dans un contexte similaire - sentiments différents,
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dans un contexte similaire - sentiments différents,
Bonjour,
vous est-il déjà arrivé de vous réveillé dans un lit et une chambre qui renvoient à tant de choses du passé, dont tout à coup vous prenez conscience ?
Je suis dans la chambre où je me réveillais chaque matin avant d'aller en cours, il y a quelques années de cela.
Pourtant, j'ai comme l'impression que mes camarades de classe sont tout proches et que je vais retrouver le goût du petit déjeuner avalé à la hâte avant de sortir dans le froid, marcher jusqu'au lycée, au collège, pour aller à la primaire ou en maternelle... Régression que tout ceci !
Quoi qu'il en soit, je suis chez mes parents ces temps-ci, car j'en ai marre et assez de cavaler de par le monde, sans trouver mes réponses.
Je suis un peu perdu, soit, mais jusque-là je me sentais invincible, loin de ces sentiments et de tout compte à rendre.
En fait, je dors tard, car je squatte sur internet, et lorsque je me réveille, c'est longtemps après les heures où je me réveillais autrefois pour me rendre en classe.
Aujourd'hui, changement !
Je me réveille à une heure plus proche des départs en cours.
Bien que je ne pouvais que peu échanger avec ces "copains" de classe, ils me manquent.
Je ressens leur présence, je revois les silhouettes, j'entends les rires, je me rappelle du sentiment lors des "vannes" et "blagues".
Je voulais tant leur prouver que j'existe.
Une forme d'affection est ressentie et éprouvée, trop enfouie autrefois sous la honte de ne me comprendre moi-même.
Je me "shootais" aux sensations fortes ( dans le sport, les sorties, les lectures, la musique - rap de préférence - ) pour ne plus supporter ce trop plein d'impressions de la vie de tous les jours.
Comme cela remonte à quelques années, et que je ne vois plus de copains de classe ( ou complètement par hasard, voire de facon "organisée", mais si je m'y investis un peu - ce que je fais peu ).
Je ne rencontre plus les mêmes enseignant.e.s au jour le jour.
Je ne trouve plus ces devoirs sur mon bureau, d'ailleurs j'ai déplacé le meuble qui hantait ma pièce - la chambre - comme un lieu de torture.
Du bois sombre, malgré l'envie de vomir qu'il me donnait un compagnon de voyage.
Je me suis aussi défait du siège de bureau.
En fait, les dernières années furent tellement "loin" de toute cette répétition dans un cadre familial, que je suis un peu rassuré par ce qui autrefois m'oppressait.
Quelqu'un connaît "la chèvre de monsieur Seguin".
Depuis, la copine est partie... J'étais sûrement trop "différent" dans mon approche du monde ( et le mot zèbre ne m'est connu que depuis relativement peu de temps ).
Depuis, j'ai commencé et arrêté les études plusieurs fois, dans différentes villes.
Depuis, j'ai créé des groupes d'amis dont je me défaisais une fois que je ne trouvais vraiment plus de sens dans la ville où je me trouvais à cet instant précis.
J'ai vécu dans des appartements, chez des amis/de la famille, quelques semaines en hôpital psychiatrique, dans une résidence étudiante.
Je me suis trouvé à faire du stop sans argent, à rencontrer des zèbres, à aller contre toutes les conventions inculquées...
Et me revoici au point de départ, après trop d'expériences pour toutes les conter ici.
Je me suis tenu loin des médicaments, mais l'âme a souffert.
Peut-être serait-il difficile de se sentir une fois encore "premier" à découvrir une fois encore que l'horizon des possible se situe dans une classe devant un tableau avec une formule de maths figée dessus, par le temps, par la main d'un prof.
Il ou elle serait figée dans le temps, la craie à la main, en pleine démonstration, tournée de trois quarts vers le tableau, la tête vers les élèves.
Une mouche serait figée dans son vol, les copains... aheum... Pardon les "camarades de classes" chahuteraient en silence, statues de sel.
Les odeurs des souvenirs s'évaporeraient.
