Café broyé
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Re: Café broyé
http://racinescomtoises.net/index?/category/3339-l_absinthe_et_les_artistes
Invité- Invité
Re: Café broyé
Hortense a écrit:
Avait-il beaucoup d'Edgar pour son sujet ?
Au moins autant que Baudelaire a eu de pot.
Hortense a écrit:
Fift: un café irlandais pour toi, alors ?
Ah bah si tu me prends par les sentiments ...
fift- Messages : 8858
Date d'inscription : 26/04/2016
Age : 48
Localisation : Paris
Re: Café broyé
Merci pour le lien, Ludion (j'enrage contre ces gens qui ne passent pas de lignes, impossible à lire pour moi, mais j'y ai vu plusieurs tableaux, cependant).
Quant à la fée, qu'elle soit verte ou d'une autre couleur, je doute que ce soit elle qui insuffle le talent aux auteurs et autres artistes qui s'abreuvent à sa source. Je considère ces soifs (boire et créer) comme deux conséquences d'une même cause (la sensibilité exacerbée).
Quant à la fée, qu'elle soit verte ou d'une autre couleur, je doute que ce soit elle qui insuffle le talent aux auteurs et autres artistes qui s'abreuvent à sa source. Je considère ces soifs (boire et créer) comme deux conséquences d'une même cause (la sensibilité exacerbée).
Invité- Invité
Re: Café broyé
Je suis aussi agacé par ces textes peu aérés Hortense. Et puis je te rejoins également sur le besoin qu'ont les sensibles à aller au bout d'une forme d'ivresse, quelle qu'elle soit.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Hortense, c'est envisageable, nous verrons bientôt si je m'adresse à toi/vous.
Invité- Invité
Re: Café broyé
@ Lamorak: si le tutoiement s'avère trop difficile, vous vous verrez dans l'obligation de me baiser la main et de porter mes couleurs au prochain tournoi.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Oui, Siamois, il y en a pour toi aussi, si tu veux. Je t'ajoute un petit "bonbon" de chocolat.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Un petit café pour faire passer la névralgie, l'attaque nocturne des gastéropodes et quelques contrariétés diverses, comme les averses.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Ici un ciel bleu magnifique avec un soleil généreux mais pas cuisant, si cela peut te réchauffer.
Re: Café broyé
Une pensée pour toi et je te réserve une poule
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Café broyé
ici temps de chiotte comme tjr
St'ban- Messages : 10478
Date d'inscription : 24/10/2018
Age : 102
Localisation : Belgium (Région Namuroise)
Re: Café broyé
@ Lamorak: c'est exactement ça.
@ Siamois, merci, j'en veux bien un peu (pour éviter de remettre le chauffage, au moins).
@ Chuna: bonne idée, si je ne trouve pas de preux chevalier pour occire ces gastéropodes, comme conseillé par Lamorak, je proposerai à des poules de prendre quelques semaines de vacances chez moi (en plus, c'est moins casse-pied).
@ST: la convivialité sert à faire oublier la météo.
@ Siamois, merci, j'en veux bien un peu (pour éviter de remettre le chauffage, au moins).
@ Chuna: bonne idée, si je ne trouve pas de preux chevalier pour occire ces gastéropodes, comme conseillé par Lamorak, je proposerai à des poules de prendre quelques semaines de vacances chez moi (en plus, c'est moins casse-pied).
@ST: la convivialité sert à faire oublier la météo.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Ici ciel bleu magnifique, 24°, et je vais aller me déguster une Apfelstrudel avec une Vanilla Eis sur les bords du Neckar dans 3/4h
fift- Messages : 8858
Date d'inscription : 26/04/2016
Age : 48
Localisation : Paris
Re: Café broyé
La belle vigne !
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Café broyé
Et si j'allais les voir en concert ?
Elles seront le 6 juillet à Gand, ça donne envie.
Elles seront le 6 juillet à Gand, ça donne envie.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Super Hortense, tu devrais!
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Café broyé
@ Lamorak: "Ma pauvre fille" est une expression qui me rappelle de mauvais souvenirs. Je me vois dans l'obligation de vous lancer un gant. Vous aurez donc le choix des armes.
@ Chuna: si j'arrive à confirmer l'info (donnée par oral aujourd'hui mais je ne trouve rien sur Internet). Et puis, il y a de la route, et je risque de ne pas trouver de volontaire pour m'accompagner... Je sais, ça ne m'empêche pas d'y aller seule, comme d'hab.
