7 besoins relationels

Un vieux texte trouvé je-ne-sais-où il y a longtemps et qui fait écho encore aujourd'hui :

besoin de se dire

besoin d'être entendu

besoin d'être reconnu

besoin d'être valorisé

besoin d'intimité

besoin de créer

besoin de rêver

Plutôt que le besoin de se dire, n'est-ce pas plus généralement le besoin de s'exprimer, qui peut aussi passer par le corps ? Ou était-ce une acception de dire où c'était sous-entendu ? De même pour le besoin d'être entendu. En utilisant des termes peut-être un peu trop techniques, on pourrait dire : besoin d'émettre et besoin d'être reçu (émission/réception en transmission du signal).

Par ailleurs, je ne suis pas sûr que les besoins de créer et de rêver soient des besoins relationnels.

besoin nécessaire et suffisant, l'amour

Beautymist a écrit:besoin de se dire

besoin d'être entendu

besoin d'être reconnu

besoin d'être valorisé

besoin d'intimité

besoin de créer

besoin de rêver

oui c'est bien du relationnel , tisser des liens par la parole, par les actes, par ce qu'on est

Avec un ajout :

oser recevoir les messages positifs (que vous renvoie l'entourage)
oser envoyer les messages négatifs

c'est bien entendu super basique... sauf si on a grandi dans un milieu violent et qu'on ne connaît du relationnel que chantage affectif, divers moyens de pression (par l'argent...), manipulation, emprise psychologique etc...

Beautymist a écrit:c'est bien entendu super basique... sauf si on a grandi dans un milieu violent et qu'on ne connaît du relationnel que chantage affectif, divers moyens de pression (par l'argent...), manipulation, emprise psychologique etc...

on parle de besoins pas du fait qu'ils soient satisfaisables dans de bonnes conditions en cas de tels environnements

mais même en environnement destructeur , on peut prendre conscience qu'il existe d'autres environnements, même si parfois ceux ci ne sont pas évidents à rejoindre

le monde est relationnellement très agressif, nouer des liens en ce osez recevoir des messages positifs demande confiance et contre validation des expériences passées

pour la réception des messages négatifs elle est tout simplement impossible dans certains cas

en dehors du cercle familial destructeur, j'ai découvert plein de possiblités relationnelles.

avec une corrélation étonnante entre relationnel simple, travail valorisant et bonne rémunération (comme si les 3 étaient liés).

bref, même si c'est dououreux, difficile voire éreintant, aller chercher l'effet Pygmalion à l'extérieur du milieu toxique d'origine, chercher des témoins lucdes et des tuteurs de résilience.

aujourd'hui encore c'est ma mission de vie et je l'accepte (ce message s'auto-détruira dans les 3 sec. bien entendu). ;-)

Zebulon,
Le niveau de perception que l'on possède et la sensibilité nous emmènent dans une réalité sensible au-delà de celle possible pour bon nombre d'humains.
Cadeau, fardeau, c'est selon...c'est toujours selon
Quitte à être différent, je veux bien l'être ainsi.

Je reviens à cette liste de 7 besoins relationnels (trouvée je ne sais plus où) et constate aujourd'hui que 99% des gens ne sont pas compatibles avec moi (rien d'étonnant, en fait) et que par rapport à certains, il est normal que j'éprouve de la haine;

Quand aucun de vos besoins relationnels essentiels n'est comblé et que votre vie sociale tourne au calvaire... J'en suis toujours là, avec ma (sur)vie qui ne tient qu'à un fil;

Les victimes (surtout celles qui ne sont ni entendues, ni crues, ni aidées, ni prises en charge, ni reconnues etc...)ont la rage.

j'espere qu'un jour tu auras fait la paix avec cette haine pour non pas oublier mais pour construire un chemin plus éclairé et bienveillant

zebulonex a écrit:

j'espere qu'un jour tu auras fait la paix avec cette haine pour non pas oublier mais pour construire un chemin plus éclairé et bienveillant

Merci zebulonex;

C'est une expérience traumatisante de voir ces violeurs d'enfants récidivistes pourir (lapsus je voulais écrire "mourir" mais bon c'est bel et bien des pourris) les uns après les autres, tranquilles dans leur lit, et sans jamais avoir répondu de leur crimes.
La colère devient permanente, la tristesse infinie, la haine et le dégoût s'incrustent et le sentiment d'injustice s'ancre dans l'âme meurtrie (ou ce qu'il en reste).

