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Re: Nos poèmes
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
Ô God !
Appelez-le Smith
L'humanité n'est pas en danger
L'humanité est le danger
L'humanité va mourir
Dans un râle imbécile.
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
Ô God !
Appelez-le Smith
L'humanité n'est pas en danger
L'humanité est le danger
L'humanité va mourir
Dans un râle imbécile.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Pour guérir quelqu'un
Il faut le connaître
Pour guérir quelqu'un
Il faut qu'il se connaisse
Pour se guérir
Il faut se connaître
Pour se connaître
Il faut passer du temps
Pour faire se connaître quelqu'un
Il faut passer du temps
Il faut qu'il y passe du temps
Il faut... de l'intelligence
Pour savoir comment s'ajuster au temps
Pour avoir cette intelligence
Il faut savoir qu'elle existe
Vous savez, maintenant.
Il faut le connaître
Pour guérir quelqu'un
Il faut qu'il se connaisse
Pour se guérir
Il faut se connaître
Pour se connaître
Il faut passer du temps
Pour faire se connaître quelqu'un
Il faut passer du temps
Il faut qu'il y passe du temps
Il faut... de l'intelligence
Pour savoir comment s'ajuster au temps
Pour avoir cette intelligence
Il faut savoir qu'elle existe
Vous savez, maintenant.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'on a d'avantage conscience aujourd'hui
Qu'avant
Mais le temps est plus complexe aujourd'hui
Qu'avant
Cette conscience est faite pour comprendre
Se poser des questions
Et non pour se plaindre
Le temps est chargé
De tout le passé
Non résolu
Et de tout le futur
Si l'on ne fait rien.
Qu'avant
Mais le temps est plus complexe aujourd'hui
Qu'avant
Cette conscience est faite pour comprendre
Se poser des questions
Et non pour se plaindre
Le temps est chargé
De tout le passé
Non résolu
Et de tout le futur
Si l'on ne fait rien.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les zèbres
Peuvent changer les choses
Changer les choses
C'est partir de soi
Se changer soi
Tout le monde
Peut être un zèbre
Tout le monde
Peut se regarder le nombril
Pas celui qui brille
Celui qui pue
Qui pue la misère et la charogne
En
Commençant
Par une fraction de seconde car le tout
C'est de commencer.
Peuvent changer les choses
Changer les choses
C'est partir de soi
Se changer soi
Tout le monde
Peut être un zèbre
Tout le monde
Peut se regarder le nombril
Pas celui qui brille
Celui qui pue
Qui pue la misère et la charogne
En
Commençant
Par une fraction de seconde car le tout
C'est de commencer.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Paris Hilton
Et Joe Dalton
Couraient au bois
Dans le courant
Paris Halton
Et Joe Dilton
Couraient courant
Au dans le bois
Paris Dalton
Et Joe Hilton
Couraient dans le
Courant au bois
Paris est morte
Et son visage
Le dévisage
Quand Joe la porte.
Et Joe Dalton
Couraient au bois
Dans le courant
Paris Halton
Et Joe Dilton
Couraient courant
Au dans le bois
Paris Dalton
Et Joe Hilton
Couraient dans le
Courant au bois
Paris est morte
Et son visage
Le dévisage
Quand Joe la porte.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Joe
Met
Son
Doigt
Sur
La
Joue
De
De elle
Sa bouche
S'ouvre
Il la
Referme
En
Poussant
Menton.
Met
Son
Doigt
Sur
La
Joue
De
De elle
Sa bouche
S'ouvre
Il la
Referme
En
Poussant
Menton.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le
Flic
Tabasse
Joe
Le
Voleur
Tue
Flic
Flic
Mort
Paris
Morte
Paris plus
Précieuse Joe
Gagne voleur
Perd mais
Joe partage
Paris avec
Voleur car
Voleur gentil.
Flic
Tabasse
Joe
Le
Voleur
Tue
Flic
Flic
Mort
Paris
Morte
Paris plus
Précieuse Joe
Gagne voleur
Perd mais
Joe partage
Paris avec
Voleur car
Voleur gentil.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans une suinte
La femme claque
La joue de moi
J'ai mal à ventre
Et je sens claque
J'ai mal à ventre
Je plie les jambes
La femme crie
Je tire les bras
Du lavabo
Qui me soulève
La femme tape
Sur le parterre
L'eau qui ruisselle
Dessus à moi
Me mouille à moi.
