et joliment ronde », alors qu’il n’était ému que par les longues jeunes femmes de type nordique. « J’ai mis cinq mois avant de me dire que j’étais amoureux de Lara. Quand elle n’était pas avec moi, tout me paraissait compliqué et terne. Elle a séduit mes amis en même temps que moi, elle a fait de mon appartement un vrai foyer ouvert à mes proches, ce qui n’était pas le cas avec mon ex-épouse, aussi belle que glacée, dans tous les sens du terme. »
Selon Rose-Marie Charest, psychologue et auteure de La Dynamique amoureuse, l’alchimie du couple (Albin Michel, 2011), une vraie rencontre amoureuse entraîne toujours des bouleversements, extérieurs et intérieurs. Elle est puissamment transformatrice. « Il ne s’agit pas simplement d’un lien qui s’ajoute à tous les autres, mais d’une expérience de créativité : c’est un nouveau territoire à construire, qui empiète nécessairement sur les territoires individuels. » Pour la psychologue, une rencontre ne peut se transformer en relation que si l’on est capable, à partir de son identité singulière, d’en forger une nouvelle à deux. Non pas en se fondant dans l’autre ni en l’absorbant, mais en produisant, à son contact, du neuf. Dans son comportement, ses croyances, sa façon de penser… Cela exige de chacun qu’il se laisse surprendre par l’autre comme par lui-même, en mettant entre parenthèses, pour un temps au moins, ses certitudes et ses habitudes. « On pourrait dire de certaines rencontres qu’elles permettent de prendre contact avec le meilleur de soi-même », conclut Rose-Marie Charest. Un « meilleur » souvent en jachère, étouffé par les scénarios de répétition ou par les peurs, qui inhibent désir et confiance en soi.
Entre eux, c'était mal parti
Tatiane, 28 ans, aide maternelle, et Miguel, 27 ans, maçon, en couple depuis huit ans
Tatiane : « On travaillait dans le même bar, moi comme serveuse, lui comme agent de sécurité. Il m’insupportait. Il était prétentieux, macho, inintéressant. C’est sûr, il avait un corps de rêve, le contraire de mon amoureux, un gringalet. Mais quelle arrogance ! J’avais beau l’éviter, décliner ses invitations à boire un verre, il ne me lâchait jamais. Une nuit, il m’a défendue face un client soûl et agressif. Je lui ai hurlé de ne pas se mêler de mes affaires. Il ne m’a plus adressé la parole pendant quinze jours… Et bizarrement, qu’il ne me regarde plus m’énervait. Un après-midi, je discutais avec ma cousine dans le bar quand Miguel est venu lui dire bonjour. Pas à moi ! Il nous a proposé de venir passer la soirée chez lui, en précisant : “Il y aura ma petite amie.” Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis levée brusquement, dans une colère noire ! Ma cousine me soutenait que j’étais amoureuse, je lui rétorquais que non. Le soir, avant d’arriver chez Miguel, je me suis mise à trembler. Mon coeur cognait si fort que je me suis accrochée au bras de ma cousine. En bas des escaliers, il me regardait m’approcher. Et moi, je cherchais sa petite amie. Il n’y avait personne. Pour la première fois, nous avons discuté. Du travail, de mon pays d’origine, le Brésil. On se dévorait du regard. On a fini par s’embrasser. Il avait réussi à exploser ma carapace de femme forte. Notre nuit d’amour a scellé mes sentiments pour lui. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. »



Miguel : « La première fois que je l’ai croisée, je l’ai trouvée quelconque. Et puis, à force de la côtoyer, je me suis mis à la regarder. Elle incarnait mon style de femme : cheveux longs, bien habillée, féminine, caractère trempé. Impossible de ne pas craquer ! Sauf que, étant en couple, je voulais juste une histoire d’un soir. Chaque matin, je lui disais : “Bonjour, un café ?” Et en fin de journée : “Bonsoir, un verre ?” Elle m’ignorait. Un soir, nous nous sommes retrouvés dans le même pub, avec sa cousine qui sortait avec mon cousin. Elle a fini par accepter de me parler. On était bien ensemble. Vers la fin de la soirée, elle m’a lancé : “Tu me donnes un baiser ou je te le vole ?” Elle avait bu un verre de trop… Évidemment, je n’ai pas refusé. Et on ne s’est plus quittés. Mais notre relation restait une histoire de gamins, je n’avais pas de sentiments pour elle. Jusqu’au jour où j’ai vu son petit ami la prendre dans ses bras… Ça m’a rendu fou de jalousie. Nous sommes restés fâchés quelques jours et je me suis vu me comporter de façon totalement inhabituelle : je m’énervais contre tout le monde. En fait, j’étais tombé amoureux. Finalement, nous avons mis fin aux liaisons que nous avions par ailleurs et Tatiane est devenue ma priorité. Je ne sortais même plus faire la fête avec mes amis. Je voulais seulement être avec elle. Quatre ans plus tard, elle est tombée enceinte, nous nous sommes mariés et je suis toujours fou d’elle. »
5 étapes pour (enfin) rencontrer quelqu'un
Bien sûr, il n’existe pas de recette magique pour faire surgir « le » partenaire. Mais, selon la coach Bénédicte Ann, Bénédicte Ann, créatrice du Café de l’amour et Le prochain, c’est le bon ! de Bénédicte Ann (Albin Michel, 2011), certaines règles sont à connaître. Dans son récent ouvrage, elle propose de suivre cinq étapes pour que cessent les erreurs de casting.
1. Faire la paix avec son histoire amoureuse 
Pour prendre conscience de ses entraves, deux questions clés à se poser : qu’est-ce que l’autre a emporté de moi en partant (confiance en soi, spontanéité, joie de vivre, etc.) ? Et quels bénéfices cachés m’apportaient mes relations précédentes ?
2. Assumer sa part de responsabilités
« Ai-je peur de souffrir ? », « Ai-je peur de perdre le contrôle ? », « Ai-je peur de me tromper une nouvelle fois ? » S’interroger puis noter ses réponses permet de prendre la mesure de ses projections négatives dans la dynamique relationnelle.
3. Tenir compte de la réalité
Ne pas se raconter d’histoires (« Avec moi, ce sera différent »), tenir compte des signaux négatifs reçus (émotions, sensations, impressions), oser poser des questions directes (« Tu es divorcé(e) ? ») sont autant de façons de s’inscrire dans une démarche d’ouverture qui part du réel et non de ses fantasmes.
4. Définir son projet 
Trois interrogations méritent d’être travaillées par écrit : – Qu’est-ce qui m’a ému (positivement) dans mes relations passées ? – Quel type de projet ai-je envie de partager (fonder une famille, changer de mode de vie, préserver mon territoire) ? – Pourquoi ai-je envie d’une relation ? (Parce que je me sens prêt à aimer à nouveau, parce que j’aime la vie de couple…).
5. Rencontrer quelqu’un de bien… pour soi 
Votre partenaire cherche-t-il à rencontrer ou à construire ? Est-il vraiment disponible ? Quelle est sa motivation ? Pour quels motifs ses relations passées ont-elles échoué ? Quel est son projet de vie à deux idéal ? Autant d’indicateurs à connaître et qui peuvent éclairer votre réflexion.



Il faut, il faut aimer l'art, oui mais Lara Croft aussi .... Nous poursuivrons par un court poème du grand poète en son genre : Estragon.... Non je déconne, j'ai faim Smile A demain si on veut bien. (Il faut que le Corps y andre....)

Ce que j'aime bien dans ce forum (encore ? eh oui et y'a en pour 20 ans au moins là sauf si je meurs avant...) c'est que c'est le seul endroit où tu peux dire des choses parfaites à des personnes pas refaites qui vont les comprendre. Je me comprends.

Je pense que lorsqu'on a un fonctionnement cognitif différent, même si on est heureux, le test est une bonne idée, car il permet en tous les cas de rencontrer un professionnel, comme ça si on tombait malheureux  Razz on a déjà vu quelqu'un et on peut plus vite le revoir parce qu'on sait où il est et en plus on l'a déjà testé ! Devoir chercher pendant qu'on est malheureux, c'est plus compliqué. Autant faire simple.

J'ai croisé une douée (je crois je suis jamais sûre tu vois... je doute) avec qui j'étais allée boire quelques cafés. Il a pris un petit arrêt de travail pour prendre du recul et elle a repris le travail ainsi qu'un psychologue.... (faut pas prendre les deux en même temps hein !) et ça va mieux ... flower. Ca m'a fait rire mais je n'ai rien dit, elle m'a dit que la psy lui avait dit qu'elle avait un fonctionnement cognitif différent  tongue et puis ensuite après quelques autres phrases que nous échangions, je lui ai demandé si elle avait sans obligation de me répondre entamer le sujet de la douance  tongue elle m'a indiqué que non pas encore.... Razz Cela va t il encore être une histoire de doués qui s'attendent ?  Razz Mystère et boule de gum....

Je pense aussi que connaître des cadres est important et nécessaire car sinon lorsque se mélange raison et sentiments, mieux vaut savoir ce que l'on met dans la raison et dans les sentiments, sinon il peut y avoir confusion.

Je suis curieuse de voir comment certains "fous" vont se débrouiller pour sauter des cases et atteindre la Reine désormais. J'attends avec fée brilité dans ma tour d'y voir  tongue. Et oui parfois le doué peut faire le pigeon sans le savoir et sans aucune volonté de nuire.

Ca fait ringard et vieux jeu si je dis que la vie est un jeu quand on pose le plateau sérieusement ? là ?

Sinon c'est la faute au passage éclair de Kalthu sur le chat et d'autres personnes qui ont écrit ici aujourd'hui, (et oui on faisait des assos d'idées et on savait parfois pas s'en dépêtrer alors pour soi disant résoudre ce problème, on navet décidé de s'associer les idées histoire parfois de s'empêtrer encore plus, mais dans la joie et la bonne humeur, tu vois ?)

Restez couvert, un concept peut en cacher un autre.

Sinon j'ai découvert qu'en fait que je m'étais alors auto sortie de mon environnement.... histoire de pouvoir me découvrir mieux de l'extérieur et puis après on sait pas bien, on prend du recul, on nous ouvre les yeux, on ouvre les yeux aussi, ou alors on les ferme parfois, et ça peut être perturbant, l'important de tout façon pour être Euro en 2016 et suivant, c'est de ne pas lâcher le ballon des yeux .... (celui d'en haut ou d'en bas ? taka chercher. Bosses un peu quoi Smile Je vais te mâcher toute la salsa pareille à ta place Smile 

Parfois un doué c'est ce qui te permet de t'y retrouver ou parfois de t'y perdre, ou alors il se perd ect.

Bon sinon faut toujours rester optimiste, personne n'a dit que penser simple ça rendait tout pas compliqué non plus. C'est pour ça qu'ils ont crée le mode "Francine", pour que ta pensée soit plus fluide dans ta pâtacrèpes.

Faudrait reprendre une pièce de théâtre classique en donnant des noms d'épices aux personnages.

avec comme intrigue de l'alimentaire. Oh flûte j'ai encore reverbé, oups.