Cependant, je suis encore en plus ou moins en vie, à moi de faire bon usage du peu de temps qu'il me reste - ça fait tout de même près de 50 ans de vie gâchée par des violences extrêmes au quotidien. L'impunité totale des agresseurs est dévastatrice. Il paraît que le système judiciaire est corrompu et dysfonctionnel (c'est l'opinion publique couramment exprimée autour de moi, mais je lui ai fait naïvement confiance, en n'étant ni préparée à cette épreuve, ni bien conseillée ni bien accompagnée. C'est en train de changer, mais ça reste très lourd à porter au quotidien. difficile sinon impossible de ne pas être envahi bien malgré soi d'idées noires, de ruminations anxieuses, de rêve de vengeance obsessionels qui eux aussi vous pourrissent bien la vie.

Pourtant je sais bien que personne n'a le droit ne me faire autant de mal, que c'est insupportable et inacceptable, immoral et illégal, mais on se sent bein souvent (je ne suis hélas pas la seule dans ce genre de situations horribles) ni cru ni entendu ni compris ni entouré ni (bien) accompagné.

Et malgré des efforts parfois surhumains, on finit par sombrer quand même.

Elle dit son besoin.
En rajoute une couche un peu trash pour insister, et montrer sa détermination.
Tu n'en fais pas les frais. Si ?

Voui.

Beautymist a écrit:
Les victimes (surtout celles qui ne sont ni entendues, ni crues, ni aidées, ni prises en charge, ni reconnues etc...)ont la rage.

Oui.
Je suis dans ce cas.
Donc j'ai la rage.
Je me débrouille comme je peux avec ça.
Pour moi, ça passera par un livre, je ne vois rien d'autre.
Prendre les ondes sympathiques et empathiques et fuir les nocives.
L'amitié, l'amour...
"La haine engendre la haine, seul l'amour guérit"
"Évidemment pour guérir d'une blessure il faut aussi qu'elle ne soit pas envenimée en permanence."
"La morale de l'histoire, c'est que quand on recrache le passé et que le présent est encore pire, ça rend le vomi presque appétissant"
Stephen King
"Une belle âme est simple, enthousiaste et franche, sans dédain et sans malice, sans égoïsme et vanité"
"La résilience est la clef qui ouvre les portes du paradis aux êtres sensibles"
Nanan-akassimandou
"Ceux qui errent ne sont pas toujours perdus"

[une personne] a demandé avec insistance à connaître DANS LE DETAIL les sévices que j'ai subi. C'est du voyeurisme pervers très fréquent dans la société où le malheur et la détresse d'autrui sont transformés en spectacle. On est donc onligés dans cette société de la répression émotionnelle, de faire bonne figure alors qu'on souffre le martyr et qu'on endure un véritable calvaire.

Les soi-disant "aides" elles sont soient inexistantes, soient insuffisantes (trop ,peu par rapport au besoin réel) et surtout arrivent trop souvent TROP TARD, un fois que le mal est fait.

Et [une personne] appelle ça "maider". C'est d'une hypocrisie incroyable. Vouloir "aider" l'autre c'est le considérer incapable ou handicapé, c'est dévalorisant et insupportable. Ca fniit soit en tyrannie, soit en pitié très méprisante.

