Debrief du Caméléon

Si les sousous rentrent, y'a plus besoin de l'eau des chiottes. Plutôt une bonne nouvelle si c'est le cas

Voici une soirée d'écriture sur mon petit cahier à la couverture verte en plastique qui me suit partout.
J'y est imaginé, lors de cette inspiration nocturne, qu'on aurait tous une date unique inscrite pour toujours dans nos vies, qui dicterait toutes nos décisions sans notre consentement puisqu’elle serait elle même l'origine de l'origine de notre inspiration . Trouverez vous la vôtre ?
Et que quoi qu'il en soit, et sans s’embarrasser d'une continuelle quête identitaire sur la nature de la difficulté éprouver dans nos progressions individuelles, je vais tenter de vous convaincre que nous prendrons appui systématiquement, voire hystériquement, sur elle pour rebondir.





Dans le développement personnel d'un individu j'ai pensé à une rupture temporel et donc déterminante dans le développement de celui ci.
Je part de l'idée qu'elle est donc unique, elle peut donc surgir à 8 ans d'âge comme à 2 mois et même pourquoi pas 35 ans.
Dès qu'elle adviendrait l'individu ne cessera plus de se développer en prenant systématiquement ses repères à cette date

Si l hypothèse se démontre, l'individu demeurera frustré toute sa vie du fait que pour X raisons, il se cognera sur cette palissade temporel, qui est
éventuellement l'origine de l'origine de sa pensée quand il se met en tête de trouver la solution à la difficulté éprouvé.
Dans cette éventualité , pour résorber ce choc frontal et dissiper la frustration , il faudrait que l'individu trouve les ressources nécessaire pour lui permettre de traverser
consciemment cette date unique , qui divise le processus de l'évolution en 2.
Maintenant imaginons que cette date se trouve à un âge peu avancé ..
Comment peut il dès lors identifier cette date puisqu'il ne peut pas le faire - a priori - consciemment.

Pour valider ma théorie - donc par une autre théorie - je devrais moi même identifier ma date de rupture dernière ..

En ce qui me concerne pour justifier la sincérité de cette théorie, j'ai remarquer qu'il serait possible que j'en ai déjà franchi plusieurs et qu'elle ne serait
donc pas isolé comme au début de mon texte.
Ainsi il serait même possible que cette douane temporel se compte à l infini et non plus a l unité dans le profil de l individu.
Ce qui reviendrait à affirmer que nous combattons la vie à chaque instant de son déroulement.
Mais pourtant nous avons bien tous une origine ? une base relevant de l inconnu ?

Je suis convaincu que cette date existe.
Peut être existe elle seulement comme notion psychotherapeutique.

J'en suis convaincu et je pense qu'elle est à la fois créatrice et destructrice dans nos existences .
Je veux dire qu'on peut vivre avec, sans qu'elle ne soit jamais franchi .
Ainsi elle serait notre marque de fabrique, une entité dont on en est l'auteur mais détaché de nous créant ainsi une fantastique disponibilité pour accueillir autrui, ou pas du tout à l'inverse.
On serait attaché à elle obstinément - la date, la marque etc... - mais sans jamais la franchir ou s'unifier à elle ne serait-ce qu'une seul fois.
Elle nous inspirerait en tant que maître dans la relation à elle, ou alors en tant qu'esclave que nous serions obligés d'entretenir sa pesante existence, dévorant ainsi notre imagination au cours de la vie.

Mais paradoxalement j'imagine aussi bien pouvoir transpercer ses murailles au cours de la vie . (la date unique)
Si j’emploie "transpercer" c'est que çà traduit peut être le matériau lourd incarnant une propre peur que j'héberge.
Mais je pense aussi que dans l'adversité au cours de la vie, pour pouvoir enfin se remplir les poumons d'air, il est nécessaire, ponctuellement, de faire usage de la force.
Et donc particulièrement d'une point de vue interne, permettant à cette occasion, selon les difficultés rencontrés de renverser la tendance et d'enjamber ce péage chronique, pour permettre à nouveau de respirer correctement et de se rendre compte qu'on est effectivement derrière cette date unique.(symbolisant toujours ma théorie de la rupture unique)
Je suis gêné car voici une 3e variante de ma théorie.
Elle serait toujours fixe ( la date ) , mais nous, nous serions mobile (par rapport à elle) ce qui nous permettrait de la contourner, tantôt en l'enjambant, tantôt en la contournant par ses flancs.

Quoi qu'il en soit, je suis convaincu qu'il faut se déshumaniser pour devenir humain.
Que les peines ne sont pas vaines, que l'effort est la monnaie de la justice, à condition de prendre le temps de réfléchir sur les conséquences de nos actes et inactions (toutes aussi importantes et peut être même davantage effectives) sur le chemin de la vie.

.

Jarod a écrit:Lao Tseu : Les paroles sincères ne sont pas élégantes.
Je viens de finir le Tao Te King

Bonjour Jarod, de tous c'est mon livre préféré.
Je l'ai acheté plusieurs fois car à chaque fois que je le prêtais, j'étais certaine de ne pas le revoir.
Tu as évolué, semble être sur ton chemin
Je suis heureuse pour toi.

"Combattre la vie à chaque instant"
Oui, c'est mon sentiment.

Cette date Jarod ?

Elle me semble être la frontière entre le passage de l'age d'enfant à l'age adulte. Celle qui marque le décillement suivant :

- Je suis seul et personne ne trouvera mes réponses à ma place
- Les autres pensent différemment de moi et ont de objectifs qui peuvent être en totale opposition avec les miens
- Les parcours et cette date sont tellement différents que je ne peux savoir ni pour moi (si je ne teste pas ce que je pense) ni pour les autres
- L'acceptation des différences (en tant que constat, pas en tant qu'esclave) est le seul et unique moyen que j'ai de ne plus souffrir
- La vie est trop courte pour que j'aie le temps de vivre celle d'un autre à sa place
- Le chemin tend au partage, ceux que ne le désirent pas en ont le droit comme j'ai le droit de m'écarter d'eux
- L'égoïsme qui tend à protéger la relation pour son propre bien est positif; l'égocentrisme qui tend à profiter est nocif

Devenir adulte, c'est accepter cela et faire avec.

r'Eve n'est plus

Bonjour Jarod, de tous c'est mon livre préféré.

Comment çà ? toi aussi tu pense cela ?
J'ai acquéri pour 3€ à Cultura, la traduction de Stanislas Julien, qui est pour moi la meilleur. Avec 2 grues en peintures sur la couverture souple.
Tu a lu le "Le Vrai Classique du vide parfait" ?
L'histoire des mouettes avec les enfants m'a beaucoup ému.
Une histoire comptant le respect inconditionnel.
Connais tu francois Julien ?