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 9:48

Tempérament




[ltr]news lifes - news lifes :) - Page 19 20px-Disambig_colour.svg Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.[/ltr]


Sur les autres projets Wikimedia :


  • tempérament, sur le Wiktionnaire



  • En musique, le tempérament est une manière d'ajuster les hauteurs d'une gamme musicale.
  • En psychologie, le tempérament désigne la constitution physique et l’ensemble des dispositions organiques innées du sujet. Le tempérament est la base physique à partir de laquelle émerge ensuite le caractère.
  • En droit, le tempérament est l'assouplissement d'une norme.


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Tempérament (psychologie)


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news lifes - news lifes :) - Page 19 220px-LavaterHollowayFaces


Les quatre tempéraments selon laphysiognomonie de Johann Kaspar Lavater (xviiie siècle)

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Le tempérament caractérise en psychologie traditionnelle la manière dont un individu réagit aux stimuli extérieurs.
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Sommaire



  [masquer] [/ltr]



  • 1Historique

    • 1.1Hippocrate
    • 1.2Innée


  • 2Références


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Historique[modifier | modifier le code]



Les Grecs considéraient que tout ce qui existe dans la nature est constitué de quatre éléments (l'air, la terre, le feu et l'eau).

Hippocrate[modifier | modifier le code]



Hippocrate (c460-c370 av. J.-C.) effectue une classification des troubles mentaux en relation avec ces quatre éléments à qui il associe quatre humeurs : le sang, la bile noire, la bile jaune et le flegme correspondant ainsi à quatretempéraments qui sont respectivement le sanguin, le mélancolique, le colérique et le flegmatique. Selon lui, la différence entre les individus est liée à la prédominance de l'un de ces quatre tempéraments. Il réunit ainsi les maladies de l'âme et du corps, les maladies sont physiques, et ainsi il participe à démystifier la maladie mentale, qui était jusque là, plutôt liée à des manifestations démoniaques.
On peut résumer cette approche de cette manière:[/ltr]


  • Le tempérament nerveux (sec et froid) est dominé par l'élément de la terre.
  • Le tempérament bilieux (sec et chaud) est dominé par l'élément du feu.
  • Le tempérament sanguin (humide et chaud) est dominé par l'élément de l'air.
  • Le tempérament lymphatique (humide et froid) est dominé par l'élément de l'eau.


[ltr]

Innée[modifier | modifier le code]



Les études plus récentes ont mené à une autre définition du mot « tempérament ». Ce dernier fait référence à la façon innée avec laquelle une personne interagit et répond à son environnement (Olson, 1999). Dès les premiers jours de la naissance, il est possible d’identifier des styles de réponses propres à l’enfant (Maziade, 1983). Thomas et Chess ont commencé des études longitudinales aux années 1950 qui ont contribué au développement du concept du tempérament (Maziade, 1983). Ils ont proposé une définition du tempérament selon neuf caractéristiques différentes soit le niveau d’activité (la proportion des périodes d’activité aux périodes d’inactivité), l’adaptabilité (la facilité avec laquelle l’enfant s’adapte à son environnement et aux changements), l’approche/retrait (la réponse de l’enfant face à un nouvel objet, environnement ou individu), la durée et persistance de l’attention (le temps consacré à une activité et l’effet des distractions), la distractibilité (le degré avec laquelle des stimuli externes affectent le comportement de l’enfant), l’intensité des réactions émotionnelles (le niveau d’énergie de la réponse positive ou négative de l’enfant), la qualité de l’humeur (la quantité de comportements agréables par rapport aux comportements désagréables), la rythmicité (la régularité des fonctions biologiques telles que l’appétit, le sommeil et l’excrétion) et le seuil de réceptivité (l’intensité des stimuli requis pour susciter une réponse de l’enfant) (Chess., 1997).
Selon les réponses de l’enfant pour chacune des caractéristiques décrites précédemment, trois types de tempérament peuvent être identifiés : facile, lent à démarrer (slow to warm up) ou difficile (Davidson, 2005) (voir Tableau 1). Un enfant dit « facile » est généralement de bonne humeur, calme et s’adapte facilement aux changements. L’enfant qui est « lent à démarrer » fait preuve d’une certaine résistance passive face aux nouveautés, présente peu de réactions intenses et s’adapte lentement aux changements. Un enfant dit « difficile » est généralement de mauvaise humeur et réagit vigoureusement et négativement aux changements. Il est à noter que ces trois types de tempérament serviraient à décrire des tendances générales puisqu’une minorité d’enfants présentent toutes les caractéristiques d’un type en particulier (Zeanah & Fox, 2004). Considéré inné et dépendant de facteurs génétiques, le tempérament de l’enfant est stable mais peut être modifié par son environnement social et physique (Olson, 1999).

Tableau 1: Profil des 3 types de tempérament selon Thomas et Chess (Davidson, 2005).[/ltr]
















[th]Caractéristiques[/th][th]Facile[/th][th]Lent à démarrer[/th][th]Difficile[/th]
Niveau d’activitéVarieBas à modéréVarie
AdaptabilitéS’adapte très facilementS’adapte lentementS’adapte lentement
Approche/retraitApproche positiveSe retire initialementRetrait
Durée et persistanceÉlevé ou faibleÉlevé ou faibleÉlevé ou faible
Intensité des réactionsFaible ou modéréeFaibleIntense
L’humeurPositivePlutôt négativeNégative
RythmicitéTrès régulierVarieIrrégulier
Seuil de réceptivitéHaut ou faibleHaut ou faibleHaut ou faible
[ltr]

Références[modifier | modifier le code]



Chess., S. (1997). Temperament: Theory and Clinical Practice. Harvard Mental Health Letter, 14(5), 5-7.
Davidson, D. A. (2005). Psychosocial Issues Affecting Social Participation. In J. Case-Smith (Ed.), Occupational Therapy for Children (pp. 449-480). St. Louis: Elsevier Mosby.
Maziade, M. (1983). Le tempérament de l’enfant, les différences individuelles et les forces environnementales. Santé mentale au Québec, 8(2), 61-67.
Olson, L. J. (1999). Psychosocial Frame of Reference. In P. Kramer & J. Hinojosa (Eds.), Frames of Reference for Pediatric Occupational Therapy (pp. 323-375). Philadelphia: Lippincott Williams & Wilkins.
Zeanah, C. H., & Fox, N. A. (2004). Temperament and Attachment Disorders. Journal of Clinical Child & Adolescent Psychology, 33(1), 32-41.[/ltr]
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rabat-joie



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Sommaire

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  • [-] Français

    • [×] Étymologie
    • [+] Nom commun
    • [×] Adjectif
    • [×] Références



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Français[modifier]

Étymologie[modifier]

(XIVe siècle) Du verbe rabattre et de joie.

Nom commun[modifier]

[/ltr][/size](orthographe traditionnelle)[th]Invariable[/th][th]Masculinet féminin[/th]
rabat-joie
\ʁa.ba.ʒwa\

(orthographe rectifiée de 1990)[th]Singulier[/th][th]Pluriel[/th][th]Masculinet féminin[/th]
rabat-joierabat-joies
\ʁa.ba.ʒwa\
[size][ltr]
rabat-joie \ʁa.ba.ʒwa\ masculin et féminin identiques
[/ltr][/size][list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]Personne triste ou ennemie de la joie des autres.

  • Avoir une mine de rabat-joie.
  • Des rabat-joie.


[/list]
[size][ltr]

Synonymes[modifier]

[/ltr][/size]

  • casseux de party (Canada)
  • casseux de veillée (Canada)
  • rabat-la-joie (Rare)

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 9:54

personnel




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Sommaire



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    • [+] Nom commun
    • [×] Prononciation
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Français[modifier]



Étymologie[modifier]



(Siècle à préciser) Du latin personalis, dérivé de persona (« personne »).

Adjectif[modifier]

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[th]Singulier[/th][th]Pluriel[/th][th]Masculin[/th][th]Féminin[/th]
personnel
\pɛʁ.sɔ.nɛl\
personnels
\pɛʁ.sɔ.nɛl\
personnelle
\pɛʁ.sɔ.nɛl\
personnelles
\pɛʁ.sɔ.nɛl\
[ltr]
personnel[/ltr]

[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]Qui est propre et particulier à chaque personne.

  • Mérite personnel.
  • Intérêt personnel.
  • Venger une injure personnelle.
  • Ce fait m’est personnel.
  • Dans cette remarque il n’y a rien de personnel : Rien qui s’applique à une personne plutôt qu’à une autre.
  • Les fautes sont personnelles : On n’est responsable que de ses propres fautes.
  • Critique personnelle : Celle où l’on s’applique moins à relever les fautes d’un ouvrage qu’à dénigrer le caractère et la vie privée de l’auteur.


[*](Droit) Relatif à une personne qui est redevable ou obligée en son propre nom, par opposition à réel.

  • Action personnelle.
  • Droit personnel.


[*](Finance) Individuel.

  • Contribution personnelle.


[*](Grammaire) Qui marque la personne grammaticale.

  • Pronom personnel.
  • Mode personnel.


[*]Qui est égoïste, qui n’est occupé que de soi.

  • Cet homme est très personnel.
  • Il se la joue très personnel.


[/list]

[ltr]

Dérivés[modifier]

[/ltr]


  • antipersonnel, anti-personnel
  • impersonnel
  • interpersonnel, inter-personnel


[ltr]

Apparentés étymologiques[modifier]

[/ltr]


  • dépersonnalisation
  • dépersonnaliser
  • perso
  • personnalisation
  • personnaliser
  • personne


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Synthèse



news lifes - news lifes :) - Page 19 20px-Disambig_colour.svg Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.[/ltr]

Sur les autres projets Wikimedia :


  • synthèse, sur le Wiktionnaire
     
  • Synthèse, sur Wikiquote


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La synthèse (du grec, sunthesis, « réunion ») est une opération de l'esprit(raisonnement), inverse de l'analyse, par laquelle on rassemble, en un tout homogène, divers éléments d'un domaine de connaissance.

Littérature et sciences sociales[modifier | modifier le code]



Au sens large, la synthèse est un exposé global donnant un aperçu, une vue d'ensemble, plus ou moins exhaustive (exemple : synthèse historique). En sciences sociales, elle correspond au projet lancé par Henri Berr avec la Revue de synthèse et la collection de synthèses historiques qu'il avait fondée chez Flammarion sous le nom de l'Évolution de l'humanité.
En littérature, la synthèse d'une œuvre est un résumé succinct de celle-ci. C'est un élément de la construction du plan dialectiquemoderne selon le modèle Thèse-antithèse-synthèse-progrés.[/ltr]


  • Synthèse de textes dans l'enseignement supérieur français
  • Synthese (en) est une revue américaine de philosophie.


[ltr]

Sciences et technologies[modifier | modifier le code]


[/ltr]


  • La synthèse chimique est la préparation d'un corps composé, souvent à partir de réactifs.

