La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
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La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Salut
La zébritude serait-elle plus qu'un histoire de génétique ?
On sais qu'on peut augmenter le QI en s'entrainant. On peut améliorer sa mémoire, le calcul mental, le raisonnement, devenir plus empathe en vivant la souffrance... On constate que statistiquement, les personnes socialement très bien lotis sont aussi plus intelligents et plus sensibles aux subtilités gastronomiques, musicales... On sait que les surdoués n'arrivent pas systématiquement à se hisser à un haut niveau social, donc ce qui pourrait expliquer une forme de zébritude chez les plus riches pourrait être que les enfants qui y naissent sont plus susceptibles d'être stimulés suffisamment. Euh... vous comprenez ce que je raconte ? Parce que c'est très brouillon je trouve Si quelqu'un pouvait reprendre mieux mon histoire pour que ce soit plus convenable, je l'en remercierais
Quand j'étais petit (et encore maintenant, mais bon), j'étais fan des Lego. Par contre, les Playmobil, je détestais
En fait, c'était Lego, pâte à modeler et un peu Meccano. Est-ce que ça a développé mon intelligence un peu plus ? Vous aviez des jeux de ce type ?
Enfin voilà, peut-on transmettre la zébritude en partie par l'acquis ? Et pas seulement l'inné.
La zébritude serait-elle plus qu'un histoire de génétique ?
On sais qu'on peut augmenter le QI en s'entrainant. On peut améliorer sa mémoire, le calcul mental, le raisonnement, devenir plus empathe en vivant la souffrance... On constate que statistiquement, les personnes socialement très bien lotis sont aussi plus intelligents et plus sensibles aux subtilités gastronomiques, musicales... On sait que les surdoués n'arrivent pas systématiquement à se hisser à un haut niveau social, donc ce qui pourrait expliquer une forme de zébritude chez les plus riches pourrait être que les enfants qui y naissent sont plus susceptibles d'être stimulés suffisamment. Euh... vous comprenez ce que je raconte ? Parce que c'est très brouillon je trouve Si quelqu'un pouvait reprendre mieux mon histoire pour que ce soit plus convenable, je l'en remercierais
Quand j'étais petit (et encore maintenant, mais bon), j'étais fan des Lego. Par contre, les Playmobil, je détestais
En fait, c'était Lego, pâte à modeler et un peu Meccano. Est-ce que ça a développé mon intelligence un peu plus ? Vous aviez des jeux de ce type ?
Enfin voilà, peut-on transmettre la zébritude en partie par l'acquis ? Et pas seulement l'inné.
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
je pense que ça reste de l'inné, l'acquis c'est de l'intelligence + , mais pas au sens du QI... après ceci touche au domaine scientifique, et notre connaissance est très bornée et limitée ; donc on ne sait pas ; à part ceci : que le milieu influence très légèrement le QI.
Romulus- Messages : 825
Date d'inscription : 31/05/2009
lego
Quand j'étais petit (et encore maintenant, mais bon), j'étais fan des Lego. Par contre, les Playmobil, je détestais
En fait, c'était Lego, pâte à modeler et un peu Meccano. Est-ce que ça a développé mon intelligence un peu plus ? Vous aviez des jeux de ce type ?
maman d'un zèbre (1993), je trouve très rigolo ta remarque sur les legos et interessant. Tim a eu une passion pour les lego mais détestait les play et ça m'a tjs intrigué Il faisait le modèle une fois,( exclu de faire 2x le même) je lui servais de passeur de pièces,(les chercher était je suppose ennuyeux pour lui ) et je devais aussi lui donner des idées pour faire d'autres constructions dont lui inventait la forme )bateau etc. Je pense que les legos sont plus excitant pour l'imagination et la créativité.... ET je garde de très bons souvenirs de ses moments avec mon fils....et toi ?
