C’est normal d'être heureux.

Salut,

le premier titre de cette présentation était: "Y a-t-il vraiment une solution?" puis c'est passé à "Pfiouuuuu...", la 2e édition de ce post mène à ces derniers mots.

La 3e mène à un autre changement de titre, la 4e aussi, comme les suivantes.

"Je ne sais pas me présenter", "Je vais y réfléchir", "J'aime bien mettre mes ptits écrits ici...sur cette présentation."

S'il n' y a pas de solution c'est qu'il n'y a pas de problème...

Il existe des problèmes sans solution, en mathématiques en tous cas ;-)

Non

https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8mes_d%27incompl%C3%A9tude_de_G%C3%B6del

Merci à vous.

Est-ce qu’on a le droit de prétendre à des valeurs? Faut-il le faire?

Le minimum vital. C’est très surfait, le fait d’avoir des valeurs. Pas très tendance. Des colifichets épinglés sur l’ego. Au début ça fait joli mais à la longue ça irrite. Puis ça sclérose les flux énergétiques, ça éteint les chakras.

p2m l'avaleur des valeurs...

Y a-t-il vraiment une solution ?


Est-ce qu’on a le droit de prétendre à des valeurs? Faut-il le faire?


Ce sont des questions philosophiques, et à la première question il me semble que le problème c'est la totalité et/ou le néant puisque sans rapport à quoi que ce soit, et donc, non il ne peut pas y avoir de solution à tout autant qu'il ne peut pas y avoir de solution à rien, et pour autant que je comprends ce que nous appelons un problème il n'y a pas de problème, il y a en fait une situation que nous vivons de façon problématique. Je fais aussi attention au "vraiment" qui fait appel au concept de vérité, ou de "vrai", et là à moins de considérer les écrits religieux, scientifiques, légaux, historiques, statistiques, etc. en tant que LA vérité, alors la vérité est trop subjective pour répondre vraiment à cette question de façon objective.

L'important pour essayer de répondre à ces questions ce sont le discernement, l'analyse, la pondération, la priorisation, et surtout le savoir de quoi nous parlons, de mon point de vue.

La deuxième question contient des concepts nettement plus complexes et là nous commençons vraiment à philosopher si nous analysons, discernons, priorisons et pondérons les termes employés, donc que nous cherchons à savoir de quoi nous parlons.

Être adulte, c'est défendre des valeurs, ou au moins en avoir, pour se lever le matin et aller faire un travail qui nous plaît ou ne nous plaît pas mais que nous faisons pour ces valeurs. Elles peuvent être théoriques, réelles, imaginaires, symboliques, universelles, humaines, animales, environnementales, sociales, économiques, familiales, scientifiques, philosophiques, éducatives, logiques, médicales, sanitaires, ludiques, etc.

Et ces valeurs dessineront autant notre façon de travailler que le travail que nous faisons. Et dessineront beaucoup d'autres choses aussi, par exemple nos paroles et nos écrits, nos façons de vivre, etc.

Ce sont les relations et les dialogues, les connaissances et les savoirs, les expériences et les questionnements, la culture et l'instruction, la réflexion et la conscience, qui forment des valeurs, de mon point de vue, et cette liste comme la précédente n'est pas exhaustive. Le seul problème que je peux rencontrer avec les valeurs est quand nous les considérons totales, parfaites, fixes, à un moment et donc impossibles à faire évoluer dans leurs applications. Cette fermeture, comme probablement toute (et c'est malheureux) fermeture crée l'isolement et donc la mort.

Spoiler:

What if I don’t try to say something universal, beyond all times, that may remain?

ludion a écrit:S'il n' y a pas de solution c'est qu'il n'y a pas de problème...

Je l'aime bien celle là

la sagesse Shadock permet, au moins un peu, de résister au 21e siècle…
Relativement.
Enfin j'espère…

Jérémy34 a écrit:
Ce sont les relations et les dialogues, les connaissances et les savoirs, les expériences et les questionnements, la culture et l'instruction, la réflexion et la conscience, qui forment des valeurs, de mon point de vue, et cette liste comme la précédente n'est pas exhaustive. Le seul problème que je peux rencontrer avec les valeurs est quand nous les considérons totales, parfaites, fixes, à un moment et donc impossibles à faire évoluer dans leurs applications. Cette fermeture, comme probablement toute (et c'est malheureux) fermeture crée l'isolement et donc la mort.

La même chose, en unités Basquiat.