Allez, un petit déca.
@ Chuna: si j'arrive à confirmer l'info (donnée par oral aujourd'hui mais je ne trouve rien sur Internet). Et puis, il y a de la route, et je risque de ne pas trouver de volontaire pour m'accompagner... Je sais, ça ne m'empêche pas d'y aller seule, comme d'hab.
Allez, un petit déca.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Un mariage ? Plus jamais ! Je ne suis pas plus suicidaire.
Numérotez d'ors et déjà vos abattis.
Numérotez d'ors et déjà vos abattis.
Invité- Invité
Re: Café broyé
C'est dangereux de trainer sur ce forum
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Café broyé
Merci Siamois (donc, finalement, c'est le 1er juillet et faut se décider avant le 25...). Prendre une décision... Comment savoir si je serai en forme ce jour là ?
Avec Arnold qui me broie tout, ça va être dur...
Y'a pas des Gandois (de pied), dans le coin ? Je parie que non, c'est en territoire flamand.
Avec Arnold qui me broie tout, ça va être dur...
Y'a pas des Gandois (de pied), dans le coin ? Je parie que non, c'est en territoire flamand.
Invité- Invité
Re: Café broyé
"Quels sont tes besoins, Hortense ?"
Ben non, voyons, Hortense n'a pas de besoin.
Hortense n'est pas sur scène, elle est en coulisse.
Hortense n'a jamais mal, jamais froid, jamais peur.
Il est absolument inutile de prendre soin d'elle.
Hortense n'est là que pour seconder ceux qui sont sur scène.
Elle n'existe pas.
Ne vous en préoccupez pas.
Ben non, voyons, Hortense n'a pas de besoin.
Hortense n'est pas sur scène, elle est en coulisse.
Hortense n'a jamais mal, jamais froid, jamais peur.
Il est absolument inutile de prendre soin d'elle.
Hortense n'est là que pour seconder ceux qui sont sur scène.
Elle n'existe pas.
Ne vous en préoccupez pas.
Invité- Invité
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Café broyé
.
...Douce à merci?
Lorelei- Messages : 1414
Date d'inscription : 15/08/2016
Age : 36
Localisation : Sion, 1950 CH
Re: Café broyé
Je serais à côté, je t'y aurais accompagné ! Elles sont chouettes !Elles seront le 6 juillet à Gand, ça donne envie.
Et tu n'es pas transparente..! J'ai lu en pointillé et diagonale (pétage de plombs de plusieurs jours oblige) du coup si j'ai loupé quelque chose, je te présente mes excuses (et tu remarqueras que je ne te fais ni bisous ni calins..! ^^)
Invité- Invité
Re: Café broyé
Merci Antinéa, je vais aller m'en faire un vrai. Un double, même, vu tout ce que j'ai à broyer...
Invité- Invité
Re: Café broyé
Parole, paroles, les mots, les maux...
Ca fait un bon moment que je rumine là dessus.
Parfois, on me dit "Hortense, écoute cette chanson, elle est belle". Alors, j'écoute. Souvent, la mélodie me déplait. Trop simple, le compositeur ne s'est pas foulé... Je te gratte trois accords et puis voilà. L'arnaque musicale. Je donne mon avis, et on me répond: "il faut écouter les paroles".
Alors si seules les paroles sont intéressantes, pourquoi les mettre en musique ?
Je dirais même plus, pourquoi gaspiller de belles paroles en les plaquant sur une musique moche ?
D'ailleurs, que sont de "belles paroles" ?
On me parle de poésie... Je la déteste, dans les mots, du moins (j'aime la poésie des spectacles de rue silencieux). La poésie sent l'escroquerie.
Une mélodie est toujours sincère. Certes, elle peut être caméléon. J'ai déjà conversé avec des gens qui trouvent Chopin triste alors que j'y vois toujours de la gaité, quel que soit le morceau. L'émotion ne se trouve pas que dans la partition ou l'interprétation mais aussi dans l'oreille de l'auditeur. Ceci dit, pour moi, c'est certain, une mélodie ne ment pas.
Et c'est là que je vais vous parler de ma haine des mots. Paradoxalement, c'est avec des mots que je vais vous en parler. Parce que je n'ai d'autre choix légal que celui-là.
Bien sûr, quand ce sont des mots de jeux, je les vois comme des balles qui rebondissent en tous sens. Quand ce sont des mots scientifiques, je respecte leur rigueur. Mais les autres mots... Je les vois comme des maux.