La femme claque
La joue de moi
J'ai mal à ventre
Et je sens claque
J'ai mal à ventre
Je plie les jambes
La femme crie
Je tire les bras
Du lavabo
Qui me soulève
La femme tape
Sur le parterre
L'eau qui ruisselle
Dessus à moi
Me mouille à moi.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La génèse de la bêtise
Humiliation
Injustice
Affolement
Délire
Inquiétude
Angoisse
Peur
Terreur
Irritation
Colère
Rage
Fureur
Abrutissement
Prostration
Sclérose
Résignation.
Humiliation
Injustice
Affolement
Délire
Inquiétude
Angoisse
Peur
Terreur
Irritation
Colère
Rage
Fureur
Abrutissement
Prostration
Sclérose
Résignation.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ô Monsieur Maqueron
Je vous aime très fort
Vous êtes si mignon
Et vous êtes joli
Vos douces lèvres sont
Celles d'un joli garçon
Votre nez aquilin
Vous révèle coquin
D'un air fier et droit
Vous parlez
Vous êtes en émoi
Vous êtes aux abois
C'est si beau vos yeux
Qui regardent des choses
Ben moi quand je vous vois
Je vois la vie en rose.
Je vous aime très fort
Vous êtes si mignon
Et vous êtes joli
Vos douces lèvres sont
Celles d'un joli garçon
Votre nez aquilin
Vous révèle coquin
D'un air fier et droit
Vous parlez
Vous êtes en émoi
Vous êtes aux abois
C'est si beau vos yeux
Qui regardent des choses
Ben moi quand je vous vois
Je vois la vie en rose.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
- Contenu à caractère sexuel int. -18:
- Ô quand je me caresse
Je vous imagine nu
J'imagine vos fesses
Et votre sexe dru
Avec votre amante
Je m'invite au milieu
Ma main devient branlante
Et mes lèvres sont moites
Votre torse velu
Est une forêt vierge
Un terrain inconnu
Où je promène ma verge
Sous votre clavicule
Celle de droite
Votre pénis je decapsule
D'une main moite.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
- Spoiler:
- Ô Monsieur Maqueron
Pourquoi n'êtes-vous pas
Une femme
Avec une paire de nibard
Au lieu d'un bon gros dard
La chose est aisée à comprendre
Vous n'êtes pas une femme
Parce que vous êtes poilu
Comme un gorille en rut
Comme un orang-outan
Comme une chèvre naine
Une tomate moisie.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
- Spoiler:
- Ô je sais bien qu'y a plein de petits pervers qui soulèvent pour voir sous le spoiler. Ys ont pas dû être déçus. Bande de petits voyeurs, laissez les honnêtes gens tranquilles.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Sur le sable chaud
De janvier
Sur la plage de Biarritz
Les surfeurs
Au corps bien galbé
Arrachaient aux passantes
Des coups d'yeux déplacés
Rendaient leurs freluquets
Verts de jalousie
Qui tremblaient de fureur
Une fureur honteuse
Qu'ils tentaient de cacher
En sortant des billets
Offrir un verre de luxe
Sur la plage de Biarritz
De le mois de janvier.
De janvier
Sur la plage de Biarritz
Les surfeurs
Au corps bien galbé
Arrachaient aux passantes
Des coups d'yeux déplacés
Rendaient leurs freluquets
Verts de jalousie
Qui tremblaient de fureur
Une fureur honteuse
Qu'ils tentaient de cacher
En sortant des billets
Offrir un verre de luxe
Sur la plage de Biarritz
De le mois de janvier.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le singe nu
Sur la colline
Danse poilu
D'un pied sur l'autre
Le soleil luit
Derrière lui
Ce n'est qu'une ombre
Un automate
Le singe fou
Qui gesticule
Le ciel mou
Le bleu humide
Le singe nu
Sur la colline
Danse poilu
Une danse divine.
Sur la colline
Danse poilu
D'un pied sur l'autre
Le soleil luit
Derrière lui
Ce n'est qu'une ombre
Un automate
Le singe fou
Qui gesticule
Le ciel mou
Le bleu humide
Le singe nu
Sur la colline
Danse poilu
Une danse divine.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
- Histoire coquine de Cunégonde:
Cunégonde à ses vingt ans
Dégonde l'amant
Le jeune esthète
Le maigre beau
Cunégonde à ses vingt ans
Une ronde a ses tourments
Ses amants se succèdent
Sous de ci la pinède
Cunégonde est charmante
Des ces charmes discrets
Son rouge auréolé
D'une matarse en duvet
Cunégonde est repue
La ronde continue
Des amants rassasiés
Des vingt ans célébrés.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Gloire à toi
Pharaon
Ton discours
Pyramide
Ô Macron
Pharaon
Obélisque
Tu te risques
Pyramide
Louvre en verre
Ton discours
Pharaon.
