Fift (nouvelle présentation)

Ben ça a fait arriver la grande R jusqu'à chez moi, donc bon... ^^

Un peu de poésie :

C'est à cause de ça qu'il pleut des météorites ?

Qu'est ce qu'on considère comme vivant ?

C'est tout ce qui répond à ces 5 conditions :

1. Être capable de grandir jusqu'à la reproduction

2. Être capable de métabolisme : soit
- Dégrader les grosses molécules en molécules plus petites;
- Synthétiser les molécules indispensables  la vie.

3. Être doté de motricité interne (circulation) ou externe (locomotion)

4. Être capable de se reproduire : créer de façon autonome d’autres entités, avoir une descendance

5. Être capable de répondre à un stimulus : pouvoir détecter les propriétés de son environnement et agir de façon adaptée


Du coup, un virus n'est pas considéré comme vivant ^^

J'avais résumé les choses ainsi : Tout ce qui nait, grandit, interagit avec son environnement, se reproduit, puis meurt.



En fait, je ne sais pas ce qu'il y a après la mort, je ne suis pas certaine de croire en une âme, en tout cas, pas une âme telle que décrite par les humains dans leurs religions.
J'aimerais que ça existe, par contre.

Mais avoir touché les molécules du bout des doigts pendant me études m'a montré à quel point la vie était forte.
Ya une force, la force évolutive, qui fait que toujours la vie trouve un chemin. Tout évolue en permanence, c'est terrible tellement c'est puissant.

Alors pour moi, "dieu", c'est ça.

J'ai envie de croire qu'un bout de notre conscience persiste, après la mort, et j'aimerais recroiser ceux qui ont compté pour moi, animaux ou humains.
Mais je ne suis sûre de rien.
Me semble qu'on dit agnostique. Ortolan me l'a redit le we dernier, mais ces termes, je les oublie aussitôt lol

- Je ne sais pas mais je crois que Dieu existe
- Je ne sais pas mais je crois que Dieu n'existe pas
- Je ne sais pas et je m'en fous.

Voilà trois positions possibles pour les agnostiques présentées par EE Schmitt dans un de ces bouquins, La nuit de feu.
Pour moi c'est un parfait résumé.
L'agnostique dit ne pas pouvoir répondre à la question "Dieu existe-t-il ?".
À l'instar de EES, je trouve que c'est l'agnosticisme qui est la position intellectuelle la plus honnête.
On peut faire le choix de croire que notre conscience existe après la mort, mais on ne le sait pas.
Je sais juste que les morts survivent au travers de souvenirs dans la mémoire des vivants.
Est-ce que c'est une forme de conscience ? J'en sais rien. Peut-être un jour des savants sauront coloriser en nous la conscience d'un de nos morts qui s'activent dans nos choix via cette trace mnésique que nous portons d'eux.

Je parle de Dieu à titre d'exemple mais ce genre d'attitude peut-être valable pour tout type d'autres croyances métaphysiques.

Tu as oublié :
- Je ne sais pas, je ne m'en fous pas, et je ne me prononce pas

Le véritable agnosticisme en fait

Oui c'est vrai, y'a celui encore en quête de savoir si ça vaut le coup de pencher pour une croyance ou pas.
Moi, je suis assez basique : ou une croyance m'aide à vivre et je l'adopte. Ou elle ne m'aide pas à vivre et j'en veux pas dans ma vie.