Ce dialogue entre le philosophe ( donc grecque ) et le synologue ( mais pas que ) Francois Jullien, ma convaincu que de partir vivre en chine est la seule chose qui me reste à faire. Sans radicalité de ma part, Francois Jullien ( et Sponville le dit ) réalise la premiere étude aussi poussée pour regarder la Chine de l'intérieur.
le passage sur quelle est une bonne ceinture est strictement très jouissant : comment peut on savoir qu'une ceinture est bien ? quand on la sent pas. C'est l'adéquation qui fait oublier l'adéquation. Tu peut téléchanger le livre audio sur 411 par ex.
C'est à mettre entre toutes les mains de n'importe quel individu de la planête, aucun dogme, aucune influence prémedité, tout est question d'évidence. Je sais que tu a lu le Tao te King donc tu comprends ce que je veux dire.
j'essaie de partir en Chine en ce moment

Mjöllnir

Tu sais ou peut être pas d ailleurs que ta manière de converser est toujours signé d'un grand respect.
Parfois j'ai l'impression que tu es dans la tête de tout le monde, tu dis souvent en conversant presque tout ce que j'ai envie de dire et que je ne parvient pas à dire parfois par manque de connaissance ou simplement par peur plus ou moins effectives.
Tu pousse mes raisonnements dans leurs derniers retranchements, j'ai tout pour croire avec toi que c'est exactement ce que je pense, mais à l'instant où je me dis çà, la direction de ma pensée à déjà changé ( forcément), et rebelotte nous continuons à parler.
Le passage à l'âge adulte ? quelque chose me dit que je serais obligé de me questionner sur ce qu'est l'âge adulte, mais en relisant les plusieurs points que tu citent j'ai bien l'impression qu'ils caractérisent en substance cette transition.
J'ai tellement écris que je sais que la source est déjà une peur . J'aimerais déjà être en chine, pouvoir enfin mettre à profit ma santé physique et mon autodidactie, la route est encore longue mais chaque seconde je m'en rapproche.
Merci.

Tu as l'air surpris que je connaisse ce livre
Et bien il est resté très longtemps dans mon sac et je me régale à le relire encore et encore.
A chaque lecture, je découvre une nouvelle "signification". Enfin c'est pas le mot exact.
Disons plutôt que ma vision est différente en fonction de ce que je vis au moment où je le lis.
Yep, c'est pas très clair ce que je dis mais je pense que tu comprend ce que je veux exprimer.
Je ne connais pas les autres livres dont tu parles mais je vais regarder.
Merci des infos
Partir en Chine, j'ai une amie qui a vécu plusieurs années là bas.
Aux dernières nouvelles elle était partie vivre au Brésil ensuite.
Une globe trotteuse

Je vous préviens c'est du Jazz !
Comment il s'appel ce gateau au soja typiquement Asiatique ? en forme de boule qui tient dans le creux de main, parfois saveur coco ou vanille ?
Et ben je pense à çà avec cette douceur !!
Je n'arrête pas de vouloir dénicher des morceaux de tout horizon, ici c'est du jazz Japonais du festival de cette année.

Trois petits derniers pour la route, autour des Soil & Pimp Sessions :

Jarod a écrit:Je vous préviens c'est du Jazz !

Pourquoi nous "prévenir" ?
Le jazz est une musique merveilleuse
Peu importe la couleur de la personne qui la joue, elle n'en reste pas moins superbe.
Si tu aimes le jazz, alors tu dois aussi aimer le skate

Cette nuit j'ai rêvé que je vendais des bouteilles d'eau - rempli à la fontaine public- sur un lieu de forte affluence dans
un centre ville imaginaire, le 2e jour j'avais mes bouteilles d'eau vide et je me dirigeais vers la fontaine mais dans
mon autre main je tenais du vieux poisson, j'en avais un vieux entier, puis des morceaux de toutes formes.

Et j'étais assurément convaincu qu'il fallait que je mette des morceaux à l intérieur de la bouteille pour que l'eau soit
encore meilleur qu'elle est à la sortie du robinet d'eau potable public. Et ainsi espérer avoir de nombreux clients pour
me faire davantage d'argent de poche.

Sur place, à mon stand de remplissage de bouteille, je regard mes contenants, 2 grandes bouteilles, 1 petite puis une
trousse a fermeture éclair, tout les contenants y sont le bienvenues, ils sont autant d'argent que je gagnerais.

Pour une grande bouteille je glisse quelque petits filets de poissons par le goulot après l'avoir rempli, il faut que je
me dépêche les premières personnes du "rush" sont déjà sur la place où je vends mes bouteilles d'eau encore plus
pur que les autres ! et après leurs passages il n'y a plus personne jusqu'au lendemain !

Voici la trousse verte entre mes mains que je dois remplir d'eau, il y déjà dedans, enroulés sur lui même un vieux
brochet pourri, mais je m'aperçois malheureusement que le volume d'eau libre ne fera jamais 1L à cause du gros
poissons, je décide alors d'en enlever une partie et après faire un essai, et là un vieux ami du collège intervient et
tente de me convaincre que le litre d'eau peut rentrer, en insistant en me montrant la trousse ouverte sous le nez (
par la même occasion je m'aperçois que le poisson n'a aucune odeur ) .

Je refuse de le croire et me précipite sur l'autre grande bouteille pour y mettre un maximum d'eau et tenter d'y mettre
le poisson en entier à l'intérieur même si je doute de la réussite de cette opération quand j'observe le diamètre du
goulot.


C'est là que je me réveille , pour la dernière fois, moi aussi je suis déçu de ne pas avoir la suite de ce drôle de
rêve, mais vous allez comprendre pourquoi. J'ai ri à mon réveil car j'ai compris l'histoire du poisson.
Hier soir je lisais le Hagakure, le dernier chapitre que j'ai lu avant d'aller au lit était :

Je ne partage pas l'avis de celui qui préconise une constante et stricte autorité. Comme dit le proverbe: ‘Le poisson ne vit pas en eau claire’.
C'est le goémon qui lui permet de se cacher en un lieu isolé pour se développer pleinement jusqu'à sa maturité. C'est quand on sait passer sur les détails et ne pas prêter l'oreille aux plaintes mineures que l'on est capable de procurer la sérénité aux êtres qui nous servent. La compréhension de ce principe est essentielle à qui veut comprendre le caractère et le comportement d'autrui.

Et moi qui me force à faire pénétrer un poisson dans une bouteille d'eau pour mieux vendre mon eau !

...

Syntaxe, sémantique, honnêteté, tout est y dissout par un style d'écriture vicieux , surchargé de rancoeur et d'émotion torturé par de la frustration .

Sincèrement je te trouve pas intéressante.
Alors tu va libérer mon fil de ta stupidité naturelle.
Y a plusieurs personnes qui se sont désinscrites n'étant pas satisfaits de nos échanges, obsédés par un besoin de reconnaissance et de suprématie, alors une de plus ou de moins, çà va pas me déranger plus que çà ma grande.

Persane dit :
A chaque fois, que je l’ignorais (l'ancien compagnon défini comme PN par Persane), c’était véritablement jubilatoire.

Jarod répond:
Qui est heureux de la peine de l'autre ici ? C'est quoi déjà le malheureux penchant du PN ? Euh pardon, je m’excuse çà me regarde pas..

Personne à relevé ceci.

Stop ! je vous arrête, c'est moi le PN.
Trop tard, vous l'avez lu mon commentaire , j'ai déjà commencer à vous manipuler.

