Le zèbre, un Asperger neurotypique
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Le zèbre, un Asperger neurotypique
ATTENTION : j'utilise ma propre terminologie, un surdoué n'est pas un zèbre tel qu'il est défini/communément accepté ailleurs, faites attention en lisant ce post, vous risqueriez d'entrevoir des choses différentes.
Bon, je sais, beaucoup ne seront pas d'accord, mais je m'en fous, je poste quand même.
Dans ma grande quête de compréhension de ce qu'est la douance, et de ce que nous sommes, zèbres, je me suis souvent posé la question "pourquoi je me sens si proche des autistes, et plus particulièrement des Aspies ?". Lisant le célèbre livre de Mark Haddon "Le bizarre incident du chient pendant la nuit", je ne peux nier l'influence que le narrateur, asperger, à comme effet sur moi : il fait ressortir mes côtés autistiques, à savoir mon malaise vis à vis des autres, vis à vis des choses qui ne se déroulent pas comme elles sont sensées se dérouler, de me sentir agressé par l'environnement, j'en passe et des meilleurs... Et je me suis dit, mais comment un auteur, non aspie, a-t-il réussi à imiter le comportement d'un aspie au point d'en faire un style littéraire, d'imiter ce qui pour moi est une partie de ma réalité, ce qui est une possibilité de moi...
Une "possibilité de moi", comment l'asperger-ité pourrait être une possibilité, puisque l'autisme résulte de particularités morphologiques et biochimiques du cerveau (cf. un court article sur le point commun entre les autismes, paru en janvier dans pour la science : ici ?) Et si le cerveau de certains humains avait la possibilité de fonctionner de deux manière différente ? Si, à la naissance, ces humains étaient doté d'un cerveau aux caractéristiques autistiques asperger, mais que selon les circonstances, il soient en mesure de basculer vers un fonctionnement cognitif neurotypique afin de s'adapter au mieux à leur environnement ? Ainsi grandissant, et selon les environnements auxquels cette personne sera confrontée, la proportion de neurotypie et d'aspie variera afin de donner des zèbres (et le mot zèbre colle bien : des rayures, un mélange de deux couleurs, chacun les siennes, individualité, etc.) différents dans l eur capacité à faire face au monde, dans leur ressenti, dans leur capacité à basculer de l'un à l'autre, celle bascule diminuant avec l'âge, allant vers un consensus.
Ces personnes ont donc un cerveau qui a les même caractéristiques que les autistes, à savoir beaucoup plus de connexions, de neurotransmetteur, et des ablations synaptiques non-effectuées, mais peuvent inhiber certains comportements, voir un fonctionnement entier, comme dans une dépression, ou les deux fonctionnements ne travaillent plus ensemble, mais en opposition complémentaire, donnant des haut et des bas, des personnes surdouées qui fonctionnent comme des neurotypiques (des fois tellement longtemps qu'ils en oublient même leur fonctionnement asperger), mais également des sauts vers un comportement asperger traumatisé forçant le replis sur soi...
Bref, ces asperger neurotypiques, qui peuvent être l'un et l'autre en même temps, l'un ou l'autre selon le besoin, ...
Tout ça pour poster qu'une association d'aspies se réunie à paris, dans le bar en face du père tranquille (faut le faire...), et qui a comme nom apserger-amitié, je pense de certains d'en vous connaissent, voir en sont membre. Ne serait-il pas intéressant de faire des rencontres inter-assoce ?
Dans ma grande quête de compréhension de ce qu'est la douance, et de ce que nous sommes, zèbres, je me suis souvent posé la question "pourquoi je me sens si proche des autistes, et plus particulièrement des Aspies ?". Lisant le célèbre livre de Mark Haddon "Le bizarre incident du chient pendant la nuit", je ne peux nier l'influence que le narrateur, asperger, à comme effet sur moi : il fait ressortir mes côtés autistiques, à savoir mon malaise vis à vis des autres, vis à vis des choses qui ne se déroulent pas comme elles sont sensées se dérouler, de me sentir agressé par l'environnement, j'en passe et des meilleurs... Et je me suis dit, mais comment un auteur, non aspie, a-t-il réussi à imiter le comportement d'un aspie au point d'en faire un style littéraire, d'imiter ce qui pour moi est une partie de ma réalité, ce qui est une possibilité de moi...
Une "possibilité de moi", comment l'asperger-ité pourrait être une possibilité, puisque l'autisme résulte de particularités morphologiques et biochimiques du cerveau (cf. un court article sur le point commun entre les autismes, paru en janvier dans pour la science : ici ?) Et si le cerveau de certains humains avait la possibilité de fonctionner de deux manière différente ? Si, à la naissance, ces humains étaient doté d'un cerveau aux caractéristiques autistiques asperger, mais que selon les circonstances, il soient en mesure de basculer vers un fonctionnement cognitif neurotypique afin de s'adapter au mieux à leur environnement ? Ainsi grandissant, et selon les environnements auxquels cette personne sera confrontée, la proportion de neurotypie et d'aspie variera afin de donner des zèbres (et le mot zèbre colle bien : des rayures, un mélange de deux couleurs, chacun les siennes, individualité, etc.) différents dans l eur capacité à faire face au monde, dans leur ressenti, dans leur capacité à basculer de l'un à l'autre, celle bascule diminuant avec l'âge, allant vers un consensus.
Ces personnes ont donc un cerveau qui a les même caractéristiques que les autistes, à savoir beaucoup plus de connexions, de neurotransmetteur, et des ablations synaptiques non-effectuées, mais peuvent inhiber certains comportements, voir un fonctionnement entier, comme dans une dépression, ou les deux fonctionnements ne travaillent plus ensemble, mais en opposition complémentaire, donnant des haut et des bas, des personnes surdouées qui fonctionnent comme des neurotypiques (des fois tellement longtemps qu'ils en oublient même leur fonctionnement asperger), mais également des sauts vers un comportement asperger traumatisé forçant le replis sur soi...
Bref, ces asperger neurotypiques, qui peuvent être l'un et l'autre en même temps, l'un ou l'autre selon le besoin, ...
Tout ça pour poster qu'une association d'aspies se réunie à paris, dans le bar en face du père tranquille (faut le faire...), et qui a comme nom apserger-amitié, je pense de certains d'en vous connaissent, voir en sont membre. Ne serait-il pas intéressant de faire des rencontres inter-assoce ?
Dernière édition par Clément le Lun 11 Mar 2013, 13:02, édité 2 fois
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Ce que tu évoques ici "rentre" en plein dans une interrogation qui serpente dans ma tête depuis plus d'un mois.
Il se trouve que j'ai apparemment un contact privilégié avec des personnes qui ont des caractéristiques Asperger. Cette finesse de contact semble se vérifier à chaque fois, que cette rencontre soit IRL ou numérique. C'est très surprenant et c'est en plus à un niveau d'intimité important, niveau pas nécessairement souhaitable.
J'ai fais quelques tests sur le net, recommandés par certains. Et je les ai refaits quelques mois plus tard. Ceux-ci sont sans équivoque, mais étonnamment, tout se passe comme si mes traits d'Aspi se révélaient peu à peu.