Je ne veux pas (et sur quel ton le dire pour être ENFIN entendue) d'une relation d'aide dysfonctionnelle de type victime/sauveur/bourreau, mais d'un accompagnement professionnel de qualité, en complément de tout ce que j'accomplis déjà par moi-même (ce qui représente en soi un trvail de titan). Est-ce vraiment trop demander ? Le message renvoyé par la société des neurotypiques est que oui, en gros tu n'e spas importante, tu n'es pas prioritaire, tu $peux crever à petit feu dans ton coin. Sympa.

Mais m'offrir son amitié ? NON
UNe écoute bienveillante ? NON c'est une égoïste imbue d'elle-même.
Du respect ? NON plus (arriver ostensiblement très en retard au rendez-vous c'est un manque de respect évident, c'est sous-entendre que mon temps est moins précieux que le sien)

Bref, elle m'a bien fait CHIER (tout en prétendant m'aider et m'écouter) alors que je sature déjà. PUTAIN DE BOIRDEL DE MERDE

Je suis bien obligée d'être insistante dans mes demandes (puisqu'elles ne sont pas entendues et que le système rejette par principe toute première demande même justifiée c'est LA CRUAUTE ADMINISTRATIVE AU QUOTIDIEN) et vu ce que j'ai subi de TRASH, de jurer comme un charretier. Faut bien év&acuer d'une façon ou d'une autre.

Je me fiche complètement de ce que vous pouvez bien penser de moi !!! Je vais tout faire péter, ayant désormais la haine et ayant été poussée à bout. Quant on abuse de votre empathie, de votre gentillesse, de votre patience et de toutes vos belles qualités EN PERMANENCE, c'ets votre part d'ombre qui ressurgit pour vous défendre. Encore heureux que je sois enragée, sinon je ne serais même plus là pour en parler.

Le harcèlement moral auq quotidien pour me pousser au suicide, ça dure depuis des décennies.

C'est bien connu que les pires crimes se commettent en plein jour et que bien souvent le meurtrier est un membre de la famille.

Quand je dis NON poliment gentiment et patiemment, les connards de tous bords n'entendent pas, on est obligés (pas le choix !!!) de hurler comme une furie (et l)à les sales cons font passer les vraies victimes de maltraitance pour des hystériques, mais comme c'est commode). Et du coup, on devient triste et hargneux soi-même, la boucle est bouclée.

Cette société de merde et ce pays de Barbarie nous poussent à bout en permanence et vous vous étonnez qu'on explose en mode HULK ?!

Mais allez tous vous faire foutre avec votre pitié méprisante et votre façon blessante et tyrannique de soi-disant "aider" !!! MERDE MERDE MERDE et MERDE tas de lâches; d'indfférents et d'hypocrites.

Le discours victimaire VOUS dérange ? Alors c'est VOUS qui avez un problème. Les survivants du pire font du mieux qu'ils peuvent !!! Sans aucun soutien, sans accompagnement de qualité (pourtant vital, mais passons).

Je ne vais pas changer le système et la société à moi toute seule non plus.

Et pour finir sur une note positive (un peu d'espoir dans ce monde de brutes), j'ai désormais dans ma vie de tous les jours, un zèbre équilibré et bienveillant qui m'offre un accomapgnement de qualité, pile ce que je souhaite et ce dont j'ai réellment besoin. Les limites de chacun (pour une fois) sont respectées, je ne lui saute pas dessus avec ma détresse, et lui reste poli, attentionné, compétent et sympathique. C'est déjà pas mal, et je ne lui en demande pas plus, pas même d'être un ami. C'est une simple présence bienveillante.

Et ça fait du bien de voir (en l'observant) qu'il existe des zèbres équilibrés, affirmés et bien dans leur peau. Notre enfance, le transgénérationnel, l'épigénétique, le milieu dans lequel on a grandi, l'éducation reçue... on a beau dire, ça détermine beaucoup de choses. Notre part de choix et de $libre arbitre est limitée.

10lives a écrit:

Beautymist a écrit:
Les victimes (surtout celles qui ne sont ni entendues, ni crues, ni aidées, ni prises en charge, ni reconnues etc...)ont la rage.

