Les Z-illusions perdues
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Re: Les Z-illusions perdues
Je fais remonter ce fil par rapport au questionnement (sur les deux premières pages) sur les illusions et sur les émotions, questionnement qui me parle et m'intéresse énormément.
Peut être cela en intéressera t il certains parmi vous ?
Ps : Je reviendrai détailler certaines de mes questions à une heure moins...matinale !
Peut être cela en intéressera t il certains parmi vous ?
Ps : Je reviendrai détailler certaines de mes questions à une heure moins...matinale !
Dernière édition par Wildzebr le Mar 27 Déc 2011 - 16:59, édité 1 fois
WildZ- Messages : 1347
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Les Z-illusions perdues
Les Z illusions perdues. le chat dans sa boîte ^^ Vaste programme, les mots me manquent toujours, tres beau sujet que je suis enchanté de pouvoir lire!
J'ai peur de ne jamais perdre mes illusions.
---
C’est lorsqu’il nous sépare que le temps s’opacifie, qu’il nous jette au visage une pesanteur déroulant pensées blêmes de solitudes scandées par une trotteuse dont la joie rigoureuse, systématique, nous inflige une nausée quasi-immédiate.
De ce son, une réverbération entêtante, figée comme empreinte de La solitude ; comme un geste que personne ne voit, une famine par l’excès, boulimique déviée de sa course, direction l’impasse fade, le bourbier, le marécage. Spleen.
L’immensité des paroles vaines ; toxiques
L’absurde a enfin des mots à se mettre sous la dent.
Il était temps.
L’on se révèle dans ces silences pesants pour nous-mêmes pantomimes, présence dissonante comme toujours.
L’on esquisse une pensée, brève, submergée par le fracas automatique d' assauts spleenétiques susurrant sans cesse la même rengaine, broyer pour broyer, du noir, des mots et une bonne raison de s’en laver les mains.
L’on ne fait pas tout cela pour rien.
Les autres. Particules atroces reflets à peine digérés peu importe le monde dans lequel on les aborde.
C’est un gouffre, une parole vaine à tout point de vue.
Un essoufflement qui dessine les raisons de l’angoisse, des angoisses, quelles qu’elles soient. Soi ne pardonne rien à personne, pas même à la pâle enveloppe qui joue au moi sous le feu de divers d'éclairages oculaires. Peu importe. Peu importe.
C’est la solitude sentie, vécue, ingérée de force, recrachée par pans de couleurs ou de mots fardés d’absences, gravées affichées en pleine figure.
La sacro-sainte expression faciale aura raison des choses vécues, enfermant l’autre dans un réel qu’on lui dissimulera toujours.
Plutôt crever. Ils n’ont rien à voir la dedans puisque je n’y vois que le vide souriant, accueillant à bras ouverts une formule déchéante, épiphanie factice.
Un besoin impérieux de remplir le vide qui au même moment semble retenir cette même course effrénée. Une déchetterie symbolique, béante, impudique. Insomnie.
C'est le cloaque sémantique, fabrique d'images fadasses ou le malheureux pleure son idée morte à travers la gueule brisée d'un quelconque souffrant.
Le soir du diable où la septicémie, dérèglement endocrinien emballant la machine sacralisée par un temps calme , ardente éclatée comme horloge entrebâillée; se dessine en interne, entre deux ressorts le vide qui fait sans répit tourner ses phalanges. Tic Tac
Trouble obsessionnel cristallisé, cent douze minutes de frénésie très mince sans apports substantiels.
Pas de fracas sans une ouïe compatissante, les mots ont besoin, lachés dans cette nature rouge, de rencontrer leurs humains pour se mettre en mouvement. La forme se souvient du fond qui lui plait.
----
Savoir dire non, savoir dire oui, établir des connexions au delà d'un mur trop dense de tout et de rien, de je-ne-sais-quoi.
L'enfance perdue, effacée, qu'on cherche à réunir par bribes, mémoire manquante ou sauvage, réveils instantanés. Retours mornes ou fringuants.
Le temps qui passe; polymorphe, accablant ou brûlant; désir, plaisir, recherche, contemplation, répétition, réalités relatives, et le "tout" reste hors de portée, expansif.
La quête de l'instant, puis du "poly-instant" dense, compact et créatif, mais les intrusions, la perméabilité aux pires angoisses, les relations humaines, vivre en rhytme, assigner une fonction aux montagnes russes.
L'amour, ligne de conduite, instable, vacillante, flexible, sûre, rapide ou aléatoire; l'intense où le vide, selon le monde que l'on choisir d'occuper pour un temps t.