J'ai vécu 30/35 ans en quasi monotâche, neurotypique, dans la boîte, sanglé, ne pas réfléchir, tenir l'objectif et la rampe, enterrer tout écart, ne rien dire, ne pas se faire remarquer, couleurs grise dans le gris des gens : 3 enfants, 4 chats, 1 maison, 1 femme, 0 maitresse, peu d'amis, peu de hobby, 0 vie autonome.
Et puis il y a 14 mois : Boum.
Une libération, la sensation d'habiter l'ensemble de ma tête.
Mais !
Cela s'est accompagné de "l'éclosion" de traits de caractères, traits que je connais et connaissais mais dont j’avais espéré me débarrasser. Je n'ai pas encore envie de creuser dans ce sens, mais cela commence à me tarauder. Je me documente, j'essaye de comprendre l'intimité fonctionnelle de mes amis, pour comprendre, savoir si c'est une sorte de mimétisme "affectif" ou s'il y a une profonde réalité.
Bon, j'ai encore raconté ma vie pour justifier de mon intérêt pour ton post.
Je suis friand de références que tu pourras y mettre.
Merci.
Il se trouve que j'ai apparemment un contact privilégié avec des personnes qui ont des caractéristiques Asperger. Cette finesse de contact semble se vérifier à chaque fois, que cette rencontre soit IRL ou numérique. C'est très surprenant et c'est en plus à un niveau d'intimité important, niveau pas nécessairement souhaitable.
J'ai fais quelques tests sur le net, recommandés par certains. Et je les ai refaits quelques mois plus tard. Ceux-ci sont sans équivoque, mais étonnamment, tout se passe comme si mes traits d'Aspi se révélaient peu à peu.
J'ai vécu 30/35 ans en quasi monotâche, neurotypique, dans la boîte, sanglé, ne pas réfléchir, tenir l'objectif et la rampe, enterrer tout écart, ne rien dire, ne pas se faire remarquer, couleurs grise dans le gris des gens : 3 enfants, 4 chats, 1 maison, 1 femme, 0 maitresse, peu d'amis, peu de hobby, 0 vie autonome.
Et puis il y a 14 mois : Boum.
Une libération, la sensation d'habiter l'ensemble de ma tête.
Mais !
Cela s'est accompagné de "l'éclosion" de traits de caractères, traits que je connais et connaissais mais dont j’avais espéré me débarrasser. Je n'ai pas encore envie de creuser dans ce sens, mais cela commence à me tarauder. Je me documente, j'essaye de comprendre l'intimité fonctionnelle de mes amis, pour comprendre, savoir si c'est une sorte de mimétisme "affectif" ou s'il y a une profonde réalité.
Bon, j'ai encore raconté ma vie pour justifier de mon intérêt pour ton post.
Je suis friand de références que tu pourras y mettre.
Merci.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je rappelle aux gens qui lisent (63 à ce moment) qu'il peuvent participer, en indiquant ce qu'il en pensent, s'ils sont d'accord ou pas, etc... parce que 1 réponse pour 63 lectures, ça fout un peu le blues....
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je n'arrive pas à concilier cette théorie avec le fait que, dans de nombreux cas (dont ma pomme), on puisse avoir des traits zébristiques bien marqués et pourtant, selon le test gratuit couramment utilisé, un fonctionnement tout à fait neurotypique (au sens de : pas du tout aspie).
C'est-à-dire qu'on ne peut pas systématiquement considérer, chez un surdoué neurotypique, les traits du surdoué comme des retours ébauchés en direction de l'asperger.
C'est-à-dire qu'on ne peut pas systématiquement considérer, chez un surdoué neurotypique, les traits du surdoué comme des retours ébauchés en direction de l'asperger.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Cette théorie se rapproche de celle du lien entre tthqi et aspie, si l'une des deux est vrai alors l'autre aussi... après si tu veux plus de témoignages y a déjà un topic avec plein de résultats d'un test sur le net, mais j'ai pommé le lien du topic, les autres pourront te le passer ^^
Et perso, lorsque j'avais vu le docu sur les aspie sur france 2, j'avais dis a un ami "c'est bizarre, je suis "ça" en moins pire" (aucune pensée négative, le "ça" c'est le syndrome en lui même, bien évidemment =p) ^^
Et perso, lorsque j'avais vu le docu sur les aspie sur france 2, j'avais dis a un ami "c'est bizarre, je suis "ça" en moins pire" (aucune pensée négative, le "ça" c'est le syndrome en lui même, bien évidemment =p) ^^
Vincenz'- Messages : 11411
Date d'inscription : 31/10/2012
Age : 30
Localisation : Pau
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
@ Fusain : La théorie en question ne dit pas que tous les surdoués sont à la fois asperger 'je dirais atteint de plein fouet) et neurotypique en même temps, ils ont la possibilité de fonctionner des deux côtés, mais selon les environnements qu'il ont eu et ont encor, ils se sont plutôt dévelloppé en fonction de l'un ou de l'autre, le second restant une "possibilité" de fonctionnement, peut-être dans ton cas est-ce seulement le côté de la mémoire, ou du traitement rapide qui s'exprime... En fait, on pourrait considérer chaque fonctionnement comme un nuage de 100 000 000 de points, chaque surdoué en utilise une combinaison qui lui est propre, aucun n'est pareil, tu comprends ?
@Vincenz'
Le test "aspi-quiz" (cf. ici) ? J'y ai participé, mais une amie dont plusieurs frères sont autistes, et elle même ayant été diagnostiquée un peu (?=certaisn ont dit qoui, d'autre non) autiste enfant, elle ne l'est pas selon le quizz. Je pense qu'on ne peut pas se fier à ces tests. En revanche, le documentaire, cf. ci-dessous, permet une identification, car comme toi, j'ai ressenti une vraie proximité à l'égard des gens, mais en me disant que je n'étais pas tout à fait aussi asperger qu'eux.
https://www.youtube.com/watch?v=Ah1GvbdKGxY
@Vincenz'
Le test "aspi-quiz" (cf. ici) ? J'y ai participé, mais une amie dont plusieurs frères sont autistes, et elle même ayant été diagnostiquée un peu (?=certaisn ont dit qoui, d'autre non) autiste enfant, elle ne l'est pas selon le quizz. Je pense qu'on ne peut pas se fier à ces tests. En revanche, le documentaire, cf. ci-dessous, permet une identification, car comme toi, j'ai ressenti une vraie proximité à l'égard des gens, mais en me disant que je n'étais pas tout à fait aussi asperger qu'eux.