mikoula26- Messages : 12
Date d'inscription : 08/01/2010
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
ah ben moi c'était tout l'inverse, je jouais aux playmobils, mais tout le temps, je fabriquais des villes entières, et ça pouvait tenir 30 m carrés tellement j'en mettais partout! Et les légos... pffff d'un ennui!!! A bien analyser les choses, je crois que cette simple petite différence marquée dès l'enfance est révélatrice d'un profil que nous gardons toute la vie. Si je schématise : le joueur de Légo sera l'enfant avec QIP>QIV, très à l'aise avec les chiffres, l'espace et la géométrie et peu avec les gens... le joueur de playmobils sera l'enfant QIV>QIP, très à l'aise dans le verbal, dans l'interaction, et avec les autres, mais perdu avec ses deux mains et dans l'espace. Non? ça paraît absurde ce que je dis?
Invité- Invité
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
j'ai toujours détesté lego et playmobils étant petit, c'est grave?
Romulus- Messages : 825
Date d'inscription : 31/05/2009
lego
ahah !
Merci pour ton humour ! Meilleur remède contre l'absurde
la question lego semble si insignifiante, mais au vu de vos réponses c'est très interressant, les avis divergeants, et l'ouverture d'esprit !
c'est aussi ça les Z c'est l'anti-généralisations ! rien qui rassure ! mais que de passions !
J'ai qd même l'impression que les relations avec les autres est le plus gros problème ! Mon fils était très bavard et avait des tas de copains, il m'explique maintenant que c'est parce qu'il a tjs tout fait pour s'adapter socialement. à 16 ans il va mal, car il a étouffé toute une partie de lui. Ce qui est bizarre. c'est qu'il veut absolument se perdre dans la masse, mais il a un look super voyant, genre skateur casquette et veste rouge bleu blanc,. Mais aborder le sujet de la surdouance est tabou....
Merci pour ton humour ! Meilleur remède contre l'absurde
la question lego semble si insignifiante, mais au vu de vos réponses c'est très interressant, les avis divergeants, et l'ouverture d'esprit !
c'est aussi ça les Z c'est l'anti-généralisations ! rien qui rassure ! mais que de passions !
J'ai qd même l'impression que les relations avec les autres est le plus gros problème ! Mon fils était très bavard et avait des tas de copains, il m'explique maintenant que c'est parce qu'il a tjs tout fait pour s'adapter socialement. à 16 ans il va mal, car il a étouffé toute une partie de lui. Ce qui est bizarre. c'est qu'il veut absolument se perdre dans la masse, mais il a un look super voyant, genre skateur casquette et veste rouge bleu blanc,. Mais aborder le sujet de la surdouance est tabou....
mikoula26- Messages : 12
Date d'inscription : 08/01/2010
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Pas vraiment d'accord avec PauluZ...
Je suis persuadée que l'acquis compte beaucoup plus qu'on ne le dit...Parce qu'on le connaît mal, que la recherche n'est pas tournée vers ça, que peu de personnes l'étudient...
Pourtant il y a de nombreux facteurs externes qui jouent un rôle important dans le développement de l'enfant...(déjà dans le ventre de la mère, il vit des "expériences" qui sont des acquis)...
Peut-être par humilité (pas de "supériorité qui est comme ça et pi c'est tout", pas de personnes qui "ne peuvent pas évoluer comme nous/moi), par crainte aussi de l'excès du discours repris par certains (l'inné, le gène de...etc...) je crois beaucoup aux acquis (que je vois comme "une chance de"...avoir eu accès à...avoir pu apprendre ceci ou cela...(ou la malchance qu'on nous ait pas donné le goût de...de na pas avoir eu accès à...appris ceci ou cela)
j'ai l'impression aussi que mettre l'accent sur l'inné, c'est "facile"...c'est "vouloir affirmer que rien n'a eu d'influence sur nous"...c'est "s'enorgueillir de s'être fait tout seul"...Nous ne pouvons pas nous définir ailleurs que là où nous sommes ! Nous ne sommes pas séparés du contexte !