C'est marrant parce que dans le fond, étant plutôt pragmatique, je devrais avoir exactement ce même raisonnement Mais non, j'arrive pas à me décider… Je crois qu'au fond je crois en Dieu, mais alors pas du tout, du tout l'espèce de "super-héros" raté et sadique qui joue à la poupée avec l'humain…

Je suis d'ailleurs surpris du coté totalement standard et au final insignifiant qu'on donne à Dieu (à savoir, donc, un pauvre truc qui n'a rien d'autre à faire que de viser le carnet de bonne conduite des ptits humains ^^)
Il pourrait être tellement plus… ou encore moins… ou "à coté".
Mais ça ne semble pas important pour la plupart des gens : du moment qu'on croit ou pas, tout est réglé ??? Je comprendrais jamais ça ^^

Il pourrait être tellement plus… ou encore moins… ou "à coté".
Mais ça ne semble pas important pour la plupart des gens : du moment qu'on croit ou pas, tout est réglé ??? Je comprendrais jamais ça ^^

C'est là que je crois que j'ai arrêté d'essayer de comprendre... Tu sais le : « mais ils sont cons ou c'est moi ? » J'ai décidé que c'était moi qu'était conne de perdre tant de temps.
Et depuis, je trouve tout plein d'autres choses qui apportent réponses à questions, des réponses qui me vont comme un gant.

Cuicui, je me demande jamais ce que tu fais de ta douance, je constate juste les résultats, et ça fait plaisir à voir/lire
Sinon j'ai lu pour la mauvaise nouvelle... toute mes sincères condoléances...

C'est marrant, moi je dirais "je ne sais pas, mais ça m'arrangerait"

Moi, c'est: "je ne sais pas, je ne vois vraiment aucun argument qui pourrait soutenir la thèse de l'existence d'un dieu quelconque, même l'existence de spaghetti, mais je m'en fous mais j'espère quand même qu'il n'y a rien après la mort, parce que ça pourrait être encore plus pourri, sans possibilité d'en sortir, et pas non plus de réincarnation, j'aime pas les cauchemars à répétition".

Nan mais voila quoi ^^ On parle de Dieu, tout de suite les gens se demandent si ils auront 72 vierges, ou des spaghettis à volonté, après la mort ^^ (hey, on rigole hein )
En fait il n'y a pas vraiment de rapport...
Je me demande, s'il n'y avait pas cette grosse carotte de la vie après la mort, si quiconque de nos jours se servirait de la Bible ou du Coran pour autre chose que caler un meuble ou alimenter la cheminée

Un volcan de bière et des chippendaeles à volonté, surtout !

Kesako des chipolatas ? ^^
Je crois qu'on aurait plus de chances en priant le Père Noel, en fait

Oh la vache, j'avais oublié ça, back to the eighties :

(ce riff de synthé )

Bon, donnez moi 10 minutes que je ponde une réponse correcte à vos sérieuses élucubrations (merci Chuna quand même d'avoir aussi bien répondu à mon interrogation sur la vie).

Bon, donnez moi 10 minutes que je ponde une réponse correcte à vos sérieuses élucubrations (merci Chuna quand même d'avoir aussi bien répondu à mon interrogation sur la vie).

Hé flûte, va encore falloir réfléchir...
Laisse moi 10 minutes que je plie un mois de linge en retard et je reviens.

Bon, mes 10 minutes auront été plus longues que prévu - quelqu'un a parlé procas ... pocras ... procratsi ...porcras ... bref, de flemme ?

De la vie :
Du coup Chuna, quelle est la part qu'un virus ne remplit pas ?

Et la différence avec une bactérie ?


De Dieu et de la survivance de l'âme après la mort :
J'ai une vision assez pragmatique de la chose, sans toutefois me cantonner à un terre-à-terre borné.
J'imagine assez bien l'âme comme résultante du système complexe que forme le réseau de neurones et leurs interactions.
En fait, je ferais un parallèle avec la culture humaine, par simple changement d'échelle. Une culture, c'est quelque chose d'impalpable résultant des productions et des interactions des hommes qui composent le groupe considéré. Cela comporte les règles d'interaction, la morale, les valeurs, etc. Si ces humains disparaissent, ou bien cessent leurs interactions, cette culture cesse d'exister.