Pharaon
Ton discours
Pyramide
Ô Macron
Pharaon
Obélisque
Tu te risques
Pyramide
Louvre en verre
Ton discours
Pharaon.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les enfants sont des dictateurs
Manipulés par les pub, les dessins animés, les joujoux vidéos
Les enfants sont des empereurs
Les enfants sont des dictateurs
Pas des petits, non, des gros
Des qui font mal au vagin
Quand ils sortent de maman
Le vagin a mal après
C'est pas la faute du bébé
C'est la faute du bon dieu
Du serpent de mes deux
Après bébé grandit
Va à l'école
Fait des enfants
Et meurt*.
*Soit de maladie, d'accident, de vieillesse avec la peau toute frippée. Avec alzheimer, parkinson.
Manipulés par les pub, les dessins animés, les joujoux vidéos
Les enfants sont des empereurs
Les enfants sont des dictateurs
Pas des petits, non, des gros
Des qui font mal au vagin
Quand ils sortent de maman
Le vagin a mal après
C'est pas la faute du bébé
C'est la faute du bon dieu
Du serpent de mes deux
Après bébé grandit
Va à l'école
Fait des enfants
Et meurt*.
*Soit de maladie, d'accident, de vieillesse avec la peau toute frippée. Avec alzheimer, parkinson.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Quand bébé meurt vers 80 ans
Il dit : "c'est aux générations d'après de réparer"
— C'est ce qu'on appelle la tradition orale.
Il dit : "c'est aux générations d'après de réparer"
— C'est ce qu'on appelle la tradition orale.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a ce haïku :
Un vieil étang
Une grenouille qui plonge,
Le bruit de l'eau.
Que l'on peut décliner.
Un air frais
Une envie d'uriner,
Le bruit de l'eau.
Un vieil étang
Une grenouille qui plonge,
Le bruit de l'eau.
Que l'on peut décliner.
Un air frais
Une envie d'uriner,
Le bruit de l'eau.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai été heureux comme un pape
Non...
Fier comme un pape ?
Non...
Prude comme un pape ?
Con comme un pape ?
J'ai été beau comme un pape
Oui c'est ça, beau comme un pape.
Non...
Fier comme un pape ?
Non...
Prude comme un pape ?
Con comme un pape ?
J'ai été beau comme un pape
Oui c'est ça, beau comme un pape.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Autrefois
Les vampires
C'était des moustiques géants
Dieu
Pour les punir
Les petitssa
Et leur piqûre
Devint
De la gratture.
Les vampires
C'était des moustiques géants
Dieu
Pour les punir
Les petitssa
Et leur piqûre
Devint
De la gratture.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il était une fois
Un homme
Qui avait sa bite
À la place du sein gauche
Il pissait par un téton
Qu'il avait à l'entrejambe
Il faisait téter sa femme
Le soir au coin du feu
Il portait un soutien-bite
En entrant dans un bar,
Il se grattait les testicules
À gauche sous la clavicule
Il se mettait en quinconce
Pour effectuer le coit
À part cela
Sa vie était normale.
Un homme
Qui avait sa bite
À la place du sein gauche
Il pissait par un téton
Qu'il avait à l'entrejambe
Il faisait téter sa femme
Le soir au coin du feu
Il portait un soutien-bite
En entrant dans un bar,
Il se grattait les testicules
À gauche sous la clavicule
Il se mettait en quinconce
Pour effectuer le coit
À part cela
Sa vie était normale.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les conspirationnistes sont au delà de la réalité
Les non conspirationnistes sont en deçà de la réalité,
— Le bruit de l'eau qui dort.
Les non conspirationnistes sont en deçà de la réalité,
— Le bruit de l'eau qui dort.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les conspirationnistes
Sont des paranoistes
Il faut les aider
Les non conspirationnistes
Sont des naïfonnistes
Il faut les aider
Les conspirationnistes
Sont des naïfonnistes
Il faut les aider
Non, nous ne sommes pas sur écoute
Pet
Gaz
Suce
Snow
D'aine
Pet
Gaz
Suce
P...