Si je suis née dans l'espace intersidéral et que je n'ai d'interaction avec rien ni personne : alors je ne sais pas que j'existe, je ne sais pas parler, je ne sais rien faire !
Très succinctement, au début du livre de JSf, elle le dit elle-même : la plasticité du cerveau fait que : plus on est stimulé, plus on apprend, plus on apprend et plus on apprend facilement et vite...stimuli, réponse...
J'ai détesté les behaviouristes (psy du comportement) dont je trouvais le raisonnement froid, comme s'ils traitaient l'humain comme une mécanique...mais c'est justement les mécanismes leur objet d'étude, et ils avaient raison sur de nombreux points...Tout "nous conditionne", nous influence, particpie à la construction de nous...
Je crois d'ailleurs qu'il ne faut pas séparer la thorie de la pratique...
Un exemple : tu n'as jamais planté de clous, tu dois le faire. Tu essaies, tu le plies. tu essaies autrement, tu tapes sur ton doigt (stimuli réponse...mauvaise réponse : réponse adaptative) tu essaies autrement, tu y arrives...à force d'exercice, tu y arrives mieux, plus souvent etc...Mettons que tu deviens plus adroit pour ce qui est manuel...
Même si ces expériences diffèrent, si tu en fais une proche (enfoncer une vis ?) tu devrais y arriver mieux que si tu n'as jamais planté de clou ni rien d'autre de manuel...(on peut rapprocher nos expériences les unes des autres...)
Si je "me prends comme cobaye" alors je vous dit que j'ai eu une chance extrême : un mère rationnelle, qui construit sa pensée et son discours, qui apprend de la théorie, qui connaît le recul critique etc...et un père qui est instinct, manuel, qui observe et voit tout de suite, qui "sait faire", qui communique par les actes (la pratique) et je suis persuadée que ça a joué un rôle dans ce que je suis devenue : des facilités avec les 2 méthodes...Ils m'ont élevée dans la confiance (tu peux le faire, tu peux apprendre si tu prends le temps et si tu te donnes les moyens)
Plus j'ai appris, plus j'ai aimé apprendre, plus j'ai appris et appris vite...chaque nouvelle expérience en facilitant d'autres...levant les craintes de "ne pas savoir faire"...les échecs étant utiles à ne pas reproduire un échec...(tirer des leçons) (sans pour autant devenir un génie en quoi que ce soit d'ailleurs, ni un être parfait et tant mieux...enfin je crois...)
(Moi aussi légos et playmobils : légos pour fabriquer par moi-même et comme remède contre l'ennui...et playmobils, pour pouvoir inventer des histoires riches et complexes, avec des bonshommes qui ressemblaient plus à des vrais que les légos qui me faisaient un peu penser à des robots )
Je ne crois pas que le milieu a peu d'influence sur le QI...Au contraire !
Si rien ne nous stimule, si nous ne nous expérimentons pas, si nous n'interagissons pas avec ce qui nous entoure, nous ne nous développons pas et nous ne savons rien faire !
Je pense que le QI a un lien avec les stimulations que nous avons reçues, et les codes qu'on nous a transmis pour traiter ces stimuli (l'éducation)...
Ensuite bien sûr, il y a des choses inconscientes, et puis des choses que l'on choisit en toute conscience...
Je ne dis pas que la génétique n'y est pour rien non plus...Il y a des réels handicaps, et peut-être aussi des choses innées qui "facilitent"...
Mais je trouve qu'on ignore beaucoup les acquis...et aussi ceux qui ont travaillé dûr pour en avoir et en transmettre
Je suis persuadée que l'acquis compte beaucoup plus qu'on ne le dit...Parce qu'on le connaît mal, que la recherche n'est pas tournée vers ça, que peu de personnes l'étudient...
Pourtant il y a de nombreux facteurs externes qui jouent un rôle important dans le développement de l'enfant...(déjà dans le ventre de la mère, il vit des "expériences" qui sont des acquis)...