Je suis en rogne, insomnie depuis plusieurs jours.
Elle se lacère le coeur avec du barbelé.

Personne à qui en parler , impossible de m'expliquer avec elle, persuadé que toute communication sera une tentative de manipulation, obnubilée par ce terme "manipuler" moi je souffre de son absence, de communication sincère pour apaiser le terrain sentimentale qui est bien présent malgré tout ce qui s'est passé.

J'en ai ras le Cul ! Comme si le temps et prendre connaissances de concepts psychologiques donneront raison à la haine qu'on a vers l'autre, qui n'est d'autre qu'un amour qui ne demande qu'a s'exprimer et à contaminer de bonheur le monde entier. MON CUL !! MON CUL !!

Ca va juste poser un jolie voile tout doux sur la plaie, avec de jolies reflets, et la plaie continuera se s'infecter en dessous.


Vous m'avez encore envoyé des Mps en m'accusant, je vous ai recadré poliment, vous avez compris par vous mêmes vos erreurs, je n'accuse personne et je n'en veux à personne, mais juste arrêtez de croire que vos concepts psychologiques justifie votre haine car je n'en peut plus de voir qu'elle s'en persuade aussi.

rétablissons, rétablissons, vous êtes d'accord ?
Rah, mon dernier message me met le cafard !

En fait je me demande à quoi il sert en fait, mon fil.
Je me dis ce matin que pour ce site soit utile, car j'en suis en fait, oui je suis ce site, j'en fait partie intégrante, il me semble qu'il devrait être sous une forme parfaite, aucune subjectivité, ou alors la meilleur tentative qui soit pour que çà soit le cas.

Car sinon tout deviens très vite brouillon, surtout quand en plus, on s'y implique fortement emotionnellement, comme le cas de mon dernier message.

Au final, oui, j'ai fait partir des gens, car leur têtes explosaient quand ils s'apercevaient de tout le pathétisme de leur profil. Il supportait pas que je touche là où ils cachent leur peur, et moi je ne peut discuter avec quelqu un qui essaie, et même d'une manière poli en apparence, de me faire avaler sa pillule avant qu'il ne l'es lui même fait.

Mon intuition fait le reste du boulo.
Avant je manquais de tact, j'en ai gagné, mais c'est pas encore çà, et puis moi aussi j'évolue.

En fait, ce matin c'est pas du tout çà que je voulais écrire vous l'aurez compris.
Y parait que j'ai encore un talent, marre ! ouai vraiment marre ! j en veux pas !

Mais au cas où s'il s'avère que c'est vrai, autant que je l'exploite en lieu sure vous croyez pas ? je me trompe peut être qui sais ..
Après tout, çà veut dire quoi tout çà ?

Je comprends pourquoi j'aime te lire Jarod.
On est pas si différent que cela... sur ce site... en vrai, je ne sais pas.

Repose toi et souffle.

Un magazine, qui à première vue relate de la mode, au niveau vestimentaire, la dimension peu commune et le gramme du papier du magazine me font dire qu'il est probablement offert.
Dans ma chambre, il est posé sur le petit meuble qui va bientôt rejoindre sa propriétaire car ma chambre n'es pas encore vidé de l'ancien colocataire.
Moi ? lire ce genre de sottise ?
Et puis sur quelle phrase je tombe, pour parler " des tics de langage au travail qui en disent long sur nous même " ? , une phrase de Jules Renard !
Quelle modèle ! je connaissais pas mais, dorénavant son nom je m'en rappellerais.

Le mot est l'excuse de la pensée. Jules Renard

(drôle de coïncidence, hier je regarde " fantastic Mr Fox", Classement 13e film de comédie sur Allocine.fr)

Voici une phrase qui synthétise tout mes propos bizares et mal coordonnées quand j'essai de faire comprendre que les mots et leurs définitions nous glissent perpétuellement entre les doigts. Déjà sorti qu'ils perdent de leurs éclats et de leur pouvoirs.
Merci Jules !!

Que de renards, faut que je mette mon grain de sel!

*****! (merde !) je fais quoi ? je fais quoi là maintenant tout de suite ?
Et si j'allais les voir ? les si beaux pins maritimes que j'affectionne tout particulièrement ?
Gps, Honda, direction plein OUEST, je vais les trouver ces foutus pins qui me font frissonner !
Et puis je roule, je roule, quelques conifères qui se battent un parcelle de terre le long de cette rocade Bordeaulaise , et puis je roule encore.
Rêve ou réalité, des centaines de rayons soleils pulvérisent cette forêt de Pins maritimes à ma gauche, j'en ai jamais vu d'aussi grands, une forêt entière juste à côté de moi, mes yeux me piquent, puis se remplissent de larmes.
Après 10 km parcouru pour trouver un chemin réservé aux chasseurs, je gare ma caisse, la forêt est à quelques pas, j'ai dansé, dansé, dansé.
Fatigué j'ai dormi avec eux, magnifique moments.
Une free party au milieux de ces arbres ?

Elle m'a demandée : Mais que veux tu alors ?

quelque chose qui m'éviterais d'errer dans des villes sans but précis dilapidant mes 1000 balles de chome du dans tout et n importe quoi.
J'aurais un rêve peut etre, hier je suis arrivé a bordeaux, je sais pas pourquoi, donc je me ballade sans trop de but, je lit de la lecture chinoise et japonaise sans trop d interet, mais j aime un peu, car au moins je vois autre chose que du grecque autour de moi. ( je sais pas comment le dire autrement, mais francois jullien parle très bien de ce que je ressens, le fameux synologue ), ce rêve m'est venu en me ballandant en caisse dans bordeaux, je suis passé à l'autre rive par ce pont de belle envergure, et puis au feu, une rue sans intêret, un tout petit passage qui a premiere vue me ferais passer sous le pont, entre l'eau et la "fin du pont", je tourne et là, là, 3 énormes blocs de ciment empêche de continuer pour passer completement sous le pont et puis après çà monte jusqu'a sur le pont par un colimencon. Donc je m'arrete sous le pont, je laisse tourner la tire, je sors , et je hurle! je monte le son de caisse ( 250 w efficace ) j 'ouvre les portieres, je suis donc sur le toit de ma voiture le son à fond en centre ville cache en partie par le gros pilier du pont, et qu une idée me vient à la tete, ce que je veux est tres proche de çà, manque un sac de frappe ou 2, un coin nuit, un coin cuisine, et puis c'tout, seul hic je suis en centre ville, je me ferais virer, donc je pense à faire mon trip en terre isolé, mais comment rappatrier le matos et l'electricité ?

Voilà mon rêve, j ai hurlé de joie, j'ai réalisé que la plupart de mes rêves venaient se joindre dans ce projet, je veux tout faire !
Je veux meme pas un mur qui m'abriterais pour dormir, je veux pas que quelqu un est fait quelque chose dont je me sers, je veux tout faire. Par terre un vieux mouchoir deguelasse " mon canapé, je le poserais là sur ce vieux mouchoir " je veux vivre ici , mais non impossible dans ce centre ville bondé.
Là je pense a johanesbourg, là bas il parait tout est chaos, buisness district vidé de sa population un no man s land bien réel, j en ai le frisson !
un casque de moto par terre, je l' hameçonne du pied, puis le jette, le plus loin que je peu dans un coin "décharge" .
No man s land, Johanesbourg, fallout 3 ( scénario post apocalyptique ) , chaos, beauté inconditionnel et universel, tout est déjà là.
C'est moi qui ne l'es pas encore tout à fait.
Je veux tout faire.
Je crois que c est a cause de çà que je me plante sans arret.