Gaga...
Su s
pg
Ju. Cji
Ar
Arg
Argh
Arghh
Sont des paranoistes
Il faut les aider
Les non conspirationnistes
Sont des naïfonnistes
Il faut les aider
Les conspirationnistes
Sont des naïfonnistes
Il faut les aider
Non, nous ne sommes pas sur écoute
Pet
Gaz
Suce
Snow
D'aine
Pet
Gaz
Suce
P...
Gaga...
Su s
pg
Ju. Cji
Ar
Arg
Argh
Arghh
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans la prairie verdoyante
De la vague ondulente
De la brise sur le blé
Des yeux bleus de mon aimée
Dans la prairie verdoyante
Ton visage rayonnante
Ta robe légère qui recouvre
Ton corps joyeux plein de vie
Tu te tiens droite devant moi
Dans la prairie verdoyante
Ta silhouette ondulente
Remplit mon corps d'émois.
De la vague ondulente
De la brise sur le blé
Des yeux bleus de mon aimée
Dans la prairie verdoyante
Ton visage rayonnante
Ta robe légère qui recouvre
Ton corps joyeux plein de vie
Tu te tiens droite devant moi
Dans la prairie verdoyante
Ta silhouette ondulente
Remplit mon corps d'émois.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Chère maman
C'est si dure la vie des fois
Qu'alors je pense à toi
Je pense à ces plats
Que tu faisais
C'est pas ma faute
J'aime bien manger
Je pense à des fessées
Que tu m'as données
C'est pas ma faute
J'étais sot
Je pense à la trompette
J'en faisais jamais
C'est pas ma faute
J'étais nul
Je pense quand tu nous emmenais au restau
C'était super on allait au macdo
On sautait de joie dans la voiture
Content de manger cette nourriture.
C'est si dure la vie des fois
Qu'alors je pense à toi
Je pense à ces plats
Que tu faisais
C'est pas ma faute
J'aime bien manger
Je pense à des fessées
Que tu m'as données
C'est pas ma faute
J'étais sot
Je pense à la trompette
J'en faisais jamais
C'est pas ma faute
J'étais nul
Je pense quand tu nous emmenais au restau
C'était super on allait au macdo
On sautait de joie dans la voiture
Content de manger cette nourriture.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Aujourd'hui j'ai répondu à la prof de maths
Tout le monde a ri dans la classe
Elle me demandait si j'avais un stylo
C'était pour se moquer de moi
Pour se moquer de moi, encore
Comme je tardais à prendre un stylo
Pour écrire ses billevesées
Ses equations relation de Chasles
Il a qu'à en mettre un de châle
La prof de maths arrive derrière moi
"Alors, ProfDeMaths, tu as un stylo ?"
"Ça s'voit pas ?" J'ai dit
Toute la classe a ri
Moi aussi finalement
Même si j'savais pas trop pourquoi
L'essentiel est de faire comme tout le monde.
Tout le monde a ri dans la classe
Elle me demandait si j'avais un stylo
C'était pour se moquer de moi
Pour se moquer de moi, encore
Comme je tardais à prendre un stylo
Pour écrire ses billevesées
Ses equations relation de Chasles
Il a qu'à en mettre un de châle
La prof de maths arrive derrière moi
"Alors, ProfDeMaths, tu as un stylo ?"
"Ça s'voit pas ?" J'ai dit
Toute la classe a ri
Moi aussi finalement
Même si j'savais pas trop pourquoi
L'essentiel est de faire comme tout le monde.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un jour en terminal
On étudiait les fonctions
Une fonction non définie en zéro
La prof nous montre une fonction fabriquée
Pour qu'elle soit pas définie en zéro
Comme elle m'avait préalablement énervé
Je lui dit
Madame
Si l'on simplifie la fonction
Hop, c'est tout pareil et en plus définie en zéro
La prof elle regarde le tableau
Ah oui en effet
C'était méchant de ma part
Mais la vérité est parfois méchante
Je suis méchant c'est pas ma faute.