Peut-être par humilité (pas de "supériorité qui est comme ça et pi c'est tout", pas de personnes qui "ne peuvent pas évoluer comme nous/moi), par crainte aussi de l'excès du discours repris par certains (l'inné, le gène de...etc...) je crois beaucoup aux acquis (que je vois comme "une chance de"...avoir eu accès à...avoir pu apprendre ceci ou cela...(ou la malchance qu'on nous ait pas donné le goût de...de na pas avoir eu accès à...appris ceci ou cela)
j'ai l'impression aussi que mettre l'accent sur l'inné, c'est "facile"...c'est "vouloir affirmer que rien n'a eu d'influence sur nous"...c'est "s'enorgueillir de s'être fait tout seul"...Nous ne pouvons pas nous définir ailleurs que là où nous sommes ! Nous ne sommes pas séparés du contexte !
Si je suis née dans l'espace intersidéral et que je n'ai d'interaction avec rien ni personne : alors je ne sais pas que j'existe, je ne sais pas parler, je ne sais rien faire !
Très succinctement, au début du livre de JSf, elle le dit elle-même : la plasticité du cerveau fait que : plus on est stimulé, plus on apprend, plus on apprend et plus on apprend facilement et vite...stimuli, réponse...
J'ai détesté les behaviouristes (psy du comportement) dont je trouvais le raisonnement froid, comme s'ils traitaient l'humain comme une mécanique...mais c'est justement les mécanismes leur objet d'étude, et ils avaient raison sur de nombreux points...Tout "nous conditionne", nous influence, particpie à la construction de nous...
Je crois d'ailleurs qu'il ne faut pas séparer la thorie de la pratique...
Un exemple : tu n'as jamais planté de clous, tu dois le faire. Tu essaies, tu le plies. tu essaies autrement, tu tapes sur ton doigt (stimuli réponse...mauvaise réponse : réponse adaptative) tu essaies autrement, tu y arrives...à force d'exercice, tu y arrives mieux, plus souvent etc...Mettons que tu deviens plus adroit pour ce qui est manuel...
Même si ces expériences diffèrent, si tu en fais une proche (enfoncer une vis ?) tu devrais y arriver mieux que si tu n'as jamais planté de clou ni rien d'autre de manuel...(on peut rapprocher nos expériences les unes des autres...)
Si je "me prends comme cobaye" alors je vous dit que j'ai eu une chance extrême : un mère rationnelle, qui construit sa pensée et son discours, qui apprend de la théorie, qui connaît le recul critique etc...et un père qui est instinct, manuel, qui observe et voit tout de suite, qui "sait faire", qui communique par les actes (la pratique) et je suis persuadée que ça a joué un rôle dans ce que je suis devenue : des facilités avec les 2 méthodes...Ils m'ont élevée dans la confiance (tu peux le faire, tu peux apprendre si tu prends le temps et si tu te donnes les moyens)
Plus j'ai appris, plus j'ai aimé apprendre, plus j'ai appris et appris vite...chaque nouvelle expérience en facilitant d'autres...levant les craintes de "ne pas savoir faire"...les échecs étant utiles à ne pas reproduire un échec...(tirer des leçons) (sans pour autant devenir un génie en quoi que ce soit d'ailleurs, ni un être parfait et tant mieux...enfin je crois...)
(Moi aussi légos et playmobils : légos pour fabriquer par moi-même et comme remède contre l'ennui...et playmobils, pour pouvoir inventer des histoires riches et complexes, avec des bonshommes qui ressemblaient plus à des vrais que les légos qui me faisaient un peu penser à des robots )
Je ne crois pas que le milieu a peu d'influence sur le QI...Au contraire !
Si rien ne nous stimule, si nous ne nous expérimentons pas, si nous n'interagissons pas avec ce qui nous entoure, nous ne nous développons pas et nous ne savons rien faire !