Tout ce que je viens de dire, je l'ai peut etre inventé, personne peut le prouver à part moi, mais demain je serais encore autre chose, pas tout a fait pareil.
Mes rêves eux seront toujours là ?
à l heure actuel ils sont déjà parti, je sais pas où .

J ai évidemment besoin d une structure qui me structure, où peut etre d ici la fin de semaine mes reves vont reprendre et je vais tout créer de moi meme. Si j impressionne les gens de ma faculté d'adaptation c'est peut etre que je vois des choses là ou la majorité n ' en voit pas, mais j'ai besoin de bienveillance pres de moi d un min de structure.

Je dors dans la voiture. Bye



Ici à 3"53 précisément, Krishnamurti me raconte ce sentiment mystérieux et puissant que j'ai ressenti.

Étrange message que je reçois plusieurs fois par jour depuis des mois du plus profond de mon être.
Une musique, celle ci l'illustre bien (laissez couler jusqu'à 1"10)
Une grande forêt de sapin.

Je n'ai aucune idée d'où cela peut il venir, je n'ai pas l'impression de nourrir quelque chose de cette ordre là.
La musique et les sapins que je vois dans ma tête me font juste un bien fou, à la limite d'un lâcher prise puissant.

Salut à toi au passage Jarod
je te souhaite plein d'étoiles pour ce voyage que je vois initiatique
et merci pour tes "excuses de la pensée"
 

Il serait bon que je l'arrête ce voyage, il me coûte cher en tout.
Je sais pas où vont me mener ces visions, parfois elle m'inquiète, je me dis que je pense trop de temps à rêver.
Ceci dit je conseille vivement de découvrir Yoko Kanno, en plus c'est une acharné de la composition musical, elle a fait probablement des milliers de musique.

Voici que ce matin, le grand écart culturelle fût fait, je m'endors en écoutant en livre audio "Le tchouang tseu ", est il encore nécessaire de préciser la nature de cet ouvrage dont personne ne parvient à faire le tour depuis des siècles ?, et cette nuit j'ai regardé une pièce de Feydeau sur You tube, avec un bout de fromage et du pain grillé d'ailleurs.
Pas de comparatisme !!! dirait Francois Jullien ou les autres bon synologues, Ok papa, mais  faut de tout même remarquer que, ce grand écart, à defaut de me faire mal aux jambes me fait des trous dans la tête.

Je ne savais pas que la Comédie Francaise, était une institution aussi riche.
Quand je regarde des pièces de Feydeau, je me demande vraiment mais "suis je bien francais ?", pourquoi ais je le sentiment de m'etre fait avoir sur la marchandise?
Pourquoi à l'école on nous fait pas lire des oeuvres comparable à de ce qui ressort de la comédie francaise ?
C'est dingue ! impossible de faire un enfant ici, je pensais pas le dire, mais c'est hors de question, la france n est plus ce que j entends à travers les pièces de théâtre digne de ce nom.


N'empêche çà me pose un autre problème encore plus sérieux, car où la mythomanie est devenu un art à lui tout seul dans les pièces de comédie, en Chine elle devient complètement caduc, et dénué de sens. ( comme ce qu'est la philo chinoise )

Un ami éclairé m'a dit récemment " tu joue pas à la bite des peuples tout de même ?"
Je regrette j'ai reçu une éducation qui est ce qu'elle est ( difficile pour moi de devoir choisir les temps à employer dans cette phrase en l’occurrence, car c'est bien une des choses que la Chine ne s'est pas embarrassé à créer pour se faire comprendre )  mais je la refuse, j'ai besoin d'une institution pour reprendre le mot, sur laquelle je puisse reposer mon dos usé des choix moraux, saisir ne serait ce qu une valeur sur laquelle je puisse faire confiance les yeux fermés, alors  il est vrai que je me suis attelé à trouver la meilleur école possible.

Au bout de 5 ans je pense l'avoir trouvé, c'est paradoxalement la plus éloigné de ma terre natale la france, c'est la Chine, j'y ais eu toutes les réponses que je désirait, rien n'y manquaient. Mais je suis encore ici, bloqué par les fonds nécessaires pour partir correctement.

J'ai vraiment envie de rencontrer un sinologue, parvenir à saisir l'humilité indispensable pour se plonger dans la dangereuse aventure de traduire le Chinois, toute la culture européenne y est balayé en quelque lignes parfois, rien de si puissant existe aujourd’hui en la matière.

Mais le théatre de la comédie francaise cette nuit à calmé mes douleurs dû à mon dégoût de la France.

edit:ps: Je lis Boris Vian en fumant la Pipe, j'ai l’impression de me transformer en CherMonsieur ^^.

Besoin d'aide.
Je me sens très fort.
Mais il n'en est rien car je l'accepte pas.

Je veux pas "être". Je préfère être con, en tout cas c'est ce que je choisi.
Besoin de quelqu'un pour me dire les mots justes.
Pas plus tard qu avant hier, je jouait au tennis avec un gars que j'ai contacté par le biais d'un site internet dédié à mettre en relation des joueurs de sport de raquettes car il faut toujours un partenaire pour ce genre de pratique.

Le gars a une expérience de 15 ans de tennis.
Moi 2h, avec un autre gars du site.

Autant dire je me demande comment je vais pouvoir lui faire subir 2h de tennis avec un novice qui saura même pas renvoyer la balle 2 x de suite.

Au bout d'une heure de jeu, il m'inculque quelques notions pédagogiquement.
Ses quelques conseils ont eu une effet accélérateur dans ma pratique.
On se revoit hier pour la seconde fois et au bout de quelques échanges, je le sens peu à peu ( et c'est ici que je vais faire comprendre pourquoi je m'exprime sur un site de surdoué, à défaut d'avoir trouvé un maitre zen encore aujourd huie ou une institution capable d accueillir mon potentiel et aussi mes névroses car je suis encore mauvais de l'intérieur) distant et de moins en moins dans la course, renvoi juste les balles qui le font pas trop galoper, car car il commençait à abandonner le fait de jouer au tennis, comment dire.. j'étais devenu meilleur que lui en quelques minutes!

Au bout des 2h, il me confie que mon coup droit est meilleur que le sien ( chose dont laquelle j'ai rien à foutre, mais je n'arrive plus à trouver mes mots en fait, je suis gêner et en même temps forcé de me rendre compte que je m'ennui déjà avec lui dans le jeu du tennis ).
Et puis il parle des exploits de grands joueurs, étalant ses connaissances en la matière pour je ne sais quelle raison, peut être pour échapper à la honte qu'il s'inflige tout seul....