Un exemple ?
Sans mot, quand j'aurais eu des cerises, je t'en aurais offert une pleine corbeille. On se serait souri longuement, nos regards se seraient croisés joyeusement, on aurait été heureux. Quand tu aurais eu des pommes, tu m'en aurais donné un panier. On se serait souri longuement, nos regards se seraient croisés joyeusement, on aurait été heureux. Puis, je t'aurais apporté de mes poires, et plus tard, tu serais venu avec tes raisins... La vie aurait été douce.
Mais il y a les mots...
Alors, quand je t'ai offert une corbeille de cerises, tu t'es mis à parler de tes pommes, qui viendraient bientôt. J'ai savouré tes mots, à défaut de pommes, anticipant le plaisir que tu décrivais. Juteuses, sucrées, légèrement acidulées, comme je les aime. A cause de des mots, j'attendais tes pommes. Pour moi, c'était une promesse, une parole à tenir. Mais toi, en évoquant ces pommes, tu croyais m'avoir offert quelque chose. Pour toi, le cadeau était dans les paroles que tu as lâchement lâchées. Tu te pensais quitte. J'ai à peine vu l'ombre de ton sourire et ton regard a évité mon regard.
Quand ton pommier à commencé à voir tomber ses premiers fruits mûrs, tu as procédé à la cueillette et tu m'as oubliée (tu pensais avoir déjà donné, par tes mots). Peut-être as-tu partagé tes pommes avec d'autres ? Je l'ignore. J'ai attendu. Et rien n'est venu.
Un jour, mes poires ont mûri, et tu t'es présenté chez moi. Tu souhaitais quelques unes de ces poires sucrées et juteuses et me l'as fait comprendre. Je t'ai rappelé ces pommes dont je n'ai pas vu la couleur... Mais comme tu excelles dans l'art des maux (et non pas l'art des mets, visiblement), tu as trouvé ceux qui ont apaisé, momentanément, mon ressenti et tu as promis les raisins qui mûriraient bientôt. Et tu es rentré chez toi, souriant (pas à moi, mais à ta victoire), ton panier plein de poires.
Me voilà alors couronnée reine des pommes. Tu m'as prise pour une poire. Je pense aux raisins. Ceux de la colère qui gronde en moi. J'ai maintenant entre les mains une grosse branche, je suis prête à combattre pour défendre ce qu'il me reste, et je me mets à haïr les mots. Ils sont désincarnés. Ils remplacent honteusement ce qui est vrai. Ils nous éloignent de notre nature profonde.
Je verrai bientôt arriver d'autres personnes qui tenteront de me raisonner: "Hortense, si tu donnes, tu ne dois pas attendre de retour, sinon, ne donne pas". Tiens donc ? Et l'échange, alors ? Ca n'existe pas, peut-être ? Et si je vois quelqu'un mourir de faim, je dois le laisser crever aussi ? J'ai du mal avec ça.
La parole donnée, si vite effacée (seul l'écrit compte dans cette culture). Les paroles remplacent la parole. Je croise davantage d'Hommes de palabres que d'Hommes de parole.
Je vais prendre un autre café.
Ca fait un bon moment que je rumine là dessus.
Parfois, on me dit "Hortense, écoute cette chanson, elle est belle". Alors, j'écoute. Souvent, la mélodie me déplait. Trop simple, le compositeur ne s'est pas foulé... Je te gratte trois accords et puis voilà. L'arnaque musicale. Je donne mon avis, et on me répond: "il faut écouter les paroles".
Alors si seules les paroles sont intéressantes, pourquoi les mettre en musique ?
Je dirais même plus, pourquoi gaspiller de belles paroles en les plaquant sur une musique moche ?
D'ailleurs, que sont de "belles paroles" ?
On me parle de poésie... Je la déteste, dans les mots, du moins (j'aime la poésie des spectacles de rue silencieux). La poésie sent l'escroquerie.
Une mélodie est toujours sincère. Certes, elle peut être caméléon. J'ai déjà conversé avec des gens qui trouvent Chopin triste alors que j'y vois toujours de la gaité, quel que soit le morceau. L'émotion ne se trouve pas que dans la partition ou l'interprétation mais aussi dans l'oreille de l'auditeur. Ceci dit, pour moi, c'est certain, une mélodie ne ment pas.
Et c'est là que je vais vous parler de ma haine des mots. Paradoxalement, c'est avec des mots que je vais vous en parler. Parce que je n'ai d'autre choix légal que celui-là.