Je pense que le QI a un lien avec les stimulations que nous avons reçues, et les codes qu'on nous a transmis pour traiter ces stimuli (l'éducation)...
Ensuite bien sûr, il y a des choses inconscientes, et puis des choses que l'on choisit en toute conscience...
Je ne dis pas que la génétique n'y est pour rien non plus...Il y a des réels handicaps, et peut-être aussi des choses innées qui "facilitent"...
Mais je trouve qu'on ignore beaucoup les acquis...et aussi ceux qui ont travaillé dûr pour en avoir et en transmettre
Phedre- Messages : 2822
Date d'inscription : 01/10/2009
Age : 47
Localisation : bah ça dépend des fois
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
C'est vrai que l'acquis joue un rôle sur le QI,
Mais je pense qu'il ne faut pas confondre les zèbre et les personnes avec un QI développé... j'ai l'impression que la zèbritude fait partie de l'inné, c'et un mode de fonctionnement du cerveau qui nous permet de mieux intégré et profité de l'acquis et donc d'avoir un QI élevé plus facilement que quelqu'un de normal qui devrait être confronté à un environnement super stimulant et adapté pour arrivé au même QI...enfin j'ai aucune notion de psychologie...
Mais je pense qu'il ne faut pas confondre les zèbre et les personnes avec un QI développé... j'ai l'impression que la zèbritude fait partie de l'inné, c'et un mode de fonctionnement du cerveau qui nous permet de mieux intégré et profité de l'acquis et donc d'avoir un QI élevé plus facilement que quelqu'un de normal qui devrait être confronté à un environnement super stimulant et adapté pour arrivé au même QI...enfin j'ai aucune notion de psychologie...
BlackJackDavey- Messages : 52
Date d'inscription : 07/01/2010
Age : 34
Localisation : Suisse
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Mikoula26, oui je trouve cela très excitant et stimulant. Ce que je reprochais aux playmobils c'est de destiner le résultat final. On ne peut construire que ce qui est sur la boîte. Les lego et meccano sont constitué de pièces à assembler, mais permettant des combinaisons quasiment infini et on peut mélanger le contenu des boîtes. Derrière les boîtes de legos, il y a des images d'autres combinaisons possible que ce qui est donné devant. Pour ces combinaisons, il n'y aucun plan, alors j'aimais essayer de trouver comment assembler les pièces pour réussir à faire ce qui était sur ces images Autre chose de très stimulant et amusant, c'est les livres qui sortaient parfois et qui proposé des plans de bâtiments, engins... en mélangeant les boîtes. Derrière on voyait des photos de villes complètement différentes de ce qui sortait dans le commerce. Après avec lego technique, l'air de la robotique pour l'enfant s'ouvrait, surtout avec l'électrique et les pièces programmables. Je découvrait le principe de l'air comprimé avec les pistons, les tuyaux... et la mécanique avec les engrenages Quand on mélange lego technique avec lego conventionnel, on obtenait des villes très ingénieuses avec des grues qui fonctionnaient vraiment, des machines au milieux des villes
La pâte à modelé permettait aussi des choses très intéressantes et je dirais comme la pâte à sel, le papier...
Tiens Mikoula26 et d'autres parents ici, la pâte à sel c'est vraiment super, parce que c'est de la cuisine, donc y a le côté préparation aussi. Enfin, on peut parler de plein d'autres choses qui ne sont pas négligeables comme faire des gâteaux...
Le lien avec les parents, comme tu disais Mikoula26, le partage de moments amusants, je pense que ça stimule en plus tout ce qui à trait à l'affection, l'amour, le partage, la sociabilité, le sentiment de sécurité, d'être aimé, d'intéresser...
La pâte à modelé permettait aussi des choses très intéressantes et je dirais comme la pâte à sel, le papier...
