Les lentes alternatives de l'aurore

La nuit était pleine de préjudices et le soleil de sa clarté revêtait les collines: d'abord du bleu, profond, sombre et délicat, dans sa carnation, jusqu'à ce qu'une gerbe de rose, face éclater sa fraîcheur et la blancheur venant à tout avaler.
J'aimerai que ma vie soit une aurore jusqu'à son plus vif éclat!

Perso, j'apprécie aussi le crépuscule et la lente, mais inexorable, disparition d'un soleil éclatant sur l'horizon, ces oranges qui brillent de mille feux et s'étendent à l'infini mais progressivement s'éteignent, ne laissant que le scintillement de braises célestes dans cette noirceur éclatante.

C'est aussi un avis qui se respecte et je le comprends. J'ai moi-même certains penchants pour les ténèbres, peut-être de trop d'ailleurs.
Aussi je pense qu'il faut régulariser tout cela.

Une fois à "des mots de minuit" un peintre faisait sur une toile noire des n° et ces n° recouvraient au bout de je ne sais combien de passages, l'étendue entière de la toile, donc qu'une infinie blancheur.
C'était une allégorie vis à vis de la science qui veut tout expliquer, mais qui ne résout rien, la noirceur de l'âme restait pour ainsi dire, figée dans le temps.
(il était en face à face, avec un scientifique)