Oui.
Je suis dans ce cas.
Donc j'ai la rage.
Je me débrouille comme je peux avec ça.
Pour moi, ça passera par un livre, je ne vois rien d'autre.
Prendre les ondes sympathiques et empathiques et fuir les nocives.
L'amitié, l'amour...
"La haine engendre la haine, seul l'amour guérit"
"Évidemment pour guérir d'une blessure il faut aussi qu'elle ne soit pas envenimée en permanence."
"La morale de l'histoire, c'est que quand on recrache le passé et que le présent est encore pire, ça rend le vomi presque appétissant"
Stephen King
"Une belle âme est simple, enthousiaste et franche, sans dédain et sans malice, sans égoïsme et vanité"
"La résilience est la clef qui ouvre les portes du paradis aux êtres sensibles"
Nanan-akassimandou
"Ceux qui errent ne sont pas toujours perdus"

Merci de ton retour.

J'ai de moins en moins de passage à l'acte par rapport à la rage, et je trouve que je canalise de mieux en mieux l'énergie de la colère. Après, je suis écorchée vive et faut pas me pousser non plus. Dans les périodes où est plus fatigués, on a faim, ou soif ou autre, ça ressurgit, et à l'improviste. DEs témoins médusés qui ne connaissent pas le contexte, peuvent trouver la réaction émotionnelle inadaptée ou disproportionnée. Vu les violences extrêmes, perso je trouve pas ça disproportionné du tout, ils devraient s'estimer heureux que je sois empathe et hypersensible, à ma place je connais bien de sneurotypiques qui auraient déjà commis un meurtre depuis longtemps...

J'aime bien l'humour de ton pseudo "10lives", en tant que chat noir, je me contenterai bien de 9 vies. A moins que, d'une certaine façon j'en ai déjà vécu 1001 ?

Bref, les espoir toujours déçus des travailleurs de l'ombre... Mais ils sont où mes droits d'auteur, mes rentes, loyers, et parts d'héritage ? Je ne suis pas assez pragmatique et obsédée par l'argent... et du coup, précarisée et fragilisée, comme tant d'autres bien sûr.

Beautymist a écrit:

10lives a écrit:

Beautymist a écrit:
Les victimes (surtout celles qui ne sont ni entendues, ni crues, ni aidées, ni prises en charge, ni reconnues etc...)ont la rage.

Oui.
Je suis dans ce cas.
Donc j'ai la rage.
Je me débrouille comme je peux avec ça.
Pour moi, ça passera par un livre, je ne vois rien d'autre.
Prendre les ondes sympathiques et empathiques et fuir les nocives.
L'amitié, l'amour...
"La haine engendre la haine, seul l'amour guérit"
"Évidemment pour guérir d'une blessure il faut aussi qu'elle ne soit pas envenimée en permanence."
"La morale de l'histoire, c'est que quand on recrache le passé et que le présent est encore pire, ça rend le vomi presque appétissant"
Stephen King
"Une belle âme est simple, enthousiaste et franche, sans dédain et sans malice, sans égoïsme et vanité"
"La résilience est la clef qui ouvre les portes du paradis aux êtres sensibles"
Nanan-akassimandou
"Ceux qui errent ne sont pas toujours perdus"

Merci de ton retour.

J'ai de moins en moins de passage à l'acte par rapport à la rage, et je trouve que je canalise de mieux en mieux l'énergie de la colère. Après, je suis écorchée vive et faut pas me pousser non plus. Dans les périodes où est plus fatigués, on a faim, ou soif ou autre, ça ressurgit, et à l'improviste. DEs témoins médusés qui ne connaissent pas le contexte, peuvent trouver la réaction émotionnelle inadaptée ou disproportionnée. Vu les violences extrêmes, perso je trouve pas ça disproportionné du tout, ils devraient s'estimer heureux que je sois empathe et hypersensible, à ma place je connais bien de sneurotypiques qui auraient déjà commis un meurtre depuis longtemps...