    • Synthèse des protéines
    • En biologie, cette notion s'étend à la formation de matière organique propre à un organisme vivant par cet organisme vivant, à partir de nombreux constituants minéraux (cas des organismes autotrophes c'est-à-dire chlorophylliens, par photosynthèse) ou organiques (cas des organismes hétérotrophes c'est-à-dire tous les organismes vivants non chlorophylliens).


  • Une fibre synthétique remplace les fibres naturelles dans le textile.
  • La synthèse additive et la synthèse soustractive des couleurs sont des procédés de reconstitution des couleurs.
  • La synthèse d'image est l’Infographie.
  • La synthèse vocale est le procédé qui permet à des machines de produire le son de la voix à partir d'un code représentant du texte.
  • En électronique et en automatique, la Synthèse logique est la compilation d'une description fonctionnelle d'un circuit pour générer un schéma en portes logiques.
  • En audio,

    • Le synthèse sonore est le principe du synthétiseur, un instrument de musique électronique qui crée des sons par des moyens entièrement électroniques.
    • La synthèse sonore soustractive est un procédé de constitution de son musical.
    • La Synthèse vocale crée un signal électrique reproduisant la voix humaine


  • ---------------------------------------------------------------------------------------------------


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bref



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Sommaire



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  • [-] Français

    • [×] Étymologie
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    • [+] Adverbe
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    • [×] Prononciation
    • [×] Voir aussi
    • [×] Références


  • [+] Ancien français


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Français[modifier]



Étymologie[modifier]



Du latin brevis (« bref, court »).

Adjectif[modifier]



[/ltr]




[th]Singulier[/th][th]Pluriel[/th][th]Masculin[/th][th]Féminin[/th]
bref
\bʁɛf\
brefs
\bʁɛf\
brève
\bʁɛv\
brèves
\bʁɛv\
[ltr]


bref \bʁɛf\
[/ltr]

[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*](Vieilli) Petit de taille.

  • Pépin le bref.


[*]Court, de peu de durée ou d’étendue.

  • Le temps que vous me donnez est bien bref.
  • Assigner quelqu’un à bref délai.
  • Une réponse brève.
  • (Par extension) Rapide.
  • Cet homme est bref dans ses décisions.
  • Avoir le parler bref, la parole brève : s’exprimer en peu de mots ou parler d’une manière tranchante.
  • Parler, répondre d’un ton bref.


[*](Linguistique) Syllabes, voyelles qui ne se prononcent pas longuement.

  • En français, a était long dans grâce et bref dans race.


[/list]

[ltr]


Dérivés[modifier]



[/ltr]


  • abréviateur
  • abréviatif
  • abréviation
  • abréviativement
  • abrévier
  • brèvement
  • brèveté
  • bréviaire
  • brévicaude
  • brévicaule
  • brévilingue
  • brévipède
  • brévipenne
  • brévirostre
  • brévité
  • brièvement
  • brièveté
  • en bref

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 10:03

Very Happy  J'adore te lire, et c'est toujours aussi rigolo rigole haut rigol d'eau, tu fais parti de ces personnes ici que quand je les lis, lie, liés, je n'apprends rien, si ce n'est la conformation d'etre sur mon rayon ray - on ré-y-on, bref, la vision juste et la bonne voie voix:P

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 10:14

effort



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Sommaire

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  • [+] Anglais

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Français[modifier]

Étymologie[modifier]

(1080) En ancien français esforz. Déverbal de efforcer[1].

Nom commun[modifier]

[/ltr][th]Singulier[/th][th]Pluriel[/th]
effortefforts
\e.fɔʁ\
ou \ɛ.fɔʁ\
[ltr]
effort \e.fɔʁ\ ou \ɛ.fɔʁ\ masculin
[/ltr][list="color: rgb(37, 37, 37); font-family: sans-serif; font-size: 0.875em; line-height: 1.6; margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*]Action de s’efforcer.

  • Il pâlit un peu, puis, tentant un effort désespéré, réussit à dégager un pied, tandis que l’autre restait prisonnier de la glu mouvante et fétide des profondeurs. — (Louis Pergaud, Un sauvetage], dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
  • Cet ouvrage vous demandera beaucoup d’efforts. Les ennemis ont fait un grand effort pour emporter la place. Arriver à un résultat sans effort.



[*](En particulier) Action énergique d’une force physique ou intellectuelle.

  • La Girafe, excitée à fuir, se presse, s’emporte, et est bientôt hors de vue ; mais elle ne soutient point longtemps cet effort, qu’elle ressent comme une fatigue […] —(Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Quelques Considérations sur la Girafe, 1827)
  • Il avait saisi l’arbre à pleins bras […] À chaque effort, il se haussait d’une demi-coudée. — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chap. 1, 1910)
  • En les apercevant, Bert s’aplatit sur le sol, rampa jusqu’à un creux propice et demeura étendu là à contempler leurs efforts. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, p. 357 de l’éd. de 1921)
  • Nous volions depuis vingt-six heures et demie. Malgré les soucis et les préoccupations et les efforts successifs, nous étions l’un et l’autre d’attaque. —(Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930)
  • En pleine mer, des bâtiments sombrèrent, ou, désemparés par la tempête, n’échappèrent au naufrage que par des efforts inouïs. — (Frédéric Zurcher et Élie-PhilippeMargollé, Les Naufrages célèbres, chap. 19, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 185)



[*](Par extension) Résultat produit par cet effort.

  • Cette œuvre est un bel effort.



[*](En particulier) Pression exercée par un corps, en parlant des choses.

  • […] dans la nuit, les pauvres arbres, sous l’effort du vent plus colère, gémissent et craquent. — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
  • Le gréement dormant en fil d’acier galvanisé, peut supporter un effort de dix tonnes sans se rompre. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
  • Tout corps est soumis à un effort de traction, de compression, de tension. — L’effort des arches d’un pont sur les culées.,
  • (Figuré) Supporter tout l’effort de la guerre.



[*](Par extension) Hernie ou contraction douloureuse de quelque muscle.

  • Se donner un effort en soulevant un fardeau. Ce cheval a un effort.


[/list]
[ltr]

Dérivés[modifier]

[/ltr]

  • effort de guerre

  • faire un effort sur soi-même (se déterminer à faire quelque chose, malgré l’extrême répugnance qu’on éprouve)


[ltr]

Vocabulaire apparenté par le sens[modifier]

[/ltr]

  • à la force du poignet


[ltr]

Il en faut des deux cotés.



Suppositoire


[ltr]« Un suppo, et au lit. »
Sacha Guitry

« Ô gloire, ô désespoir, où ai-je mis ce suppositoire ? »
Paul Binocle à propos de la rédaction d'odes funèbres personnalisées


Sommaire

[afficher]


[modifier]Invention

Le suppositoire est un comprimé anal, petit objet profilé qui s'introduit dans l'anus et dont le principal but est de transformer un petit pét nocturne inoffensif en vieux pét gras et bruyant afin de moucheter d'une substance immonde et puante le fond de votre pyjama. Le suppositoire a été inventé en 1952 par Jean-Philippe Hervitmonslip, l'inventeur trois ans plus tôt du K2R détachant avant lavage.
D'après d'autres chercheurs, il fut inventé en 1645 par l'abbé Kille pour exorciser les suppôts de Satan.
Grâce à sa petite taille, le suppositoire peut se transporter partout avec soi. Attention toutefois, sa durée de vie se retrouve très limitée dans une poche de pantalon ou sur la banquette d'une voiture garée au soleil.

[modifier]Utilisations annexes

Les suppositoires viennent du mot "supposition", venant lui-même des mots "supporter" et "transition". Les suppositoires sont donc employés pour aider à supporter la transition de diverses choses. Par exemple, les suppositoires atomiques (qui ont un goût bizarre, avouons-le), sont employés avant une mort due aux radiations pour favoriser l'écoulement intestinal.
Au fil des années, d'autres utilisations possibles du suppositoire ont été découvertes. Il peut par exemple remplacer la fève dans une galette des rois, servir de recharge pour votre Labello, ou encore être consommé en tartines pour le petit-déjeuner.

[modifier]Conservation

Le suppositoire se conserve au réfrigérateur, entre les œufs durs et le pot de cornichons. Il est cependant possible de le placer à un autre endroit du réfrigérateur, comme dans le bac a légumes par exemple, mais pas dans le freezer sous peine de sensation désagréable lors de son introduction dans l'orifice anal.

[modifier]Techniques d'administration

[img(199.857142px,149.857142px)]http://vignette2.wikia.nocookie.net/desencyclopedie/images/f/f6/Suppositoire.JPG/revision/latest/scale-to-width-down/200?cb=20090523125938[/img]
Un suppositoire pour les fortes constipations : enveloppe aérodynamique pour une meilleure pénétration et du Semtex pour péter des flammes. (Au sens propre).

Il n'existe à l'heure actuelle encore aucune technique fiable pour enfiler correctement un suppositoire dès la première tentative.
La technique la plus répandue consiste à l'introduire soi-même à mains nues, mais cette méthode est délicate et réduit l'efficacité du suppositoire. En effet, après moult tentatives durant lesquelles le suppositoire vous aura glissé des doigts et terminé sa course par terre, celui-ci aura déjà considérablement fondu dans vos doigts, ce qui constituera autant de matière qui ne sera pas projetée dans le pyjama.
Lorsque ce qu'il restera du suppositoire aura enfin franchi l'orifice anal, il est fortement conseillé de l'accompagner avec l'index sur une dizaine de centimètres afin d'éviter qu'il ressorte immédiatement.
La technique la plus efficace pour enfiler un suppositoire est évidemment de disposer d'un(e) ami(e) muni(e) d'une sarbacane. Mais cette technique est très risquée, de nombreux amis sont morts suite à un retour de matière imprévu dans la sarbacane.
Une nouvelle technique se développe aux États-Unis pour éviter les incidents liés à la sarbacane : le drive-by shooting. On nécessite deux ami(e)s, dont l'un(e) conduit une voiture et l'autre est muni(e) d'un pistolet de paint ball modifié pour pouvoir tirer les suppositoires.
Enfin, il est possible de charger avec une Kalachnikov : il est ainsi plus facile de l'introduire (le suppositoire pas la Kalachnikov, sinon, gare aux hémorroïdes..). La Kalachnikov présente en outre l'intérêt d'être une arme automatique avec un chargeur de 30 coups : très utile en milieu hospitalier lors d'une épidémie par exemple.

[modifier]Contre-indications médicales

Il est fortement déconseillé d'utiliser des suppositoires dans les 12 heures précédant un concours de fire-prout. En effet, votre briquet risquerait de ne pas survivre au Shrapnel engendré de la déflagration.