42 !!!!!! (plus ou moins -1/12éme... (merci Ramanujan))

Une solution à quoi?
Ya que moi qui capte rien?
Sinon je ne trouve que 3 réponses à la question : résoudre, attendre, ou mourir.

Pour la 2ème, on peut bien prétendre à des valeurs, n'importe qui peut le faire, il peut y avoir autant de valeurs qu'il y a d'humains. C'est le jugement de la valeur des valeurs qui est casse-gueule à mon avis.
Si tu as comme prérogative absolue en terme de valeur la liberté (encore un concept un peu fumeux libéral mais bon) et que la personne en face de toi a comme prérogative absolue la cohésion collective sur n'importe quel système économique en place, ça va difficilement matcher par exemple.
Donc tu prétends bien à ce que tu veux je dirais. Tout l'enjeu viendrait du partage commun des valeurs (multifactoriel comme expliqué plus haut - JE NE SAIS PAS CITER DÉSO) à grande échelle, puis à échelle individuelle dans un espace temps plus restreint.

Tu as raison.

Merci @p2m! Je vois que je peux compter sur toi. Et dans mon système de valeurs avec des inconnu.e.s, c'est hyper précieux!

Je suis le pacificateur

Écrits en vrac.

La demande de liberté de la philosophie.

La cour de récré c’est fini.

La nature a inventé l’humilité.
L’humanité tient à elle.
On veut tous exister.
Pourquoi veut-on survivre?
Les humains tiennent désespérément à leur vie.
Mes envies ne persistent pas en ce moment.
La philosophie appliquée.

Écrits en vrac.

Je souffre d’être conscient, de me sentir, de sentir/vivre une conscience. La paix est en amont.

Le but est l’absence de souffrance.

Sentir fait souffrir car la paix part.

J’essaie de trouver des choses qui me feraient agir, réagir.

Hors contexte, faut-il faire qqch?

Pourquoi faire survivre l’espèce humaine au dépens des autres espèces? Ce qui peut conduire à dire que si nous sommes seuls restant sur Terre, nous crèverons en dernier. Joli tableau?

On oublie qu’on est haut potentiel.
Assumer son haut potentiel.

On pense tous connaître le bon chemin.

Il faut souffrir pour manger.

En vrac.

Le cul attire plus que l’esprit?
On ne parle que de soi?
Le bonheur devrait-il vraiment être maître?
Je ne vis pas assez?
Sensible à ses propres pensées.
La moquerie des surdoués envers les autres, dont les surdoués.
Les sens des mots qu’on ne veut plus sentir.
Pourquoi faut-il vivre, dame nature?
Le langage déstructure la réalité tout en essayant de la structurer.
Il semble difficile de rencontrer le/la plus sensible, bien caché/e…
Laisser mourir l’espèce humaine sans violence…

L'espèce humaine survivra à ses propres détracteurs soit en nombre ou réduit ! en s'adaptant en mutant !?

L’espèce humaine est-elle définie? Qui était le premier être humain? Son/sa prédécesseur était-il/elle un être humain? What about timing man? Genes move.

Mais oui, nous faut une sévère mutation génétique.

Bon sinon, en vrac.

Très peur de prendre un chemin de pensée et de m’y fier.

La cause dédouane-t-elle?

J’ai beaucoup besoin de reconnaissance.

On est tous actifs, même inactifs.

La nature est active.

La paix peut-elle se trouver, même en partie, dans l’immobilité?

On nous aurait appris à raisonner. Mais nous aurait-on vraiment appris à bien/correctement raisonner?

L’amour. L’amour était si fort. Ils étaient si forts. Ils étaient sérieux. Se prendre au sérieux, un minimum, ça peut faire du bien, ça peut permettre d’exister.

Je répète: trop intelligente(t) pour être conne(n).

La vie n’est rien, strictement rien, il suffit de souffrir et tout arrive.

Les zèbres souffrent tellement qu’ils ont tout le temps envie de baiser, et se branlent tout le temps même s’ils baisent, mdr.

Il y a cette sensibilité, ce sérieux.

On cherche le défaut chez l’autre en le regardant.

Les transitions dans tout domaine sont à enseigner, sont à rendre plus confortable, sont à vivre de manière moins rude. Entre deux quartiers, entre deux jobs, entre deux amis.

Toujours à vouloir montrer son intelligence le zèbre.

Je ne sais pas ce qui me décide. Se connaître ? Oui mais si on change? Si on change tout le temps? Instantanément?

J’aime pas argumenter, sentir la tension monter comme ça…

La nécessaire satisfaction immédiate.