https://www.youtube.com/watch?v=Ah1GvbdKGxY
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Ai retrouvé !! Merci a la personne qui a posté dessus et qui me permet de te passer le lien : https://www.zebrascrossing.net/t705-traits-autistiques-chez-le-zebre
Edit : ah et le docu dont je parlais c'est le lien que tu as posté oui ^^
Edit : ah et le docu dont je parlais c'est le lien que tu as posté oui ^^
Vincenz'- Messages : 11411
Date d'inscription : 31/10/2012
Age : 30
Localisation : Pau
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
peut-être dans ton cas est-ce seulement le côté de la mémoire, ou du traitement rapide qui s'exprime
Ce ne sont pas des traits aspies, à moins de décréter qu'ils le sont.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Clément a écrit:@ Fusain : La théorie en question ne dit pas que tous les surdoués sont à la fois asperger 'je dirais atteint de plein fouet) et neurotypique en même temps, ils ont la possibilité de fonctionner des deux côtés, mais selon les environnements qu'il ont eu et ont encor, ils se sont plutôt dévelloppé en fonction de l'un ou de l'autre, le second restant une "possibilité" de fonctionnement, peut-être dans ton cas est-ce seulement le côté de la mémoire, ou du traitement rapide qui s'exprime... En fait, on pourrait considérer chaque fonctionnement comme un nuage de 100 000 000 de points, chaque surdoué en utilise une combinaison qui lui est propre, aucun n'est pareil, tu comprends ?
c'est une façon jolie de voir les choses, qui aurait probablement eu de l'echo début du siecle dernier, malheureusement lorsque l'on parle d'autisme l'on parle de mecanismes neurologiques propres, de lacunes en fait, compensées de diverses manières, asperger et NT peuvent effectivement se ressembler dans la strate des très hauts potentiels, mais les mécanismes natifs sont bien différents, m'est avis
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Il semble y avoir des similarités neurobiologiques chez les autistes et les HP, avec un continuum dans les "symptômes". De l'inné et de l'acquis ...
On ne peut pas faire des cases étanches ...
On ne peut pas faire des cases étanches ...
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
De la même façon qu'il est illusoire de faire des liens par suspicion, on ne sait simplement pas, en revanche ces ressemblances ne semblent se retrouver que dans les hauts et très hauts potentiels, et non dans l'asperger commun
HS : j avais bien aimé cette video sur les asperger http://vimeo.com/54932385
HS : j avais bien aimé cette video sur les asperger http://vimeo.com/54932385
Dernière édition par _Flo_ le Mer 06 Mar 2013, 10:28, édité 2 fois
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Reste encore à s'assurer que les "similarités" et "continuités" dans les symptômes - donc les conséquences visibles - en question recouvrent des réalités neurologiques - en interne. On peut très bien être en présence de ressemblances superficielles, de convergences évolutives en quelque sorte.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Fusain a écrit:Reste encore à s'assurer que les "similarités" et "continuités" dans les symptômes - donc les conséquences visibles - en question recouvrent des réalités neurologiques - en interne. On peut très bien être en présence de ressemblances superficielles, de convergences évolutives en quelque sorte.
exactement
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Nous sommes tous uniques et singuliers, pour certains ces liens sont une évidence, pour d'autres ils font peur et ne parlent pas.
Chacun est libre de son chemin et de ses recherches ...
Chacun est libre de son chemin et de ses recherches ...
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Ben non, les baleines ne sont pas des poissons et ce n'est pas par "peur" de voir des "évidences".
Tout ce qui est établi c'est que certains symptômes de forte douance ressemblent à certains symptômes de l'asperger. Rien n'est prouvé encore sur le fait que ces mêmes conséquences aient les mêmes causes et ce n'est pas une question de peur ni de "refus de voir la vérité".
Tout ce qui est établi c'est que certains symptômes de forte douance ressemblent à certains symptômes de l'asperger. Rien n'est prouvé encore sur le fait que ces mêmes conséquences aient les mêmes causes et ce n'est pas une question de peur ni de "refus de voir la vérité".
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
idem, ni peur ni négation, simple logique appuyée de constats
effectivement chacun est libre de ses recherches, mais par experience je pense celle-ci très hasardeuse, qui plus est du fait qu'elle aille chercher des semblances chez des sujets très peu nombreux et généralement indisponibles pour l'étude, et actuellement encore peu étudiés/compris (% aspies dans la populations, % aspies hqi dans la population aspie, % de surdoués NT susceptibles de présenter des traits aspies, comorbidité et traits effectifs légers), il faudrait par ailleurs faire le comparatif suivant les différentes tranches de potentiels, celles-ci étant démultipliées par les irragularités propres à l'autisme (QI verbbal vs QI performance etc)
néanmoins, si tu as une réthorique susceptible de me faire penser le contraire je l'accepterai avec plaisir
{ps : je ne suis diagnostiqué rien du tout, ni zebre ni quoi que ce soit, je suis là en visite;)
effectivement chacun est libre de ses recherches, mais par experience je pense celle-ci très hasardeuse, qui plus est du fait qu'elle aille chercher des semblances chez des sujets très peu nombreux et généralement indisponibles pour l'étude, et actuellement encore peu étudiés/compris (% aspies dans la populations, % aspies hqi dans la population aspie, % de surdoués NT susceptibles de présenter des traits aspies, comorbidité et traits effectifs légers), il faudrait par ailleurs faire le comparatif suivant les différentes tranches de potentiels, celles-ci étant démultipliées par les irragularités propres à l'autisme (QI verbbal vs QI performance etc)
néanmoins, si tu as une réthorique susceptible de me faire penser le contraire je l'accepterai avec plaisir
{ps : je ne suis diagnostiqué rien du tout, ni zebre ni quoi que ce soit, je suis là en visite;)
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
la logique appuyée de constat vous feraient dire que le surdoué, est une erreur logique ! il n'est rien de connu, n'existe pas selon certains spécialistes, ne rentre pas dans les études scientifiques de description du cerveau humain, en bref, on est des extra-terrestres. Une pensée logique vous ferai dire que le surdoué : ça n'existe pas !
Merci renarde, j'aime bien ta façon de voir les choses.
Je pense aussi qu'il s'agit d'une peur d'entrevoir une explication non-parfaite. Si le Dawrinisme n'existait pas, et que la classification des espèce (qui d'ailleurs réfute l'existence des poissons !) n'avait pas été faite, une baleine serait considéré comme un poisson avec des traits de mammifères.
Je pense que l'on manque de données, mais également de concepts et de mots pour exprimer les choses qui concernent la douance. Prenez l'exemple de personnes qui ont eu/ont les moyens de passer des IRM fonctionnelles, et qui sont surdouées, à entre 130 et 145 (puisqu'on aime bien cette classification là, à défaut des autres), et qui ont révélé une activité neuronale et une présence de neurotransmetteurs égale à celle présente dans le cerveau des autistes (plusieurs autismes, pas que asperger, et pas que des "génies"). Étrange non ? Je pense que proposer des modèles, qui vont pousser de recherches, qui vont donner des résultats et amener des données, qui vont permettre de reformuler un modèle plus proche de la vérité, qui vont re-nécessiter des modèles etc. C'est comme ça qu'on avance dans la recherche de la nature du monde, qui n'est pas visible.
Merci renarde, j'aime bien ta façon de voir les choses.