Voici 5 lignes qui me correspondent.
Je ne peux même pas les rédiger moi même, il y a ceux qui me captent et les autres qui ne comprennent rien et qui viennent me pourrir, je les emmerde, j'ai pas pour mission d'aimer tout le monde.
Ils y a ceux qui sentent, et ceux qui m'agressent dans le virtuel (sont derrière un clavier, c'est facile) je ne suis pas Jésus et ne tend pas la joue gauche...car je n'agresse JAMAIS le 1er.
Evidemment...le manque de sommeil...me met sur une mauvaise pente...
Et dans le réel...personne ne me cherche...la violence, je connais.
Donc en attendant que je continue à me réparer, le plus important pour moi c'est le sommeil...me calmer.
Et mon petit parcours ici...je me suis un peu calmé...car je suis sur la voie de retrouver mon sommeil...alors je vais continuer sur cette voie...me calmer.
La violence engendre la violence...il faut l'inverse.
Il te faut capter les bonnes ondes...trouver un ou une amie...qui te prenne comme tu es, à cet instant T.
Donc qui puisse COMPRENDRE cette rage !
Et écrire (enfin je dis ça, mais JAMAIS je ne prétendrais une méthode pour tout le monde, chacun fait ce qu'il veut et ce qu'il peut) mais c'est pas simple...c'est une torture pour moi...mais au final...je sens que c'est ce qu'il faut.
Rien que d'arriver sur ZC...un défi...ça m'a démolit...et je ne sais pas pourquoi j'ai continué...mais je suis mon chemin.
Et l'Enfer ne s'écrit pas.

Beautymist a écrit:J'aime bien l'humour de ton pseudo "10lives", en tant que chat noir, je me contenterai bien de 9 vies. A moins que, d'une certaine façon j'en ai déjà vécu 1001 ?

Oui 10lives, la 10ème live étant cette "vie" virtuelle.
Donc anciennement 9lives (de "Fritz the cat") je suis un chat.

Beautymist a écrit:Bref, les espoir toujours déçus des travailleurs de l'ombre... Mais ils sont où mes droits d'auteur, mes rentes, loyers, et parts d'héritage ? Je ne suis pas assez pragmatique et obsédée par l'argent... et du coup, précarisée et fragilisée, comme tant d'autres bien sûr.

Je me marre (y a plus que ça à faire des fois)...vu ce qui m'arrive aussi.

Beautymist a écrit:[une personne] a demandé avec insistance à connaître DANS LE DETAIL les sévices que j'ai subi. C'est du voyeurisme pervers très fréquent dans la société où le malheur et la détresse d'autrui sont transformés en spectacle.
.........................................

Et [une personne] appelle ça "maider". C'est d'une hypocrisie incroyable.

Je viens de vivre ça en quelque sorte...ces jours ci (!) sur ZC...en très subtil...des mois d'approche...j'étais alors en grand état de faiblesse...au plus bas (H.O)
Une fois qu'elle a attrapé le max...sa vraie nature s'est révélée.
Parait que c'est ça une PN, en ce qui me concerne je l'appelle "voleuse de vie".
Je tire les leçons de tout ce qui m'arrive.

Beautymist a écrit:Un vieux texte trouvé je-ne-sais-où il y a longtemps et qui fait écho encore aujourd'hui :

besoin de se dire

besoin d'être entendu

besoin d'être reconnu

besoin d'être valorisé

besoin d'intimité

besoin de créer

besoin de rêver

Je trouve que c'est juste comme besoin. Juste dans le sens c'est bien.
On a besoin d'intimité certains plus que d' autres.
On a besoin de créer des liens familiaux des liens amicaux, de l'art ou autre.
On a besoin de rêver. C'est essentiel. Enfin pour moi. Surtt si ce rêve devient un but.
Besoin d'être valorise. On le sait trop bien. Quand on est maltraité au travail c'est le burn out assuré
Besoin d'être reconnu. Quand on a été victime le fait d'être reconnu victime c'est enfin et c'est à partir de ce moment-là seulement qu'on peut commencer à se reconstruire et à se réparer.
Le besoin d'être entendu pareil quand on a été victime nous ordonne de nous taire ça nous bouffe de l'intérieur.
Besoin de se dire aussi. Pour moi ça va avec créer
Il faudrait retrouver l'origine.
https://anti-deprime.com/2014/10/20/les-7-besoins-reussite-couple-selon-jacques-salome/

Bon au départ c'est pour les couples.
Mais ça marche aussi pour les célibataires. C'est ce que je pense.