[modifier]Polémique

Le suppositoire est un objet qui est sujet à une vive polémique au sein du monde civilisé. Personne n’a encore réussi à vraiment savoir dans quel sens il faut introduire l’objet dans son derrière.
Certains disent qu’il faut l’introduire par le bout pointu, le bout plat étant fait pour pouvoir pousser avec les doigts.
D’autres affirment qu’il faut le faire rentrer par le bout plat. De cette manière, il suffit de serrer les fesses pour que le suppositoire soit propulsé, grâce à sa forme, directement dans l’estomac.
Des recherches sont probablement en cours pour savoir qui des deux parties a raison ou tort.
Voir aussi : Analogie

[modifier]Améliorations prévues

De nombreux laboratoires pharmaceutiques sont en train de plancher sur un suppositoire effervescent, pour le fun et les sensations.
Le suppositoire est couramment aromatisé à l'eucalyptus, qui le rendrai plus digeste et donnerai des effets gazeux non nocifs pour la couche d'ozone.
Des études sont en cours pour d'autres parfums, mais ne seront disponible que courant 2012, les gaz rejetés après la prise de suppositoires aromatisé à la fraise seraient détonant, et de fait dangereux pour le transit intestinal ainsi que celui au chocolat qui infecterai la rondelle de l'anus par des petits bouton blanc remplis de pu a percer uniquement avec les dents .
-------------------------------

Il existe un brevet de suppositoire effervescent destiné à traiter la constipation au moyen d’un “dégagement de gaz carbonique par réaction chimique de principes actifs au contact de l’humidité présente dans l’ampoule rectale”.
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Le 6 juin 2009
par Sub-N
ça ne s’invente pas
Source

Publié dans Chimie, Médical, Sciences, Techniques

http://www.chavaipa.com/2009/06/06/il-existe-un-brevet-de-suppositoire-effervescent-destine-a-traiter-la-constipation-au-moyen-dun-degagement-de-gaz-carbonique-par-reaction-chimique-de-principes-actifs-au-contact-de-lhumidite-pre/


Quand il ne reste plus que des suppositions, il faut savoir dégazer et aller retrouver son effervescence (effet revescence -effet reverence) ailleurs.




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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 12:45

Revz a écrit:Very Happy  J'adore te lire, et c'est toujours aussi rigolo rigole haut rigol d'eau, tu fais parti de ces personnes ici que quand je les lis, lie, liés, je n'apprends rien, si ce n'est la conformation d'etre sur mon rayon ray - on ré-y-on, bref, la vision juste et la bonne voie voix:P

J'ai le sentiment d'avoir plus appris d'échanges où personne ne souhaitait apprendre rien à personne.

Si certains de mes propos te confortent ou t'orientent dans tes directions de vie, tu m'en vois Revzavie  Wink

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 12:52

En séduction, un mot me semble plus important que tous les autres. Je vais vous le révéler dans quelques secondes.
Ce mot est sûrement le meilleur prédicteur de votre succès avec le sexe opposé.
Ignorez ce mot et vous ne rencontrerez JAMAIS un succès constant, permanent, avec les femmes que vous draguez.
À l’inverse, faites de ce mot votre obsession et vous obtiendrez à coup sûr de bons résultats en matière de drague.
-----------------------------------------
QUEL EST CE MOT ?
-----------------------------------------

Il s’agit du mot “habitude”.
Non, ne secouez pas la tête comme ça… Ecoutez ce que j’ai à vous dire et vous allez tout comprendre.
Je suis persuadé qu’un homme est la somme de ses habitudes, ni plus, ni moins.
La prochaine fois que vous sortez en boîte ou dans un bar, prêtez attention aux mecs qui s’éclatent entourés de jolies femmes.
Ces mecs ont L’HABITUDE d’interagir avec des femmes. C’est donc devenu facile et naturelpour eux.
Ils n’ont pas de superpouvoir leur permettant d’aller aborder sur commande toutes les jolies femmes de la soirée.
Par contre, ils ont l’habitude d’aborder des groupes de jolies filles.
------------------------------------------------------------
Comment rencontrer plus de jolies femmes ?
------------------------------------------------------------

Si vous voulez avoir plus de femmes et de fun dans votre vie, ne misez PAS sur votre volonté et votre courage pour aborder les bombes chaque fois que vous sortez.
Au lieu de cela, prenez L’HABITUDE d’aborder les femmes !
Je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire… Mais désormais c’est devenu vraiment FACILE…

Piqué chez Art de séduire. Pas forcément juste pour séduire, parfois juste pour pouvoir se dire, le concept de s'enduire des autres n'est pas con.

C'est comme "hein" me disais je, vilain mot mais c'est fou comme on peut provoquer des réponses chez l'autre, en mettant "hein" à la fin de sa phrase.

Ca m'énerve, il se met en mode "arrêt sur images" et il met en mode "arrêt sur images". Et ça veut dire quoi ? ben justement je sais pas, c'est ça qui m'énerve.

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 13:16

Que nous apprend le cerveau sur notre générosité ?
news lifes - news lifes :) - Page 19 X3h6mNotre générosité peut être motivée de deux façons : on peut donner par empathie (à une personne qui nous a profondément émus, par exemple) ou par réciprocité (à une personne qui nous a rendu service). Une équipe de psychologues et neuroscientifiques menée par Grit Hein et Ernst Fehr de l’université de Zürich est parvenue à distinguer ces deux motivations du don, grâce à l’imagerie cérébrale. Comment la compassion ou la gratitude se voient-elles dans le cerveau ? 

En psychologie, les motivations sont considérées comme indépendantes du comportement humain. De plus, ce sont des constructions mentales qui ne sont pas directement observables. Par conséquent, elles sont généralement déduites du comportement des individus. Or différents motifs peuvent conduire à un même comportement. Les chercheurs se sont ici demandé s’il était possible d’obtenir une représentation neurophysiologique distincte pour chaque motif et de prédire sur la base de celle-ci la motivation d’un comportement. Les scientifiques ont alors choisi le contexte des décisions altruistes humaines pour étudier deux motivations spécifiques : l’empathie et la réciprocité. 

Pour cela, ils ont placé des participants dans des contextes où ils pouvaient prendre des décisions égoïstes ou altruistes. Pour ces dernières en particulier, les chercheurs ont étudié les deux formes précédemment citées : l’altruisme de compassion et l’altruisme de réciprocité, en répartissant aléatoirement les sujets en deux groupes. Dans chaque situation, les participants ont été jumelés avec un partenaire. Dans le premier groupe, le sujet voyait celui-ci recevoir des chocs électriques et pouvait ensuite donner de l’argent pour empêcher que son partenaire n’endure de nouvelles souffrances. Dans le second groupe, chaque participant était placé d’abord lui-même dans le rôle de la victime. Son partenaire pouvait alors payer pour lui éviter de recevoir des décharges. Dans la première situation, il s’agissait de provoquer un don de pure compassion ; dans la seconde, il était question de donner à une personne par réciprocité, parce qu’elle vous avait aidé. 

Qu’ont alors observé les auteurs de cette étude, publiée dans la revue Science, chez les participants placés dans un scanner IRMf ? Dans le cerveau de ceux-ci, trois mêmes zones cérébrales entrent en jeu dans les expériences auxquelles les participants ont été soumis : le cortex cingulaire antérieur, l’insula intérieure et le striatum ventral. Mais les dynamiques sont différentes selon les situations proposées. En effet, alors que dans l’altruisme de compassion, le cortex cingulaire antérieur active l’insula qui bloque le striatum ventral, dans l’altruisme de réciprocité, le cortex cingulaire antérieur est aussi activé en retour par l’insula, et l’insula active le striatum. Dès lors, grâce à l’imagerie cérébrale, il est aisé pour les neuroscientifiques de savoir dans quelle situation expérimentale était plongé tel ou tel participant. 

De plus, chez les personnes plutôt égoïstes, la situation d’empathie (pas celle de réciprocité) a permis d’augmenter le nombre de décisions altruistes. Chez les personnes déjà altruistes, c’est l’inverse. Ainsi, les individus peu généreux pourraient le devenir si leur empathie est sollicitée ; en revanche, les altruistes « de nature » seront moins réceptifs à une mobilisation de leur empathie (celle-ci étant déjà bien activée), mais davantage à des situations de réciprocité. 

Au final, cette étude souligne l’existence de réseaux cérébraux différents selon le type de motivation d’un don, et met en avant que notre comportement altruiste peut évoluer (s’améliorer) selon les situations dans lesquelles nous sommes placés.
Source : G. Hein et al., The brain’s functional network architecture reveals human motives, Science, 04-03-2016.
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/que-nous-apprend-le-cerveau-sur-notre-generosite?nl=myhn_nl2_1606

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 22:15

Reprendre lorsqu'il s'agit de quelque chose et de quelqu'un d'important dans son histoire et là il y a eu réciprocité et encore plus réciprocité de douance peu importe à quel niveau là où aucun des deux n'a eu le choix, et se le donner.
Sur le fait de communiquer quand cela est possible, je n'ai pas changé.
J'ai refait tous les ponts importants Smile On ne me prend pas mon histoire ni celles des personnes qui l'ont partagé avec moi.
En fait il semblerait que c'est juste compliqué quand on sait qu'on ne peut parler à quelqu'un en direct mais quand on peut il faut faire abstraction de tout le reste qui arborerait et faire du simple et du direct.
Ca me pesait, il faut se fixe you mais il faut aussi faire ce que l'on peut sans demande, sans obligation de réponse, de façon à ce que ce que l'on appelle "les liens de réparations" le soient et ne puissent briser par personne.
Je n'ai pas su exactement ce jour là, et on me l'a confirmé ensuite. Mais c'est bel et bien le jour de mes 40 ans que ça a basculé dans autre chose, au contact de quelqu'un. J'ai refait le pont Wink
Un pont ça peut se faire avec n'importe quoi. Si j'ai le coeur lourd, il faut que je l'allège, si je sens le coeur lourd chez quelqu'un qui a fait ou fait partie de mon histoire, il faut que je lui dise, ça le concerne.
C'est fait. Comment sait on qu'on a fait quelque chose de bien. Juste après l'avoir fait. C'est quelque chose au dessus de tout, qui passe à travers tout, c'est quelque chose de très particulier, une histoire de particules Wink
Je suis un peu triste mais je suis contente. Là se situe peut être l'espace connu que des personnes concernées que d'autres personnes appelleraient une bipolarité. On peut l'être aussi et ça c'est à un médecin, un psychologue, un psychiatre t'en juger, mais pour ce qui concerne ma vie privée, c'est moi qui juge et qui décide et qui sait. Ce qu'il en est.
Les rapports entre les personnes, ce sont les rapports entre les personnes. Après l'histoire des recours à des tiers neutres c'est autre chose. Mais il ne faut jamais s'immiscer des tiers pas neutres. A mon sens dans une relation quelle qu'elle soit, c'est entre deux personnes que ça se décide, même d'avoir recours à un tiers neutre.
Parfois on dit des choses pour dire, et pourquoi on l'a dit, pourquoi on l'a pensé, pourquoi on l'a ressenti, ça vient après.
J'ai encore fait un de ces trucs que je peux pas raconter mais je l'ai fait. Parfois il n'est pas important de savoir dans les détails qui concernent soi ou d'autres mais ça n'empêche d'être content et de le partager.
Il faudra que j'essaye d'expliquer comment on peut s'auto bloquer en pensant à tout ce qui sépare, alors qu'il suffit parfois de juste parler pour justement savoir ce qui sépare ou ce qui rapproche. Et ensuite décider ensemble, à deux, dans un échange individuel, du biais je dirais et de tout ce qui se trouve dans ce biais, qu'il soit impressionnant ou pas.
On n'a pas l'occasion plusieurs fois dans sa vie de certains choses qui font larmoyer Smile Je préfère le bonheur de ces choses, de ces instants. A ce que l'on pourrait ensuite en pensant.
Donc c'est cela oui, quand on ne sait plus où reprendre, il suffit d'aller en parler à la personne avec qui on veut finaliser, ou reprendre là où des tiers s'étaient interposés.
Ca fait mystérieux oui je sais mais ma vie est pleine de mystères Smile ou alors de secrets avec des gens et les secrets ça se raconte pas.
mes secrets à moi c'est autre chose. il ne concerne que moi et c'est moi qui en assume l'impact.
Ce qu'il faut dire dans la vie c'est ce que tu écris et quand tu te relis, tu te sens bien, en cohérence avec toi, tes valeurs. En règle générale ou du moins pour ma part, comme j'assume tout ce que j'ai vécu, je suis moins parasitée dans mon propos à l'instant T par les conséquences éventuelles. J'assume toujours mes propos et la conséquence de ces derniers, bien entendu ils n'incluent jamais d'autres personnes.
Va-t-en expliquer l'indicible. Mais comment ? en prenant le bus, c'est bien le bus, on voyage et on rencontre des gens sur la route, des gens bons pour soi.
Il suffit d'un pas. C'est fou ce qu'un acte peut sembler ou pas, chargé. Tout dépend qui on est, qui c'est, et pas mal d'autres choses. Et après ? après ça semble plus léger.
On ne m'avait jamais contrariée plus d'une semaine.
7 ans. Bordel, quelle connasse. Dtc ma grande et see you never again.
Il y a toujours un moyen de dire "je t'emmerde" et de toutes les façons possibles. Gros bisous hein Smile

