Non, jamais
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persntm
ifness
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Non, jamais
Ce n'est qu'un oubli.
Non, je nabandonne jamais non plus.
J'ai la mémoire longue.
Allons : très souvent je la trouve encombrante.
Comme de : me noyer dans mon cinéma intérieur.
Mais je suis devenu sans aucune (oui, sans aucune) prétention.(J'étais déjà sans foi.)
Car n'être rien.
Sauf : celui qui dit des mots gentils au caissier(e)s des supermarchés.
Mais c'est une autre problématique.
Non, je nabandonne jamais non plus.
J'ai la mémoire longue.
Allons : très souvent je la trouve encombrante.
Comme de : me noyer dans mon cinéma intérieur.
Mais je suis devenu sans aucune (oui, sans aucune) prétention.(J'étais déjà sans foi.)
Car n'être rien.
Sauf : celui qui dit des mots gentils au caissier(e)s des supermarchés.
Mais c'est une autre problématique.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Non, jamais
Bienvenue chez toi.
_________________
INTJ, ne m'en veuillez pas si au passage, je vous écrase 6 fois le coeur. J'ai du mal à situer et le referai sans doute encore.
Opossum- Messages : 3887
Date d'inscription : 04/08/2019
Age : 47
Localisation : Belgique
Re: Non, jamais
Bienvenue pour ton retour
Nefelibata- Messages : 335
Date d'inscription : 14/06/2018
Age : 53
Re: Non, jamais
Merci à vous, merci.
Cela réchauffe l'esprit.
Je m'aperçois maintenant (bien que je le susse) à quel point j'avais rompu les échanges.
Certaine dit que ça sent la dépression.
Oui, je l'ai ressenti tel. Pas envie de me lever le matin rester au lit jusque 14 h d'affilée, et le soir obéir à des rites télévisuels, terminer la fatigue sur un épisode de série. Et le lendemain de même. Ne manger qu'une fois par jour. (...)
Etre habité uniquement par le passé. Se dire que la vie est le passé. Le futur : la mort. Penser aux moyens de se suicider proprement, sans avoir aucune envie de mourir, de mettre fin à cette vie. (Par exemple : de tuer la mémoire, même si les souvenirs blessent, même si penser "qu'est-ce que j'ai été stupide, en ma belle intelligence inutile !") Ne faire aucun effort de socialisation, y compris avec mes enfants (et petits). Donc finalement se voir rejeté.
Consolation illusoire : se dire que je suis le seul à comprendre.
Voilà comme je geins.
Opossum, je suis sensible à ce "bienvenue chez TOI". C'est extrêmement chaleureux.
Deux problèmes :
1) Il me faut réapprivoiser le site. Ainsi je vais vous lire, et d'autres, sans pour autant vous répondre, je ne me sens pour l'heure aucune légitimité.
2) Les pseudos ont peut-être changé. QUI êtes-vous ? QUI étiez-vous ?
Là aussi, pour l'heure, cela me trouble.
Ah, oui, troisième problème : je n'ai pas envie de (comme je le fis jadis) passer des heures sur le site, à tenter de répondre inutilement (in fine) à des thèmes inutiles ou futiles.
Mais, bon, le temps répondra à cette problématique.
Et puis, si je remets les évènements en ordre,
il se trouva (la mémoire me revient en écrivant, je n'en suis pas marri)
que ma présence ici se conclut (se conclut ?) par une rencontre (peut-on dire amoureuse ? Je l'ignore.) douloureuse. J'en connaissais les dangers, mais, brave, j'y allai néanmoins. Me pris-je pour Zeus, poursuivant une mortelle ?
Car, en un sens (ou deux, ou trois) mortelle elle le fut.
Ce sera tout pour aujourd'hui.
Abandonner le temps au temps.
(Qu'est-ce que le temps ? Qu'est-ce que sa flèche ? Pis que celle d'un Cupidon, sa flèche me blessa tout au long de ma vie. Ainsi, même sans désir, même sans bien com-prendre, aimé-je me plonger dans les arcanes de la naissance de l'Univers. Ainsi pouvons-nous com-prendre que notre époque est extra-ordinaire, qui fait remonter l'apparition des premiers photons à..., savoir d'où vinrent Sapiens, Denisova, Néanderthal, avant de
mourir,
ce dont, voyez-vous, je n'ai pas envie. )
Bien trop long, ce post. Bien trop long.
Je vous , puisque nous pouvons vivre sans masque.
Cela réchauffe l'esprit.
Je m'aperçois maintenant (bien que je le susse) à quel point j'avais rompu les échanges.
Certaine dit que ça sent la dépression.
Oui, je l'ai ressenti tel. Pas envie de me lever le matin rester au lit jusque 14 h d'affilée, et le soir obéir à des rites télévisuels, terminer la fatigue sur un épisode de série. Et le lendemain de même. Ne manger qu'une fois par jour. (...)
Etre habité uniquement par le passé. Se dire que la vie est le passé. Le futur : la mort. Penser aux moyens de se suicider proprement, sans avoir aucune envie de mourir, de mettre fin à cette vie. (Par exemple : de tuer la mémoire, même si les souvenirs blessent, même si penser "qu'est-ce que j'ai été stupide, en ma belle intelligence inutile !") Ne faire aucun effort de socialisation, y compris avec mes enfants (et petits). Donc finalement se voir rejeté.
Consolation illusoire : se dire que je suis le seul à comprendre.
Voilà comme je geins.
Opossum, je suis sensible à ce "bienvenue chez TOI". C'est extrêmement chaleureux.
Deux problèmes :
1) Il me faut réapprivoiser le site. Ainsi je vais vous lire, et d'autres, sans pour autant vous répondre, je ne me sens pour l'heure aucune légitimité.
2) Les pseudos ont peut-être changé. QUI êtes-vous ? QUI étiez-vous ?
Là aussi, pour l'heure, cela me trouble.
Ah, oui, troisième problème : je n'ai pas envie de (comme je le fis jadis) passer des heures sur le site, à tenter de répondre inutilement (in fine) à des thèmes inutiles ou futiles.
Mais, bon, le temps répondra à cette problématique.
Et puis, si je remets les évènements en ordre,
il se trouva (la mémoire me revient en écrivant, je n'en suis pas marri)
que ma présence ici se conclut (se conclut ?) par une rencontre (peut-on dire amoureuse ? Je l'ignore.) douloureuse. J'en connaissais les dangers, mais, brave, j'y allai néanmoins. Me pris-je pour Zeus, poursuivant une mortelle ?
Car, en un sens (ou deux, ou trois) mortelle elle le fut.
Ce sera tout pour aujourd'hui.
Abandonner le temps au temps.
(Qu'est-ce que le temps ? Qu'est-ce que sa flèche ? Pis que celle d'un Cupidon, sa flèche me blessa tout au long de ma vie. Ainsi, même sans désir, même sans bien com-prendre, aimé-je me plonger dans les arcanes de la naissance de l'Univers. Ainsi pouvons-nous com-prendre que notre époque est extra-ordinaire, qui fait remonter l'apparition des premiers photons à..., savoir d'où vinrent Sapiens, Denisova, Néanderthal, avant de
mourir,
ce dont, voyez-vous, je n'ai pas envie. )
Bien trop long, ce post. Bien trop long.
Je vous , puisque nous pouvons vivre sans masque.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
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