Peut-être que le besoin serait juste dû au sens d'induction, de l'extérieur vers l'intérieur.
Être serait de faire se rencontrer les sens d'induction (ext vers int et int vers ext) au centre,
ce point n'a pas de taille, l'information contient tout le reste et pourtant rien ne la contient.

10lives Merci beaucoup pour tes messages, je me reconnais pas mal dans ce que tu écris.



@Madame Picodon oui tu as raison, je m'ens ouviens maintenant ça vient bien de Jacques Salomé.

Je suis néanmoins toujours capable de m'émerveiller de la beauté du monde et de trouver des lueurs d'espoir dans les situations les plus noires et désespérées...

Invité a écrit:

Beautymist a écrit:[une personne] a demandé avec insistance à connaître DANS LE DETAIL les sévices que j'ai subi. C'est du voyeurisme pervers très fréquent dans la société où le malheur et la détresse d'autrui sont transformés en spectacle.
.........................................

Et [une personne] appelle ça "maider". C'est d'une hypocrisie incroyable.

Je viens de vivre ça en quelque sorte...ces jours ci (!) sur ZC...en très subtil...des mois d'approche...j'étais alors en grand état de faiblesse...au plus bas (H.O)
Une fois qu'elle a attrapé le max...sa vraie nature s'est révélée.
Parait que c'est ça une PN, en ce qui me concerne je l'appelle "voleuse de vie".
Je tire les leçons de tout ce qui m'arrive.

Moi aussi je tire des leçons de tout ce qui m'arrive. J'ai aussi d'incroyables inversions - des gens qui me semblaient hostiles qui au final m'ont donné les meilleurs conseils et stratégies de survie, de la bienveillance qui me tombe dessus par hasard (toujours de parfaits inconnus bien sûr) alors que je n'ai rien demandé, frôler la mort en permanence et enréchapper sans cesse de justesse, comme par miracle, comme si elle ne voulait pas de moi

Prendre du recul aussi c'est compliqué voire IMPOSSIBLE quand on est dans la m.... jusqu'au cou.

Je suis têtue, obstinée, déterminée, enragée (ça c'est moi qui le dit) et paraît-il (ça c'est les autres témoins extérieurs plus ou moins objectifs ou lucides qui me trouvent d'un courage exceptionnel). Le courage c'est avoir peur et le faire quand même. J'ai fait plein de trucs dans ma VDM que je croyais IMPOSSIBLES et pourtant I'm here I'm queer get used to it!.

d'ailleurs je considère de l'ordre de l'impossible et du miracle d'être encpore en vie malgré tout

parfois j'ai envie de me cacher comme les oiseaux pour mourir

putain de carence affective impossible à combler

et l'espoir toujours renaissant de se faire un ami, un vrai (tenir malgré la souffrance jusqu'à la semaine prochaine)
-

Quand je fais le bilan de ma vie soi-disant "amoureuse" je suis sous le choc (je suis en état de sidération chronique) de constater que je n'ai attiré (rien d'étonnant en fait, il y a une véritable fatalitré neurologique et biologique et un détermlinisme social et génétique très fort contre lequel on ne peut rien) que des pervers des profiteurs des salauids des connards à la sexualité de violeurs, y comrpis un surdoué mélancolique (comme quoi...) et un Asperger non-diag et qui s'ignore.

je me rends compte que la roue tourne, que la loi du karma fonctionne, parfois (pas toujours les salauds sont punis et justice est faite).