Je pense aussi qu'il s'agit d'une peur d'entrevoir une explication non-parfaite. Si le Dawrinisme n'existait pas, et que la classification des espèce (qui d'ailleurs réfute l'existence des poissons !) n'avait pas été faite, une baleine serait considéré comme un poisson avec des traits de mammifères.
Je pense que l'on manque de données, mais également de concepts et de mots pour exprimer les choses qui concernent la douance. Prenez l'exemple de personnes qui ont eu/ont les moyens de passer des IRM fonctionnelles, et qui sont surdouées, à entre 130 et 145 (puisqu'on aime bien cette classification là, à défaut des autres), et qui ont révélé une activité neuronale et une présence de neurotransmetteurs égale à celle présente dans le cerveau des autistes (plusieurs autismes, pas que asperger, et pas que des "génies"). Étrange non ? Je pense que proposer des modèles, qui vont pousser de recherches, qui vont donner des résultats et amener des données, qui vont permettre de reformuler un modèle plus proche de la vérité, qui vont re-nécessiter des modèles etc. C'est comme ça qu'on avance dans la recherche de la nature du monde, qui n'est pas visible.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je pense personnellement que la piste autisme/asperger/zèbre est à creuser. Elle m'est venue d'une manière intuitive il y a deux ans, lors de mes anciennes études (orthophonie).
J'ai tout de suite "compris" leur fonctionnement, et je voyais bien qu'autour de moi, personne ne s'y intéressaient, et les voyaient comme des "débiles" (eh oui mesdames et messieurs, les soignants, ce sont des humains comme les autres, ils vous soignent, enfin du moins ils essaient mais à l'intérieur, ils vous jugent...).
J'ai lu un texte passionnant sur la façon de voir d'un autiste, qui ressemble à celle d'un zèbre. On partage des similitudes neurologiques, bien que je pense qu'on soit chacun distincts. C'est de toute façon pour moi évident que les recherches sont à faire de ce côté-là ! Je voulais en faire mon sujet de mémoire.
Intuitivement, l'explication me semble neurologique avant tout. Surtout en ce qui concerne le filtre. Par exemple, les autistes font ce qu'on appelle des stéréotypies (ils se balancent longtemps par exemple) et on pense qu'on peut les arrêter, les "normaliser". Il s'avère que depuis enfant, je m'auto-berce, soit consciemment, soit la nuit quand je dors. Selon mes recherches, c'est l'apaisement d'une angoisse. Je ne peux pas contrôler ces bercements par moi-même. Les autistes le font pour calmer leurs angoisses. Comment ne pas être angoissé quand tout le monde vous vient à la figure sans "tri" possible ? Trop d'informations.
Je vous conseille de lire le livre " Si on me touche, je n'existe plus " de Donna Williams (pas encore lu mais je sais qu'il va me plaire !). N'avez-vous pas constaté comme zèbre cette difficulté parfois avec le contact tactile ? Ou bien regarder le film "Temple Grandin" une dame Asperger qui a fait de grandes choses pour la cause animale.
Vous verrez les similitudes, mais aussi les différences. Je me sens connectée profondément avec ces personnes-là, sans jamais en avoir rencontré aucune. Mais si un jour je travaille avec des personnes autistes (certainement en bénévolat) je vous assure que j'aurais une approche tout à fait différente de celles qu'on leur propose actuellement. On ne cherche pas à les comprendre, on applique pour moi des méthodes qu'on essaie d'adapter à notre monde. Je sais que certaines personnes ont peut être un entourage Autiste ou Asperger, donc je précise bien qu'il ne s'agit que de mon intuition.
Mais je dis aussi que les zèbres sont visionnaires, et tombent aussi juste la plupart du temps. Vous en faites ce que vous voulez
J'ai tout de suite "compris" leur fonctionnement, et je voyais bien qu'autour de moi, personne ne s'y intéressaient, et les voyaient comme des "débiles" (eh oui mesdames et messieurs, les soignants, ce sont des humains comme les autres, ils vous soignent, enfin du moins ils essaient mais à l'intérieur, ils vous jugent...).
J'ai lu un texte passionnant sur la façon de voir d'un autiste, qui ressemble à celle d'un zèbre. On partage des similitudes neurologiques, bien que je pense qu'on soit chacun distincts. C'est de toute façon pour moi évident que les recherches sont à faire de ce côté-là ! Je voulais en faire mon sujet de mémoire.
Intuitivement, l'explication me semble neurologique avant tout. Surtout en ce qui concerne le filtre. Par exemple, les autistes font ce qu'on appelle des stéréotypies (ils se balancent longtemps par exemple) et on pense qu'on peut les arrêter, les "normaliser". Il s'avère que depuis enfant, je m'auto-berce, soit consciemment, soit la nuit quand je dors. Selon mes recherches, c'est l'apaisement d'une angoisse. Je ne peux pas contrôler ces bercements par moi-même. Les autistes le font pour calmer leurs angoisses. Comment ne pas être angoissé quand tout le monde vous vient à la figure sans "tri" possible ? Trop d'informations.
Je vous conseille de lire le livre " Si on me touche, je n'existe plus " de Donna Williams (pas encore lu mais je sais qu'il va me plaire !). N'avez-vous pas constaté comme zèbre cette difficulté parfois avec le contact tactile ? Ou bien regarder le film "Temple Grandin" une dame Asperger qui a fait de grandes choses pour la cause animale.
Vous verrez les similitudes, mais aussi les différences. Je me sens connectée profondément avec ces personnes-là, sans jamais en avoir rencontré aucune. Mais si un jour je travaille avec des personnes autistes (certainement en bénévolat) je vous assure que j'aurais une approche tout à fait différente de celles qu'on leur propose actuellement. On ne cherche pas à les comprendre, on applique pour moi des méthodes qu'on essaie d'adapter à notre monde. Je sais que certaines personnes ont peut être un entourage Autiste ou Asperger, donc je précise bien qu'il ne s'agit que de mon intuition.
Mais je dis aussi que les zèbres sont visionnaires, et tombent aussi juste la plupart du temps. Vous en faites ce que vous voulez
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Merci Clément et Colours de votre ouverture d'esprit.
Si on s'arrête à ce qui est déjà démontré ... on n'avancera jamais !
En même temps je n'impose à personne cette perception qui est la mienne, je tenais à le préciser.
Si on s'arrête à ce qui est déjà démontré ... on n'avancera jamais !
En même temps je n'impose à personne cette perception qui est la mienne, je tenais à le préciser.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
il est effectivement possible de dire que la multiplication des erreurs logiques chez le surdoué est un phénomène très intéressant ^^
Encore une fois oui, des ressemblances existent, mais la mécanique sous-jacente est souvent très différente, le mieux pour vous serait de vous questionner avec un asperger (ou plutot des), sans quoi les erreurs d'interprétation sont presque inévitables
Et puis bon concernant la peur d'entrevoir une explication non parfaite tout comme le fait de s'arreter à ce qui est déjà démontré, nos notions d'ouverture d'esprit doivent être sensiblement différentes
Encore une fois oui, des ressemblances existent, mais la mécanique sous-jacente est souvent très différente, le mieux pour vous serait de vous questionner avec un asperger (ou plutot des), sans quoi les erreurs d'interprétation sont presque inévitables
Et puis bon concernant la peur d'entrevoir une explication non parfaite tout comme le fait de s'arreter à ce qui est déjà démontré, nos notions d'ouverture d'esprit doivent être sensiblement différentes
Dernière édition par _Flo_ le Jeu 07 Mar 2013, 11:35, édité 2 fois
Wam- Messages : 966
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Le but de ce forum est de pouvoir échanger pour avancer.
