Une nouvelle qui (n')a sa place ici et/ou ailleurs

Unie à l'enfant intérieur

À lire entre les lignes...

Ca a un peu le goût de vent qui caresse la peau. Un peu de frissonnement un peu de perdition. La totalité enfouie dans l'être recraché par des regards pleins de vie. Plein de vie ? Qu’elle ait sa signification... Dynamique, rafraichissant, vive?
Des regards qui crachent du feu, de la niaque, de la volonté. Une croyance à la vie, à l’humain ? Des attentes. Pleine de douceur, bourrée de fautes et de gentillesse incarcérée dans de vives flammes. D’une force ou d’une dureté qui la distancie des autres. Une grosse faute d’être à sa place, aujourd’hui, un vrai don de vivre tout à la fois.
Déchiquetée au milieu des montagnes, balancée à droite à gauche par de violentes vagues d'eau salée. Ca ne tient qu'à un fil. Peut être un vortex qui aspire, peut être une corde qui ne fait que rassurer la présence du contrôle. Puis... remonté à la surface d'eau. Une petite touche personnelle apportée sur le drap calme de l'océan, intégrée aux motifs du dessein. Non comme une fatalité, mais comme un fleuve qui coule, en toute tranquillité où ca l'amènerait. L‘ensemble qui le berce dans son paysage même. Voici le maître des rennes.
Combien voudrait plonger dans ses profondeurs bleu noir aspiré de la mer ? Qui aimerait, réellement, qui prendrait plaisir à gratter ce qui pourrait constituer ne serait ce qu’une seule de ses gouttes.

Ce que j'appelle "la vie" c'est l'entier. L'entité qui fait agglomérer les scintillements du ciel étoilé et les larmes d’un fleuve. Celle qui vous préserve de vous même et qui vous offre à la nature. Celle qui vous fait don de votre cher/chèr(e), pour votre sourire.

Construisons notre propre normalité ...

Blague mise à part, je me demande même, si y a une normalité à construire.

Effectivement, s'il y a une chose à construire, une chose à modifier c'est nous même et rien d'autre. Mais alors la normalité ? Notre référence, en quoi nous aide-t-elle ?

Je la trouve intéressante ta proposition reanrde20. Car, il n'y a pas longtemps que j'aurais dit "on a notre propre chemin à créer, notre propre écoulement dans le fleuve, les briques de notre maison à poser". Je suis toujours de même avis dans le fond.

C'est à dire qu'on a notre propre finitions, notre petit ménage à faire seulement dans notre vie propre à nous même.
Sauf qu'il me semble qu'à trop vouloir (encore une fois) faire quelque chose, j'ai l'impression de me placer dans une petite case. Encore une référence à quoi s'en tenir, encore des bases que je recherche pour me sentir en sécurité.

Mais alors, si on ne se construit pas cette base, ou est l’Être ? Si on ne tisse pas à notre goût les mailles, ou existons-nous ?

Comme tout... L'exagération ou à vouloir "trop" en faire on se plante, s'enracine quelque part. Et alors, chaque mouvement par rapport à ce nouvel décor posé nous fait mal.
Je ne cherche pas à éviter à avoir mal. Mais ou est l'équilibre, c'est ce que je recherche.
Un peu à droite, un peu à gauche, je crois que je ne l'ai jamais réellement. Quoi de plus naturel puisque je ne suis pas parfaite .


Personnellement, je crois que je commence à aller dans le chemin de "suivre mon instinct et moi même". Puisque j'existe, j'ai déjà une ossature, j'ai déjà une ossature. Moi qui veux à tout prix évoluer, qui ne veux pas stagner, je laisse faire mon corps et mon coeur. Enfin je vais tendre à ça je veux dire.
Je crois que dans ce cas, mes réflexions ne prendront plu autant de place ni ma recherche à tant vouloir tout analyser et faire comme ça "CAR y a ça". A trop vouloir tout justifier, j'ancre chaque petit bout dans un coin de la pièce.
Et à la fin... Je crois que ca devient contradictoire. A ma volonté de prendre les choses telle qu'elles sont et de les vivre amplement.

Je prends ce chemin, mais on va bien qu'avec mon post je ne l'applique pas (encore) pleinement.