L’inertie des émotions.
Cette vie où on ne peut choisir.
La nature se fout de l’intelligence.

Les gens mentent pour se glorifier.

On ne supporte pas.

Il y a des atrocités qui se font tout le temps sur Terre.

Les raisonnements qu’on ne fait pas vraiment…

Trop vite pour s’en rappeler mais le souvenir de qqch de non achevé reste.

Tout le monde souffre. La vie est dure quand même.

C’est pas parce que c’est plus rapide que c’est mieux.

Les ressorts sans fin de profondeur ? du comportement humain.

J’ai pas envie.

On a besoin de plus de bonne gestion internationale.

L’égoïsme prime sur l’altruisme.

Les marié(e)s sont de la même famille.

Les riches ne marchent pas dans la rue (à dire aux “harceleurs” humanitaires des rues).

On se rapproche des gens que l’on connaît et on s’eloigne des gens que l’on ne connaît pas, ou l’inverse, ou pas.

“Ah la gestion sociale…”

“Ah l’ambiance…”

“Ah l’importance de l’ambiance…”

Les gens s’aiment.

Les montagnes russes de l’exécution de l’intelligence.

On m’a dit d’écrire un livre.

Le public.

Accepter d’être un élément chimique.

Atteindre la juste politesse.

Il doit y avoir de la douceur dans les sexualités sans quoi la guerre et ses conséquences sont trop présentes.

La procréation va plus vite que l’éducation ?

Social robots.

Quand l’évidence n’est pas dite et que l’on ne comprend pas.

On veut construire et réussir. (Mais pourquoi?)

Je suis né dans un blocage/un piège: le corps, ou, la peau du corps.

Pourquoi la nature a inventé l’humain? Hasard? Possible…

Les contextes et la vérité.

Tout le temps sensibles.

Je trouve personne dans ce monde…

Les humains se disputent.

C’est pas zebrascrossing.net, c’est ego.net

En fait y aurait différentes zones du cerveau qui provoqueraient de la peine et différentes zones du cerveau qui provoqueraient de la joie

C’est marrant, vous connaissez des études sur la souffrance genre avec “souffrance” dans le titre ? Et non sur des maladies?

La justice sur la beauté physique ?

Ne crée-t-on pas nous-mêmes nos émotions à partir d’interprétations faites par nous-mêmes aussi? Il faudrait donc ne pas se tromper!

Ils nous prennent pour d’la viande, on les prend pour des cons.

Une famille, c’est toujours le bordel pour cause d’espace vital, émotionnel ou intellectuel?

YouTubeur: qqn qui s’éclate en faisant du fric sur ton temps et ta tristesse

Triste d’être né humain

Les filles ont l’avantage de pouvoir changer de mec toutes les semaines “en gros”. C’est pas la même pour les mecs…

Les gens de droite auront toujours compté sur la bonne volonté des gens de gauche.

Les gens de droite auront toujours fait leur fric sur les gens de gauche.

La course.

L’humanité nsra heureuse que quand nous srons tous heureux?

J’ai la flemme de parler.

Les gens sont moins gentils que moi. Est-ce à moi de descendre?

L’évolution du surdoué ou de sa personnalité à force de réflexions.

C’est pas grave de mourir?

Se sentir bien ne se fait pas naturellement chez moi.

On mange trop souvent?

On est au B A BA de la communication humaine, on est au début de l’humain, et on va y passer. On aura été un raté.

Ces zèbres qui écrivent des règlements: j’espère que vous êtes députés depuis longtemps. Sa me fait gerber.

Les paroles sont-elles les défenses de l’amour ?

L’affirmation est interdite?

Tout ce mal que l’on ne dit pas, que l’on a pas le temps de dire…

En avances sur ce monde.

Everything ´s gettin serious

On nous force à accepter ce monde de merde.

Normal ne veut pas dire bien ou meilleur

Apprivoiser la méchanceté?

Les autres sont nécessaires pour recevoir de l’amour, mais pas n’importe lequel pour les surdoués… d’où notre isolement.

Ai-je un devoir?

La souffrance humaine a-t-elle baissé de telle sorte qu’elle ne réaugmente pas?

Le racket de l’affect?

Laissons passer les gens?

S’il faut taire, que faut-il taire?

Mes parents ne me laissent pas être comme je suis?

Paraître ridicule?

Toujours vouloir avoir raison ?

Quelles conséquences de conséquences peut avoir un acte?

Il faut expérimenter seul?

J’ai pas besoin?

Je ne juge pas les gens sexuellement?