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 22:21

Mais alors si je suis un peu plus intelligente que ce que je pensais, les personnes que je trouve moi intelligentes elles le sont alors encore méga ultra plus que je ne le pensais Smile 

Pardon d'avance pour celle là : il y a des qui écarte les fesses plus vite qu'on ne peut leur ouvrir l'esprit, hein !
J'espère que je serai là quand ça va se retourner.

Y'a des trucs je suis bien barrée quand même, j'ai des règles bien à moi et bien personnelles, médicalement ça va, tout est vérifié, moi en ce qui concerne mes codes persos, je conçois que tout le monde ne puisse pas me comprendre, mais bon comme je les écoute pas ceux là et celles là. ça va.

C'était impossible mais pourtant on l'a fait.  tongue cat whaouh

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Message par Invité Mer 22 Juin 2016 - 22:54

Parfois on archive et tant mieux, ça fait de la place, mais on n'oublie jamais.



N'en déplaise. Mais déperches toi, t'es marrant toi parfois on sait pas comment on est monté. Je voudrai que quelqu'un m'attende à tous les étages  Razz



ou l'histoire du grain de sable qui se transforme. Mais on va dire pour qui elle se prend, du mépris ! Mieux vaut pas que tu saches cocotte ce que je pense de toi. Je suis réglo à l'insu de mon plein gré, c'est pas de ma faute et ça met en coeur en paix, que veux tu. On va pas se refaire et on va me refaire non plus.

Il faudrait prévoir la version inversée de : 



C'est toi que j'aime pas. Faudrait que j'invente des mots invisibles qui te montrent à quel point tu m'indiffères.

Ce que je fais quand je suis en colère ? je m'assoies et j'attends de voir si c'est pas le but justement recherché. Pas besoin de dire au pigeon qu'il l'est, souvent il le sait  Wink ou alors lui faire passer des tests pour lui apporter une confirmation.  Very Happy Là où y'a du vice, je mets pas de plaisir.



On ne peut pas attaquer ni atteindre un bisounours parce que justement c'est un bisounours.


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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 2:03

dsl...


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Message par jolindien Jeu 23 Juin 2016 - 9:03

https://youtu.be/bv9-ZfrTW8A

Au devant de soi

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 11:16

On me l'avait pas dit a écrit:Parfois on archive et tant mieux, ça fait de la place, mais on n'oublie jamais.



N'en déplaise. Mais déperches toi, t'es marrant toi parfois on sait pas comment on est monté. Je voudrai que quelqu'un m'attende à tous les étages  Razz

une belle image, l'amour c'est attendre l'autre à chaque étage et faire comme si on la croisait pour la première fois

euh y a combien d'étages? 23 oulaaa :-)

se dépercher, descendre de sa condition pour dans la foule trouver l'autre, entre bisounours, pigeon et pas aimés, ceux qui finalement nous font penser qu'on a bien fait de se dépercher en se dépêchant lentement, en prenant tout ce temps qui rend les choses importantes

le plaisir de la lenteur, quoi déjà le 12ième étage, mais je vais bien trop vite








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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 11:55

Déclaration en direct du café de la Madeleine.

Ecoutes le monde entier et écoutes bien parce que je vais pas le répéter deux fois, j'ai pas le temps de répéter.

Je descendrai bien à ton niveau afin que nous puissions échanger réciproquement, il s'avère qu'à l'insu de mon plein gré, je suis parfaite Smile De fait nous ne pourrons échanger que si tu fais des efforts pour te mettre à mon niveau, j'ai fait et je fais tous les efforts pour limiter ma perfection, donc à toi de jouer maintenant Smile

(merde faut pas déconner quand même, Bisounours c'est assez basique comme niveau à atteindre, t'as juste à dépasser le niveau "Pigeon" et même si tu n'arrives pas à jouer aux échecs, d'éviter de chier sur le plateau commun et plus particulièrement sur le mien Smile C'est pas beaucoup demandé, y'a pire hein Smile)

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:18

Si tu es dans la toute puissance et la non répétition, je vais œuvrer de répétions quitte a faire l’un puissant et a me rat baisser un peu à de l'ex-pli- qu'a sion supp lit ca(u)tion:

Je suis TOUJOURS sous estimé ici (dit sur zc en janvier).

Je dis ca tant pas compas sion que par retour d'aide^^

Comme ça sa fait un bon complet - ment ^^

Et ça me plait de laisser paraître le contraire, car c'est cela la perfection, et c'est bien plus amusant Razz

Et puis ça froise moins les gens Rolling Eyes

Qui qué prix qui croyait prendre, celui qui parle et qui sait, a souvent mémoire courte et sourde oreille.

Je suis une boule a facette, combien en ais je montré ici   Perplexe  

Pété de rire


C'est beau la prétend sion ^^

Super poux voire, oui mais laid quelles ?  Dent pétée

En m'aime tant, tu est haut nette Very Happy

Pour rat pelle, je suis ici depuis quelques temps pour m'amuser, et peut etre, y retrouver ma belle. Encore faudrait il qu'elle lise ici, qu'elle sache le fer et qu'elle soit en mesure d'image y nait qu'une piece n'a deux vas l'heure que quant elle a de faces, des fesses on en a une paire, des couilles aussi, des yeux aussi, des oreilles, aussi, mais ça, tu le sait deja^^

Après, c'est pas parce qu'on a tout ça qu'on offre le tout a n'importe qui.
Moi je gare deux beau coup, beau coup pour ma belle, histoire qu'elle ne s'ennuie jamais, car à tout des voiler, au final on a rien a gagner.

Ce qui fait la pièce et que le tout se tient, c'est la tranche, et là, claire ment, je m'en paye une bonne ^^

Sois cool !

Flebelebele !


Amour Amour Amour





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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:19

J'ai passé toute ma vie à n'être que moi et à ne devenir que moins en pire sur certains points Smile et en mieux sur d'autres, c'est à dire personne (sans me dévaloriser ou me surévaluer), ce fut sidérant de constater qu'on eusse accordé alors tant d'importance à mes propos voire à moi.

On est toujours assis que son bull, ou dans sa bulle.

Sauf pour les personnes qui m'apportent, je suis qui vous voulez, je m'en tape le coquillage, le crustacé, le crabe farci, la moule, la mer, les vagues, le rivage, le paquebot, les mouettes, le ciel bleu, l'horizon, ect.

Je ne verrais toujours pas l'intérêt de s'emporter, là où il suffit de s'importer ailleurs là bas, loin....

Avant je disais des choses pas trop cons sans faire exprès, un jour je me suis retrouvée obligée à dire des choses intelligentes.

Le nombre de la tonne du milliard de personnes qui ont des choses ultra passionnantes, intelligentes, enrichissantes, constructives à dire sur cette planète, je sais bien que je suis cool, mais bon, quelle idée bizarroide alors de focaliser sur ma motcalisation.

Mais qu'est ce qu'elle dit ? mais qu'est ce qu'elle fait ? mais qu'est ce qu'elle pense ? mais qu'est ce qu'elle ressent ? 

Mais qu'est ce que t'en as à foutre ? Smile Mon regard c'est juste le mien, c'est un regard, une vision, une façon de voir, mon angle ou mes angles de vue. C'est pas la 9ème merveille du monde non plus.

Y'a vraiment des gens qui se coincent du luc pour rien.

Bon par contre tout ça je l'ai fait mais comme je dis souvent pas deux fois. Ce sont vraiment les personnes les plus géniales qui savent le moins qu'elles le sont. ALors je leur ai dit et n'en déplaise j'irai encore le dire.

Mieux vaut en tous les cas bien faire la part des choses de son fonctionnement, et bien faire le tri à 'entrée de l'indicible, et du disable.

Chez moi c'est dans le plus pavé qu'on se marre le plus Smile

Ah ouais alors t'es dans la série "je me foule le moins ?". Ca doit tourner quelque part par là Smile

On a inventé les phrases courtes pour avoir plus de temps avec on doit avoir les phrases les plus longues.

C'est une variante des chiffres et des lettres en fait.

Si ce vecteur là ici n'est pas le bon, allez chercher le bon là bas Smile Tu as des gens qui pensent normalement mais qui compliquent l'évident et le simple Smile

pourquoi tu fais pas comme moi ? ben parce que.

ca va mieux mais je vais encore mettre un peu de temps à m'en remettre, c'était bizarre le normal, j'irai plus Smile

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:23

Donc tu veux toujours avoir raison ? non je veux toujours avoir ma raison. et avoir non pas le mot de la fin, mais mes mots de ma fin à moi.

après les doués sont souvent des chieurs mais bon ce sont des hommes, il faut savoir attendre uniquement ce qu'on peut en attendre Smile et c'est dit que je sois pas une chieuse Smile

Penser souvent à son QI c'est peut être une façon de se situer en fait. Et à d'autres choses en lien, je conçois. Car parfois sans cela on doit plus savoir où on est, qui on est, si on est sûr. Ca se situe ailleurs.