La violence, dans la plus petite chose, le déclin, la mort, l'amer, l'"essouflement paradigmique", l'incompréhension engourdie, hivernale, le spleen dans les illusions que l'on ne saura jamais arrimer au réel.
Le réel, doute de l'ordre des choses, redoute les boucles infinies, réductibles à un absurde "atomique" qui semble toujours séparable. Le doute et la folie, la folie et la perception galopante, Abrasives, toujours précieuses mais bien aléatoire la toxicité. ce que l'on ne sait en faire.
Les liens, fils tendus entre les mondes de connaissance, de perception, de mémoire, de son et d'images, de possibles futurs, de symptômes passés.
Je crois avoir choisi une direction à la fois idéale pour moi mais aussi précaire. Repousser les choses, et créer pour les tuer. Figer leurs cadavres interminables aux yeux des appendices de curiosité. L'acte de création, la prise de décision dans l'intense même, c'est comme un voyage carthographique dans un rêve lucide. Laisser des traces des temps immémoriaux, en couleurs symboles gestes mémoriels. Chercher la densité ou elle se trouve, dans l'exploration des possibles sans nier la nécessité de linéariser pour montrer, mais en procédant en recherche de ce qui allègera les mots, trop impossibles à unir. L'art, et la création au sens vaste sont les seuls moyens de communication qui me permettent quoi que ce soit. Poser une figure, une fenêtre entre le monde et l'oeil, inviter l'autre à fondre ces deux mondes en un seul. Multiple et visible.
L'on
Mes dents se déchaussent
Je me sens comme objet trouvé
ou perdu, peu importe
L'On vibre, agite mon habitacle
Des objets en chute libre frôlent mes mouvements et la saccade m'empêche de les éviter.
Ils sont poussés par leur poids
Objets aperçus, évalués
Jamais trouvés.
Des Bleus.
L'On note les différentes collisions
Étaient elles prévisibles ?
Le sacrosaint diagramme le dira en temps voulu.
Il m'abreuvera de mots
Viande, Sacre, Fourmilière
Des enveloppes scellées attendent comme les mots leur tour
L'heure ou l'instant ou elles trouveront seules leur sens.
Elles peuvent attendre. je m'en mords la langue au troisième degré.
Je suis un objet trouvé
Employé d'un centre de tri.
Affairé à recevoir
outre ces messages contradictoires
une insulte, un beau et une direction différente.
Sous la saccade
les données éclatent
Non, les données sont l'éclatement.
J'ai peur de ne jamais perdre mes illusions.
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C’est lorsqu’il nous sépare que le temps s’opacifie, qu’il nous jette au visage une pesanteur déroulant pensées blêmes de solitudes scandées par une trotteuse dont la joie rigoureuse, systématique, nous inflige une nausée quasi-immédiate.
De ce son, une réverbération entêtante, figée comme empreinte de La solitude ; comme un geste que personne ne voit, une famine par l’excès, boulimique déviée de sa course, direction l’impasse fade, le bourbier, le marécage. Spleen.
L’immensité des paroles vaines ; toxiques
L’absurde a enfin des mots à se mettre sous la dent.
Il était temps.
L’on se révèle dans ces silences pesants pour nous-mêmes pantomimes, présence dissonante comme toujours.
L’on esquisse une pensée, brève, submergée par le fracas automatique d' assauts spleenétiques susurrant sans cesse la même rengaine, broyer pour broyer, du noir, des mots et une bonne raison de s’en laver les mains.
L’on ne fait pas tout cela pour rien.
Les autres. Particules atroces reflets à peine digérés peu importe le monde dans lequel on les aborde.
C’est un gouffre, une parole vaine à tout point de vue.
Un essoufflement qui dessine les raisons de l’angoisse, des angoisses, quelles qu’elles soient. Soi ne pardonne rien à personne, pas même à la pâle enveloppe qui joue au moi sous le feu de divers d'éclairages oculaires. Peu importe. Peu importe.
C’est la solitude sentie, vécue, ingérée de force, recrachée par pans de couleurs ou de mots fardés d’absences, gravées affichées en pleine figure.
La sacro-sainte expression faciale aura raison des choses vécues, enfermant l’autre dans un réel qu’on lui dissimulera toujours.
Plutôt crever. Ils n’ont rien à voir la dedans puisque je n’y vois que le vide souriant, accueillant à bras ouverts une formule déchéante, épiphanie factice.
Un besoin impérieux de remplir le vide qui au même moment semble retenir cette même course effrénée. Une déchetterie symbolique, béante, impudique. Insomnie.
C'est le cloaque sémantique, fabrique d'images fadasses ou le malheureux pleure son idée morte à travers la gueule brisée d'un quelconque souffrant.