Tiens Mikoula26 et d'autres parents ici, la pâte à sel c'est vraiment super, parce que c'est de la cuisine, donc y a le côté préparation aussi. Enfin, on peut parler de plein d'autres choses qui ne sont pas négligeables comme faire des gâteaux...
Le lien avec les parents, comme tu disais Mikoula26, le partage de moments amusants, je pense que ça stimule en plus tout ce qui à trait à l'affection, l'amour, le partage, la sociabilité, le sentiment de sécurité, d'être aimé, d'intéresser...
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
une réponse ici
Super PY est rive- Messages : 4432
Date d'inscription : 09/10/2009
Age : 39
Localisation : environ par la
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Pourquoi un 'ou' exclusif? Il doit y avoir de l'inné et de l'acquis. Si je devais analyser mon pyjama rayé, je dirais qu'une grande part des bandes noires est constituée de l'obligation d'adaptation à une famille toxique d'abord (ou il y avait intérêt à décoder rapidos les états émotionnels des géniteurs) et deux fois à une autre langue (allemand jusqu'à 3 ans et français à partir de 6 ans, ma langue maternelle étant le néerlandais). Ma mère vient de me raconter mon 'intégration' à l'école francophone: durant deux mois, je n'ai absolument rien dit. Puis au grand étonnement de l'instit, j'ai parlé couramment. Je ne me souviens que du sentiment d'exclusion de l'époque. Je m'évadais en lisant.
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Juste une perception des choses, jetée comme ça:
Imaginons un zebre avec des parents zebres, une famille zebre qui vit dans un monde de zebre, une société de zebres.
Ca marcherait comment d'apres vous ?
Quelles seraient les regles ?
Faudrait il encore se cacher ? le monde serait il plus humain ?
La mentalité moyenne serait elle differente ?
Tout ça pour dire, qu'est ce qui sera acquis et comment ?
Comment le petit zebre va se forger ?
Imaginons un zebre avec des parents zebres, une famille zebre qui vit dans un monde de zebre, une société de zebres.
Ca marcherait comment d'apres vous ?
Quelles seraient les regles ?
Faudrait il encore se cacher ? le monde serait il plus humain ?
La mentalité moyenne serait elle differente ?
Tout ça pour dire, qu'est ce qui sera acquis et comment ?
Comment le petit zebre va se forger ?
Equinoxs- Messages : 108
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 49
Localisation : Mordor
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
je pense que ce serait un beau bordel .
Il y a des qualités qui ne sont pas le point fort des zèbres et qui manqueraient cruellement...
Il y a des qualités qui ne sont pas le point fort des zèbres et qui manqueraient cruellement...
Invité- Invité
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Mériterait un nouveau fil.Equinoxs a écrit:Juste une perception des choses, jetée comme ça:
Imaginons un zebre avec des parents zebres, une famille zebre qui vit dans un monde de zebre, une société de zebres.
Zut, grillé!PY a écrit:une réponse ici
Dernière édition par Phil le Lun 11 Jan 2010 - 19:39, édité 1 fois
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Phil a écrit:Mériterait un nouveau fil.Equinoxs a écrit:Juste une perception des choses, jetée comme ça:
Imaginons un zebre avec des parents zebres, une famille zebre qui vit dans un monde de zebre, une société de zebres.
(j'allais répondre mais : +1)
JK- Messages : 148
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : Belgique
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Bizarre, j'ai envoyé un message ou justement je disais que j'en ferais un noveau sujet, et d'autres choses encore.
Visiblement il y a eu un bug ou alors il a été supprimé.
Visiblement il y a eu un bug ou alors il a été supprimé.