Et puis peut être n'y arriverai-je pas....


Bisous miss!

Très récent pour moi aussi mais si libérateur.

Je tente, chaque jour, l'un après l'autre, d'être réellement moi, de savoir ce que j'ai envie de faire, ce qui est de l'ordre du supportable.
Je m'essaie à ne plus hyperadapter au prix de me détruire et de me perdre, juste pour me conformer aux moules sociétaux, pour faire plaisir, pour ne pas blesser.

Et je me rends compte, au miracle, qu'en me respectant et en suivant ce qui me correspond au plus profond de moi, que les autres finissent par me respecter, enfin, même si rien n'est facile ou acquis.

Recentrage, écoute de mes ressentis, de mes limites émotionnelles et sensorielles ... du boulot mais la sensation de regagner un état bien plus confortable et épanouissant.

Bon je retourne au boulot car la tâche est immense

La culpabilité à l'emporte pièce...

Il s'agit juste d'une manière de vivre, juste d'un mécanisme dont le corps est habitué de vivre.

Si faire mon propre choix, si agir selon mes décisions était ma délivrance... Alors pourquoi être toujours autant coincé par le déluge reçu en rafale.

Le bonheur ni la sérénité ne me montre même pas le bout de leurs nezs. Alors... Ou... Ou est ce qu'est l'erreur.

Si même venir contre toutes ses conventions, toutes ses socles qui ont été imposé ne me libère pas... Avancer, évoluer, bouger, dépasser, planter le couteau au plus profond de son coeur et d'enlever la petite graine qui pompe de l'air... Si même ces barbaries envers soi pour son bien être à long terme n'apporte pas de tranquillité...

Ou est ce qu'est l'erreur.

J'en viens toujours à la même chose... C'est moi l'erreur. Mais alors ou...

Tant de philosophies, tant d'idées sur la vie... Les vues d'ensemble, les théories sociétales, primitives. Je les applique. Mais le coeur de mon problème n'entend rien de cela...

Au moins mon entourage est moins mal que moi. C'est ce qui me fait un peu de bien...

Dites moi ou est l'erreur ?!

J'aime bien cette exemple de "sagesse amérindienne".

Coucou à toi Ainaelin
Contente  que tu puisses y trouver ton compte. 
L'exemple me plait aussi beaucoup. Ca me pousse dans le sens de : on n'est pas fait que du riz ou de la semoule. On a de toutes les couleurs dans ce corps humain. Il ne dépend que de soi de développer plus celui qui nous va.

 


Au plaisir!!!

« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.  » 

Au menu ce soir :

étoile_en_étoile a écrit: Plus personne autour de nous qui puisse empêcher de creuser notre propre chemin, pour découvrir l'âme qui réside en nous sans en être pollué par le reste.

Miam miam miam, ça a l'air super appétissant!

*Ding*

A tableeeee =D

@Mjöllnir:

Merci... Je ne vais pas dire ce que j'en pense, sinon il me faudrait dix paquets de mouchoir....

@Amovible:

Avec la salade de fruit en dessert, c'est ca ? ^^

Déjà un fruit frais du marché, c'est bon, mais avec sa clique, c'est juste le carnaval! =p

Salut à toi......

Petit clin d'oeil..... " OH patate....ziva ".....

Coucou toi

    


"Oh s-y va là; patate, Tête de mort!!"

 

Et qu'est ce qu'elle dit Lemni quand un automobiliste fait n'importe quoi..... ?? En..... !!
Avec l'accent Marseillais en plus .....

Loooolllll

Tu m'as tuééééeee


Et l'arrosoir automatique avec la mémé qui crache ses dents.

Allo DJ!!

Euuuuu......
ce n'était pas ses dents.....mais plutôt...des follicules.lol....avec un arrêt ou rap ou bug...sur la fin du parcours...

loollll  


ah... c'était bon tout ça

Merci pour tout en tout cas, ca m'a bien touché. Merci à toi et aux autres aussi... j'ai beaucoup aimé

T'inquiète.... on remettra ça bientôt.... pour d'autres parties de fous rires !!! off course ... et de bonnes bouff.... merci de ta présence et de ta bonne humeur... également merci à tous les autres ils se reconnaîtrons....