Je serais au milieu de ces souvenirs, heureux, mais le seul à vivre et respirer encore, car je suis là et eux et elles étaient déjà ailleurs avant même que je ne me rende compte que moi j'y suis.
Les couleurs de leurs vêtement fétiches, de leurs sacs de cours ( fallait être le plus "cool", la plus "fashion" ) avec les logos des marques, l'odeur des baskets mouillées pour avoir servi dans la pluie ou sur les gazons mouillées du parc, à jouer à se pousser dans les buissons.
Et nous voulions tous jouer les "adultes", plus "matures" que nous n'étions ou ne pourrons jamais êtes ( même les parents jouent la "maturité" devant les enfants, à défaut de savoir ce qu'est cette norme sociale... Toutes et tous nous aimons jouer des rôles lorsque nous ne savons plus jouer autrement ! )
Et puis, je revis ces sorties chez les copains.
Zèbre peut-être, entretemps je le suis devenu, mais pourtant, je les aime tant, toutes et tous.
Et je me souviens de la famille des copains, de la fille qui était amoureuse de moi sans jamais oser me le dire ( elle est sur le point de se marier, ou l'est peut-être déjà... Maintenant elle est instit dans une petite classe comme la nôtre de l'époque ).
D'une certaine facon, je l'aimais aussi, mais d'une autre facon : parce qu'elle faisait partie du décor, parce que nous jouions ensemble sous les préaux, toutes et tous, à la marelle, au foot.
J'étais 10 ans avec les mêmes camarades de classe.
Je n'ai de nouvelles que de l'un, de temps en temps, lorsqu'il revient dans la maison de sa mère décédée ( suicide ), laissée à l'abandon.
Il se raccroche à moi, comme je me raccroche à lui.
Au final, nous avons peu à nous dire.
Il me raconte des anecdotes que je connais ( les siennes ) et moi j'essaie de réconcilier quelque peu le zèbre avec l'enfant en moi... Peine perdue.
Mais, il vient avec sa copine, son chat, ses espoirs face à la vie.
Peu à peu, même le revoir m'éloigne des sentiments d'antant, ou plutôt : je me rappelle pour quelle raison autrefois avec les copains je ne rêvais que de partir très très très loin.
En fait, à force de me rapprocher d'un amour d'autrefois, du premier grand amour par exemple, je me rappelle à quelle point nous n'entrions en fait en rien en contact au fond, malgré l'illusion de la rencontre.
Je croyais qu'elles et ils ressentaient tous comme moi, que les vaches à côté du lycée et les moutons leur procuraient la même sensation du type "un jour on y repensera avec humour, amour, affection, toutes et tous ensemble, autour d'un verre à rire de nos jeunes années !"
Je crois qu'au final, ces instants les indifféraient.
Déjà la principale, le proviseur, la directrice nous parlaient du futur, et ce mot ne voulait rien dire pour moi.
Le "master plan", les voies du.de la dirigeant.e d'une structure éducative sont impénétrables.
Les cours de sports étaient notés comme un test pour notre "résistance" future dans le monde du travail, je ne m'en rendais pas compte.
Les cours de maths, de francais, d'histoire, se rapportaient à l'acquisition de compétences, j'écoutais en théorie, mais ne comprenais pas le sens concret.
Les autres savaient et chahutaient, moi je me demandait pour quelle raison ils.elles interrompaient les profs.
Je faisais pareil, pour m'adapter, mais ce combat me rendait très triste, comme si le fait d'être entre copines et copains ne leur suffisait pas, alors que moi c'est tout ce qui m'importait.
Les sorties de basket, de foot, de footing, les discussions entre copains ne faisait qu'atténuer la douleur de voir que ce ne serait plus ainsi un jour.
Moi je jouais comme si nous serions toujours ensemble, entre amis.amies.
Maintenant, ils.elles sont loin.
Les rares qui restent me paraissent aigris et passer du temps avec ceux.celles-là m'est insupportable, car très loin de la joie éprouvée avec ces amis d'antant qu'ils n'ont jamais réussir à l'être, même à l'époque.
Donc, je rêve d'un autre rapport à la vie.
Et je suis dans la grande maison des parents.
Ils sont au travail.