Ce soir je suis allé jouer sur un mur avec une balle et une raquette.
Entraîner mon revers à 2 mains, geste qu'il a essayé de m'apprendre car ne sachant pas le faire lui même, c'est plutôt difficile pour en parler.
En frappant sur le mur du revers 2 mains, je saisi toute la profondeur du jeu de tennis, à l'image de l'art martial, il faut réaliser des gestes non naturel par le corps ( et le reste d'ailleurs) pour parvenir à un geste efficace et économique.
La puissance ,effectivement, comme dans tout, se situe au sein même du geste et aussi dans son extérieur. Je comprends qu'il ne faut pas vouloir frapper fort pour frapper fort, mais frapper juste pour être efficace et proposer une frappe dite puissante.

Là je pleure, car demain encore j'apprendrais une autre pratique dans laquelle j'excellerais en quelques instants.
Je souffre, je suis entre accepter une force, un don très puissant manifestement et nier ma force pour me soumettre au monde, comme m'allonger sur la paille contre le ventre chaud de ma mère la vache.
(fallait que je l'écrive tel quel )

Cette nuit, je vais rêver de mon revers à 2 mains, l'intégrer inconsciemment peut etre même je jouerais contre un grand joueur ( oui je sais, c'est moi même dans tous les cas ) sur un court, et demain si je joue dans la vrai vie, j'aurais bondi en "être à l'aise en jouant au tennis" .
Les gens diront être étonné par ma progression, et moi je serais toujours autant gêner de leur étonnement, car je ne fais rien de particulier.

Je ne vous parle pas de : " conduire tout type de véhicule ( roulant car j'ai pas essayer le reste ) " ou de " patin à roulette/glace" , " sport de raquettes " , sport d'équilibres en tout genres " , "lancer de projectiles avec précision ( arc , puis tout ce qui touche à çà, je serais aussi très à l'aise rapidement ((pour vous, moi j'essai juste de respirer)) )" bricolage ", et puis enfin, toute pratique qui demande de la dextérité en particulier.
Pour moi c'est juste de la respiration, pour le reste du monde j'ai l'impression que c'est de la compétition pour être le meilleur parmi les autres.

J'en souffre, car je choisi d'être le faible, mais j'ai très peur d'être qui je suis, il me faudrait une famille, mais au moins pour ce soir, trouver les bons mots ou taisez vous à jamais si vous doutez de ce que vous allez écrire.

Merci de m'avoir lu. Peut être suis je très individualiste ou égocentrique mais je ne sais où enfoncer mes peurs pour qu'elles aient une place à elle et s'y sentir en quelques sortes à l'aise.

J'ai toujours eu la très nette impression d'être incapable de t'aider mais je t'ai lu.
Tu me touche.
La seule chose que je me sens capable de faire c'est de te déposer un et de te le dire.
Voilà, c'est fait.

"( oui je sais, c'est moi même dans tous les cas )"
"trouver les bons mots ou taisez vous à jamais si vous doutez de ce que vous allez écrire."
"Je souffre, je suis entre accepter une force, un don très puissant manifestement et nier ma force pour me soumettre au monde, comme m'allonger sur la paille contre le ventre chaud de ma mère la vache.
(fallait que je l'écrive tel quel )"
Ha ha ha


Même si je ne réponds pas à chaque fois, je lis toujours.

Je t'aime.

Tu voudrais savoir quoi faire alors que c'est impossible, sinon, tu renoncerais à ta liberté.

Je n'ai pas de bons mots à te sortir et je ne compte pas me taire à jamais.

Qu'est-ce que ça te coûte d'être qui tu es ?

Comment je peux t'aider ?

Salut Jarod plaisir de lire ce que tu écris : je sent que la vie vibre fort pour toi !
Je souhaite que tu trouve ce dont tu as besoin pour pouvoir entrer en rapport avec la force de cette respiration comme tu le dis si bien, et l'identité, l'être : toi qui la vit
c'est normal de ne pas vouloir "être" mais c'est nécessaire pour incarner cette respiration,
et la manifester, "toute pratique qui demande de la dextérité" sont tes termes mais tu dis aussi qu'il faut que ce soit le corps qui fasse le mouvement,
et il me semble que tu sais que tu n'est pas ton corps,
l'êtreté se fout d'être ceci cela,
c'est ce mot "être" qui n'est pas à sa place
accepte de te sentir fort et de ne pas le traduire en "je suis fort" et laisse ceux qui ne jouent pas comme ça faire leurs expériences, la tienne me semble au début d'une grande aventure, il y a tant à explorer et de belle qualité !!
je te souhaite de trouver de belles personnes et de beaux lieux pour cette "respiration" qui peut te mener très loin, (c'est ça qui te fais peur?) pas la peine de perdre le temps à refuser d'être quand le verbe est mal placé
d'ailleurs je me tais : je ne sais plus écrire, "juste respirer" et apprendre à être avec... 

Accepter sa puissance sans être tout puissant, comme dit Mag...
D'ailleurs remplace puissance par faiblesse, ça marche aussi non ?

https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Q9ZfiUdnPLM  

Ouaip ! ça marche aussi et ça donne encore plus de puissance !

Jarod, une citation de Mandela (très connue, mais peu importe ; c'est ma signature qui n'apparaît pas encore).

Il existe plusieurs traductions de ce texte.
Je propose ici celle qui me parle le plus (et qui "élargit" l'idée de "dieu" proposée par Mandela, pour la rendre plus universelle encore).

Notre peur la plus profonde n’est pas d’être incapables. Notre peur la plus profonde est d’être puissants au-delà de toute mesure.
C’est notre lumière, pas notre ombre qui nous effraie le plus.

Nous nous demandons : « Qui suis-je pour être brillant, magnifique, talentueux et fabuleux ? »
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?

Vous êtes un enfant du sublime. Jouer petit ne rend pas service au monde.
Il n’y a rien de sage à vous rétrécir pour que les autres ne sentent pas en danger à cause de vous.

Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire du sublime qui est au-dedans de nous.
Elle n’est pas seulement dans certains d’entre nous, elle est dans chacun et, en laissant notre lumière briller, nous donnons aux autres la permission d’en faire autant. Lorsque nous sommes libérés de notre peur, notre présence libère automatiquement les autres.

Our deepest fear:

J'en profite pour te saluer

jean gabriel a écrit:Même si je ne réponds pas à chaque fois, je lis toujours.

Je t'aime.

Tu voudrais savoir quoi faire alors que c'est impossible, sinon, tu renoncerais à ta liberté.

Je n'ai pas de bons mots à te sortir et je ne compte pas me taire à jamais.

Qu'est-ce que ça te coûte d'être qui tu es ?

Comment je peux t'aider ?

Ma liberté ? pourquoi ne pas la modifier pour me sentir plus à mon aise ?

Comme dit le proverbe ( celui qui n'y crois pas est un con/idiot) "c'est par la discipline qu'on atteint la liberté"
Par ex, j'ai pas envie de faire la vaisselle ce soir, donc demain matin quand j'irais gaiement dans la cuisine me servir mon délicieux bol de lait, je serais déçu de ne pas avoir un bol propre donc je serais obligé d'en laver un et ainsi je me serais privé de la liberté de kifé mon bol de lait direct au saut du lit.
Donc là maintenant je vais faire la vaisselle, donc je sais ce qu'il faut que je fasse contrairement à ce que tu dis, pour etre libre demain.