Pour moi, c'est assez similaire pour l'âme : elle résulte de la manière de fonctionner de notre cerveau et inclut les valeurs, la manière d'appréhender les autres, la façon de résoudre des problèmes, etc. Cessent d'exister les neurones, ou bien cessent-ils leurs échanges que l'âme n'existe plus. Là où le parallèle avec la culture pèche, c'est sur la question de la mémoire : une culture humaine (sauf culture purement orale) produit sa propre mémoire qui peut lui survivre. Ce n'est pas le cas de la mémoire humaine, qui s'éteint en même temps que son support physique.

Après, si des neurones semblables et organisés de manière similaire apparaissent (par exemple dans la descendance mais pas nécessairement, hasard statistique oblige), peut-on parler d'une renaissance de l'âme, ou d'une partie de cette âme ? Pourquoi pas après tout. Si ce n'est que cette âme n'a pas la mémoire du "père".

Allez, je vais un peu plus loin et pousse un peu jusqu'à en être iconoclaste : étant donnée la complexité croissante des ordinateurs, réseaux informatiques, IA et autres, peut-on alors parler d'âme pour ces machines ??

Hortense> Va pour le volcan de bière !!!
(et même les chippendales après tout, voire même les chips en dalle)

Allez, je vais un peu plus loin et pousse un peu jusqu'à en être iconoclaste : étant donnée la complexité croissante des ordinateurs, réseaux informatiques, IA et autres, peut-on alors parler d'âme pour ces machines ??

Je ne crois pas que les IA puissent atteindre notre potentiel de singularité. En terme de cognition pure peut-être, mais elles n'auront jamais le potentiel créatif possiblement induit par nos émotions.
L'âme, j'aime à l'imaginer comme ce truc qui fout le bordel dans l'organisé programmé pour faire de chacun un être singulier.
Bobin a écrit un truc très chouette sur l'âme, je le cherche et reviens...

Bien vu pour les émotions Cuicui, mais après tout, ce n'est qu'une histoire de capteurs et d'analyse du signal - dans un futur pas très immédiat, peut-être, mais ensuite ?

Juste de passage ...
Qui définira la conscience et la morale de l'IA ?

Laissons la se démerder toute seule.
Déjà qu'on arrive pas à la définir pour nous...

fift a écrit:Bien vu pour les émotions Cuicui, mais après tout, ce n'est qu'une histoire de capteurs et d'analyse du signal  - dans un futur pas très immédiat, peut-être, mais ensuite ?

Cépafo...
J'en sais rien du possible de ce qui nous apparait impossible.
Mais pour s'en préoccuper, faudrait croire à ce que nos vies futures puissent exister et pffff.... comme dit Hortense, les cauchemars ça va un moment... alors moi, je préfère laisser ça aux générés futurs. On a eu notre dose...

Aaaah l'IA. C'est vrai que c'est important, à un moment ou on sait* que tout le reste est foutu. Ultra urgent donc d'aller monter des circuits sur tout ce qui bouge (encore), avec des ressources qu'on a déjà plus ^^
Sérieusement il y a une hystérie avec ça qui me laisse pantois  
* ceux qui suivent. Donc c'est vrai que ça fait pas grand monde  

Pantin je connais mais Pantois c'est où ?

.

Pour une fois que j'étais sérieux

Ah non, interdit aux oiseaux de mauvais augure sur ce fil, hein ! On est sérieux, mais optimiste, y a suffisamment de raisons de se suicider en-dehors .

Okay désolé ^^

Je vous présente un pote enthousiaste, alors

Spoiler:

Ouaiiiiissss !!!!!

Le monstre gentil !!!!

Ah je croyais que c'était le Kasimir Dabrowski... en VF

Ah bon ben là c'est pas moi qui parle de désintégration hein ^^

Ma question existentielle de l'heure de l'apéro :
Est-ce que c'est si rare que ça les gens qui comprennent que la déconne c'est un souffle pour les choses qui relèvent de la gravitude ?

Est-ce qu'ils sont si nombreux que ça à prendre ce forum au sérieux ?