Mon but n'est pas de convaincre qui que ce soit, ni de perdre mon énergie en vain.
Je partage, je n'impose rien, merci de faire de même _Flo_
Ce qui nous parle à Clément et à moi nous appartient, nous en ferons peut être quelque chose, ou pas.
Merci
Mon but n'est pas de convaincre qui que ce soit, ni de perdre mon énergie en vain.
Je partage, je n'impose rien, merci de faire de même _Flo_
Ce qui nous parle à Clément et à moi nous appartient, nous en ferons peut être quelque chose, ou pas.
Merci
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
ben je n'impose rien, je dis dimplement que j'ai déjà parcouru un chemin similaire, et que les fausses routes sont nombreuses, je dis pas que la recherche des causes du continuum asperger/hqi c'est caca, je dis que c'est un sujet infiniment complexe, et qu'hors études professionnelles poussées et nombreuses, l'interprétation prend une place trop importante à mon sens. même les apsis s'embrouillent sur le sujet
(je ne donne justement pas d'exemples pour les raisons citées plus avant)
Sinon pour sortir du cul de sac, mon intervention etait un simple retour personnel ayant pour message : attention sujet glissant ; vos réflections concretes sur le sujet ne m'intéressent pas moins
(je ne donne justement pas d'exemples pour les raisons citées plus avant)
Sinon pour sortir du cul de sac, mon intervention etait un simple retour personnel ayant pour message : attention sujet glissant ; vos réflections concretes sur le sujet ne m'intéressent pas moins
Dernière édition par _Flo_ le Sam 09 Mar 2013, 05:08, édité 1 fois
Wam- Messages : 966
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Euh, non, c'est pas à ça que je pense. Si je ne pèse pas mes mots, et je sens que je vais le regretter, l'idée principale, c'est déjà d'essayer d 'observer comment cela peut se conduire sur un centaine de génération. Si je pars de l'idée fausse qu'à la base, il y a qu'une seule sorte d'humain, avec tous les humains ayant des particularités propres, mais un fonctionnement de base, la même machine biologique avec tous ses potentiels, on observe, et c'est ce que vont les personnes qui ont fait les premiers classements des espèces, que les personnes développant les même particularité vont avoir tendance à se reproduire entre-elles, donnant naissances sur 50 générations, es des humains similaires en apparence, mais différents à l'intérieurs. Postulat que je considère faux : nous sommes tous pareil au début.
Je pense que le processus que je décris est vrai, à savoir qu'il se produite encor aujourd'hui, amis je ne pense pas que l'on puisse considérer que tous les humains dérivent d'une seule et même souche, identique, mais que les humains descendent de diverses souches d'humains, déjà composées de populations hétéroclites dans leur manière de fonctionner, de percevoir le monde.
J'aurais plutôt tendance à comprendre et à croire (ohhhh !) qu'il existe plusieurs fonctionnements, et j'en distinguerait 2 complets : le fonctionnement neurotypique, et le fonctionnement autistique. Chacun d'eux ayant des prédisposition pour tendre plutôt vers un ensemble de fonctionnement analytiques et comportementaux, pouvant varier d'un individu à l'autre. Quand je parle de fonctionnements complets, je pense à des fonctionnements qui se différencient clairement d'un autre fonctionnement, tant par leur base biologique (cerveau) que leur capacité d'adaptation, leur manière de raisonner, l'accessibilité aux diverses aires du cerveau, l'énergie déployée pour taîter l'information.
Je pense que le fonctionnement autiste se base sur une machine (cerveau) non atrophié et sur-alimenté en neurotransmetteurs, qui développe une capacité de traiter l'information globale, nécessitant de comprendre le tout pour analyser le constituant. La surcharge d'information forçant le replis, les émotions, peut-être ce qu'il y a de plus complet/xe en terme d'information à connaître et à gérer, sortant des chemin tracés de la pensée par modus ponens, est ce qui est atrophié.
Le fonctionnement neurotyipique se base sur une machine qui a effectué des atrophies naturelles au cours de son évolution, réduisant ainsi la quantité d'informations à traîter, et donc la quantité d'énergie à produire. Les émotions sont intégrée naturellement, et de nombreuses tâches s'effectuent sous-jasçamment, permettant un rapport au monde moins intense, moins vécu comme une oppression. Je pense que c'est ce fonctionnement là qui est prédominant, et que c'est lui qui a permis l'évolution technologique, l'autre fonctionnement se serait adapté au monde.
Le zèbre (et pas surdoué), est pour moi une évolution qui a permit à une machine autiste, de basculer en fonctionnement neurotypique dans sa nécessité d'adaptation. Les émotions peuvent être vécues d'une manière, comme de l'autre, donnant des hyper-émotifs, entre la quantité d'information que reçois le cerveau autiste, et la régulation que peut apporter le fonctionnement neurotypique.
En somme, le fonctionnement autiste, c'est un Machintosh, le neurotypique c'est un PC. le zèbre c'est un système d'exploitation windows sur une machine mac, avec des programmes mac.
Je pense que le processus que je décris est vrai, à savoir qu'il se produite encor aujourd'hui, amis je ne pense pas que l'on puisse considérer que tous les humains dérivent d'une seule et même souche, identique, mais que les humains descendent de diverses souches d'humains, déjà composées de populations hétéroclites dans leur manière de fonctionner, de percevoir le monde.
J'aurais plutôt tendance à comprendre et à croire (ohhhh !) qu'il existe plusieurs fonctionnements, et j'en distinguerait 2 complets : le fonctionnement neurotypique, et le fonctionnement autistique. Chacun d'eux ayant des prédisposition pour tendre plutôt vers un ensemble de fonctionnement analytiques et comportementaux, pouvant varier d'un individu à l'autre. Quand je parle de fonctionnements complets, je pense à des fonctionnements qui se différencient clairement d'un autre fonctionnement, tant par leur base biologique (cerveau) que leur capacité d'adaptation, leur manière de raisonner, l'accessibilité aux diverses aires du cerveau, l'énergie déployée pour taîter l'information.
Je pense que le fonctionnement autiste se base sur une machine (cerveau) non atrophié et sur-alimenté en neurotransmetteurs, qui développe une capacité de traiter l'information globale, nécessitant de comprendre le tout pour analyser le constituant. La surcharge d'information forçant le replis, les émotions, peut-être ce qu'il y a de plus complet/xe en terme d'information à connaître et à gérer, sortant des chemin tracés de la pensée par modus ponens, est ce qui est atrophié.