Equinoxs- Messages : 108
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 49
Localisation : Mordor
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
revue trends tendance, économie libérale, édition 25/4/2019
titre.. pour faire face à l'ia ,devrons nous augmenter le qi de nos bébés ?
sous titre des enjeux financiers et éthiques colossaux
le qi devient un facteur de compétitivité comme un autre.; elle est pas belle la vie ?
ah oui pas lu mais l'idée est aussi de manipuler les gênes
titre.. pour faire face à l'ia ,devrons nous augmenter le qi de nos bébés ?
sous titre des enjeux financiers et éthiques colossaux
le qi devient un facteur de compétitivité comme un autre.; elle est pas belle la vie ?
ah oui pas lu mais l'idée est aussi de manipuler les gênes
Invité- Invité
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Pardonne-moi, Romulus, mais moi aussi je pense… et je pense que la dialectique doit s'arrêter lorsqu'il y a des éléments qui y sont contraires.Romulus a écrit: je pense que …
En l'occurrence, dans les mots qui suivent ton "je pense", tu annonces des faits sur lesquels la science s'est penchée et aboutit à des conclusions contraires aux tiennes.
Lis ce qui suit et tu verras pourquoi.
Idée reçue !Romulus a écrit: ... ça reste de l'inné, l'acquis c'est de l'intelligence + , mais pas au sens du QI...
Déjà parce que le mot "intelligence" dans son sens littéral ne désigne qu'une capacité d'un individu, sans en définir de bornes ou de mode de fonctionnement. Le "QI" (ou tout autre instrument comme "QE", "QF", "QO"...) n'est qu'une composante de l'intelligence, il peut éventuellement être le témoin d'une forte intelligence, mais sa présence n'est pas obligatoire pour signifier une intelligence hors-norme.
Autrement formulé, on peut avoir une intelligence "hors-normes" sans pour autant avoir un QI exceptionnel !
DONC ARRETONS LE NOMBRILISME !!!
Et oui, une partie du milieu "psy" estime une norme pour "l'intelligence moyenne". Et cette norme est déterminée par l'observation des données statistiques sur un certain nombre d'individus. Malheureusement, comme toute norme, elle ne prend pas en compte les exclusions et les cas particuliers, parce que pour être norme, elle doit justement s'appuyer sur des conclusions statistiques, qui sont établies sur la base de la distribution constatée des données.
Ceux d'entre nous qui veulent utiliser les notions de QI et les manipuler (au sens noble du terme) dans le cadre d'une démonstration devraient déjà se pencher sur l'épistémologie et les mathématiques.
Rappelons en outre que la psy n'est pas une science exacte, et que ce qui est estimé par certains ne l'est pas par d'autres.
On en est donc au stade des supputations, parfois éclairées par des outils mathématiques, donc ayant une crédibilité qui peut éventuellement être importante, mais jamais, au grand jamais, rien n'est certain...
Oui, effectivement, nos connaissances sont quand même bien limitées, et on peut affirmer qu'on ne sait pas, ou en tous cas presque rien !Romulus a écrit: après ceci touche au domaine scientifique, et notre connaissance est très bornée et limitée ; donc on ne sait pas
Non, là encore il s'agit d'une idée reçue, en précisant que la réfutation porte sur l'affirmation "très légèrement" et non pas sur l'influence du milieu. Car contrairement à ce que tu penses, le milieu influe fortement sur l'intelligence, et de là sur le QI qui n'en est qu'un témoin éventuel.Romulus a écrit: à part ceci : que le milieu influence très légèrement le QI.
Pour arriver à comprendre ça, il faut se replonger dans l'histoire (récente) des sciences médicales.
A la fin des années 80, plusieurs ouvrages médicaux jettent un pavé dans la mare de la doctrine médicale relative aux maladies. La partie de la doctrine relative à "l'allopathie" en prend un sacré coup, car les milieux hospitaliers se sont aperçus que d'autres pratiques médicales ont souvent des résultats aussi efficaces que l'administration de substances (à noter que c'est d'ailleurs de cette époque que date la véritable émergence de disciplines telle que l'anesthésie par hypnose, le soin des souffrances par la sophrologie etc etc).
Une fois arrivé à ce stade de constatations, le milieu médical n'a eu d'autre choix que de revoir également le dogme du "Corps tout puissant".