Tu m'aime ? mais moi je me sent seul, comment est ce possible alors, un amour qui me touche pas ?

Etre qui je suis, je sais ce que c'est, c'est extrêmement éprouvant : vision cosmique du monde, lucidité hors norme, domination total ( je sais aussi que çà vient du même phénomène dirigé vers moi meme ), les gens se rallient à moi automatiquement, rythme effréné d'ordre et de consignes dans tous domaines, combats musclés ( me terrifiant à ce moment précis car je préfère ma maman que ma propre vie, j'appelle maman "la betise" ) avec moi même et tous les gens.


MAG : ( je me donne comme consigne de ne plus faire de citation, je pense que çà peut modifier l'essence des propos de l'auteur, je vais parler en cash.

Salut !
Tu ressent tu plaisir alors qu'il est écrit que je me sens mal. Soit tu est perverse dans le fait de kiffer que je me sente mal mais ce qui m' étonnerait ou alors tu pense juste que je traverse une phase qui sollicite beaucoup de mon être et qui par définition me fera grandir d'autant plus vite.

Les gens aussi font un peu comme çà quand je suis moi même , ils se délectent de me voir me battre avec mes démons, çà me donne juste envie de vous donner des corrections supplémentaires, lesquels vous ne vous sentez jamais rassasié j'ai pu observer.

Je sais plutôt que je ne suis pas QUE mon corps, j'ai même décider de partir en chine un jour ou l autre pour ne même plus avoir besoin de m'exprimer avec cet notion enfantine d "être". Pas de conjugaison là bas, pas d’âme ni de corps. Alors en ce qui concerne ma vision de mon prétendu corps ou âme je pense plutôt comme un chinois c'est à dire actualisation d'énergie le but est d'affûter cette énergie. Alors tu a raison sur le fait que j'ai un problème avec le verbe Etre, je le supporte plus en réalité, c'est maladif. Je pense que les gens qui parviennent à exprimer des idées en langage parlé sans le verbe SONT des gens plus intelligents que les autres ( donc moi non, pour çà que je veux aller en Chine oublier cette tartufesque idée du corps impénétrable )

Si j'ai peur de trouver de belles personnes ou de beaux lieux ?
Evidemment ! quelle question !
Puis encore une fois les belles personnes le seront uniquement à travers mon oeuil.
Donc on en revient à ma peur d etre moi meme, il ne faut pas imaginer le problème ailleurs si on veut gagner du temps.


Harpo :

oui


Fabuliotte :

J'ai justement lu ce texte il y a très peu longtemps quelque part je sais plus où, çà m'avait fait l'effet d'une bombe.
Il arrive à contenir le mal et le bien sous les formes les plus extrêmes dans le même monde sans qu'ils ne se gênent l'un l'autre. ( du courage )
Je médite ce texte, merci.

"Ma liberté ? pourquoi ne pas la modifier pour me sentir plus à mon aise ?

Comme dit le proverbe ( celui qui n'y crois pas est un con/idiot) "c'est par la discipline qu'on atteint la liberté"
Par ex, j'ai pas envie de faire la vaisselle ce soir, donc demain matin quand j'irais gaiement dans la cuisine me servir mon délicieux bol de lait, je serais déçu de ne pas avoir un bol propre donc je serais obligé d'en laver un et ainsi je me serais privé de la liberté de kifé mon bol de lait direct au saut du lit.
Donc là maintenant je vais faire la vaisselle, donc je sais ce qu'il faut que je fasse contrairement à ce que tu dis, pour etre libre demain."

Et c'est comme ça que tu finis avec des journées chargées en entier et que tu sais même plus comment tu y es arrivé.


"Tu m'aime ? mais moi je me sent seul, comment est ce possible alors, un amour qui me touche pas ?"

Au hasard, parce que j'ai jamais cherché à combler ta solitude avec ? J'ai pas envie que tu t'appuies sur quelqu'un et encore moins sur moi.



Comment je peux t'aider ?

Jean-Gabriel a écrit:(...)
"Tu m'aime ? mais moi je me sent seul, comment est ce possible alors, un amour qui me touche pas ?"

Au hasard, parce que j'ai jamais cherché à combler ta solitude avec ? J'ai pas envie que tu t'appuies sur quelqu'un et encore moins sur moi.

Comment je peux t'aider ?

WoW ! Jean-Gabriel, je ne sais pas si ça aide Jarod mais moi oui; ça m'apporte une autre éclairage.
Merci.

@Fabulotte, cette citation de Mandela (partielle) a été la signature de Bliss pendant un bon moment et me fait de l'oeil aussi.
Merci.

Je passais, j'ai lu, je vois que tu te débats et je ne peux pas intervenir sur ton fil pour apporter une rectification que voici

(Notre peur la plus profonde est de Marianne Williamson et a été cité dans le discours prononcé par Nelson Mandela lors de son intronisation à la présidence de la République de l’Afrique du Sud.)

Et partir comme une voleuse d'orange...

Mais je me mets à "marcher sur des oeufs", peur d'être maladroite ou de mal tomber, alors simplement je te souhaite ce que tu souhaites. (Pirouette) et un supplément douceur, sérénité et bonnes vibrations.


Je te mets des liens à écouter (quand tu en aura envie) en simultanée, mon nouveau délire !

Premier
https://www.youtube.com/watch?v=WgyM2QbvRrk
https://www.youtube.com/watch?v=SDmbGrQqWog

Second
https://www.youtube.com/watch?v=u72aqP2_hxQ
https://www.youtube.com/watch?v=SDmbGrQqWog
https://www.youtube.com/watch?v=ifGkCN93Fxg



 

Tu sais comment me joindre.

Carla dit :
Je te souhaite ce que tu souhaite

Comme s'il y avait une différence entre mes souhaits et les tiens.
C'est par ce genre de réplique que je me vois continuellement tomber de l'échelle, tellement vous dites des anneries.

Seul un maitre Zen parvient à parler.

Mise à part cet rectification, je viens d'écrire ce qui m'est arrivé il y a quelques mois, une bonne chose qui n est plus revenu depuis.
Une absence lié a une perte de courage, de vitalité pour être précis, en gros je me suis lamentablement cassé la gueule, et j'ai manqué de force.

voici:
Ayant une imagination difficile à quantifier par son arborescence, le moyen que j'ai trouvé pour dissiper la frustration conséquente à l'impossibilité de les réaliser toutes ou une partie satisfaisante, est de diminuer ma force, mais pas la force que je fourni en réponse d'une autre ou par envie, ma propre force.

En réduisant mes possibilités physiques et psychiques à un niveau proche du vital, je remarque que les idées sont en nombre très inférieur et plus je diminue ma force plus mes idées ne trouvent aucune gêne à se concrétiser. Ainsi le plaisir est double et possède 2 sources , la facilité de réalisation des idées et le plaisir qui en découle.