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:25

Hier je me rendais compte que je reconnais certains de mes potes à leur Q à 30 mètres, tu parles d'un don ou d'un talent  Razz Razz Razz

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:30

Un jour, un jour.... on m'a dit tu n'es pas à l'extérieur ce que tu es à l'intérieur....

Ce à quoi aujourd'hui je réponds : déjà que certaines personnes confondent l'envers de l'endroit, je vais en plus leur charger la tâche  Razz

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 12:37

Il y a des réponses qui ne se vendent pas en magasin et qui ne sont pas universelles (on dit ça ?) il y a des réponses qui sont dans des gens parce que c'était eux et parce qu'ils ont fait comme ça, c'est ces personnes qu'il faut aller rencontrer. Leurs réponses sont uniques et sont uniques pour soi et sont les bonnes.

Ca me rappelle quelque chose et quelqu'un Smile mais moi je m'en fous. Ca c'est moi qui l'aies dit et c'est moi qui l'ai trouvé tout seule en passant par moi et par mes chemins que moi j'ai pris

Tu savais que les passages pour piétons, moi j'appelle ça les chemins de traverse, traverses la route et ne te fais pas écraser.  sunny

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 13:51

Very Happy Impec ! 

Oui, chacun ses routes, ses chemins, tous mènent à Rome de toute façon.

Je te souhaite de trouver Ton rhum.

Moi, j'ai arrêté de boire, apres avoir comment sait, art êté de fumer apre raie n'a voir jam hais art êté.

Mon haie r'heure d'aiguille age de 2009 m'a amen né à des détours qui me fort ce à des tours, et j’espère un jour trouver ma tour sans détour.

Je t'après scie beaucoup, mais comprend toute ma raie serve que peu con prennent ici, et oui, je choi si mon cost hume, car toux à un prix, lit mage eau scie.

Wink

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 13:55

en fete, sait vache ment plus agrès ha bleu et saint ple d'haie cris re-com'  ça  Shocked

Mon eau tr'eux écris 'ture haie plus fat y gante car 2 ment dent plus de précise ion.


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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 13:57

C'est tout à fait ça trouver son bon compas et en évitant les gnons.

Bon quoi qu'on dise couacs on fasse ou pas, on va quand même mourir en jour, peut être que le sens de ma vie a été et est alors d’œuvrer au mieux à pouvoir mourir, bien, mourir, au mieux et surtout en paix, un jour.

Merci de vos propos Smile plaisants à lire Smile et quelques uns qui me font rire ou sourire Smile Je ne réponds pas à tout, le fait que je sache tout est une r'humeur qui court depuis longtemps, mais pas assez vite pour me rattraper.

Je persiste à trouver bizarre le fait de pouvoir passer d'un mode normé à un mode moi. ou alors je suis un transformer et là dessus on ne m'a pas prévenue non plus Smile Si ça continue faudra que ça cesse.

On ne sait jamais ce que l'on va faire, mais ce qui est fait est fait Smile

je crois, ou alors j'ai eu du bol, qu'il y a toujours un truc qui permet de décoincer quelque part. le fait de pouvoir choisir et de pouvoir faire d'autres ajustements par ailleurs est une chance.

Je revendique encore et toujours le fait de ne parfois pas vouloir choisir, de surcroît lorsqu'il n'y a pas lieu et d'autant plus lorsque ce sont des choix que j'aurai du faire ou avoir à faire qui ne rentrent pas dans mes critères de choix à moi.

C'est comme sur celui d'être plus souvent une fille. Dès le départ ça m'a semblé beaucoup trop compliqué et trop complexe cette histoire.

Et finalement ça se voit d'autant plus du coup quand je fais des efforts Smile Pourquoi se fatiguer plus, quand on peut en faire moins ?

je ne suis pas une chienne folle qui court après des voitures, mais j'avoue avoir parfois suivi des personnes. mais pourquoi faire ? parce que justement je ne savais pas quoi faire sur l'instant et ça devait me sembler intéressant de savoir où ces personnes pouvaient me mener, au pire j'aurai passé le temps, au mieux j'aurai encore avancé et progressé.

pour l'intarissable je décline toute responsabilité, c'est aux autres de ne pas démarrer, activer, les sujets sur lesquels je le deviens.

La différence, n'est pas une maladie mentale, c'est une différence, on l'assume ou pas, et le moment venu ou pas.

J'ai toujours réussi à emmerder tout le monde sans faire chier personne, (je me comprends), parfois neutre pour protéger et se protéger, c'est bien et ça n'est pas pour autant se renier.

De toute façon la première et seule personne avec qui on doit être d'accord, c'est soi même. Après on peut s'attaquer à s'accorder avec ses sois même. Et ensuite voir si on peut s'accorder avec d'autres.

La base c'est l'endroit où on peut se replier en paix. C'est son terrain neutre.

Et je trouve que le plus cadeau qu'on puisse à faire aux personnes auxquelles on tient, c'est de savoir un maximum tenir debout tout seul, attendre des autres qu'ils ne cassent jamais la gueule..... c'est prendre le risque d'être déçue.

Voir les personnes à un niveau humain, tout le reste c'est autre chose.

C'est comme la hiérarchisation de ses pensées, on ne peut le faire que soi avec soi.

un médecin, un bon psy, un bon psychiatre c'est bien mais dans le cadre de la douance, et ça n'est pas grave, ils/elles n'apporteront jamais je pense ces plus que seul(e)s les doué(e)s peuvent s'apporter entre eux.

c'est du domaine du particulier à particulier. ça ne se passe pas par agence Smile

Mieux vaut se charger en cool l'émule, que la mule.

La vie c'est un truc qui se déroule, avec des trucs qui se déroulent, faut laisser comme le papier Q déroulait et on bidouille comme on peut là où on peut dans la mesure de ses moyens à l'instant T. Et le reste faut laisser glisser.... sauf sur la savonnette... et encore comme je l'ai toujours dit, pour moi chacun fait ce qu'il veut avec son Q du moment que c'est pas dans le mien et avec mon autorisation, j'ajouterai désormais, chacun fait ce qu'il veut avec son QI, du moment que c'est pas dans le mien et avec mon autorisation.

Je trouve que je fais beaucoup de progrès en philosophie de la vie mouah Smile j'espère que des gens seront contents, j'aime bien quand des gens sont contents, c'est mon talent d'Achille, Achille mais Achille wawa ou mon talent d'Achier Smile

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 14:09



t on dit je t'aime
Qu'on soit d' la Balanc' ou du Lion
On s'en balance on est des lions...

Pour tout bagage on a vingt ans
On a des réserv's de printemps
Qu'on jett'rait comm' des miett's de pain
A des oiseaux sur le chemin
Quand on aim' c'est jusqu'à la mort
On meurt souvent et puis l'on sort
On va griller un' cigarette
L'amour ça s' prend et puis ça s' jette



Pour tout bagage on a sa gueul'
Qui caus' des fois quand on est seul
C'est c' qu'on appell' la voix du d'dans
Ça fait parfois un d' ces boucans
Pas moyen de tourner le bouton
De cett' radio on est marron
On passe à l'examen d' minuit
Et quand on pleure on dit qu'on rit...

Pour tout bagage on a vingt ans
On a un' rose au bout des dents
Qui vit l'espace d'un soupir
Et qui vous pique avant d' mourir
Quand on aim' c'est pour tout ou rien
C'est jamais tout c'est jamais rien
Ce rien qui fait sonner la vie
Comme un réveil au coin du lit
Pour tout bagage on a sa gueule
Devant la glac' quand on est seul
Qu'on ait été chouette ou tordu
Avec les ans tout est foutu
Alors on maquill' le problème
On s' dit qu' y'a pas d'âg' pour qui s'aime
Et en cherchant son coeur d'enfant
On dit qu'on a toujours vingt ans...


---------------------------------------------------------

http://www.allthelyrics.com/fr/lyrics/lyo_ferry/thank_you_satan-lyrics-842566.html#ixzz4CP4sg2Qt


Pour la flamme que tu allumes
Au creux d'un lit pauvre ou rupin
Pour le plaisir qui s'y consume
Dans la toile ou dans le satin
Pour les enfants que tu ranimes
Au fond des dortoirs chérubins
Pour leurs pétales anonymes
Comme la rose du matin

Thank you Satan
Pour le voleur que tu recouvres
De ton chandail tendre et rouquin
Pour les portes que tu lui ouvres
Sur la tanière des rupins
Pour le condamné que tu veilles
A l'Abbaye du monte en l'air
Pour le rhum que tu lui conseilles
Et le mégot que tu lui sers

Thank you Satan
Pour les étoiles que tu sèmes
Dans le remords des assassins
Et pour ce c'ur qui bat quand même
Dans la poitrine des putains
Pour les idées que tu maquilles
Dans la tête des citoyens
Pour la prise de la Bastille
Même si ça ne sert à rien

Thank you Satan
Pour le prêtre qui s'exaspère
A retrouver le doux agneau
Pour le pinard élémentaire
Qu'il prend pour du Château Margaux
Pour l'anarchiste à qui tu donnes
Les deux couleurs de ton pays
Le rouge pour naître à Barcelone
Le noir pour mourir à Paris

Thank you Satan
Pour la sépulture anonyme
Que tu fis à Monsieur Mozart
Sans croix ni rien sauf pour la frime
Un chien, croque-mort du hasard
Pour les poètes que tu glisses
Au chevet des adolescents
Quand poussent dans l'ombre complice
Des fleurs du mal de dix-sept ans

Thank you Satan
Pour le péché que tu fais naître
Au sein des plus raides vertus
Et pour l'ennui qui va paraître
Au coin des lits où tu n'es plus
Pour les ballots que tu fais paître
Dans le pré comme des moutons
Pour ton honneur à ne paraître
Jamais à la télévision

Thank you Satan
Pour tout cela et plus encor
Pour la solitude des rois
Le rire des têtes de morts
Le moyen de tourner la loi
Et qu'on ne me fasse point taire
Et que je chante pour ton bien
Dans ce monde où les muselières
Ne sont plus faites pour les chiens...

Thank you Satan !


Il paraît qu'il a regretté à la fin de sa vie, mais bon, on peut pas non plus toujours savoir avant ce qu'on va regretter après... oui c'est vrai je suis parfois incohérente, paradoxale, contradictoire, mais c'est pas ma faute, je suis une fille et c'est les autres ils bougent tout le temps. Quelle idée aussi de faire des trucs qui nécessitent plus de deux minutes de réflexion, mais bon, bref.

Bon alors que vais je aujourd'hui ? je suis un truc ou pas ?  Razz

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Message par Invité Jeu 23 Juin 2016 - 17:15



Version plus actuelle Very Happy

T'as pas une IRL dans ton coin?