Le fonctionnement neurotyipique se base sur une machine qui a effectué des atrophies naturelles au cours de son évolution, réduisant ainsi la quantité d'informations à traîter, et donc la quantité d'énergie à produire. Les émotions sont intégrée naturellement, et de nombreuses tâches s'effectuent sous-jasçamment, permettant un rapport au monde moins intense, moins vécu comme une oppression. Je pense que c'est ce fonctionnement là qui est prédominant, et que c'est lui qui a permis l'évolution technologique, l'autre fonctionnement se serait adapté au monde.
Le zèbre (et pas surdoué), est pour moi une évolution qui a permit à une machine autiste, de basculer en fonctionnement neurotypique dans sa nécessité d'adaptation. Les émotions peuvent être vécues d'une manière, comme de l'autre, donnant des hyper-émotifs, entre la quantité d'information que reçois le cerveau autiste, et la régulation que peut apporter le fonctionnement neurotypique.
En somme, le fonctionnement autiste, c'est un Machintosh, le neurotypique c'est un PC. le zèbre c'est un système d'exploitation windows sur une machine mac, avec des programmes mac.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
ben c'est sympa comme reflexion ! enfin je trouve, ça rejoins pas mal d'autres reflexions sur la place des pensées divergentes au sein de l'évolution de l'espece
Pourquoi précises tu plusieurs souches d'humain ?
En partant sur ce principe j'aurais plutot tendance à penser l'autisme profond comme une dérive génétique des autismes de haut niveau, qui eux pourraient avoir une place singulière dans tout ça
Il y avais un long arcticle sur neanderthal etc, je l'avais juste survolé et n'ai plus tout vraiment en tête (et puis l'anglais n'est pas si naturel que ça chez moi ça n'aide pas à retenir ^^) tu l'as lu non ?
Pourquoi précises tu plusieurs souches d'humain ?
En partant sur ce principe j'aurais plutot tendance à penser l'autisme profond comme une dérive génétique des autismes de haut niveau, qui eux pourraient avoir une place singulière dans tout ça
Il y avais un long arcticle sur neanderthal etc, je l'avais juste survolé et n'ai plus tout vraiment en tête (et puis l'anglais n'est pas si naturel que ça chez moi ça n'aide pas à retenir ^^) tu l'as lu non ?
Wam- Messages : 966
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Pavé très intéressant et très explicite... sauf sur le point que soulève fusain où j'ai eu a peux prêt la même réaction... je veux dire, en théorie, zèbre = surdoué, c'est juste une autre manière de le dire, un terme qui passe mieux que ceux qu'on utilisais avant (hqi, surdoué, doué, hp, précoce...), si ce sont des synonymes, comment peut-on être l'un sans être l'autre ?
Vincenz'- Messages : 11411
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Ah oui, zut, j'ai oublié de précisé le point. Je prends le terme zèbre, parce que je considère alors que chacun fonctionnement peut avoir ses surdoués.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
HQI > 130
Mais ensuite la pensée en arborescence plutôt que linéaire n'est pas aussi clairement liée à un QI donné.
Cette pensée arborescente semblant être un critère reconnu par beaucoup de zèbres.
Mais ensuite la pensée en arborescence plutôt que linéaire n'est pas aussi clairement liée à un QI donné.
Cette pensée arborescente semblant être un critère reconnu par beaucoup de zèbres.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Comme beaucoup de gens (et ayant un père naturaliste), je pense que Néandertalensis n'est pas un homo sapiens sapiens, mais bien un homo différent. Je pense que les autistes et le neurotypiques sont des homo sapiens sapiens tous les deux, le zèbre aussi par conséquent.
J'ai el dossier de pour la science sur néandertal. Très intéressant.
En effet, le mot "surdoué" a été utilisé pour définir les personnes douées dans une intelligence (ou plus) définies par Gardner, que la moyenne des gens se sont âge, de sa catégorie socio-éducative, et plus précisément l'intelligence logico-mathématique dans le cadre de nombreux pays avec l’émergence des tests d'intelligence, ne mesurant que la partie logico-mathématique, mais je considère que l'on peut développer ces caractéristiques de douances sans être forcément zèbre. je veux dire, il y a des personnes qui ont des capacités extraordinaires dans un ou deux domaines, des génies, mais qui ne sont pas surdoués, on retrouve même ces personnes chez des asperger, qui sont incapable de peler une pomme correctement, ou d'être doué d'empathie, partie il me semble indissociable du (actuel) "surdoué".
J'ai el dossier de pour la science sur néandertal. Très intéressant.
En effet, le mot "surdoué" a été utilisé pour définir les personnes douées dans une intelligence (ou plus) définies par Gardner, que la moyenne des gens se sont âge, de sa catégorie socio-éducative, et plus précisément l'intelligence logico-mathématique dans le cadre de nombreux pays avec l’émergence des tests d'intelligence, ne mesurant que la partie logico-mathématique, mais je considère que l'on peut développer ces caractéristiques de douances sans être forcément zèbre. je veux dire, il y a des personnes qui ont des capacités extraordinaires dans un ou deux domaines, des génies, mais qui ne sont pas surdoués, on retrouve même ces personnes chez des asperger, qui sont incapable de peler une pomme correctement, ou d'être doué d'empathie, partie il me semble indissociable du (actuel) "surdoué".
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
C'est sûr que si tu réécris systématiquement des définitions de ton cru pour les mots que tu emploies, tu pourras alors écrire sans problème ce que tu voudras, à propos de n'importe quel sujet.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Il me semble que c'est :
- 1 : le propre de la science de redéfinir ses termes, avec son évolution.
- 2 : l'évolution de la langue que de changer le sens d'un mot, qui glisse, et finit ne plus avoir du tout le sens qu'il avait au départ.
L'illusion qu'un terme reste identique à travers les évolutions de la pensée, les âges, et les gens, c'est du "débilisme", excusez-moi du peu. RIen n'est fixe, et surtout pas les sens (sèmes) d'un mot (lexème).
- 1 : le propre de la science de redéfinir ses termes, avec son évolution.
- 2 : l'évolution de la langue que de changer le sens d'un mot, qui glisse, et finit ne plus avoir du tout le sens qu'il avait au départ.
L'illusion qu'un terme reste identique à travers les évolutions de la pensée, les âges, et les gens, c'est du "débilisme", excusez-moi du peu. RIen n'est fixe, et surtout pas les sens (sèmes) d'un mot (lexème).
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Clément a écrit: Le zèbre (et pas surdoué), est pour moi une évolution qui a permit à une machine autiste, de basculer en fonctionnement neurotypique dans sa nécessité d'adaptation. Les émotions peuvent être vécues d'une manière, comme de l'autre, donnant des hyper-émotifs, entre la quantité d'information que reçois le cerveau autiste, et la régulation que peut apporter le fonctionnement neurotypique.
Clément a écrit:Ah oui, zut, j'ai oublié de précisé le point. Je prends le terme zèbre, parce que je considère alors que chacun fonctionnement peut avoir ses surdoués.
