être bien

Je ressens mes pensées comme un courant d'air-vif,(je se transcende)
Un vent peu chagrinant, que chômerai Sisyphe
Et puis Mon corps, telle une barrique sur le pont (au hasard des vents tournants)
D'un navire vermoulu, glissant tout au fond,

Emporte le noir de mon cerveau volatile,
Dans les remous coléreux, les vagues habiles,
Où flottent nonchalant mes ennuis hasardeux.
La poussière grise à mon teint cadavéreux,( tous ces regrets comme au sol, la poussière...)

Donne à ma bouche un magenta sirupeux,
Eclaircissant mon éveil d'un avenir radieux.
Et plus rien n'est pareil aux alentours du matin,(les rayons dardent)
Le mauvais sort à l'oreiller gonflé de chagrin,

Expire un parfum de rose et d'amour,
Auquel je me roule sans cesse et pour toujours.
Le soleil est là, l'herbe qui coure à mes pieds,
Flagelle de douceur mon œil à l'oiseau épié. (il pépie sur la branche)

Puis vint le soir, l'ombre s'accroche à mes cils noirs, (il fait si sombre à ces heures là)
Les deux bras en croix sur ma cage thoracique,
J'écourte de respirer d'un profond exutoire,
Tandis que sommeil mon chat au corps élastique (toute la nonchalance du monde)

Mince désolé, je me suis trompé de section.
Si la modération peut transvaser ce poème dans "j'écris", cela serait sympa. Merci