Moi à 26 ans, j'ai tout claqué : fuck la life, mais "fuck" parce qu'à force d'aimer je me suis trouvé bien seul.
Cette fille que j'aimais ne voulait plus de cette "différence" et moi j'aime trop la vie pour l'aimer elle, si elle me considère ainsi.
Ces copines et copains, si elles, s'ils sont parti.e.s, c'est que nous n'étions ami.e.s que par convention.
J'aimerais redécouvrir cette petite ville où je suis encore enfant.
J'aimerais la vivre autrement qu'en revoyant des souvenirs vivre à chaque intersection, devant chaque commerce ( la plupart fermés depuis ), sur la place de la foire, sur les remparts, tous des lieux qui réveillent des souvenirs de sorties, d'anniversaires, de footings communs, d'espace, d'air, de jeu(x).
Etre le premier et le dernier à fois, était-ce prévu pour moi, même à l'époque ?
Je ne m'en rendais pas compte à toutes.tous les imiter sans trop comprendre leur jeu, leur manière de faire.
Je me suis extrêmement attaché à ce rôle, à ce personnage, car il signifiait quelque part que j'étais néanmoins un peu aussi un enfant comme les autres, malgré tout.
( j'aime les paroles, ces "ami.e.s mort.e.s" d'une certaine facon, à un monde fait de compétition - la nouvelle forme de guerre - contre lequel ils.elles ne savaient que faire... Que la seule force est l'union aux autres, au-delà des peurs du lendemain )
Je faisais de la natation ( un peu contre mon gré - forcé par Maman ) avec un copain d'école ( lui forcé par son père, mais cet effet "forcé" semblait moins le déranger que moi ! ^^ ).
avec ces séries, je vis "l'achèvement" dont je rêvais en secret : vivre en commun avec l'intensité et la force la conviction et du rêve de poursuivre la vie au-delà de la compétition.
J'aimerais que mes enfants grandissent avec ceux.celles de mes ami.e.s, de la famille...
C'est mal barré pour le moment pour se faire.
PJ.
vous est-il déjà arrivé de vous réveillé dans un lit et une chambre qui renvoient à tant de choses du passé, dont tout à coup vous prenez conscience ?
Je suis dans la chambre où je me réveillais chaque matin avant d'aller en cours, il y a quelques années de cela.
Pourtant, j'ai comme l'impression que mes camarades de classe sont tout proches et que je vais retrouver le goût du petit déjeuner avalé à la hâte avant de sortir dans le froid, marcher jusqu'au lycée, au collège, pour aller à la primaire ou en maternelle... Régression que tout ceci !
Quoi qu'il en soit, je suis chez mes parents ces temps-ci, car j'en ai marre et assez de cavaler de par le monde, sans trouver mes réponses.
Je suis un peu perdu, soit, mais jusque-là je me sentais invincible, loin de ces sentiments et de tout compte à rendre.
En fait, je dors tard, car je squatte sur internet, et lorsque je me réveille, c'est longtemps après les heures où je me réveillais autrefois pour me rendre en classe.
Aujourd'hui, changement !
Je me réveille à une heure plus proche des départs en cours.
Bien que je ne pouvais que peu échanger avec ces "copains" de classe, ils me manquent.
Je ressens leur présence, je revois les silhouettes, j'entends les rires, je me rappelle du sentiment lors des "vannes" et "blagues".
Je voulais tant leur prouver que j'existe.
Une forme d'affection est ressentie et éprouvée, trop enfouie autrefois sous la honte de ne me comprendre moi-même.
Je me "shootais" aux sensations fortes ( dans le sport, les sorties, les lectures, la musique - rap de préférence - ) pour ne plus supporter ce trop plein d'impressions de la vie de tous les jours.
Comme cela remonte à quelques années, et que je ne vois plus de copains de classe ( ou complètement par hasard, voire de facon "organisée", mais si je m'y investis un peu - ce que je fais peu ).
Je ne rencontre plus les mêmes enseignant.e.s au jour le jour.
Je ne trouve plus ces devoirs sur mon bureau, d'ailleurs j'ai déplacé le meuble qui hantait ma pièce - la chambre - comme un lieu de torture.