Tu demandes ça à 13h13, je peux donc pas te répondre !
Soyons sérieux, tu vas nous porter la poisse
(ce serait l'époisses, encore ^^)

Bon, ok, je reviens demain à 7h7... si mon astrologue est dispo avant.
Avec des tartines de roquefort pour ton petit dèj

Wow, merci !! Je vais donc ne pas liquider mon camembert aujourd'hui pour garder de la place ^^

En parlant de camembert, voila enfin toute la vérité, caché par les Francs-maçons !

Spoiler:

cuicui a écrit:Bon, ok, je reviens demain à 7h7... si mon astrologue est dispo avant.
Avec des tartines de roquefort pour ton petit dèj

Interdiction de parler fromage sur mon post.
Y a incompatibilité du meurtre.

(merdre, me v'là à balancer des interdictions à tout va !)

Ca me donne un dilemne digne d'un robot d'Asimov ça ^^
- 1ere loi : soyons positif
- 2eme loi : le fromage c'est la vie !
- 3eme loi : on parle pas de fromage

Du coup je fais quoi ^^

C'est le problème des syllogismes : si les propositions sont fausses, alors la conclusion est erronée !


(Bourgeon / Les Passagers du Vent, tome 3 "Le comptoir de Juda")

L'assertion n°2 est fausse, donc tu fais ce que tu veux tu choises !

Ca me rappelle qu'il serait temps que je lise ce classique

Ah ben que veux-tu, c'est compliqué ce sujet de la boustifaille ! J'entends 14.000 fois par jour que les légumes, c'est bon, ça rends riche, intelligent, beau et célèbre... alors que je peux même pas être dans la même pièce sinon euh... je te passe les détails ^^ Donc ma vie est foutue d'avance, qu'importe mes efforts, je serais toujours pauvre, con, moche et inconnu... du coup je peux bien me consoler sur un lit de matière grasse, nan, bord d'aile ^^
Je rigole hein, j'ai capté, NO fromage on Fift page

.

nan mais moi aussi je déconne hein !
J'aime pô le fromage, alors je fais mon dictateur.

Les passagers du vent, ça reste LA référence en BD historique (même si le dessin a pas mal vieilli parfois). Mme Fift a révisé l'histoire du commerce triangulaire pour ses exams de DEUG avec cette BD, c'était quand même plus sympa que les cours .

Et plus personnellement, c'était ma première BD "adulte", avec Loisel et la Quête de l'Oiseau du Temps.
Et Canardo (Sokal), Corto Maltese, Blake et Mortimer, Adèle Blanc-sec, ...

@Ortolan reviens, on mangera en cachette (arf, ouais non grillé ^^)

@Fift : de bonnes références tout ça (sauf une que je déteste mais bon c'est une longue histoire ^^)
En BD j'ai pas tant lu de choses que ça, toujours ce problème de place/prix (certes on peut emprunter, mais bon...) et c'est dommage parce que j'adore... J'ajouterais Thorgal (Rosinski/Van Hamme), les délires de Druillet... enfin la liste des bonnes BDs est longue de toute façon ^^

Thorgal, je l'ai découvert plus tardivement. J'aime beaucoup le dessin de Rosinski, qui a aussi fait de jolies choses : la complainte des landes perdues par exemple.
Et puis Van Hamme, c'est un sacré scénariste !! (même s'il a pris un peu la grosse tête, notamment depuis le succès de Largo Winch - série que j'aime beaucoup également).
Druillet, par contre, c'est très typé années 80 je trouve. Si comme moi on l'a découvert plus tard, je trouve que ça a du mal à passer. Dans le genre délire, je préfère par exemple Moebius - je conseille d'ailleurs son autobiographie filmée "Poesia sin fin", j'en suis sorti groggy.
Bon, je n'ai pas compté les BD à la maison, mais je crois qu'il y en a entre 300 et 400.

C'est laquelle que tu détestes ?