Clément a écrit:En effet, le mot "surdoué" a été utilisé pour définir les personnes douées dans une intelligence (ou plus) définies par Gardner, que la moyenne des gens se sont âge, de sa catégorie socio-éducative, et plus précisément l'intelligence logico-mathématique dans le cadre de nombreux pays avec l’émergence des tests d'intelligence, ne mesurant que la partie logico-mathématique, mais je considère que l'on peut développer ces caractéristiques de douances sans être forcément zèbre. je veux dire, il y a des personnes qui ont des capacités extraordinaires dans un ou deux domaines, des génies, mais qui ne sont pas surdoués, on retrouve même ces personnes chez des asperger, qui sont incapable de peler une pomme correctement, ou d'être doué d'empathie, partie il me semble indissociable du (actuel) "surdoué".
fusain a écrit:C'est sûr que si tu réécris systématiquement des définitions de ton cru pour les mots que tu emploies, tu pourras alors écrire sans problème ce que tu voudras, à propos de n'importe quel sujet.
Clément a écrit:Il me semble que c'est :
- 1 : le propre de la science de redéfinir ses termes, avec son évolution.
- 2 : l'évolution de la langue que de changer le sens d'un mot, qui glisse, et finit ne plus avoir du tout le sens qu'il avait au départ.
L'illusion qu'un terme reste identique à travers les évolutions de la pensée, les âges, et les gens, c'est du "débilisme", excusez-moi du peu. RIen n'est fixe, et surtout pas les sens (sèmes) d'un mot (lexème).
OMG
Je garde une trace pour la postérité : GG.
miwako- Messages : 369
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Oui, en effet, à ce stade c'est tout ce qu'il y a à dire.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je comprends pas ce que vous me reprochez, veuillez indiquez son ereeur à la brebis svp ?
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Nous ayant traités de débiles, ne joue pas au martyr.
De manière générale, puisque tu as revendiqué le droit de donner arbitrairement aux mots de ton choix le sens de ton choix, différent de celui des autres (y compris sème et lexème d'ailleurs; ma femme étant docteur en linguistique, ta petite tentative de m'impressionner avec ces mots tombe un peu à l'eau, hoo hoo c'est tombé à l'eau), nous ne pouvons pas communiquer. C'est triste, mais c'est ton choix, fermement proclamé. Il risque de te conduire à rester un peu tout seul, irrémédiablement incompris.
De manière générale, puisque tu as revendiqué le droit de donner arbitrairement aux mots de ton choix le sens de ton choix, différent de celui des autres (y compris sème et lexème d'ailleurs; ma femme étant docteur en linguistique, ta petite tentative de m'impressionner avec ces mots tombe un peu à l'eau, hoo hoo c'est tombé à l'eau), nous ne pouvons pas communiquer. C'est triste, mais c'est ton choix, fermement proclamé. Il risque de te conduire à rester un peu tout seul, irrémédiablement incompris.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
La linguistique, c'est large, et je ne crois m'être trompé sur l'utilisation du mot sème et sur celui de lexème, qui n'étaient d'ailleurs pas des tentatives pour t’impressionner, la parano, c'est dangereux...
Ne considères-tu pas que JSF a choisis de donner le sens qu'elle voulait au mot zèbre, qui selon ma connaissance du terme, signifie :
Plutôt que de rester fermé sur les définitions que tu utilise, pourquoi dans le cadre de ce topic ne pas considérer que ce sont mes définitions qui sont les valables, et discuter en utilisant ces termes, dans ces sens là ? Je veux dire, si ta femme est "docteur" en linguistique (on dit linguiste plus simplement), demande lui si elle utilise la définition de Matthews 1974 ou de Aronoff 1994 ? Qui sont quelque peu différentes, bien qu'il existe aussi celle de Fradin et Kerleroux 2003 ? Les termes scientifiques sont tous différent, et chacun les utilise un peu à sa sauce. Quel domaine ?
Ne considères-tu pas que JSF a choisis de donner le sens qu'elle voulait au mot zèbre, qui selon ma connaissance du terme, signifie :
?CNRTL a écrit:Mammifère sauvage d'Afrique de la famille des Équidés, à robe claire rayée de noir ou de brun, à la crinière en brosse, au galop très rapide.
Plutôt que de rester fermé sur les définitions que tu utilise, pourquoi dans le cadre de ce topic ne pas considérer que ce sont mes définitions qui sont les valables, et discuter en utilisant ces termes, dans ces sens là ? Je veux dire, si ta femme est "docteur" en linguistique (on dit linguiste plus simplement), demande lui si elle utilise la définition de Matthews 1974 ou de Aronoff 1994 ? Qui sont quelque peu différentes, bien qu'il existe aussi celle de Fradin et Kerleroux 2003 ? Les termes scientifiques sont tous différent, et chacun les utilise un peu à sa sauce. Quel domaine ?
Dernière édition par Clément le Lun 11 Mar 2013, 12:36, édité 1 fois
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Ce n'est pas une autre définition, c'est un diminutif.
En posant comme sens supplémentaire (et non nouveau) zèbre = surdoué, elle ne conteste pas le fait qu'un zèbre soit aussi un mammifère quadrupède africain. D'autre part, elle prend la peine de justifier sa décision autrement que tu ne le fais en nous jetant à la figure, toi, que Surdoué ça signifie Ceci, Zèbre cela, Neurotypique cela, Autiste cela, Asperger cela et Homme de Néanderthal cela "selon toi". La science, ce n'est pas inventer arbitrairement des définitions nouvelles et partagées par personne d'autre en traitant de débiles ceux qui ne suivent pas le mouvement. Quand une définition évolue, on le justifie.
Les ours volent. Ben oui, j'ai le droit de définir un ours comme étant un animal doté d'ailes et de plumes, et je vous signale qu'à travers les âges les mots évoluent et qu'il n'y a que les débiles qui n'acceptent pas ces changements.
En posant comme sens supplémentaire (et non nouveau) zèbre = surdoué, elle ne conteste pas le fait qu'un zèbre soit aussi un mammifère quadrupède africain. D'autre part, elle prend la peine de justifier sa décision autrement que tu ne le fais en nous jetant à la figure, toi, que Surdoué ça signifie Ceci, Zèbre cela, Neurotypique cela, Autiste cela, Asperger cela et Homme de Néanderthal cela "selon toi". La science, ce n'est pas inventer arbitrairement des définitions nouvelles et partagées par personne d'autre en traitant de débiles ceux qui ne suivent pas le mouvement. Quand une définition évolue, on le justifie.
Les ours volent. Ben oui, j'ai le droit de définir un ours comme étant un animal doté d'ailes et de plumes, et je vous signale qu'à travers les âges les mots évoluent et qu'il n'y a que les débiles qui n'acceptent pas ces changements.
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je suis le premier à accepter qu'un ours puisse voler, je vois pas en quoi ça poserait problème, si ça reste dans un cadre défini.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
et défini par toi-même et pour toi-même bien entendu. Confondre science et intime conviction de sa Sublime pomme, ça mène rarement bien loin, ce fil en est la preuve.
De bottages en touche en bottages en touche, plus aucun intérêt. Considère que tu es trop intelligent pour nous (comme tu nous l'as d'ailleurs signifié tout au long de ce fil) et restons-en là.
