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Tu as demandé sur watzatsong.com ?

Je suis en train d'essayer, mais suis loin d'y arriver.
Merci pour l'idée en tout cas.

Bon, et à défaut de trouver cette musique, voici une autre vidéo dans l'ambiance :
Il ne s'agit que de fantasmes, car je vis bien loin de tels mondes.
Le monde que je connais est unité.

Pour vous servir, cher ami mélomane :




Assez curieusement, ce titre ne figure pas sur la bande-originale officielle (CD) du film !? Et il est passablement altéré dans la bande-annonce, ce qui ne facilite guère la reconnaissance sonore (Shazam & Co).

J'ai failli acheter le DVD de ce film (3€ et quelques, mais ça m'a tout de même fait hésiter, car je suis presque aussi indigent que toi ) : est-ce qu'il vaut le visionnage ?
Je m'intéresse aux réalisations de Lone Scherfig ca j'avais beaucoup aimé, jadis, Italian for Beginners (pur produit du fameux Dogme 95, sous l'égide de Lars von Trier et de Thomas Vinterberg) ; et puis, plus récemment, la très honorable comédie sentimentale Un jour (One Day) (qui doit beaucoup à l'épatante Anne Hathaway).

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PJ a écrit:J'aime bien le film "the Riot Club". [...]
Bon, et pour répondre au mieux à la question - le film renvoie à une "réalité parallèle", une face du monde parmi tant d'autres.
J'aime l'esthétique du film et me tournerait par contre plutôt vers d'autres sources pour apprendre davantage sur le sujet.
Je serais curieux de savoir ce que tu penses du film, si tu finissais par le voir un jour ( one day ) ?

Merci pour ton commentaire, qui achève de me convaincre : je pense qu'il mérite le coup d’œil, oui ; et je ne manquerai pas de te faire un feedback lorsque je l'aurais enfin acheté/téléchargé et visionné. (Même si je redoute que sa thématique ne me parle pas autant qu'à toi, question de génération, et de subjectivité, d'appétences - les goûts et les couleurs, hein ; personne ne fait jamais exactement la même expérience esthétique que son prochain, et c'est ce qui est beau et juste, dans nos pratiques culturelles : cette infinie diversité, tant dans l'offre que dans la perception (a priori) et le ressenti (a posterioi) de cette offre. Bref, c'est pas le sujet, désolé !   )

PJ a écrit:Merci pour la musique, bien qu'il s'agisse en fait de la seconde musique ici.
La première, je me demande où elle se cache. ( les 30 premières secondes de la bande annonce, et il s'agit d'une autre musique que celle envoyée - mais merci quand même pour l'intention ).

Loin de moi le désir de polémiquer, mais je parierais volontiers que cette autre "musique", la première - soit : une trentaine de seconds de soundscape, en fait de "musique" - est une quête illusoire. En effet, m'est avis que les producteurs du films et autres bidouilleurs sonores ont créé là un simple artéfact "musical" à partir de ce remix de Fighter, de Gabriella. En effet, étant moi-même bricoleur sonore à mes heures perdues, j'ai trituré suffisamment de bootlegs, mash-ups et autres re-edits pour envisager que nous sommes là en présence d'une vulgaire intro de bande-annonce. Il en va des films et des teasers comme des morceaux et des intros : des échantillons (synthèses plus ou moins représentatives) remontés, malaxés et recomposés, pour une meilleure adaptation au format court, dans un souci d'efficacité.
Mais je sens que l'on ne va pas tomber d'accord, n'est-ce pas. Aussi, comme il ne s'agit pas d'une affaire d’État, passons à la question suivante.

PJ a écrit:Bon, pour le reste l'histoire me marque moins que l'autre film de Lone Scherfig que j'affectionne, malgré son propos, qu'est "an education".

Une Éducation figure également sur ma wish list !

PJ a écrit:Aussi indigent que moi ?
J'imagine qu'est fait ici une référence à ce film de conversation que voici dont le sujet me tient à coeur, ou encore celui-là ?
Peut-être un autre ?

En effet, je pensais à un autre topic - celui-ci - un des 146 (!) que tu as judicieusement créés, tous plus (potentiellement) intéressants les uns que les autres. Je dis cela sans flagornerie : une fois n'est pas coutume, j'ai dû me créer un fichier Office pour répertorier les nombres de tes topics ouverts sur lesquels j'aimerais prochainement intervenir ; obligé de me faire ce genre de post-it, pour maintenir mon espoir d'y interagir avec toi et d'autres, sur ces thématiques qui nous rapprochent naturellement (pas plus tard que cette nuit, j'ai rendu hommage à mon père sur un topic voisin en convoquant la maestria de Terrence Malick dans son chef d’œuvre Tree of Life).

J'espère que le ton cavalier (?) de ce commentaire à propos de notre "indigence" partagée ne t'a pas froissé, car je me disais que cela doit être passionnant d'échanger avec toi - IRL, j'entends.
Bon, c'est pas le fil pour dire ces choses-là, mais tu viens logiquement rejoindre cette espèce "tragique" à mes yeux, à laquelle j'appartiens aussi : celle des milliardaires en pensées, références culturelles et autres sensations brillantes, mais hélas considérés comme des "déchets" et de ratés par la société, impropre à comprendre notre essence.

PJ a écrit:Quoi qu'il en soit, merci pour les pensées et le lien.
Je ne connais que de nom le film "One Day", dont l'histoire me fascine de loin, parce que je peux bien m'y identifier ( qui ne saurait le faire ? ).

Je t'en prie : l'essentiel, c'est toujours le dialogue qui s'amorce, la passerelle qui se jette. Les thématiques des topics ne sont que des prétextes à ce commerce (comme on disait autrefois pour désigner les relations sociales, amicales ou affectives entre plusieurs personnes), à cette belle activité humaine, si contagieuse et enthousiasmante.
Quant à One Day, j'avoue que j'en garde un souvenir très évanescent, qui se résume et se réduit probablement à l'image de l'affiche : ce couple qui s'embrasse romantiquement sur des tons pastels. Pastel : voilà bien la tonalité de cette œuvre mineure, certes, mais pas indigne. je veux dire : la comédie sentimentale est l'un des genres les plus casse-gueule qui soit, toujours menacé de s'engluer dans la guimauve, la mièvrerie industrielle, le tout enrubanné d'un chapelet lénifiant de chansons pop insipides. Mais là, je sais pas, c'était encore mieux que 500 Jours ensemble - dont la BO était pas dégueulasse, d'ailleurs. Dans le genre, ces deux comédies sentimentales sont un peu l'antidote à la forêts de niaiseries sirupeuses qu'elles cachent si mal, hélas.

Ceci dit, je crois avoir à peu près épuisé les références qui me viennent à coup de fil de conversations, d'où peut-être ce doux ralentissement des nouveaux sujets créés de ma part.

Peut-être es-tu le deuxième qui danse et enfin tous les posts isolés et laissés pour compte de toutes ces personnes sur internet finiront par faire "danser" et s'exprimer et partager et s'émerveiller tout le monde ?
Qui sait ?
Créerais-tu un mouvement dé-consciemment ?

Ah et si tu cherches à savoir quels posts t'intéressent ou non de ma part, je te propose de te référer à la méthode de rangement dont l'auteur est Marie Kondo que j'évoque dans quelques fils de conversation sur ce forum.
Je parle en fait surtout de la vidéo sur la page sous-titrée en Anglais du Japonais - qui dure moins de trois minutes, de mémoire - qui s'appelle "Marie Kondo explains the spark of joy".

Cette musique de bande annonce me plaît beaucoup également.