Après mon premier jeune , manger ressemblait a un meurtre en règle, tellement le monde du côté de l' abstinence est le paradis. Le monde de paix existe, c'est celui là. Toute envie avait disparue, c'est là que réside le bonheur en fait.
N'ayant plus aucune envie, tout me souriait, TOUT, c'est simple comme bonjour.

Persuadé de sombrer vers la mort depuis quelques jours, car plus de nourriture, j'ai ressenti une étrange sensation de délivrance, tout devenait limpide, ma force était redevenu elle même, simple et efficace, nous faisons plus qu'un, je ne cherchais plus à agir sur elle, elle faisait ce qu'il fallait faire sans aucune hésitation, avec une toute nouvelle manière d'opérer, comme par exemple la réalisation des gestes du quotidien , ils se faisaient par des gestes totalement inédits.
Je surprenais ma main agir devant mes yeux avec une efficacité légendaire et sans aucune sensation d'effort.
Tous les gestes répétitifs que nous opérons du matin au soir avait tous changés.
Et tous était vécu avec une proximité procurant une joie jamais connu auparavant.
Je rajouterais même qu'il n'y avait même plus cette compétition de niveau de plaisir entre les différents gestes du quotidien.

Me description ressemble mot à mot à une vie de moine dans un Temple bouddhiste ...
Pas capricorne ascendant vierge pour rien ...

Réflexion ...


J'attends plutôt un moine Bouddhiste me donnant une adresse, ou un contact, ou quiconque qui à eut une expérience similaire que des avis personnel, qui ont le don de vouloir me déchainer sur vous après. Merci de me  préserver aussi car je sais qu'ici beaucoup de gens aiment les coups même s'ils parlent de respect et de dignité à toutes les lignes, ils aiment çà.

En parlant d'avis personnel, exemple :

Précédemment à cette période de jeune, je me nourrissait exclusivement de riz, pour des raisons financières.
Un jour je n'eu tellement plus d'argent que je ne pouvait même pas acheter du riz.
Formidable ! mon sac de frappe mural en contient 3 ou 4 litres que j'avais moi même inséré lors de sa mise en place.
Heureux de cette trouvaille, je la raconte ( c'est là l'erreur que j'ai faite) à une amie au téléphone, elle fut très surpris et choqué de mon mode de vie.
Manque de courage que j'ai eu, j'ai fait comme elle, et je me suis mi à plaindre ma propre vie !! Alors que c'est la mienne par le fait que je décide à chaque instant ce qu'elle sera l'instant d'après !!

C'est ce genre de dramatisation qui me fait m'écrouler continuellement.
Je suis très heureux de ce que je suis et de ce que j'ai mais putin ! vous pouvez pas vous empecher de dramatiser dès qu'une chose ne correspond pas à vos propres attentes, servant à bien cacher toutes vos petites peurs d'enfant !

Je sort encore du tennis là, encore un nouveau gars que j'ai accosté dans la rue à cause de sa raquette dans le dos.
Jeune homme parait très dynamique et sympathique.
Au bout des 2 heures de sport, il me demande ce que je fait en ce moment, je lui réponds un tennis. Malgré sa sympathie incontestable, et tous nos moments de joies et de rires lors du jeu de tennis, il fut brusqué par ma réponse et se mit à bouder, et préparer ses affaires plus rapidement pour partir.
Il me salue et s'en va, je lui serre la main pour l'empecher de partir et lui dit " tu va pas bouder parceque je te dis pas mes activités ? " il me réponds que en gros si parcequ il ne pourrait pas tisser de liens entre lui et moi s'il ne sait pas ce que je fait dans la vie, me faisant comprendre qu on jouera plus ensemble, alors qu on s était trop amusé sur le terrain !
Et c'est là que je manque de famille et du sentiment d'appartenir à une famille, je me met à plaindre ma vie, et a lui raconter que j'ai faillu mourir bébé et que je déprime en ce moment et bla bla et bla bla ... je me suis moi meme endormi à raconter les plus tristes épisodes de ma vie. ( J'imagine qu il se sentait mieux ) , pendant tout ce temps nos mains se sont toujours pas quittés.
Finalement je tombe presque par terre de fatigue soudaine , et dû lui lâcher la main.
Je m'étonne un instant de l'interet de lui raconter les choses les plus tristes de ma vie, et décide de me casser chez moi illico.

Devant chez moi , il continu d insister sur le fait, qu il faut que je sorte de chez moi, que je parle avec des gens, que je m'enferme pas comme çà, il répete le mot "déprime" que je lui dit vivre en ce moment.
A ce moment là, j'ai décidé d'avoir du courage, et j'en ai fait preuve, je l'ai tellement démonté avec les arguments qui conviennent qu'il fut surpris de son propre comportement.
Finalement je n'ai pas de chez moi, ni d'argent, mais le plus à plaindre c'est bien lui avec ses peurs.
Jouer au tennis n'a jamais requit de parler de soi avec le langage parlé...

Ne rien manger je fais souvent et en effet j'aime le détachement du matériel que cela entraîne

Ise, reste bien assis, tu fais parti de ces gens que je cite plus haut. Mieux vaut que je t'écarte immédiatement.
"Aimer le détachement matériel que cela procure" dis tu ? Le monde qui s'est ouvert devant moi que j'ai appelé "paradis" est dépourvu de haine donc d'amour, comme j'ai dis, il n'y avait plus de préférence, tout semblait s’exécuter dans la plus grande harmonie. Donc impossible de dire que j'aimais, ou pas, j'en conclu que tu es tout sauf allé suffisamment loin pour savoir de quoi je parle, or j'ai indiqué que je voulais des personnes averti de ce monde ou expérience , je ne sais pas si un mot existe, ou peut exister en définitif.

Salut Jarod,
"Ise, reste bien assis, tu fais parti de ces gens que je cite plus haut. Mieux vaut que je t'écarte immédiatement.
"Aimer le détachement matériel que cela procure" dis tu ? Le monde qui s'est ouvert devant moi que j'ai appelé "paradis" est dépourvu de haine donc d'amour, comme j'ai dis, il n'y avait plus de préférence, tout semblait s’exécuter dans la plus grande harmonie. Donc impossible de dire que j'aimais, ou pas, j'en conclu que tu es tout sauf allé suffisamment loin pour savoir de quoi je parle, or j'ai indiqué que je voulais des personnes averti de ce monde ou expérience , je ne sais pas si un mot existe, ou peut exister en définitif."

Je pense que cet état est aussi celui auquel parviennent des moines bouddhistes ou non

Tes propos n'enlèvent en rien le fait que j'ai expérimenté le détachement grâce à l'abstinence. Et que oui j'ai apprécié !

Il se dégage de tes écrits beaucoup de souffrance, et une dualité dans la relation à l'autre : je t'aime moi non plus

Comme toutes les personnes que tu croises (le joueur de tennis, des zèbres) j'ai eu droit au sourire et aux blagues, j'ai aussi droit à cette réponse (no comment)

Je te souhaite de progresser dans tout cela  

Casse-toi.
En Chine.