Du bois sombre, malgré l'envie de vomir qu'il me donnait un compagnon de voyage.
Je me suis aussi défait du siège de bureau.
En fait, les dernières années furent tellement "loin" de toute cette répétition dans un cadre familial, que je suis un peu rassuré par ce qui autrefois m'oppressait.
Quelqu'un connaît "la chèvre de monsieur Seguin".
Depuis, la copine est partie... J'étais sûrement trop "différent" dans mon approche du monde ( et le mot zèbre ne m'est connu que depuis relativement peu de temps ).
Depuis, j'ai commencé et arrêté les études plusieurs fois, dans différentes villes.
Depuis, j'ai créé des groupes d'amis dont je me défaisais une fois que je ne trouvais vraiment plus de sens dans la ville où je me trouvais à cet instant précis.
J'ai vécu dans des appartements, chez des amis/de la famille, quelques semaines en hôpital psychiatrique, dans une résidence étudiante.
Je me suis trouvé à faire du stop sans argent, à rencontrer des zèbres, à aller contre toutes les conventions inculquées...
Et me revoici au point de départ, après trop d'expériences pour toutes les conter ici.
Je me suis tenu loin des médicaments, mais l'âme a souffert.
Peut-être serait-il difficile de se sentir une fois encore "premier" à découvrir une fois encore que l'horizon des possible se situe dans une classe devant un tableau avec une formule de maths figée dessus, par le temps, par la main d'un prof.
Il ou elle serait figée dans le temps, la craie à la main, en pleine démonstration, tournée de trois quarts vers le tableau, la tête vers les élèves.
Une mouche serait figée dans son vol, les copains... aheum... Pardon les "camarades de classes" chahuteraient en silence, statues de sel.
Les odeurs des souvenirs s'évaporeraient.
Je serais au milieu de ces souvenirs, heureux, mais le seul à vivre et respirer encore, car je suis là et eux et elles étaient déjà ailleurs avant même que je ne me rende compte que moi j'y suis.
Les couleurs de leurs vêtement fétiches, de leurs sacs de cours ( fallait être le plus "cool", la plus "fashion" ) avec les logos des marques, l'odeur des baskets mouillées pour avoir servi dans la pluie ou sur les gazons mouillées du parc, à jouer à se pousser dans les buissons.
Et nous voulions tous jouer les "adultes", plus "matures" que nous n'étions ou ne pourrons jamais êtes ( même les parents jouent la "maturité" devant les enfants, à défaut de savoir ce qu'est cette norme sociale... Toutes et tous nous aimons jouer des rôles lorsque nous ne savons plus jouer autrement ! )
Et puis, je revis ces sorties chez les copains.
Zèbre peut-être, entretemps je le suis devenu, mais pourtant, je les aime tant, toutes et tous.
Et je me souviens de la famille des copains, de la fille qui était amoureuse de moi sans jamais oser me le dire ( elle est sur le point de se marier, ou l'est peut-être déjà... Maintenant elle est instit dans une petite classe comme la nôtre de l'époque ).
D'une certaine facon, je l'aimais aussi, mais d'une autre facon : parce qu'elle faisait partie du décor, parce que nous jouions ensemble sous les préaux, toutes et tous, à la marelle, au foot.
J'étais 10 ans avec les mêmes camarades de classe.
Je n'ai de nouvelles que de l'un, de temps en temps, lorsqu'il revient dans la maison de sa mère décédée ( suicide ), laissée à l'abandon.
Il se raccroche à moi, comme je me raccroche à lui.
Au final, nous avons peu à nous dire.
Il me raconte des anecdotes que je connais ( les siennes ) et moi j'essaie de réconcilier quelque peu le zèbre avec l'enfant en moi... Peine perdue.
Mais, il vient avec sa copine, son chat, ses espoirs face à la vie.
Peu à peu, même le revoir m'éloigne des sentiments d'antant, ou plutôt : je me rappelle pour quelle raison autrefois avec les copains je ne rêvais que de partir très très très loin.