et puis autiste Asperger, très compliqué de se faire des amis

j'ai dé3jà un rapport plus apaisé avec le voisi3nag3e, je ne vais que chez les commerçants aimables et polis (y'en a d'agressifs et hostiles pas "commerçants" du tout alors que c'est leur métier impossible pour moi de comprendre leur attitude alors que je suis bonne cliente mais j'estime que je mérite mieux que ça que je souffre bien assez comme ça et que je n'ai pas à supporter leur agressivité du coup je change de crèmerie bien que c'est toujours un effort difficile et douloureux de changer/déménager etc quand on est autiste.

mais l'instinct de survie est le lus et m'étonne de jour en jour il me fait fait des trucs incroyables. je vais pas me fatiguer à vous raconter, vous ne me croiriez pas.

bref comme dit Audrey H'epburn Impossible ? I'm possible !

plusieurs exploits réalisés : retrouver un toit décent, me mettre moi-même en sécurité et à l'abri, sortir de la précarité et de toutes les emprises qui à être nouveau seule et isolée, avoir de quoi manger et payer les factures, équilibre financier encore fragile mais ça va mieux c'est plus la précarité absolue. et si jamsi ça va mieux financièrement ne pas m'en vanter rester discrète (je sais très bien faire), je ne raconte pas ma viez dans le détail aux commerçants dans le village contrairement à certains, j'en dis le moins possible et quand je parle c'est que pour dire du positif sur moi et ne pas me positionner en victime #autopromo

du coup l'échange est plus aimable, fluide, courtois et j'arrive à obtenir de l'aide, un coup de main ponctuel, un petit service entre voisins, toujours quelque choise de modeste et d'accessible et de plus en plus souvent les gens me disent OUi

on est aussi tombées d'accord sur plein d'autres trucs avec ma génaraliste (peu importe le détail) et c'est un tel soulagement d'être enfin crue et entendue
après je sais qu'elle a ses limites et moi les miennes, donc je me contente de ne demande que ce qui existe et qui est possible ici et maintenant

meilleures relations avec le voisinage immédiat tout ça c'est énorme

et du coup burn out et fatigue psychique aussi parce j'ai fait des efforts surhaumains trop longtemps et trop seule et c'est trop dur et je n'en peux plus

du coup je me dis qu'il est urgent de rélentir (je dois me forcer), de faire une sieste, de prendre des somnifères si besoin. je fais selon besoin/ressenti du moment c'est le mieux. quand l'aide/prise en charge est extérieure c'est toujours moins biien. on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même

j'ai quelques pistes/adresses de voisins bienveillants histoire de m'aider à tenir le coup cet hiver. sans illusion : on ne sera jamais proches ni amis, mais c'est mieux que rien

ils ont quand même eu le mérite de m'accueillir en leur sein et de m'accepter dans leur groupe telle que je suis

j'ai aussi toutes sortes de projets positifs et rêves à réaliser en tête mais je continue à être dérangée, harcelée, etc au quotidien donc très compliqué d'établir les priorités

et puis prendre soin de soi, encore et encore et encore et se protéger et se défendre aussi (moi non, je ne frappe jamais la première par contre j'ai des reflexes d'auto défense assez foudroyants faut pas me chercher non plus)

ne pas se mentir : la souffrance est atroce quotidienne et bien réelle et les délais d'attente souvent insupportables et comme on me l'a joliment dit ici "la part de bonheur est squelettique" mais quand il arrive grâce à l'hypersensibilité asperger il est intense aussi, et je ne peux me contenir, il éclate au grand jour et là le s frustyrés et les aigris et les mal dans leur me regarder de rtavers salopere de société de la répression émotionnelle gébéralisée j'ai le droit de vivre d'existert et d'être heureuse moi aussi

c'est fou ce que je peux susciter de haine de malsaine jalousie ça m'est incompréhensible alors que je souffre quand même le martyre faut pas se mentir

et l'énergie folle que ça me demande de faire bonne figure (pour ne pas donner à mes harceleurs la satisfaction sadique de me voir souffrir) alors je remets mon masque de souriante polie et avenante la comme il faut la jeune fille de bonne famille toussa toussa mais attention sous la surface le volcn de rage couve toujours et est rprêt à éclater à tout moment