On étudiait les fonctions
Une fonction non définie en zéro
La prof nous montre une fonction fabriquée
Pour qu'elle soit pas définie en zéro
Comme elle m'avait préalablement énervé
Je lui dit
Madame
Si l'on simplifie la fonction
Hop, c'est tout pareil et en plus définie en zéro
La prof elle regarde le tableau
Ah oui en effet
C'était méchant de ma part
Mais la vérité est parfois méchante
Je suis méchant c'est pas ma faute.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai quand même eu mon bac
Mais j'ai quand même travaillé
Les maths c'était facile
La physique un peu moins
Le français ça passait
Quelques variables en plus
L'histoire trop de variables
Mais c'était plus intéressant
La geo trop de variables
Mais c'était intéressant
Les femmes trop trop trop de variables
Mais c'était intéressant.
Mais j'ai quand même travaillé
Les maths c'était facile
La physique un peu moins
Le français ça passait
Quelques variables en plus
L'histoire trop de variables
Mais c'était plus intéressant
La geo trop de variables
Mais c'était intéressant
Les femmes trop trop trop de variables
Mais c'était intéressant.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le bac m'a permis d'atteindre l'autre rive
Celle des études "supérieures"
Là où les gens sont supérieurs
Moi je voulais pas être supérieur
Par contre je voulais être super
Je me suis dit ça doit être pareil
Supérieur c'est comme super
S'est ensuivi 6 ans de galères
Le con.
Celle des études "supérieures"
Là où les gens sont supérieurs
Moi je voulais pas être supérieur
Par contre je voulais être super
Je me suis dit ça doit être pareil
Supérieur c'est comme super
S'est ensuivi 6 ans de galères
Le con.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je sais pas si je suis super
Enfin, j'ai ma petite idée
Par contre je sais
Que j'suis pas supérieur
Regardez, demandez autour de vous
"ProfDeMaths ? Ce ringard ? Ce raté ?"
Et oui
Je suis un inférieur
6 ans d'études
Pour être un inférieur
De la race des inférieurs
De la sous race
C'est pas ma faute
Je dis ce que je pense
Vrai ou faux
Je dis ce que je pense
D'ailleurs même quand c'est pas vrai
Je le dis quand même
Mais remarquez
J'en paie les conséquences
Alors tout le monde est content
Du moment que je paie
[c'est ça le business social].
Enfin, j'ai ma petite idée
Par contre je sais
Que j'suis pas supérieur
Regardez, demandez autour de vous
"ProfDeMaths ? Ce ringard ? Ce raté ?"
Et oui
Je suis un inférieur
6 ans d'études
Pour être un inférieur
De la race des inférieurs
De la sous race
C'est pas ma faute
Je dis ce que je pense
Vrai ou faux
Je dis ce que je pense
D'ailleurs même quand c'est pas vrai
Je le dis quand même
Mais remarquez
J'en paie les conséquences
Alors tout le monde est content
Du moment que je paie
[c'est ça le business social].
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai un pote de quarante ans
Enfin je sais plus si c'est toujours un pote
Vu que je l'ai tellement saoulé
Qui est blasé
Il a femme
Enfants
Responsabilité
Et j'oubliais : sous
Mais il s'emmerde
Il s'ennuit
Il sait tout
Il a tout lu
Il sait plus quoi faire
C'est ça aussi de pas être feignant
Comme je dis toujours :
Mieux vaut en garder pour plus tard.
Enfin je sais plus si c'est toujours un pote
Vu que je l'ai tellement saoulé
Qui est blasé
Il a femme
Enfants
Responsabilité
Et j'oubliais : sous
Mais il s'emmerde
Il s'ennuit
Il sait tout
Il a tout lu
Il sait plus quoi faire
C'est ça aussi de pas être feignant
Comme je dis toujours :
Mieux vaut en garder pour plus tard.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Une fois au ciné
J'ai pas résisté
Je sais plus c'était quel film
Je sais plus c'était quel jour
J'ai pas résisté
Le film disait
Un truc du genre
"Les relations c'est compliqué"
"Tu m'étonnes !"
Que j'ai balancé
J'étais tout seul comme d'habitude
Ça a fait rire des gars sur ma gauche
C'est sûr j'allais être dévoilé
Comme le pauvre type, le frustré
Mais j'ai pas pu m'en empêcher
Ça m'a quand même bien fait marrer.
J'ai pas résisté
Je sais plus c'était quel film
Je sais plus c'était quel jour
J'ai pas résisté
Le film disait
Un truc du genre
"Les relations c'est compliqué"
"Tu m'étonnes !"