Et c'est là qu'a émergé une théorie, qui est à peu près acceptée par tout le monde médical, parfois du bout des lèvres (notamment en raison de la résistance de l'industrie pharmaceutique qui finance beaucoup d'études cliniques par simple calcul d'intérêts économiques…), la théorie des trois terrains.
Plusieurs cancérologues de renom ont relayé cette théorie (Schwartzenberg, Levy…). Voici grosso modo ce qu'elle explique (Théorie des trois terrains).
La formation et le fonctionnement d'une personne reposent sur 3 critères :
- le terrain génétique
- le terrain du milieu et du mode de vie (qui peut commencer avant la conception, par exemple l'influence de radiations sur la formation des spermatozoïdes)
- le terrain des évènements extérieurs (qui comprend tout ce qui est exceptionnel comme par exemples une incapacité suite à un accident de la circulation, ou bien le choc psychologique de la perte d'un proche...etc)
Toute pathologie peut toucher un individu à partir du moment où le nombre de terrains sur lesquels il est concerné augmente son risque.
Formulée au travers d'un cas concret - un exemple - on peut citer le cas de cet ouvrier qui travaillait dans une usine de fibrociment (avec utilisation de l'amiante). Divers cancers du système digestif avaient eu raison de membres de sa famille (père, tante, cousins) et il semblait donc génétiquement prédisposé (1er terrain). Son mode de vie (travail dans une usine avec utilisation d'amiante, second terrain) était un facteur de risque supplémentaire. Mais il ne tomba malade qu'au décès de sa mère (choc affectif, 3ème terrain) et développa un cancer du pancréas galopant.
La psy s'est évidemment emparée de la théorie des trois terrains, il parait difficile d'imaginer qu'elle ait pu s'en dispenser. D'autant que les neurosciences ont mis en évidence certaines capacités du cerveau à influer sur le corps. La revue "American Psychologist" (organe de la très sérieuse société américaine de psychologie APA) a ainsi fait état à plusieurs reprises de la très nette sous estimation de l'acquis (nota : 2ème et 3ème terrain) dans le développement psy d'un individu ainsi que dans les maladies mentales, alors qu'il existait auparavant un consensus tacite selon lequel l'essentiel était le fait de la génétique.
En tous cas, moi je ne suis sûr que d'une chose : on ne sait vraiment pas grand chose...
Mentounasc- Messages : 2284
Date d'inscription : 16/01/2019
Age : 68
Localisation : Autour de Monaco
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Déjà Platon le disait il y a quelques millénaire
"Je sais que je ne sais rien".
À mon avis, l'intelligence n'a pas vraiment de rapport avec l'appréciation gastronomique ou musicale (toujours Mozart en arrière pensée). L'intelligence et l'opposé de l'abrutissement.
Il y a beaucoup d'abrutits riches, il n'y a qu'à voir ce que donne la société hyper consumériste a lamericaine dirigé par le cac40 ne serais qu'en Europe.
Ceux qui ont les idées les plus intelligentes ne sont pas forcément les mieux lotis...moins de là.
"Je sais que je ne sais rien".
À mon avis, l'intelligence n'a pas vraiment de rapport avec l'appréciation gastronomique ou musicale (toujours Mozart en arrière pensée). L'intelligence et l'opposé de l'abrutissement.
Il y a beaucoup d'abrutits riches, il n'y a qu'à voir ce que donne la société hyper consumériste a lamericaine dirigé par le cac40 ne serais qu'en Europe.
Ceux qui ont les idées les plus intelligentes ne sont pas forcément les mieux lotis...moins de là.
Zeb one- Messages : 32
Date d'inscription : 29/04/2019
Re: La zébritude, pas seulement une histoire de génétique ?
Ce qui ne veut pas dire que les moins bien loti ont les bonnes idees
Zeb one- Messages : 32
Date d'inscription : 29/04/2019
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