Je rêve !? quelqu'un m'aurait enfin compris sur ce site, mise à part une autre personne, depuis 1 an ?
Pardonne moi d'avance mes excès, je me sens particulèrement mal. ( le faire à moi même ne suffit plus, faut que j'explose )
Plusieurs mois déjà que je n'ai parlé à personne vraiment.
J'ai tellement voulu partir en Chine, que j'ai acheté une 125, je n'ai jamais fait de moto mais çà c'est un détail, et de Cahors je suis parti en Chine, seulement je me suis arrêté en Suisse
Le pire qui m'a fait revenir à Toulouse dans cette  ville qui me donne la gerbe à chaque fois que j'y ouvre les yeux (réaction physiologique désormais sérieusement), c'est le simple fait
que personne, PERSONNE , ne comprends ce que je fais, comme si j'avais perdu les pédales, on s amuse de mes idées.
Je suis rentré chez un ami, ( enfin un ami m accompagnerait, lui me prete juste l appart ) car j étais térrifié qu on s interresse à moi ou pourquoi pas dans des endroits reculés de la france, à ma vie.
Je ne parle à personne, tout le monde me considère comme un fou, ou souhaite s accrocher à moi pour le courage et la détermination dont je peut faire pruve soudainement, mais
c'est dans l'espoir de me marcher sur la gueule un jour, la seul personne qui m aidera se désinterresse de mes idées, voilà la vérité. ( putin c'est moi cette personne dans l'absolue )

Pardonne moi, je me sens très mal, complètement perdu, je n'ai personne à qui parler,  ou alors sans cesse obliger de travailler avec les névroses des gens si j'ai vraiment besoin de parler. Les psys tout autant névrosés que les autre humains, y compris ceux sur ce site,
obliger de me tourner constamment vers moi même pour trouver une issue chaque lourd instant dans cette insupportable vie que j'ai à Toulouse.
Si au moins, une seule personne comme toi par ex, me dirait, oui je te comprends, alors je
me sentirais davantage prêt à partir, pour le moment, je dois combattre tous les démons des autres, avant d'avoir l'espoir d'être compris un minimum, et encore c'est pas de la complicité.
Je me sens très mal, je sais pas si je pourrais continuer à écrire. Merci.

Non, je te comprends pas, mais je te juge pas, je m'en fous.
Tu veux aller en Chine, vas-y, ce ne doit pas être impossible.
Un peu plus loin que la Suisse, quoi.
Pourquoi convaincre d' "autres",
tu sais très bien que ça se passe entre toi et toi,
comme tu l'as dit dans l'absolu cette personne c'est toi.
Je vais pas parler des psys et de leurs acolytes car on me le reprochera,
et surtout ça me dégoûte bon bref.
N'écris pas, ou l'inverse, comme tu sens.
Je ne sais pas rassurer, tout ça..

Merci de m'avoir répondu, je ne peux être complice,
t'es pas plus fou qu'un autre en tout cas.

Pourquoi?
peur d être heureux ?

??


Bon je viens ...compléter ?


Pourquoi (pourquoi quoi ?)

Je ne m'engage dans rien, je ne sais pas si on peut être heureux (ou pas), si ça fait peur,
je me pose pas ce genre de question.
Je suis cynique-fumiste-pessimiste-je m'enfoutiste-naïf-lucide-borgne et fier de l'être,
certainement pas l'espoir d'être compris (je n'ai pas d'espoir, et je me fous d'être compris),
pas l'envie d'être complice (je n'ai pas l'envie, je ne peux être complice),
j'ai juste écrit tu veux aller en Chine, vas-y.

Oui Jarod c'est dans le sens de la "résonnance" que j'ai au récit de ton expérience que je postait mon enthousiasme !

Parceque j'ai fais des choses comme ça
et parceque c'est des années après que j'ai compris que ça m'avais fait grandir
et non pour me réjouir de tes difficultés !
bon ça je crois que tu l'a compris, mais je tenais à préciser

autre chose,
je vis en ce moment aussi une période très dure, et sans manger, des choix à faire, une nouvelle destinée à ouvrir, une démolition totale de tout ce sur quoi je pouvais m'appuyer, personne à qui parler qui comprenne...
et me remontent les crises d'avant... alors j'observe avec encore plus de recul ce qui s'est passé en moi alors et qui est semblable aujourd'hui face aux même type de bloccage
je comprend ton besoin de soutien et l'exigence de ces moments de vie :
il me faut trouver par moi même alors que je me retrouve comme un bébé abandonné dans sa peur sa faim et qui ne vois plus le monde harmonieux où il est plein de vie qu'il sait exister puisqu'il s'en souvient...

J'ai beaucoup puisé en lisant Kalil Gibran à une époque
et de mémoire souvent me viennent ses paroles
il y a celle qui concernent celui qui n'a pas enlevé la pierre du chemin sur laquelle il a trébuché pour que ceux qui suivent derrière ne tombent pas...
Je voulais enlever toutes les pierres et boucher les trous pour les autres...

Que fais tu là maintenant pour préparer, te préparer, pour ce voyage en Chine ?
As tu songé au Transibérien ? As tu une région particulière que tu vise (c'est grand la Chine !) Si c'est une discipline un maitre que tu cherche vois tu vers qui ou vers laquelle et as tu cherché des contacts ?

Sait tu envoyer ça à "la vibration" et guetter ensuite les synchronicités et suivre en rectifiant sans arrêt et sans peur...
Moi j'ai su sans savoir que je savais, pour ça il a fallu que la vie me mette minable et que j'ai plus rien à perdre parceque tout perdu.
Après j'ai essayé sans coup dur.
Et maintenant ben je m'y remet avec coup dur moins grâve mais moi plus fatiguée...

Si tu comprend pas ce que j'écris ne m'en veux pas et laisse tomber c'est que mes mots n'avaient pas d'ailes.
Je projetais peut être sur toi en désirant que tu réalise ton voeux.

Uccen l'exprime mieux et en plus simple :

tu veux aller en Chine, vas-y.

La Chine m attire car j ai pratiqué un art martial et eu la confirmation des indications puissantes du Tao te King.
Mon approche de la chine complique vigoureusement toute implication avec l occident, ses idées, ses personnages, son langage évidemment.
Oui je suis perdu, rêvant d oublier le français,et renaître Chinois.
J ai d abord renié ma filiation parental pendant un long processus jusqu'à la sortie en avant de l enclave primordial, maintenant c est mon ethnie que je renie.
Je me sentirais moins prisonnier en fréquentant des gens sensibilisés au Taoïsme.
Partir en Chine ? Je suis tellement peu attentif je me suis arrêté en Suisse en motoet suis rentrer a Toulouse, j avais absolument aucune chance d y parvenir dans les conditions mis en oeuvre.
J y arriverai pas en Chine, il me faut un long processus de mise en confiance en moi même, de développer mon amour propre sans le perdre sans arrêt pour un manque d hygiène de vie par ex, devenir orgueilleux aussi a long terme, gérer enfin mes finances serait peut être même indispensable, côté affectif, j ai plus aucun problème sérieux ayant travaillé avec la bonne personne.
Vous voyez mieux ?