Ah j'oubliais une de mes BDs de référence, j'avais 8 ans quand j'ai découvert ça chez une tante :

J'en suis toujours aussi fan, je rigole tout seul parfois en pensant à certains calembours

Tout à fait d'accord pour la paire Rosinski/Van Hamme ! Ils ont aussi à leur actif un gros roman graphique "Le grand pouvoir du Chninkel", un vrai chef d'oeuvre (1988 je crois) que je te conseille si tu ne connais pas
Druillet ? Je comprends ton point de vue, même si je l'associerais plus aux 70's (mais bon il a prospéré aussi dans les années 80). Je ne l'oppose pas vraiment à Moebius : je les trouve brillant chacun dans leur genre, mais il y a une noirceur chez Druillet qui peut être rebutante (Moebius est plus "solaire").
300-400 BDs c'est beau
Celle que je déteste dans ta liste, c'est Black et Mortimer. C'était la BD préférée de mon père, et ça a un peu symbolisé nos divergences de valeur ^^ Alors, objectivement, le dessin est excellent, les histoires fouillées, mais je n'accroche pas à cet univers quand même très... raciste et guerrier (même si je sais que "c'était l'époque" comme dit ma mère), tout comme à l'inexistence total des femmes dans ce monde (pire que dans Tintin, faut le faire - ou pas ^^)
Mais ce n'est pas ce que j'appellerais une mauvaise BD... c'est vraiment une question de contexte  
Je connais pas la BD humoristique que tu présentes, mais ça m'en rappelle d'autre bien sympa (Cubitus ^^)

Je ne sais pas si Blake et Mortimer est raciste, je dirais plutôt que c'est une vision colonialiste du monde. On n'est pas dans "Tintin au Congo" ! Si tu prends "Les 3 formules du prof Sato" par ex., on sent parfaitement le profond respect d'E.P Jacobs pour la culture japonaise.
Même dans "Le mystère de la Grande Pyramide", la vision qu'il présente des Egyptiens est relativement nuancée.
Ce que tu indiques par contre me paraît assez vrai dans "Le Secret de l'Espadon", que je trouve relativement naïf d'une manière générale.

L'absence totale de femmes en revanche, hélas, n'est que trop criante. J'ai cependant l'impression que c'est le lot de toutes les bandes dessinées jusque dans les années 70-80 (et encore).

Tes nuances sont intéressantes  j'aurais du plus insister sur la relation entre moi, cette BD et mon père (pour expliquer mon contexte perso) : lui était du genre à trouver tout ça normal et bon Et je pensais en particulier au Secret de l'Espadon, justement ! Celui-là va quand même loin parfois, cf. une certaine jouissance/complaisance palpable de l'auteur quand l'armée des "Jaunes" (sic) est annihilé par le fameux Espadon (un bien beau design d'ailleurs, tout chose égale par ailleurs). J'ai beaucoup lu celui-ci car étant enfant ça me choquais vraiment (et toujours un peu même si je comprends mieux le background général d'EP Jacobs), et j'aurais souhaité de mon père, censé me "rassurer" ou plutôt m'expliquer, autre chose qu'une engueulade méprisante sur le modèle "oui mais bon c'est des jaunes, fait pas chier" (en substance ^^)
Mais bon, j'admets être un peu particulier, je suis très facilement traumatisé par ce qu'on appellerait de nos jours "la violence graphique", en particulier quand l'histoire semble un prétexte à ce genre de scènes...
Ouais en un mot je suis chiant la-dessus, faut pas m'inviter pour les films d'actions-sulfatage ^^
(bizarrement, j'adore quand c'est le vrai Godzilla qui pète tout, mais bon c'est une autre histoire )

Sinon, en BD féministe et anti-raciste, y a Adèle Blanc-Sec . Elle fume, elle boit, elle a mauvais caractère, ...

Bon, discretos, pendant que Fift ne regarde pas, j'apporte un bon Maroilles, enfin, de la tarte au Maroilles. S'il râle, on dira qu'on a enlevé nos chaussettes.

ah ben zut, yen a pu ^^

Mais si !