Bien sûr, quand ce sont des mots de jeux, je les vois comme des balles qui rebondissent en tous sens. Quand ce sont des mots scientifiques, je respecte leur rigueur. Mais les autres mots... Je les vois comme des maux.
Un exemple ?
Sans mot, quand j'aurais eu des cerises, je t'en aurais offert une pleine corbeille. On se serait souri longuement, nos regards se seraient croisés joyeusement, on aurait été heureux. Quand tu aurais eu des pommes, tu m'en aurais donné un panier. On se serait souri longuement, nos regards se seraient croisés joyeusement, on aurait été heureux. Puis, je t'aurais apporté de mes poires, et plus tard, tu serais venu avec tes raisins... La vie aurait été douce.
Mais il y a les mots...
Alors, quand je t'ai offert une corbeille de cerises, tu t'es mis à parler de tes pommes, qui viendraient bientôt. J'ai savouré tes mots, à défaut de pommes, anticipant le plaisir que tu décrivais. Juteuses, sucrées, légèrement acidulées, comme je les aime. A cause de des mots, j'attendais tes pommes. Pour moi, c'était une promesse, une parole à tenir. Mais toi, en évoquant ces pommes, tu croyais m'avoir offert quelque chose. Pour toi, le cadeau était dans les paroles que tu as lâchement lâchées. Tu te pensais quitte. J'ai à peine vu l'ombre de ton sourire et ton regard a évité mon regard.
Quand ton pommier à commencé à voir tomber ses premiers fruits mûrs, tu as procédé à la cueillette et tu m'as oubliée (tu pensais avoir déjà donné, par tes mots). Peut-être as-tu partagé tes pommes avec d'autres ? Je l'ignore. J'ai attendu. Et rien n'est venu.
Un jour, mes poires ont mûri, et tu t'es présenté chez moi. Tu souhaitais quelques unes de ces poires sucrées et juteuses et me l'as fait comprendre. Je t'ai rappelé ces pommes dont je n'ai pas vu la couleur... Mais comme tu excelles dans l'art des maux (et non pas l'art des mets, visiblement), tu as trouvé ceux qui ont apaisé, momentanément, mon ressenti et tu as promis les raisins qui mûriraient bientôt. Et tu es rentré chez toi, souriant (pas à moi, mais à ta victoire), ton panier plein de poires.
Me voilà alors couronnée reine des pommes. Tu m'as prise pour une poire. Je pense aux raisins. Ceux de la colère qui gronde en moi. J'ai maintenant entre les mains une grosse branche, je suis prête à combattre pour défendre ce qu'il me reste, et je me mets à haïr les mots. Ils sont désincarnés. Ils remplacent honteusement ce qui est vrai. Ils nous éloignent de notre nature profonde.
Je verrai bientôt arriver d'autres personnes qui tenteront de me raisonner: "Hortense, si tu donnes, tu ne dois pas attendre de retour, sinon, ne donne pas". Tiens donc ? Et l'échange, alors ? Ca n'existe pas, peut-être ? Et si je vois quelqu'un mourir de faim, je dois le laisser crever aussi ? J'ai du mal avec ça.
La parole donnée, si vite effacée (seul l'écrit compte dans cette culture). Les paroles remplacent la parole. Je croise davantage d'Hommes de palabres que d'Hommes de parole.
Je vais prendre un autre café.
Invité- Invité
Re: Café broyé
J'aime tes mots. Tu les distilles goutte à goutte en général, puis un jour tu ouvres grand le robinet sans mitigeur. J'aime autant chaque débit.
Mais ce ne sont que des mots… cachant derrière eux mon amour.
Mais ce ne sont que des mots… cachant derrière eux mon amour.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Chez moi, c'est vannes ou vannes.
Mais quand ça ne va pas, je m'étonne que tu ne l'aies pas encore compris, il vaut mieux éviter les petits coeurs, les smileys tendres et les mots tels qu'"amour". C'est du sel sur mes plaies.
Mais quand ça ne va pas, je m'étonne que tu ne l'aies pas encore compris, il vaut mieux éviter les petits coeurs, les smileys tendres et les mots tels qu'"amour". C'est du sel sur mes plaies.
Invité- Invité
Re: Café broyé
Je comprends vite mais faut m'expliquer longtemps et régulièrement…je m'étonne que tu ne l'aies pas encore compris
Mais ok. C'est noté.
Invité- Invité
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