La case en moins.

... Et d'autres se dorent la pilule

J'avais pourtant dit depuis très longtemps que je ne jouais plus.



PS : Salut Orto, ça va ?

Ça va merci. J'essaie de me débarasser de cette grippe / crève. Normalement, passé la crise d'éternuements c'est bon. Il me reste encore une bonne rhinopharyngite.

Dis donc, on tombe comme des mouches tous.
De ce que j'en ai vécu, 3j courbatures monstrueuses, aphone, puis rhinite avec un débit oculonasal impressionnant, pharyngite, trachéite pendant 3j puis ça passe comme c'est venu.
Bref un virus hivernal à la con.

Moi j'attends d'être en vacances, comme à chaque fois...

moi j'suis précoce, je l'ai eue la semaine d'avant
3 jours avec un qi à deux unités, j'ai pas aimé du tout.

Bah, moi c'était avant Noel, la première semaine des vacances.
J'ai bien aimé mon qi à 2,5 : j'ai pu dormir.

Si ce n'est pas déjà le cas, vous devriez peut-être tenter la spiruline ?! ... oui, et le sourire de la crémière. Non, sérieusement. Après, c'est pas de la poudre de perlimpinpin non plus.

Qu'est qu'ils ont tous à se mettre un thermomètre dans le Q.I...

Surtout quand il faut un XXL....

Alice était entrée en scène attirée par un doux bruit qu'elle reconnaissait à peine. Une fois franchie la coupole, le bruit était devenue une musique, tout d'abord, une berceuse. Elle s'était laissée envelopper. Tout semblait recommencer comme avant. Elle retrouvait sa légèreté, elle se sentait belle, elle se balançait doucement, c'était doux. C'était sans compter que tout recommencerait, le meilleur d'abord puis le pire suivrait. Le pire a suivi, avec ses mensonges, ses trahisons, la laideur et la lourdeur, le vil et le puant. Elle ne pouvait plus faire marche arrière, la lourde porte s'était refermée. Cette fois-ci elle n'y échapperait pas. Elle savait qu'elle ne pourrait plus danser. Qu'importe. Elle a quitté ses ballerines, remis ses bottes de chantier et elle est partie au labeur, sans bonheur mais la rage au coeur pour moteur. Elle nettoierait ses écuries puisque tel était son destin. De ce purin, elle en ferait un festin. Du bulldozer au plumeau, elle ne renoncerait à aucun outil et apprendrait à tous les utiliser.
Les mois ont passé et elle a tenu la promesse qu'elle s'était faite. Plus personne ne la voyait, elle survolait de nouveau la vie dans l'évanescence transparente qui lui plaisait tant.
L'accalmie était là, le soleil et la lumière la réchauffait à nouveau, les ombres se dissipaient et la laissaient enfin un peu en paix. C'est alors qu'elle entendit à nouveau cette musique qui ressortait du chaos nettoyé. Son coeur à nouveau léger, elle se mit à nouveau à tournoyer. C'est à peine si elle sentit les doigts qui effleuraient sa main pour la saisir. Elle s'est laissée entrainée dans cette valse qu'elle connaissait si bien. L'étreinte était légère et douce et l'emportait en trois temps, en mille temps. Elle virevoltait. Elle failli voler, s'envoler à la force de ses ailes qu'elle n'avait jamais su déployer. Mais l'étreinte se resserra. Son souffle en fut coupé. Ses yeux qui s'étaient fermés pour ne pas céder au vertige s'ouvrirent. Sa salle de bal était devenue une prison. Elle était à nouveau enfermée. Plusieurs convives s'y trouvaient. Les quelques fidèles serviteurs de son hôte la regardaient, lui souriaient parfois et veillaient à ce qu'elle soit nourrie copieusement. La table regorgeait de mets mais aucun ne l'attirait. Elle fit le tour de la pièce. Elle était grande, les issues étaient nombreuses, les réjouissances aussi, jusqu'à la nausée. Le maître des lieux était là, assis contemplant un spectacle qu'elle ne voyait pas, ordonnant à ses valets tel ou tel acte auquel ils se soumettaient avec effervescence. Un parfum planait au dessus de cette ripaille. Ce parfum était agréable en tête mais ne suffisait à cacher sa traine. En fin, il se mélangeait encore à des relents de l'amertume de celle qui l'avait précédée. Ce parfum n'était pas un parfum, il était une odeur, mélange de ces parfums de basse cour.
Déjà vue, déjà connue, ces scènes ne l'affolèrent pas.
Pourquoi devait-elle encore s'y confronter, elle ne le savait pas. Peut-être parce qu'il était enfin temps de ne plus avoir à fuir. Elle s'assit donc. Des yeux elle scrutait les mets sur la table. Y'avait-il de quoi la nourrir durant les 3 jours qui allaient la retenir prisonnière ? Sous tout ce qui ressemblait à ces immondices, elle ne trouvait pas grand chose. Mais peu lui importait, trois jours n'avaient pas besoin de nourriture. Elle savait qu'elle en ressortirait, tout au plus amaigrie mais certainement pas dénutrie.

Le désir ne se manipule pas, il se suscite.

Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ?


J'ai soif.
ils m’ont donné du poison à manger, et pour boire, du vinaigre lorsque j’avais soif.

Tout est achevé



entre tes mains je remets mon esprit

Et le troisième jour il ré-suscita.

La prophétie : "cuicui, vous avez plus d'amis sur facebook que vous ne le pensez" est en train de se réaliser ! 

Il vient d'en arriver un 2ème !

T'emballes pas, c'est un bot ^^

ooooouh, çà joue taquin et sophistiqué ici ! Après, les garçons, les plugs c'est comme la spiruline, faut essayer. Bon, c'est pas tout çà, j'ai quelques ouailles à baptiser. Le corps du christ... Et allez en paix (... j'ai entendu comme un bruit ?!), faut que j'fasse mes petits paquets.

@Soto
Mais non reste !
Je ne suis pas spiruline, je suis chlorella mais je ne suis pas raciste !

Godzilla a écrit:T'emballes pas, c'est un bot ^^

Nan.

je suis chlorella

J'avais lu Cholera.

Moi c'est: hé l'beau là !

Fata Morgana a écrit:je suis chlorella

J'avais lu Cholera.

Moi c'est: hé l'beau là !

Rooooo, c'est mimi.

Je vire russe.

Blanc ou rouge ?

Rosé. (Je savais comment m'en sortir !)

La voie du milieu !
Tu vois que toi aussi tu es frappé par le bouddha !

Le bouddha est non-violent. Je peux mordre dans le bouddha blanc.

Vu mon anémie, je passe au noir.

Pour vous :

Bonjour Cuicui,

Je suis venue te dire que je t'ai pardonné toute ta vilénie et que je suis désolée si je t'ai blessé, si j'ai noirci ton passé, je t'en prie, Cuicui pardonne moi.

Y'a la fée et la manchote qui sont parties ensemble jusqu'à dimanche.
On va être tranquille un moment.
Je vais pouvoir lire Jean d'O.

J'en suis à la page 40. C'est la première fois que j’atteins ce palier.
Il faut que je fasse un résumé pour repartir sur de nouvelles bases et ne pas tout recommencer à zéro.