Des citations... juste pour se faire du bien

Epictète a écrit: Tu veux ressembler au commun des hommes, comme un fil de ta tunique ressemble à tous les autres fils qui la composent ; mais moi je veux être cette bande de pourpre, qui non seulement a de l'éclat, mais qui embellit même tout ce à quoi on l'applique. Pourquoi donc me conseilles-tu d'être comme les autres ? Je serais comme le fil, je ne serais plus de la pourpre.

ludion a écrit:"... le malheur, c’est qu’on peut prouver n’importe quoi en s’appuyant sur la logique rigoureuse de la raison... à condition de choisir les postulats appropriés."

Isaac Asimov

Gattopardo:

Il y a une ligne étroite entre le déni et la foi

Le savoir n’appartient absolument à personne : il est le résultat d’un dialogue ; telle est la leçon de Socrate, que nous oublions dès qu’il est possible de s’imposer à l’autre, de le dominer d’une façon ou d’une autre. Or les élèves comme les enseignants n’y échappent guère : chacun à son entêtement, son arrogance, (in)digne protection des blessures d’humiliation, de rejet, de trahison et d’abandon que tout le monde a subi à sa mesure au cours de son existence, souvent à l’école précisément. Faire preuve de discernement consisterait donc à mettre de côté son ego et ses blessures, afin d’interagir avec l’autre sans jouer un rôle ou un schéma potentiellement ou réellement victimisant. C’est évidemment plus facile à dire qu’à faire. Etre nous-mêmes face à l’autre consiste d’abord à sortir de ce qui nous aliène. Or l’aliénation est avant tout intérieure : s’entêter n’est rien d’autre que croire aveuglément à ses propres opinions considérées comme absolument valables, pour ne pas écrire « vraies ». Ainsi, lorsque nous nous opposons à l’autre au point d’en faire un ennemi et de combattre ce qu’il représente (et non ce qu’il est) à nos yeux, nous entrons en conflit avec nous-mêmes, c’est-à-dire avec cette part que nous détestons en nous-mêmes parce qu’elle se joue et résonne avec l’autre, qu’elle révèle notre vulnérabilité ; aussi l’autre n’est-il que le reflet de notre souffrance, d’une blessure que nous n’avons pas guérie. C’est là un point essentiel de toute relation à autrui en ce qu’il détermine tout rapport socio-affectif, socio-professionnel et intime : chacun joue au tout-puissant parce qu’il refuse propres ses faiblesses.

Il nous faut un monde onirique pour découvrir les caractéristiques du monde réel que nous croyons habiter.

Tout ceci vient, je crois, de ce que les gens se figurent que le cerveau de l'homme est dans son crâne ; pas du tout : il est apporté par un vent qui souffle de la Mer Caspienne.

Mieux tu tiens l'alcool mieux il te tient

Mbappe a écrit:La ligue des champions c'est la ligue des champions je le dis tout le temps

Mentounasc a écrit:Le Monde est dangereux.
Pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui regardent sans rien faire ou dire.

Albert Einstein

Cherubin a écrit:

Mentounasc a écrit:Le Monde est dangereux.
Pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui regardent sans rien faire ou dire.

Albert Einstein

je ne suis pas tout a fait d'accord avec einstein,de plus que selon ma mérmoire,il n'y en aucun mentionner dire,mais uniquement sans rien faire,de plus que je pense que cela permet de légitimé le mal,et en plus remétre la faute sur les gens de bien,et innocncenter les autres,de plus que ceux qui font le mal perméte grace a la dualité,de gagner en maturité,et comme m'as dit AMOUR de kira,on as besoin de l'advesrité,chose que je légitime en aucun cas car actuellement c'es mon seul moyen d'aquérir plus d'expérience,et que je recherche un moyen de métre fin a tout le mal existant tout trouvant un autre moyen de gagner en expérience et en maturité'dautent plus que je fait tout mon possible pour faire quelque chose,de plus que je pense que cela ne viens en aucun d'einstein car c'est quelqu'un d'honnête et qu'il ne serai en aucun cas capable comme l'enseigne spinoza de généré quelque chose qui fasse mal au peuple ni même au gens de bien car il etait hautement rationel et que aquelqu'un de rationel a pelinement conscience que le mal n'est que faiblesse et bétise,et que dans son texte sur la liberté de pensée et d'expéression il dit que les gens au pouvoir sont ceux qui sont le plus rationel,etcela légitime la chose,chose que je ne suis absolument pas d'accord car je veux un monde ou tout le monde soit entiérement sur un même pied d'égalité,de plus que c'est totalement incompatible avec les dire de spinoza qui est un philosophe de la démocratie total et de labierté et de l'égalité total,ni qu'einstein légitime la chose,et je pense qu'il faut faire attention a ceux qui laisse penser faire le bien tout en fesant le mal en même temp pour ce donner une bonne image et qu'on est confiance en eux,comme je le pense la plupart des politique,dont notre président actuelle,et beaucoup d'autre quei ne sont pas préseident

Mentounasc a écrit:Le Monde est dangereux.
Pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui regardent sans rien faire ou dire.

Albert Einstein