Que j'ai balancé
J'étais tout seul comme d'habitude
Ça a fait rire des gars sur ma gauche
C'est sûr j'allais être dévoilé
Comme le pauvre type, le frustré
Mais j'ai pas pu m'en empêcher
Ça m'a quand même bien fait marrer.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Si nous étions tous présidents
Quelles décisions prendrions-nous ?
— Nous sommes tous présidents.
Quelles décisions prendrions-nous ?
— Nous sommes tous présidents.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a les pro vax
Il y a les anti vax
Alors il y a les anti pro vax
Et les anti anti vax
Alors c'est la guerre
Alors il y a les pro guerre
Et les anti guerre
Alors il y a les anti pro guerre
Et les anti anti guerre
Alors c'est toujours la guerre
Parce que quelqu'un
Appuie sur le nerf de la guerre
Pourrait-il lever son pied ?
Il y a les anti vax
Alors il y a les anti pro vax
Et les anti anti vax
Alors c'est la guerre
Alors il y a les pro guerre
Et les anti guerre
Alors il y a les anti pro guerre
Et les anti anti guerre
Alors c'est toujours la guerre
Parce que quelqu'un
Appuie sur le nerf de la guerre
Pourrait-il lever son pied ?
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un jour la femme de Dieu
Fit sa valise et partit
À Venise
Car son mari était trop occupé par son business
Trop occupé à botter les fesses
Des philistins mécréants
À planifier le bilan
Du jour du dernier jugement
Un peu quand même affecté
Du départ de son aimée
Il la rejoint à Venise
Et lui dit
"Ma chère Dieuine s'il te plaît
Reviens-moi mon verre de lait
Ma soucoupe volante coquine
Sinon j'envoie le covid."
Fit sa valise et partit
À Venise
Car son mari était trop occupé par son business
Trop occupé à botter les fesses
Des philistins mécréants
À planifier le bilan
Du jour du dernier jugement
Un peu quand même affecté
Du départ de son aimée
Il la rejoint à Venise
Et lui dit
"Ma chère Dieuine s'il te plaît
Reviens-moi mon verre de lait
Ma soucoupe volante coquine
Sinon j'envoie le covid."
Dernière édition par ProfDeMaths le Mer 25 Aoû 2021 - 16:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ce qui te tue pas
Te rend plus fort
— Sauf des fois, où ça te rend plus faible [un peu de bon sens].
Te rend plus fort
— Sauf des fois, où ça te rend plus faible [un peu de bon sens].
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Hello Vlady
How re you body
Feel good in Russia ?
And in Ukrainia
So what do you think
What is your point
What is your plan
For the humans
You know
Humans
Russian people
For example
What do you think
What is your plan
What is your point
What do you mind.
How re you body
Feel good in Russia ?
And in Ukrainia
So what do you think
What is your point
What is your plan
For the humans
You know
Humans
Russian people
For example
What do you think
What is your plan
What is your point
What do you mind.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ce chemin de l'existence
mais ce marcheur est-il en peine?
Fort de ses propres illusions
Il court dans la souffrance,
il cherche le comment, fuite éperdue.
On n'échappe pas à sa propre projection.
La joie,
la joie d'être.
Être là,
être maintenant,
un beau cercle se dessine.
Alors le tour n'est plus contour,
la fractale brille dans chacun de nos gestes.
L'élan du coeur en primauté, l'intention est la clef de tout ces gestes esquissés pour essayer...
d'exister.
D'un pas à l'autre se sentir en vie,
puis d'une perception grandir vers l'état.
Celui qui ne désunit pas, ni plus d'ailleurs.
La joie d'un simple geste,
l'élan vers l'autre,
l'élan vers soi.
Aimer ce qui est, regarder la chose,
voir le monde.
mais ce marcheur est-il en peine?
Fort de ses propres illusions
Il court dans la souffrance,
il cherche le comment, fuite éperdue.
On n'échappe pas à sa propre projection.
La joie,
la joie d'être.
Être là,
être maintenant,
un beau cercle se dessine.
Alors le tour n'est plus contour,
la fractale brille dans chacun de nos gestes.
L'élan du coeur en primauté, l'intention est la clef de tout ces gestes esquissés pour essayer...
d'exister.
D'un pas à l'autre se sentir en vie,
puis d'une perception grandir vers l'état.
Celui qui ne désunit pas, ni plus d'ailleurs.
La joie d'un simple geste,
l'élan vers l'autre,
l'élan vers soi.
Aimer ce qui est, regarder la chose,
voir le monde.
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