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Message par Invité Ven 24 Juin 2016 - 10:17

Deux marges, un problème
news lifes - news lifes :) - Page 19 Auteur
HÉLÈNE LAURIN
news lifes - news lifes :) - Page 19 Calendrier
2015/05/12
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Ce texte a été écrit dans le cadre de la journée d’étude «Investir les marges : objets de création, lieux de réfléxion», organisée à l’Université d’Ottawa par Marie-Andrée Bergeron et Pierre-Luc Landry le 25 avril 2014.
L
aissez-moi commencer ce texte abruptement, et par un rapide détour : plusieurs illustrateurs et bédéistes qui racontent leur parcours affirment avoir commencé à dessiner lorsqu’ils étaient enfants et expliquent qu’ils n’ont tout simplement jamais cessé de dessiner. C’est la même chose pour moi; j’ai commencé à réfléchir à la musique populaire à l’adolescence, et je n’ai jamais arrêté de le faire. Aujourd’hui, je travaille sur la muséalisation de la musique populaire; mon mémoire de maîtrise portait sur les compétitions d’air guitar et ma thèse de doctorat, sur les autobiographies du groupe Mötley Crüe. Les réactions que j’obtiens en avouant mes domaines d’expertise? « Hahaha! », « hihihi! », « vraiment? », « [yeux écarquillés] », « c’est rigolo! », « qui? », « quoi? »; bref, vous voyez le portrait. Et il me fait toujours plaisir de m’expliquer.


Allez, une nouvelle fois!


Dans mon mémoire de maîtrise1, j’ai étudié les représentations de genre (gender) créées au sein de deux prestations d’air guitar en compétition (oui, il existe des compétitions d’air guitar), deux prestations bien particulières puisque c’était des femmes qui « jouaient » de la guitare invisible (à l’instar du monde du rock, les air musiciennes sont bien minoritaires dans les compétitions d’air guitar). Pour ce faire, j’ai conduit une analyse intertextuelle de ces prestations. Effectivement, les performances d’air guitar reposent en grande partie sur l’intertextualité, puisque les chansons utilisées, les surnoms des air guitaristes et certains mouvements exécutés par ceux-ci font référence à de célèbres musiciens de l’histoire du rock. Les résultats de l’analyse m’ont permis d’aller repérer les représentations de genre dominantes développées dans les écrits journalistiques à propos des musiciens référencés par les air guitaristes à l’étude; j’ai constaté les différentes manières dont ces deux femmes ont pu réitérer ou, au contraire, subvertir les représentations dominantes. Ma conclusion est la suivante : la reconduite ou la subversion des représentations de genre dépend de l’air guitariste (TADAM!) (en fait, l’une les reconduisait et l’autre les bouleversait).
Pour ma thèse de doctorat, j’ai étudié l’autolégitimation articulée dans les récits de vie mythiques des membres du groupe glam metalMötley Crüe. Vous connaissez Mötley Crüe? Il s’agit d’un groupe qui a surtout été populaire dans les années 1980; chef de file de la scèneglam metal, connu et reconnu pour les cheveux gonflés à la laque, les maquillages, les vêtements excentriques en lycra de ses membres, et pour leur vie aussi débauchée et immorale que possible. Vous pouvez vous douter, par cette description, que plusieurs journalistes et commentateurs ont mis en doute leur appartenance au monde metal, voire à l’univers rock. Le groupe a eu beaucoup de succès, avec ses chansons accrocheuses, faites pour plaire au plus grand nombre, et son look volontairement choquant. Bref, tout chez Mötley Crüe transpirait la frime cheap, ce qui est généralement honni dans le monde metal, et même dans la culture rock plus généralement. En 2001, alors que le groupe est littéralement en train de mourir, sa première autobiographie, The Dirt, est publiée. C’est un succès monstre, en ce qui concerne les ventes, mais aussi – nouveauté! – du point de vue de la critique. S’ensuit cinq autres autobiographies en dix ans (pour un groupe de quatre membres!), en plus des nombreux documentaires réalisés pour des chaînes de télévision spécialisées comme VH1, A & E, MuchMusic, etc. Ces autobiographies constituent des occasions idéales pour les membres de Mötley Crüe de faire comprendre comment et pourquoi ils croient appartenir à part entière à la culture rock. Et c’est exactement cela que j’ai analysé. Ma conclusion est la suivante : les membres de Mötley Crüe se sont surtout légitimés, au début de leur aventure autobiographique, à travers leurs récits de vie, et non à travers leurs discours artistiques, comme le font d’autres musiciens; toutefois, plus les membres du groupe écrivent d’autobiographies, plus ils adoptent, justement, ce discours artistique qui leur manquait au début (TADAM!). J’ai eu énormément de plaisir à effectuer ces deux travaux majeurs (ainsi que tous les autres, dissimulés au sein de ces deux dissertations). D’ailleurs, si je vous ai exposé la pointe de l’iceberg de mes recherches, c’est pour vous montrer à quoi peuvent ressembler les études en musique populaire, mais aussi pour vous montrer que, dans ma tête, c’est simple : j’ai toujours fait ce que j’aime.

La première marge


Je suis au courant d’être une espèce d’anomalie dans le monde académique. Mais le suis-je vraiment? Suis-je la seule universitaire à avoir simplement poursuivi une certaine passion? Bien sûr que non. Même si la majorité des recherches a un aspect, disons, plus conventionnel que les miennes, je suis d’avis que plusieurs d’entre nous étudions ce qui nous anime fondamentalement. D’où, d’ailleurs, les psychodrames intenses que provoque très souvent la rédaction de mémoires et de thèses. Cela dit, je possède un avantage indéniable : mes objets de recherche se démarquent. Les personnes à qui je parle de mes recherches se souviennent généralement de moi. Il m’est arrivé de discuter avec un pur inconnu de ce que je fais et de me faire répondre : « Ah, tu es cette fille-là! J’ai déjà entendu parler de toi. » (!!) Mes objets de recherche me rendent également de facto sympathique et pleine d’humour. Autrement dit, cette marge, la première, m’est bénéfique. Et si vous pensez que c’est seulement en ce qui concerne la popularité dans des partys, détrompez-vous : j’ai eu des bourses de recherche à la maîtrise, au doctorat et au postdoctorat la première fois où je les ai demandées; j’ai toujours eu un boulot de chargée de cours, d’assistante de recherche ou d’assistante d’enseignement lorsque j’en avais besoin; le taux d’acceptation pour les colloques et les publications auxquels je postule est plus élevé que le taux de refus; il m’est même arrivé de me faire inviter dans les médias pour discuter de divers phénomènes musicaux. En somme, j’ai du succès et je suis consciente que celui-ci est dû en grande partie à mes objets de recherche, plus flyés que la moyenne.

Plusieurs détours


Or, il s’avère que, même si j’en suis très heureuse et très reconnaissante, je me pose des questions au sujet de ce succès, au sujet des bénéfices que me procure la marge. Dans le cadre de mes recherches sur la musique rock, je réfléchis souvent à la place que tient la rébellion dans la société. Vous le savez déjà : la rébellion fait vendre; mais, au-delà de cela, la rébellion est généralement une bonne valeur à cultiver. Mais attention : pas n’importe quelle rébellion! La rébellion créative à la Steve Jobs (ne pas penser comme les autres, mais bien s’insérer dans le modèle capitalo-consumériste), la rébellion « sexe, drogues et rock n’ roll » à la Mötley Crüe (ne pas agir comme les autres, quitte à faire un peu de prison, mais bien s’insérer dans le modèle capitalo-consumériste), la rébellion fâchée à la Radio X (ne pas vouloir réfléch— euh, que dis-je, ne pas vouloir payer ses impôts comme les autres, mais bien s’insérer dans le modèle capitalo-consumériste), la rébellion fashion à la Lady Gaga (ne pas s’habiller comme les autres, mais bien s’insérer dans le modèle capitalo-consumériste). Il est pratiquement de notre devoir d’être « hors-norme », d’être unique comme un joli petit flocon de neige. D’ailleurs, et c’est un beau paradoxe, cette marginalité peut être quelque chose de complètement mainstream aux yeux de quelqu’un d’autre – posséder un véhicule de marque Hummer est complètement rétrograde à mes yeux, mais incarne l’espace de rébellion d’un autre individu.
Vous me voyez venir : mes recherches peuvent très bien être perçues comme mon espace de rébellion; cette marge qui vend, en un sens, et dont je profite allègrement. Et c’est là où commence mon dilemme moral, parce que je ne fais pas ce que je fais pour revendiquer une quelconque insoumission; à tout le moins, ce n’est pas de cette marge dont je me réclame. Je m’explique : comme je l’ai déjà mentionné, je fais ce que j’aime, et c’est tout; j’ai été assez chanceuse pour savoir ce qui me plaît et pour trouver des mentors qui ont pu m’aider et qui m’aident toujours. (En passant, oui, je sais, je sonne comme une jolie fille s’apitoyant sur son sort parce que sa beauté lui cause des ennuis. De quoi je peux bien me plaindre, au fond? Mes trucs fonctionnent! Mais le but de cet exercice est de réfléchir à ma position de chercheure dans les marges, et c’est ce que je fais.) Je ne peux qu’espérer que la qualité de mon travail soit à la hauteur. Parce que, soyons sérieux/ses quelque secondes, c’est bien fanfaron étudier la culture populaire, mais quelques fois, les analyses portant sur des objets de la culture populaire manquent de rigueur. Lorsque qu’il ne s’agit pas d’un long monologue au sujet d’une chanson, d’un livre ou d’une série télé se résumant en somme à « wow, checkez comme c’est hot! » (ou à son contraire, « wow, checkez comme c’estrévoltant! »), ces analyses se résument souvent à une démonstration prenant sa source dans la fameuse « théorie du reflet ». Exemple fictif : si les films de Tarantino sont si populaires, c’est parce que nous vivons dans une culture de la violence; ces films sont un reflet de notre société. Ce type d’analyse est tellement simpliste, faible et fausse que les mots me manquent chaque fois. Les objets relevant de la culture populaire ne sont pas séparés du reste de la culture, ou du reste de la société, comme le suppose la théorie du reflet (un reflet dans un miroir est séparé de son objet le constituant, à moins que vous ne soyez sur les effets de l’acide). La culture populaire est dans le reste du monde, elle constitue nos activités quotidiennes, y participe et s’y insère. Les films de Tarantino participent à la culture de la violence; ils n’en sont pas un reflet! D’ailleurs, je comprends de moins en moins l’usage du concept de « culture populaire », comme s’il fallait qualifier ce qui nous accompagne à cœur de jour, tous les jours : web, télévision, musique, sports, littérature, cuisine, brosse à dents. Quand je vois la classical music star qu’est Kent Nagano, je me dis que Beethoven est pop. Toute culture est populaire, dépendamment de la manière dont elle nous accompagne. Diviser culture et culture populaire m’apparaît de plus en plus la marque d’un élitisme mal dissimulé. Ce que je fais? J’étudie la culture, je fais des études culturelles, des cultural studies. Voilà.