En fait, à force de me rapprocher d'un amour d'autrefois, du premier grand amour par exemple, je me rappelle à quelle point nous n'entrions en fait en rien en contact au fond, malgré l'illusion de la rencontre.
Je croyais qu'elles et ils ressentaient tous comme moi, que les vaches à côté du lycée et les moutons leur procuraient la même sensation du type "un jour on y repensera avec humour, amour, affection, toutes et tous ensemble, autour d'un verre à rire de nos jeunes années !"
Je crois qu'au final, ces instants les indifféraient.
Déjà la principale, le proviseur, la directrice nous parlaient du futur, et ce mot ne voulait rien dire pour moi.
Le "master plan", les voies du.de la dirigeant.e d'une structure éducative sont impénétrables.
Les cours de sports étaient notés comme un test pour notre "résistance" future dans le monde du travail, je ne m'en rendais pas compte.
Les cours de maths, de francais, d'histoire, se rapportaient à l'acquisition de compétences, j'écoutais en théorie, mais ne comprenais pas le sens concret.
Les autres savaient et chahutaient, moi je me demandait pour quelle raison ils.elles interrompaient les profs.
Je faisais pareil, pour m'adapter, mais ce combat me rendait très triste, comme si le fait d'être entre copines et copains ne leur suffisait pas, alors que moi c'est tout ce qui m'importait.
Les sorties de basket, de foot, de footing, les discussions entre copains ne faisait qu'atténuer la douleur de voir que ce ne serait plus ainsi un jour.
Moi je jouais comme si nous serions toujours ensemble, entre amis.amies.
Maintenant, ils.elles sont loin.
Les rares qui restent me paraissent aigris et passer du temps avec ceux.celles-là m'est insupportable, car très loin de la joie éprouvée avec ces amis d'antant qu'ils n'ont jamais réussir à l'être, même à l'époque.
Donc, je rêve d'un autre rapport à la vie.
Et je suis dans la grande maison des parents.
Ils sont au travail.
Moi à 26 ans, j'ai tout claqué : fuck la life, mais "fuck" parce qu'à force d'aimer je me suis trouvé bien seul.
Cette fille que j'aimais ne voulait plus de cette "différence" et moi j'aime trop la vie pour l'aimer elle, si elle me considère ainsi.
Ces copines et copains, si elles, s'ils sont parti.e.s, c'est que nous n'étions ami.e.s que par convention.
J'aimerais redécouvrir cette petite ville où je suis encore enfant.
J'aimerais la vivre autrement qu'en revoyant des souvenirs vivre à chaque intersection, devant chaque commerce ( la plupart fermés depuis ), sur la place de la foire, sur les remparts, tous des lieux qui réveillent des souvenirs de sorties, d'anniversaires, de footings communs, d'espace, d'air, de jeu(x).
Etre le premier et le dernier à fois, était-ce prévu pour moi, même à l'époque ?
Je ne m'en rendais pas compte à toutes.tous les imiter sans trop comprendre leur jeu, leur manière de faire.
Je me suis extrêmement attaché à ce rôle, à ce personnage, car il signifiait quelque part que j'étais néanmoins un peu aussi un enfant comme les autres, malgré tout.
( j'aime les paroles, ces "ami.e.s mort.e.s" d'une certaine facon, à un monde fait de compétition - la nouvelle forme de guerre - contre lequel ils.elles ne savaient que faire... Que la seule force est l'union aux autres, au-delà des peurs du lendemain )
Je faisais de la natation ( un peu contre mon gré - forcé par Maman ) avec un copain d'école ( lui forcé par son père, mais cet effet "forcé" semblait moins le déranger que moi ! ^^ ).
avec ces séries, je vis "l'achèvement" dont je rêvais en secret : vivre en commun avec l'intensité et la force la conviction et du rêve de poursuivre la vie au-delà de la compétition.
J'aimerais que mes enfants grandissent avec ceux.celles de mes ami.e.s, de la famille...
C'est mal barré pour le moment pour se faire.
PJ.
Dernière édition par PJ le Mer 18 Jan 2017 - 19:22, édité 1 fois
PJ- Messages : 1151
Date d'inscription : 10/01/2017
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soto²- Messages : 2760
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