Besoin de plus, besoin de neuf, ou de plaisir quand je reçois plus ou quand je reçois du neuf?

Notre cerveau n’est pas forcément toujours adapté à nos vœux?

On peut faire des choses avec son esprit, arrêter de réfléchir, réfléchir, faire autre chose?

J’aurais compris pourquoi le monde serait chiant, ce serait à cause des lois de l’univers potentiellement inviolables?

La raison, notre outil. Mais sans, qu’y a-t-il? Que nous reste-t-il ? Notre corps?

Bloqués dans la souffrance?

Le reproche aux autres de ne pas être surdoué, à enlever…?

Cette urgence vitale de FAIRE?

Parce que les enfants auraient moins d’ego, on en ferait des ramasseurs de balle?

Ce serait l’impression qui ferait que…?

La souffrance c'est la norme.
Le corps a une résilience.
L'esprit aussi.
Quand la souffrance surpasse la résilience, il y a traumatisme, physique, psychologique.
La société est trop rapide, nos systèmes physiologiques ne se sont pas adaptées aux "nouvelles" donnes, à commencer par la sédentarité et le système familial ou les enfants ne dépendent que des parents.
C'est à nous de nous créer notre petit environnement proche qui respectera au mieux nos besoins physiologiques réelles. A nous de chercher et de trouver ceux qui ont les compétences pour nous aider à nous relever, à nous reconstruire après un traumatisme, pour devenir kintsugi.
On ne peut pas changer ce qui est, mais nous pouvons faire de notre mieux avec ce qui se présente dans nos vies.

La douleur est inévitable; la souffrance est un choix.

J043947.08+163415.7 a écrit:La douleur est inévitable; la souffrance est un choix.

Un apprentissage peut être. ...quand la douleur te tombe dessus. ...faut apprendre a vivre avec. ...dans certains cas. ...qu'ils soient physiques ou psy. ...
Je crois pas, dans certains cas, que t'aie le choix de vivre avec la douleur. ...d'en faire une souffrance ou de la surmonter je suis d'accord.
Mais surmonter n'est pas qu'un choix, ce serait trop simple, je crois.

En vrac.

Le cul attire plus que l’esprit?
Oui. Logique.

On ne parle que de soi?
Que puis-je connaitre mieux que moi même...

Le bonheur devrait-il vraiment être maître?
N'ayez pas peur du bonheur, il n'existe pas. Juste un mot perdu dans d'autres mots...

Je ne vis pas assez?
Jusqu'à la mort.

Sensible à ses propres pensées.
La moquerie des surdoués envers les autres, dont les surdoués.

Les sens des mots qu’on ne veut plus sentir.
Là je suis interloqué. Sachant que le sens des mots est hyper-intersubjectif, il faudrait les poser ces mots. Mais les mots... sont des couteaux.

Pourquoi faut-il vivre, dame nature?
La question est pourquoi faut il mourir ???

Le langage déstructure la réalité tout en essayant de la structurer.
"Tous langage est incompréhensible" A.A.

Il semble difficile de rencontrer le/la plus sensible, bien caché/e…
Laisser mourir l’espèce humaine sans violence…



Tant que l'on est en vie ou souffre. La vie sans souffrance est en soit de la merde.

Je suis lourd ?

Ne sommes-nous pas pris dans une immense mélasse informationnelle insupportable ?

Identifier le nécessaire ?

Les maladies font partie de la nature ?

Pourquoi mes parents ne m’ont-ils jamais expliqué comment la société fonctionnait ?

Aimerais bien vivre un temps dans la tête des gens où l’existence du temps n’avait pas été mis en évidence… ?

Faut pas essayer d’avoir raison dans un débat, faut essayer d’approcher la vérité ?

Tous fermiers avec une terre avec un puits avec un boulot éventuel de plus à côté ? Comme ça tous vraiment indépendants vitalement ?

Les moches ne s’assument pas moches ?

Je me pose une question déconnectée des autres et je la note, et comme c’est déconnecté c’est relou à lire ?

Je me sentais pas bien quand tu me parlais ?

If you want to create a full clone, you may just have to fuck ?

Les habitudes culturelles comportementales ?

Ça dépend comment tu comprends la question ?

On naît dans un pays où on te dit pas avant, qu’on va te prendre une partie de ton argent dès que tu vas travailler ?

Pourquoi tout ne serait pas changeable par les origines de ce qui serait ?

Enlever les quatre saisons et les remplacer par de la continuité (celle du temps ?) ?

Comment on s’oriente ?