De bottages en touche en bottages en touche, plus aucun intérêt. Considère que tu es trop intelligent pour nous (comme tu nous l'as d'ailleurs signifié tout au long de ce fil) et restons-en là.
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Je réponds à Renarde : Je ne suis pas Dieu, et je ne prétends pas savoir quelles sont ces caractéristiques, mais je suis en mesure de sentir si quelqu'un fonctionne à peu près comme moi, ou pas, et c'est en cela que je me permet de généraliser des spécificités neurotypiques, gifted, comme ça tout le monde est content, ou autiste.
PS : J'ai réédité le premier message pour que tous le monde soit prévenu
PS : J'ai réédité le premier message pour que tous le monde soit prévenu
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Fusain a écrit:Les ours volent. Ben oui, j'ai le droit de définir un ours comme étant un animal doté d'ailes et de plumes, et je vous signale qu'à travers les âges les mots évoluent et qu'il n'y a que les débiles qui n'acceptent pas ces changements.
Ah ba tu sais Fusain, ça fais maintenant 3 millénaires que j'occupe le poste de Dieu des Ours, et je peux te dire qu'il y en a beaucoup qui ont volé... mais j'ai jamais vu d'ours ailé par contre (quoi que l'oncle du cousin du beau-frère de l'oncle par alliance de l'ancien dieu était connu comme ayant de grands bras, vu qu'il vivait a l'époque des dinosaures, il est possible qu'en fait il fut le premier ours ailé ?).
Vincenz'- Messages : 11411
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
rho le vieux pinaillage ^^ oui les propos de clement sont confus, mais est-ce une raison pour se jeter sur lui comme des ours volants mal léchés ?
Le sujet pourrait mener à débat intéressant, si tant est que l'on accepte l'erreur chez soi comme chez l'autre
Si ça peut te conforter clement, les aspis sont sujets aux mêmes embrouilles foireuses
Le sujet pourrait mener à débat intéressant, si tant est que l'on accepte l'erreur chez soi comme chez l'autre
Si ça peut te conforter clement, les aspis sont sujets aux mêmes embrouilles foireuses
Wam- Messages : 966
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Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Pigeons, ours, cons tout cela ça vole.
De quoi digresser à volonté sur les chefs d'escadrille dont nous pourrions probablement briguer les postes tour à tour.
A part cela, ne tirons pas sur l'ambulance. Même si la diptérosodomie et la tétracapillotomie sont des passe-temps amusants, j'ai trouvé que l'idée de base du fil était séduisante.
Après tout que savons-nous vraiment de tous ces phénomènes ? Nous connaissons les types, les modèles, les races pures... Mais les modèles n'existent pas.
Peut-être que Clément pourrait reformuler synthétiquement son idée de base en la nettoyant des imperfections liées à l'enthousiasme de départ, cela permettrait de clore l'algarade et de passer aux choses sérieuses ?
De quoi digresser à volonté sur les chefs d'escadrille dont nous pourrions probablement briguer les postes tour à tour.
A part cela, ne tirons pas sur l'ambulance. Même si la diptérosodomie et la tétracapillotomie sont des passe-temps amusants, j'ai trouvé que l'idée de base du fil était séduisante.
Après tout que savons-nous vraiment de tous ces phénomènes ? Nous connaissons les types, les modèles, les races pures... Mais les modèles n'existent pas.
Peut-être que Clément pourrait reformuler synthétiquement son idée de base en la nettoyant des imperfections liées à l'enthousiasme de départ, cela permettrait de clore l'algarade et de passer aux choses sérieuses ?
Invité- Invité
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
+1 !!!
Va falloir préciser Ailleurs, parce que le vocabulaire semble prêter à confusion parfois
Ailleurs a écrit: .../... La diptérosodomie et la tétracapillotomie sont des passe-temps amusants, j'ai trouvé que l'idée de base du fil était séduisante.
Va falloir préciser Ailleurs, parce que le vocabulaire semble prêter à confusion parfois
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
_Flo_ a écrit:Si ça peut te conforter clement, les aspis sont sujets aux mêmes embrouilles foireuses
Merci, c'est sympa. Vraiment.
Ailleurs a écrit:Peut-être que Clément pourrait reformuler synthétiquement son idée de base en la nettoyant des imperfections liées à l'enthousiasme de départ, cela permettrait de clore l'algarade et de passer aux choses sérieuses ?
L'idée, dans sa forme simple, c'est que le cerveau puisse être multi-fonctionnements, en fonction des caractéristiques biologiques. Et qu'au lieu de considérer qu'un cerveau est une machine qui fonctionne toujours pareil, le cerveau puisse se balancer entre divers fonctionnements.
Ensuite, je me suis demandé s'il pouvait exister deux types "de base" pour le côté biologique du cerveau, et que le "gifted" soit un mélange de ces deux fonctionnements, et qu'il puisse switcher entre les deux selon les besoin, ou les traumatismes vécus.
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
siddharta is not dead ^^L'idée, dans sa forme simple, c'est que le cerveau puisse être multi-fonctionnements, en fonction des caractéristiques biologiques. Et qu'au lieu de considérer qu'un cerveau est une machine qui fonctionne toujours pareil, le cerveau puisse se balancer entre divers fonctionnements.
ça me semble beaucoup trop simple, mais personnellement j'écouterai ton développement avec plaisir;)Ensuite, je me suis demandé s'il pouvait exister deux types "de base" pour le côté biologique du cerveau, et que le "gifted" soit un mélange de ces deux fonctionnements, et qu'il puisse switcher entre les deux selon les besoin, ou les traumatismes vécus.
Wam- Messages : 966
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Age : 37
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Voilà la vérité :
Asperger : Intelligence Logique/verbale élevée et intelligence interpersonnelle faible + Autres intelligences élevées possibles...catalysé par la passion dans un domaine
Neurotypique : Intelligence logique verbale /normale avec autres intelligences possibles élevées possibles
HQI : Intelligence logique verbale intelligence interpersonnelle normale
Zèbre : Intelligence Logique/verbale + intelligence interpersonnelle élevée + autres intelligences élevées possibles +
Asperger : Intelligence Logique/verbale élevée et intelligence interpersonnelle faible + Autres intelligences élevées possibles...catalysé par la passion dans un domaine
Neurotypique : Intelligence logique verbale /normale avec autres intelligences possibles élevées possibles
HQI : Intelligence logique verbale intelligence interpersonnelle normale
Zèbre : Intelligence Logique/verbale + intelligence interpersonnelle élevée + autres intelligences élevées possibles +
legarsenquestion- Messages : 214
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Localisation : poit'
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
La clé c'est l'intelligence interpersonnelle qui détermine l'aperge ou le zebre
legarsenquestion- Messages : 214
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Localisation : poit'
Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
Tu as oublié un R ^^
Vincenz'- Messages : 11411
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Re: Le zèbre, un Asperger neurotypique
foutain de clavboard
legarsenquestion- Messages : 214
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Age : 34
Localisation : poit'
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