à défaut de publier un bouquin j'évacue et j'écris un blog depuis 15 ans

même au fin fond de l'enfer je continue à peindre personne ne peut m'en empêcher ni m'arrêter

autre exploit surhumain j'ai récupéré tous mes tableaux, tout ce qu'ils ont tenté de me voler les salopards assassins

je voudrais tant donner un sens à toutes souffrances, que tous mes efforts ne soient pas vains

accepter l'impremanence des choses, être aussi calme et zen parfois (étonnant, n'est-ce pas ?)

bref, qui vivra verra

projet d'une aprem plaisir - pause bien méritée avec un zèbre bienveillant, humble et mélancolique (il ne se présente pas comme surdoué mais il l'est c'est évident

j'espère ne pas me faire trop d'illusions ni de faux espoirs, si peur d'être à nouveau déçue

je mourrais soit suicidée, soit heureuse et épuisée (burn out à répétition pas étonnant) et je suis parfaitement lucide sur ce qui m'arrive pas folle pas hystérique et pas psychotique non plus

parfaitement claire et cohérente pourvu qu'on prenne le temps de m'écouter vraiment (plusieurs certificats de médecins psychiatres à l'appui ce n'est plus ma parole contre la leur c'est des papiers OFFICIELS)

leur tentative de meurtre psychique a échoué, à moi la VICTOIRE ! (je porte ce prénom prédestiné et je m'y raccroche j'ai la foi je vis d'espoir et d'eau fraîche)

génie et mélancolie qui vont de pair

autre inversion : des gens intéressants à priori et bienveillants qui se sont avérés avec le recul jaloux cruels méchants etc... donc, ne pas se fier aux apparences. dès que j'ai la certitude de la cruauté/malveillance/jalousie maladive je coupe les ponts

il y a aussi une hiérarchie dans la galère et j'apprends que je suis pas dans la "pire" des situations, ce qui est horrible à entendre quand on a subi le pire

ceci c'est pas faux, je suis ni clocharde ni sdf ni à la rue mais mal logée chronique avec énorme incidence aussi son état de santé général autre que psy

écrire un livre, c'est le projet de toute une vie

autre exploit : trouver à proximité du domicile un médecin traitant bienveillant compétent à l'écoute qui me CROIT par rapport à la réalité des sévices
petit à petit une fragile relation de confiance s'installe ainsi qu'une alliance thérapeutique. me croire, entendre ma parole, ne pas mettre en doute ce que je dis, me croire aussi pour le syndrome d'Asperger, me reconnaître victime (ne serait-ce qu'au niveau médical est VITAL)
après c'est une généraliste c'est pas elle qui prendre en charge ni mon Asperger ni ma détresse péri-traumatique
mais il y a des choses que je peux lui demander et obtenir
par exemple, au contraire de certains de ses confrères elle me prescrit facilement des VSL sans se faire prier, elle se r"end compte que ma demande est justifiée sur le paln médical, que je n'abuse pas du système que mon besoin est vital et réel. c'est déjà HENAURME

et franchement par rapport à ifness je suis certaine d'avoir fait le bon choix

la véritable question est comment s'aimer quand on a reçu la haine de soi en héritage

tant que je ne saurais pas (mais commetn faire ? m'aimer absolument et férocement j'attirerais les mauvaises personnes. je dois d'abord décider de m'aimer, pour éventuellment être aimée (avoir des amis j'entends) ensuite

tout ça semble si évident mais c'est toujours plus facile à dire qu'à faire

si je me suicide demain ça n'aura aucune importance j'ai déjà vécu mille vies en une donc personne n'a le droit de me de conseils ni de me juger

je ne suis pas devenue suicidaire chronique par hasard non plus...