La deuxième marge (et un nouveau détour)


Mais bon, je m’égare un tantinet. Je vous ennuyais au sujet de mon dilemme vis-à-vis les bénéfices de la marge que je récolte amplement, alors que ce n’est pas du tout cela mon but. J’en arrive à la deuxième marge. Hop! Détour (vous êtes maintenant habitués) : depuis 2012, depuis la grève étudiante au Québec, je réfléchis beaucoup à ma place en tant qu’intellectuelle dans la société. En vrac, voici ce que j’ai compris de la grève :
— Même si, en théorie, il est bien admirable de faire de longues études, il faut que ces longues études servent à quelque chose. Si on ne sait pas quoi répondre quand quelqu’un nous demande « ce qu’on va faire avec ça », c’est un peu des années perdues.
— Même si on pense qu’on a raison – même si, bordel de merde, on a raison –, cela ne veut pas dire que la majorité de la population, de la presse, du système judiciaire, de la classe politique nous appuie d’une quelconque manière. Bien au contraire. Ce ne sont que certainstypes de rébellion qui sont acceptés; les autres (particulièrement ceux qui critiquent/veulent modifier un peu/veulent faire éclater le système capitalo-consumériste déjà établi) sont condamnables sur toute la ligne.
— Même si on ne casse pas des vitres, cela ne veut pas dire qu’on n’est pas perçu négativement. Bon, là, j’avoue qu’il y a peut-être quelque chose qui relève du syndrome du persécuté dans ma perception, mais faire dire de moi et de mes semblables qu’on prône la violence et l’intimidation car on s’affuble d’un carré rouge en feutrine, je l’ai encore dans le travers de la gorge.
— Et, deux ans plus tard2, on comprend, par les propos du premier ministre médecin, du ministre de l’Éducation médecin et du ministre de la Santé médecin, propos doublés de l’interdiction qu’ont les Ph. D. de se faire appeler « docteur » au Québec, qu’être docteure en études de la communication, malgré le tsunami majeur que constituent les technologies de l’information à tous les niveaux, ne vaut vraiment pas grand-chose.
Bref, j’ai compris que je ne suis pas bien accueillie comme intellectuelle au Québec (malgré les beaux discours sur la société du savoir et toute cette bullshit) et, surtout, que je me dois de trouver une utilité à ce que je fais. Ce ne sont pas des farces : j’aurais plus de validité sociale à être téléphoniste au centre d’appels de Desjardins Assurances! Donc, c’est bien beau avoir écrit une thèse sur un sujet rigolo, c’est super que j’aie pu en profiter autant, mais maintenant qu’elle est terminée, il faut que je lui trouve une valeur. Le hic, c’est que je ne suis pas certaine qu’elle en ait une.
Avant de poursuivre, je récapitule : même si la première marge me définit beaucoup aux yeux des autres, c’est la deuxième marge qui compte le plus à mes yeux. De manière générale, je bénéficie de la première marge, parce qu’il est bien vu de ne pas faire comme les autres; or je ne me sens pas du tout marginale de ce point de vue. Mais voilà : j’ai les deux pieds fermes dans une autre marge, vigoureusement condamnée par tous les types de dirigeants et même par une bonne partie de la population. Cet autre type de marge me force à justifier quelque chose qui n’est pas de l’ordre du justifiable; j’aime ce que je fais, je fais ce que j’aime, ça me fait sentir en vie! Dois-je affirmer qu’il est vraiment important de connaître les stratégies autobiographiques de célébrités pour savoir comment elles souhaitent que leur héritage soit perçu? Je ne suis tout de même pas aveuglée à ce point par ma recherche : non, ce n’est pas vraiment important.
Mais savez-vous quoi? Je suis confiante malgré tout. Je suis confiante à cause, justement, de la première marge dans laquelle je me situe. L’institution universitaire devient, par la force du nombre qui la fréquente, de moins en moins obscure. Les personnes de mon acabit, étudiant la culture quotidienne, sont de plus en plus nombreuses. Et quoi de mieux que de démontrer la valeur de la vie intellectuelle en discutant de musique, de séries télé, de sports? (Tant que ce n’est pas fait selon la théorie du reflet!) Conséquemment, je crois que, nécessairement, il devra y avoir un changement d’attitudes face à ces objets, mais aussi une découverte des avantages que l’université et une vie intellectuelle ancrée dans les mœurs peuvent apporter à nos vies. Autrement dit, la deuxième marge dans laquelle je me situe sera changée par la première. J’ai hâte. Je suis prête.
+++

Quels sont les paramètres qui vous permettent d’identifier un artiste ou une pratique comme étant marginal/marginale?


Serez-vous surpris si je commence la réponse à cette question par un détour? Pour ma première tâche d’assistante de recherche, je faisais partie d’une équipe dont la mission était de déterminer le nombre de CD (c’était une autre époque) québécois vendus entre 2000 et 2005. Nous avons beaucoup réfléchi à la question du « CD québécois ». Qu’est-ce qui détermine le « québécois » d’un « CD québécois »? L’origine du ou des musiciens? L’endroit où se situe le siège social de la maison de production? Celui de la maison de distribution? Ou encore de la gérance? Il y avait tant de paramètres et tant de cas limites (en vrac : Céline Dion, Québécoise typique mais qui habite depuis longtemps à Las Vegas; Arcade Fire, qui se réclame de Montréal mais dont le leader est Texan; Roch Voisine, Néo-Brunswickois qui a d’abord été connu au Québec, mais qui a été une véritable superstar en France; Isabelle Boulay, dont quelques albums de la discographie sont parus sous une étiquette française). Notre solution a été de laisser parler les autres : épluchant les ressources documentaires disponibles (c’est-à-dire les journaux et le web), nous étions à la recherche du mot « québécois ». Dès qu’un/e journaliste, que le/la musicien/ne même, ou qu’une description quelconque affirmait qu’un musicien, que l’équipe de gérance, que la compagnie de disques, ou que n’importe quelle combinaison de ces éléments était québécois, BINGO, nous avions un CD québécois.
J’ai conservé cette manière de faire, peut-être car il s’agissait de mon premier emploi universitaire. Je suis devenue allergique à toute forme d’étiquetage fait par autrui de positions fondamentalement subjectives, nécessitant par le fait même un continuum. Et c’est le cas avec la marginalité. Par exemple, je sais, avec preuves (!), que certaines personnes me considèrent super wild. Mais comparée à Zombie Boy (ou plutôt, à ce que j’imagine de la vie de Zombie Boy), ma vie est d’une platitude rare. Et moi-même, je me trouve bien ordinaire. Vous voyez le portrait.
Mötley Crüe, maintenant. Les musiciens du groupe se perçoivent comme des rebelles, des êtres libres qui n’en font qu’à leur tête, affranchis de toute influence, comme des individus uniques créant de la musique unique pour des personnes uniques. J’exagère un peu leur position, mais vous imaginez bien le type de discours qu’ils peuvent tenir au sujet d’eux-mêmes et de leur musique. On pourrait facilement rejeter du revers de la main leurs caractérisations et affirmer – avec justesse – que Mötley Crüe est en fait assez conservateur comme groupe, que leur musique n’est pas particulièrement originale, que les membres du groupe ont recréé des clichés rock qui avaient déjà été établis par Black Sabbath et Led Zeppelin, notamment, qu’ils entretiennent une industrie du disque moribonde, s’accrochant à leur succès d’antan sans essayer quoi que ce soit de nouveau. Mais ce genre de critique m’intéresse peu, au final, car ce n’est qu’une critique indignée, qui ne prend pas en compte le matériel de recherche même, qui est dans ce cas-ci les mots des membres de Mötley Crüe. Ce que je trouve intéressant, en revanche, c’est comment et pourquoi les membres de Mötley Crüe se disent marginaux et ce que leurs discours créent, pour eux, pour la culture rock, pour les fans, etc. Quels mots utilisent-ils? Qu’est-ce que ça crée comme effets? Qu’est-ce que leurs discours marginaux accomplissent? Voilà ce qui m’intéresse chez les marginaux, en fait chez ceux qui s’avouent marginaux : les effets de leur propre identification.

Vos recherches participent-elles, d’une manière ou d’une autre, à dépasser les paramètres disciplinaires et la structure institutionnelle de l’université, notamment par le fait de relayer, directement ou non, la parole des marginaux et marginales?


Oui, je crois que mes recherches participent à dépasser les paramètres disciplinaires et la structure institutionnelle de l’université. Toutefois, je dois avouer que je sens moins que ce dépassement se fait par rapport à la parole des marginaux/ales que par mon engagement envers les objets de culture populaire – ou tout simplement la culture, comme je l’ai écrit plus tôt. Même si les études culturelles sont très attachées à la théorie et pataugent dans des processus sociaux complexes, les chercheurs de ce champ ont l’avantage de réfléchir à des objets qui accompagnent quotidiennement une bonne tranche de la population; il me semble donc que l’engagement envers la culture constitue un point d’accès idéal vers la vulgarisation au plus grand nombre. Voilà comment il sera possible d’arrêter de se parler seulement entre nous, entre chercheurs/res, professeurs/res et étudiants/tes aux cycles supérieurs en arts, en lettres et en sciences sociales, et comment nous pourrons établir un dialogue avec la population. Je vois d’ailleurs une meilleure compréhension du féminisme depuis les cinq dernières années (quoique je vois également un refus total du féminisme, je l’admets, mais c’est une autre question), et je soupçonne que les médias féministes mainstream, comme JezebelHuffington PostChâtelaine (!), mais aussi plusieurs commentateurs-trices féministes écrivant sur différentes presses web, d’être partiellement responsables de ce changement graduel des mentalités.
Vous avez bien lu : je viens d’écrire le mot « mainstream » en le vantant. Je ne suis pas d’avis que c’est en relayant les paroles et les pensées des marginaux/ales que le monde peut être modifié. La marginalité n’est pas immuable, elle est beaucoup trop instable; les marginaux de l’un sont les straights des autres. En ce sens, il leur manque une assise bien stable pour pouvoir être considérés/ées comme vecteurs de changement. Par contre, la quotidienneté d’une figure, le fait que tous lui soient familiers peut changer des choses. Lady Gaga peut être vue comme une marginale; elle peut aussi être perçue comme une « wannabe rebelle », absurde et sans substance. Mais elle estquotidienne. Tous peuvent (s’)y référer; les médias mainstream discutent d’elle et nous pouvons potentiellement faire l’effort d’interpréter ce qu’elle représente. Même chose pour la chanson « Blurred Lines » de Robin Thicke (qui ne m’apparaît pas du tout comme une figure marginale, quoique je suis certaine que plusieurs personnes trouvent Thicke bien audacieux d’avoir produit cette chanson, l’audace étant, eh oui, une caractéristique allant souvent de pair avec la marginalité); cette chanson en a fait davantage pour rendre accessibles les revendications féministes que mille ouvrages savants, grâce aux analyses féministes – inspirées des cultural studies – très abondantes à son sujet. Et, si la tendance se maintient, cette chanson aura ramené son interprète dans la marge, puisque son dernier album s’est vendu à quelques dizaines d’exemplaires seulement dans le monde durant sa première semaine en bacs. Quel dénouement!
http://www.lecrachoirdeflaubert.ulaval.ca/2015/05/deux-marges-un-probleme/

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