Le soir du diable où la septicémie, dérèglement endocrinien emballant la machine sacralisée par un temps calme , ardente éclatée comme horloge entrebâillée; se dessine en interne, entre deux ressorts le vide qui fait sans répit tourner ses phalanges. Tic Tac
Trouble obsessionnel cristallisé, cent douze minutes de frénésie très mince sans apports substantiels.
Pas de fracas sans une ouïe compatissante, les mots ont besoin, lachés dans cette nature rouge, de rencontrer leurs humains pour se mettre en mouvement. La forme se souvient du fond qui lui plait.
----
Savoir dire non, savoir dire oui, établir des connexions au delà d'un mur trop dense de tout et de rien, de je-ne-sais-quoi.
L'enfance perdue, effacée, qu'on cherche à réunir par bribes, mémoire manquante ou sauvage, réveils instantanés. Retours mornes ou fringuants.
Le temps qui passe; polymorphe, accablant ou brûlant; désir, plaisir, recherche, contemplation, répétition, réalités relatives, et le "tout" reste hors de portée, expansif.
La quête de l'instant, puis du "poly-instant" dense, compact et créatif, mais les intrusions, la perméabilité aux pires angoisses, les relations humaines, vivre en rhytme, assigner une fonction aux montagnes russes.
L'amour, ligne de conduite, instable, vacillante, flexible, sûre, rapide ou aléatoire; l'intense où le vide, selon le monde que l'on choisir d'occuper pour un temps t.
La violence, dans la plus petite chose, le déclin, la mort, l'amer, l'"essouflement paradigmique", l'incompréhension engourdie, hivernale, le spleen dans les illusions que l'on ne saura jamais arrimer au réel.
Le réel, doute de l'ordre des choses, redoute les boucles infinies, réductibles à un absurde "atomique" qui semble toujours séparable. Le doute et la folie, la folie et la perception galopante, Abrasives, toujours précieuses mais bien aléatoire la toxicité. ce que l'on ne sait en faire.
Les liens, fils tendus entre les mondes de connaissance, de perception, de mémoire, de son et d'images, de possibles futurs, de symptômes passés.
Je crois avoir choisi une direction à la fois idéale pour moi mais aussi précaire. Repousser les choses, et créer pour les tuer. Figer leurs cadavres interminables aux yeux des appendices de curiosité. L'acte de création, la prise de décision dans l'intense même, c'est comme un voyage carthographique dans un rêve lucide. Laisser des traces des temps immémoriaux, en couleurs symboles gestes mémoriels. Chercher la densité ou elle se trouve, dans l'exploration des possibles sans nier la nécessité de linéariser pour montrer, mais en procédant en recherche de ce qui allègera les mots, trop impossibles à unir. L'art, et la création au sens vaste sont les seuls moyens de communication qui me permettent quoi que ce soit. Poser une figure, une fenêtre entre le monde et l'oeil, inviter l'autre à fondre ces deux mondes en un seul. Multiple et visible.
L'on
Mes dents se déchaussent
Je me sens comme objet trouvé
ou perdu, peu importe
L'On vibre, agite mon habitacle
Des objets en chute libre frôlent mes mouvements et la saccade m'empêche de les éviter.
Ils sont poussés par leur poids
Objets aperçus, évalués
Jamais trouvés.
Des Bleus.
L'On note les différentes collisions
Étaient elles prévisibles ?
Le sacrosaint diagramme le dira en temps voulu.
Il m'abreuvera de mots
Viande, Sacre, Fourmilière
Des enveloppes scellées attendent comme les mots leur tour
L'heure ou l'instant ou elles trouveront seules leur sens.
Elles peuvent attendre. je m'en mords la langue au troisième degré.
Je suis un objet trouvé
Employé d'un centre de tri.
Affairé à recevoir
outre ces messages contradictoires
une insulte, un beau et une direction différente.
Sous la saccade
les données éclatent
Non, les données sont l'éclatement.
WildZ- Messages : 1347
Date d'inscription : 18/09/2011
Age : 46
Re: Les Z-illusions perdues
Vous êtes des malins car vous préservez vos erreurs des mots que vous employiez. Et ça c'est balèze.
ichthon- Messages : 49
Date d'inscription : 16/11/2011
Localisation : Nantes
Re: Les Z-illusions perdues
Pis je me noie dans vos écrits...J'"aimerais bien une bouée.
ichthon- Messages : 49
Date d'inscription : 16/11/2011
Localisation : Nantes
Re: Les Z-illusions perdues
Je suis de bonne volonté.
ichthon- Messages : 49
Date d'inscription : 16/11/2011
Localisation : Nantes
WildZ- Messages : 1347
Date d'inscription : 18/09/2011
Age : 46
Re: Les Z-illusions perdues
*soupir*moonage a écrit:"J'ai tout donné et il ne m'a rien rendu, nous sommes entre zèbres et ça ne décolle pas, etc."
