Des citations... juste pour se faire du bien

Revz a écrit:“Si je ne suis pas moi-même, qui le sera pour moi ? Et si je ne vis pas pour moi-même, qui vivra pour moi ?”
Hillel

Revz a écrit:@Beautymist Très interressant. Et juste. Les 2 sont vrais en fait, c'est quantique.

Beautymist a écrit:PS: Hillel pose trois questions et non deux. La troisième étant : "Et si ce n'est maintenant, alors quand ?"

Spoiler:

Jacques Rigaut a écrit:Quand il faisait l'amour, il criait son propre nom comme pour en frapper son adversaire, comme une seconde manière de jeter sa semence.

Beautymist a écrit:@Revz la vie comme projet, ou comme un défi permanent à relever, ou comme un jeu ?

Revz a écrit:La vie comme comme un défi permanent à relever, pleine de projets, les bons outils. Avec la joie et la légèreté d'un jeu et le sérieux car c'est sa vie qu'ou joue.

offset a écrit:"Se protéger d'aimer l'impossible pour ne pas se perdre dans ses propres illusions"
Offset

Revz a écrit:“Soyez réalistes : demandez l’impossible.”

Ernesto "Che" Guevara

Pieyre a écrit:Ah, oui : j'ai déjà vu cette plaque à Paris dans une boutique du côté de Saint Sulpice. En connaît-on l'origine ?

Cuicui a écrit:"Ma vie avait été pénible, incohérente et malheureuse, elle conduisait au renoncement et au reniement, elle avait le goût de l'amertume humaine, mais elle était riche, fière et riche, souveraine même dans la misère. Qu'importait que le petit bout de chemin qui restait jusqu'au crépuscule fût, lui aussi, lamentablement perdu; le noyau de cette vie était noble, elle avait de la dignité, de la race : je ne misais pas des sous, je misais des étoiles."
Hermann Hesse

Cuicui a écrit:"Ma vie avait été pénible, incohérente et malheureuse, elle conduisait au renoncement et au reniement, elle avait le goût de l'amertume humaine, mais elle était riche, fière et riche, souveraine même dans la misère. Qu'importait que le petit bout de chemin qui restait jusqu'au crépuscule fût, lui aussi, lamentablement perdu; le noyau de cette vie était noble, elle avait de la dignité, de la race : je ne misais pas des sous, je misais des étoiles."
Hermann Hesse

Gabriel a écrit:
Le loup des steppes ?

Gabriel a écrit:

Cuicui a écrit:"Ma vie avait été pénible, incohérente et malheureuse, elle conduisait au renoncement et au reniement, elle avait le goût de l'amertume humaine, mais elle était riche, fière et riche, souveraine même dans la misère. Qu'importait que le petit bout de chemin qui restait jusqu'au crépuscule fût, lui aussi, lamentablement perdu; le noyau de cette vie était noble, elle avait de la dignité, de la race : je ne misais pas des sous, je misais des étoiles."
Hermann Hesse

Le loup des steppes ?

au sujet de Georges Perec, Un homme qui dort et de Céline, Voyage au bout de la nuit:

Revz a écrit:"au sujet de Georges Perec, Un homme qui dort et de Céline, Voyage au bout de la nuit"]Lire (ou relire) ces deux romans, dans un effet de miroir, est une expérience qui en révèle bien plus sur nos failles et nos limites que toutes les pages de sociologie fondées sur la statistique. Ils portent en eux une vérité advenant certes par des chemins fort différents, en des temps bien distincts, mais qui, dans le fond, répercutent le même scepticisme sur la capacité de l'homme au bien. Le mal règne : par désespoir, par peur, par omission, nous y adhérons.

Badak a écrit:

Revz a écrit:"au sujet de Georges Perec, Un homme qui dort et de Céline, Voyage au bout de la nuit"]Lire (ou relire) ces deux romans, dans un effet de miroir, est une expérience qui en révèle bien plus sur nos failles et nos limites que toutes les pages de sociologie fondées sur la statistique. Ils portent en eux une vérité advenant certes par des chemins fort différents, en des temps bien distincts, mais qui, dans le fond, répercutent le même scepticisme sur la capacité de l'homme au bien. Le mal règne : par désespoir, par peur, par omission, nous y adhérons.

D'une part, c'est vrai que pour moi, ces deux livres (et plusieurs autres) ont plusieurs points en communs (ce serait long à analyser par contre... ), et dans ma bibliothèque, il sont presque côte à côte. Aussi à leurs côtés,  il y a Le Clézio : Le livre des Fuites ,et de Richard Bohringer: C'est Beau une ville la nuit.  
La nuit et le voyage, la fuite, ce sont les points communs par lesquels finalement je les ai  involontairement  classés ! parce que c'est toute l'histoire de ma vie....

Par contre, là où je ne peux absolument pas être d'accord avec toi est que si en effet Céline est bien pessimiste et cynique, ce n'est pas du tout le cas de Perec, qui au contraire construit "un homme qui dort" pour le rendre à l'espoir, en identifiant de plus son lecteur au personnage principal.    Pour moi, c'est dans la lignée de l'existentialisme (littéraire). Je pense à la nausée de Sartres (qui est d'un chiant pas possible à lire) mais qui part aussi d'un gars seul déprimé pour lui faire une forme de thérapie.  Il y a Camus aussi, Le mythe de Sysiphe est fait pour donner du courage en acceptant l'  "absurde"  (qui finalement n'est pas si absurde.. ).    C'est quand même ça le fondement des thérapies existentielles humanistes en psychologie: la confiance en la capacité de l'homme à sa sauver lui-même en partant du mal qui le ronge.

siamois93 a écrit:@Gabriel : L'aurais-tu non traduit ?

Récemment, sur un blog informatique (à propos de résolution inverse de dns pour rechercher les alias d'un nom) :
Proverbs 3:5,6 Trust in the Lord with all your heart and lean not on your own understanding; in all your ways acknowledge him, and he will make all your paths straight.