Esperluette

Un proge c'est bien, Des proges c'est encore mieux :

Gimli a écrit:Pas aujourd'hui qu'on parle de Q ? Dommage.

"’L' amour… il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire."

"L'amour, c'est comme les cartes : si tu n'as pas de partenaire, il te faut une bonne main."

Aquarelle a écrit:

"’L' amour… il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire."

Il y a bien des forums où les gens (ah, les gens !) viennent parler de leur intelligence.

Ce ne sont que des petits malins qui croient pouvoir cacher un Q avec un I.
Heureusement que tout le monde n'est pas pressebite myope.

L'amie aux pies ne voit que ce qui brille.

Là où le presbyte erre loin des culs, raies ...

Là où la casse couille se modère sinon elle se retrouve bien penaude.

Te modère pas, ma belle, il nous reste des kilomètres à bander.

Circulez, y a rien à boire.

tu m'étonnes !!
j'adore les cimetières, sont bien plus animés !

Ben, quand les vrais bistrots sont ouverts, c'est quand même mieux que les bistrots virtuels.

Un whisky, une vieille sono, un sein compatissant.

Et pour les nains, il y a toujours de quoi faire.

tricheur, l'est pas nain mais à genou !!

perso j'ai pris d'la hauteur, je crains que ne te faudrasse la grande échelle ! en plus, je fais du january dry all times... c'est d'un chiant, j'avoue !!! mais mec, j'ai retrouvé ma taille de guêpe !

Parisette !!
Comment vas-tu ? Toujours enseignante ?
Je te sers un demi ou une pinte ??
Quelques sushis

Parisette, petit coeur, je vous embrasse. Sur ce, enivrons-nous suivant les recommandations du grand Charles.

Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.

Je bois une suze à votre santé les z'amis

Ce texte de Dimey est magnifique ! Merci Gimli

De rien. Je n'ai pas grand chose à voir là-dedans. Je ne l'ai pas écrit. Je ne fais que l'aimer. Pour autant que j'en sois capable. Aimer, c'est rendre plus beau. En quoi peut-on aimer un texte ?

Voilà ma nuit qui approche, je vais voir si je peux m'y adosser, le temps d'un oubli.

On peut aimer un texte comme on aime le chocolat
Tu sais moi... Et la nuit, je dors !!
Je suis devenue une diurne grâce aux enfants.
Mes bébés d'amuuuur

Aimer un texte comme on aime le chocolat, ça répond à la satisfaction d'un désir, ce n'est pas de l'amour.

C'est une distinction importante pour moi, ça m'évite de mentir.

Oulala Gimli, tu sais bien ou pas, que je n'ai pas l'intention d'intellectualiser le fondant du chocolat ou l'amertume du texte et lycée de Versailles !
Aimer revêt bien des sens (!) Je les épouse tous, ça m'évite d'être prise au dépourvu, le jour où l'amour se présente : l'amour du chocolat, l'amour de mon amour, l'amour de la poésie, l'amour du fruit de mes zentrailles

La poussière ne couvre pas les âmes et leur présence est perceptible. C'est tout ce dont j'ai besoin, là, maintenant, peut être plus dans une minute, une heure,une vie, mais là, maintenant.

Le jour a une drôle de couleur qui m'est peu perceptible.

Les fantômes m'honorent de leur présence et m'accompagnent en feignant l'ivresse.

Elle m’avait dit qu’elle prendrait ma lassitude,
et je l’avais crue.
Elle m’avait dit que je saurais le moment venu de notre rendez-vous,
et je l’avais crue.
Ce premier rendez-vous est arrivé,
et je m’en faisais fête.
Un impromptu y a mis terme.
Depuis, j’attends que revienne le moment d’un autre rendez-vous,
mais il se fait attendre,
et je n’ai même plus la certitude d’y avoir encore droit.
Si au moins elle répondait à cette question.
Aurons-nous à nouveau ce rendez-vous que j’attends ?