Tiens, de quel droit ? Parce que tu as tout donné à quelqu'un qui n'a rien demandé ? C'est pas ça qu'on appelle du chantage ?moonage a écrit:Comme si on entendait "je mérite mieux que ça, j'attends autre chose...
P'tet parce que c'est pas la bonne question.moonage a écrit:Mais il semble toujours difficile de formuler cet "autre chose".
P'tet que c'est pas de l'autre que tu attends quelque chose, mais de toi.
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: Les Z-illusions perdues
ptetre que depuis le temps il ou elle a compris cela, au vu de la date de son premier post !
Invité- Invité
Re: Les Z-illusions perdues
Cependant, je trouve ça bien dit (dit au bon endroit):
[...] c'est pas de l'autre que tu attends quelque chose, mais de toi.
paela- Messages : 2689
Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 31
Localisation : Bordeaux
Re: Les Z-illusions perdues
Yep, j'avais pas vu la date. Ch'vais m'coucher
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: Les Z-illusions perdues
Lui, peut être bien , mais ça n'empêche pas d'autres de se poser aussi la/les questions et de réfléchir sur ce sujet . Et partir de choses déjà écrites peut être une base de départ à la réflexion.diana a écrit:ptetre que depuis le temps il ou elle a compris cela, au vu de la date de son premier post !
Moi aussi je trouve ça bien dit.paela a écrit:Cependant, je trouve ça bien dit (dit au bon endroit):
[...] c'est pas de l'autre que tu attends quelque chose, mais de toi.
WildZ- Messages : 1347
Date d'inscription : 18/09/2011
Age : 46
Invité- Invité
Re: Les Z-illusions perdues
je me souviens d'une phrase de Nietzche : "les illusions sont les rêves de ceux qui n'en ont pas".
Je l'ai lue à 16-17 ans et elle ne m'a jamais quittée.
Aujourd'hui je me dis que je me rapproche de mes rêves et je m'éloigne de mes illusions...
Je l'ai lue à 16-17 ans et elle ne m'a jamais quittée.
Aujourd'hui je me dis que je me rapproche de mes rêves et je m'éloigne de mes illusions...
mypseudo- Messages : 537
Date d'inscription : 24/11/2015
Age : 50
Localisation : entre ici et là bas
Re: Les Z-illusions perdues
joliment dit!
les z-illusions c'est comme un nuage de fumée, le vrai est derrière, pas toujours joli joli mais parfois on préfère le nuage
une fois le nuage dissipé cependant on peut déceler d'abord, voir mieux ensuite et enfin s'émerveiller de chose qu'on ne pensait même pas exister
certes il faut avoir de bons yeux et pas avoir les larmes qui coulent trop longtemps à cause du nuage de fumée
la lucidité peut être froide mais elle peut aussi être chaude mais alors basée sur le réel et non les illusions du réel
le réel est souvent très très laid mais parfois il ne l'est en rien du tout
dis moi .. que retiens tu du monde ?
qu'il est laid et peuplé de gens méchants !
rien d'autre ?
qu'il est aussi très beau et peuple de belles personnes !
les z-illusions c'est comme un nuage de fumée, le vrai est derrière, pas toujours joli joli mais parfois on préfère le nuage
une fois le nuage dissipé cependant on peut déceler d'abord, voir mieux ensuite et enfin s'émerveiller de chose qu'on ne pensait même pas exister
certes il faut avoir de bons yeux et pas avoir les larmes qui coulent trop longtemps à cause du nuage de fumée
la lucidité peut être froide mais elle peut aussi être chaude mais alors basée sur le réel et non les illusions du réel
le réel est souvent très très laid mais parfois il ne l'est en rien du tout
dis moi .. que retiens tu du monde ?
qu'il est laid et peuplé de gens méchants !
rien d'autre ?
qu'il est aussi très beau et peuple de belles personnes !
Invité- Invité
Re: Les Z-illusions perdues
Moi je retiens du monde qu'il est si compliqué pour moi que je navigue entre la joie de le découvrir à tout jamais un peu plus et la souffrance de ne pouvoir l’appréhender dans sa totalité....
Je considère que j'ai plus de chance que mes parents, je suis née après eux....mais moins que mes enfants, ils sont nés après moi....
Je considère que j'ai plus de chance que mes parents, je suis née après eux....mais moins que mes enfants, ils sont nés après moi....
ssof- Messages : 89
Date d'inscription : 12/12/2015
Localisation : nulle part
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