On sait pas comment les gens vont prendre nos mots ?

Respirer ?

Le timing ?

S’enfoncer ?

Rester avec l’autre par faiblesse ? Se retrouver toute(t) seule(l) ?

Les gens sont-ils énervés ?

Se précipiter sur la première chose qu’on pense ?

On peut aimer que les autres souffrent ?

Accepter sa beauté ?

Accentuer sa beauté ?

Ces femmes qui se permettent d’exprimer leurs conditions de choix ?

selon que le lecteur est apaisé?

selon que le lecteur manquerait de recul à certains instants de lecture?

le conflit intellectuel?

vouloir se montrer le plus intelligent ici?

qu'est-ce qu'un fait?

qu'est-ce qu'une preuve dans la vie réelle?

se demander pourquoi on en arrive à taper ici?

faire les efforts sans s'efforcer?

J'aime bien glorifier Dieu/Allah ou autre, hors religion (même si j'ai forcément été influencé):

Je n'aurais pas dû écrire Dieu, c'est l'insulter. Dieu est sans nom. Tout comme tu ne peux dire "insulter" dans un texte contenant Dieu. J'ai déjà perdu.

J'aimerais les gens faisant leur existence sans Dieu, sans appel à Dieu, sachant qu'ils sont conscients quand même pertinemment qu'il y a un truc qui tourne pas rond dans l'Existence, mais qu'ils ne prennent jamais le temps de... sentir?

Mais ils auraient l'humilité consciente ou inconsciente de le laisser tranquille.

Dieu, c'est ce qu'on ne saurait pas. C'est pour ça qu'on peut avoir l'impression qu'il nous parle, ou de grandeur, quand on croirait avoir découvert un truc unique.

Dieu peut juste être un concept créatif où on y met l'inexpliqué. A-t-il une intention? C'est un peu chaud pour l'esprit des fois d'imaginer que de rien peut apparaître, être créé, quelque chose.

Alors qu'est Dieu? Chacun y répond comme il veut. Seul Dieu peut tout. Si Dieu a un dieu, n'y a-t-il pas un problème "hiérarchique"? Dieu serait donc unique, avec nous comme petits "évoluant", en parallèle, vers, à côté, à distance, sans, lui.

Pourquoi devrait-on tendre vers Dieu? ou tout simplement y croire? s'élever? On pourrait se retrouver bien seul nan? oui mais si on est avec lui? Euh, sa présence ne ferait pas toujours fortement sentir... à réfléchir.

Dieu, je n'ai jamais compris comment les gens osaient utiliser le mode de l'impératif pour te parler dans les prières. Genre, sont qui ces gens sérieux?

Je ne saurai jamais commencer une prière.
Je ne sais pas qui je suis. Je ne le saurai jamais.
Je sais juste que tu auras toujours été là.
Et je t'aime.

Cher @questionneur

Les religions ne sont qu'autant de prisons mentales. Certaines cultures s'évertuent à y enfermer l'humain depuis l'enfance. En pratiquant au passage des mutilations sexuelles ignobles comme la circoncision ou encore l'excision. Autant d'agressions psychiques que physiques. Les religions sont autant de gifles à l'intelligence. Une civilisation réellement avancée, ou désireuse de le devenir, devrait commencer par s'affranchir de la religion et d'interdire toutes formes de croyances en l'irrationnel.

Par contre on ne saurait trop encourager la spiritualité. Ce qui n'a strictement rien à voir avec un dogme quelconque. Un dogme est forcément collectif. Alors que la spiritualité reste personnelle. Un dogme est dictatorial, punitif et anxiogène. Un dogme culpabilise. Alors que la spiritualité encourage à une vision personnelle du monde. Les religions sont vecteurs de haines, criminogènes. Tout particulièrement les monothéismes. Alors que les spiritualités ne condamnent pas et respectent.

Ayant le privilège et l'immense bonheur d'avoir tenue éloignée de tous dogmes religieux depuis ma naissance, je remercie mes parents d'avoir favorisé ma spiritualité...

Courage

euh... salut Valona

déjà jme suis senti attaqué tout ton texte... voulais-tu me faire la leçon?

c'est marrant, ça a l'air dogmatique ske tu dis...

je ne me plains pas et n'ai pas besoin de ton "courage"

que d'affirmations dans tout ton texte...

à me demander si tu m'a lu jusqu'au bout...

jsuis pas là pour défendre une religion, et je suis d'accord avec des choses que tu dis...

c'est juste que j'aime croire en un dieu, mon dieu si tu veux, hors religion

on a pas besoin de religion pour croire en un dieu, ou en une spiritualité quelconque, tu n'as qu'à remplacer Dieu dans mon ptit post par "mon esprit" ou "l'esprit" ou "ma spiritualité" ou autre...

breeefff...

j'ai longtemps pris pour vrai ce que je croyais à première vue que les gens pensaient, avant de me rendre compte des erreurs monumentales que je pouvais commettre intuitivement ou même rationnellement.

Oh j’ai loupé ce sujet, je te répondrai lorsque j’aurai davantage de temps, ce que tu dis questionneur mérite de l’attention. Les réponses que tu as reçues sont passées à côté de l’essence même de ce que tu exposes, lorsque j’ai lu le titre, j’eûs une réaction très vive de répondre « mais enfin, la souffrance est indispensable, elle côtoie toute vie pour qu’elle fasse attention aux multiples dangers, pour apprendre des erreurs. Vouloir supprimer la souffrance, c’est se rendre zombie. C’est parce qu’on souffre, qu’on ressent de la gratitude pour les moments de bien-être, furtifs. »

Ensuite dans ton texte, tu as mis bcp de choses fortes et profondes auxquelles je souhaiterais témoigner de l’empathie ? Ou seulement de la sympathie? En tout cas, j’ai ressenti une forme de détresse chez toi, ces questions laissées sans réponses sont déjà pas faciles à accepter mais si en face on s’en fiche, ça fait une double douleur.
Moi, jm’en fiche pas en tout cas. J’aime l’esprit que tu as car tu analyses plus loin que ton simple petit plaisir égoïste.

En attendant de pouvoir me poser, je rebondis sur du non important :
Le cul qui attire plus que l’esprit? Seulement ceux qui veulent rester à une ligne comportementale bestiale, oui ça vaut pour la majorité, mais qui a dit que la majorité était enviable?

merci My_illusion

ptet plus de la sympathie... comme tu veux...

je poserais des questions qui permettraient à ceux qui veulent d'y réfléchir... moi le premier.

une détresse oui certainement, plus que chez d'autres oui aussi, moins que chez d'autres oui aussi...

où mettre le curseur? ^^

le titre est ptet être trop "important/significatif" parce que c'est le titre^^

questionneur a écrit:Merci à vous.

Est-ce qu’on a le droit de prétendre à des valeurs? Faut-il le faire?

Commençons par le début.

Que veux-tu dire par valeurs?
Le droit oui.
Le devoir non.

Nos valeurs sont personnelles et si j’sais un truc avec certitude c’est que rester cohérent entre ses paroles et ses actes permet de nourrir son intérieur et donc de se sentir pas trop merdique.

questionneur a écrit:Écrits en vrac.

La demande de liberté de la philosophie.

La cour de récré c’est fini.

La nature a inventé l’humilité.
L’humanité tient à elle.
On veut tous exister.
Pourquoi veut-on survivre?
Les humains tiennent désespérément à leur vie.
Mes envies ne persistent pas en ce moment.
La philosophie appliquée.

Pourquoi veut-on survivre? Parce qu’on a été LE spermatozoide assez con pour être parvenu à féconder l’ovule. Les allèles portés par ce p’tit têtard motivent la survie, sans qu’il y ait une raison bien valable.
Cela dit, le taux de suicide est quand même pas anodin. Le taux de personnes sous psychotropes encore moins.
Tous ne veulent pas forcément survivre.

Merci pour tes points de vue. Ils sont intéressants!

Tu fais comme tu veux, c’est toujours sympa de lire des réflexions dans un esprit bienveillant.

salut questionneur

la souffrance c'est la vie et elle est indéfectible à cette dernière comme la mort en passant; le concept de normalité biaise ta perception et ton ressenti, car c'est une peine à vie!.
M'ayant questionné sur son utilité j'ai trouvée cette réponse.
C'est un message comme ressenti, tant que tu n'a pas compris elle se rappelle à toi même
pour trouvée tes réponses et avancée, c'est une des réponses à sa vocation. Cela dit dans son intensité à géométrie variable elle reste permanente, si tu ne souffre plus c'est que tu es mort! lol, accepte la et écoute la bien plutôt que de t'opposer à elle .

En fait, à 5 ans, j'ai compris qu'il fallait être dévoué. Sinon, c'est fini pour nous sur Terre.

J'ai même pas envie de m'expliquer.

Je m'expliquerai ptet un autre jour.

Pareil mais je l’ai compris à 10 ans