A l'Esperluette.

Bonjour Gimli

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Je te souhaite une belle et bonne journée

Falbala ?



Tiens, une grande blonde, ça me rappelle quelque chose.

Bonne journée à toi, le soleil brille, il n'en faut pas plus.

Favela ?

Le lotus pousse dans la boue.

Chanceux tu es, le ciel ici est tout gris. Tiède. Moite.

Ce soir, c'est un court-métrage :

...Le hérisson...Merci Gimli

Benoit Mariage fait des films sur les gens et les fait avec une grande humanité.

C'est comme l'histoire de la pomme, du pommier et du pépin, alors ne compter que sur les pommes...

Dans le premier tableau l'homme fume devant un verre probablement d'alcool, tandis que la femme, soit écoute une radio soit regarde un aquarium?
Dans le second on pourrait dire que c'est le même nez donc le même homme, et vu la position du bras de la femme dans le premier tableau, on pourrait dire aussi qu'elle l'entoure maintenant de son corps? Bien que la manche de chemise et le revers du pantalon fassent pencher en faveur de la solitude de l'homme. Bref, il est sans doute seul dans les deux cas. Et peut être n'ai je rien compris.
De qui sont les tableaux?

Je ne sais pas qui sont les auteurs. Le mot-clef de ma recherche était "ennui". Bonne analyse, chère.

Rien n'est impossible. Comme tu me le disais une fois, c'est la motivation; le combat, trop risqué. Les oiseaux le savent, qui se laissent aider par les airs ascendants, et la vie est magique, il ne faut pas l'oublier trop longtemps.

Le film de ce soir :

Hé bien, tu as fait le programme! Si je finis tout bien ce que je dois faire, j'aurai peut être le temps de voir aussi le film. Tout en même temps, non, trop compliqué pour moi. Belle soirée!

Un dessin animé, cette petite lâcheté que nous, parents, utilisons pour pouvoir trainer un peu au lit les samedi et dimanche :

[img][/img] Lance l'eau du lac

Elle me fait penser à ceci ta photo :

Soyons plus légers, le petit-déjeuner :

L'image me faisait penser à l'interprétation projective qui se fait des messages sur un forum. Au clapotis des mots et des hommes dans l'océan de ...

Sinon: "Cette video inclut du contenu UMG, qui l'a bloqué etc..."

Dès que la pluie cesse, je vais cueillir des herbes sauvages pour les cuisiner.

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La pluie vient d'arriver ici, elle ne devrait plus être chez toi.

Ce soir, un vieux film avec un brillant Jean Carmet :

Oui, mais violent, tu pourrais prévenir.

D'ailleurs:

Depuis 1997, Jean-Denis Rouillon, médecin du sport au CHRU de Besançon et professeur à l'Université de Franche-Comté, étudie la poitrine d’environ 320 femmes. Sa recherche l’a conduit à l’hypothèse que porter un soutien-gorge est tout simplement inutile. Une conclusion qui va à l'encontre d'un grand nombre d'idées reçues au sujet de ce sous-vêtement et de la poitrine des femmes.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/sein/le-soutien-gorge-serait-inutile-voire-mauvais-pour-les-seins_art29213.html
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C'est strictement la vérité, n'en déplaise aux bonhommes accros à cette saloperie qui ne vaut guère mieux que les pieds bandés des chinoises. Il n'est que le digne successeur du corset (!), parfaitement nuisible. Evidemment, pour s'en passer, d'une part on ne commence pas, puis on évite de faire des petits à tout va comme des rattes, et on ne s'avachit pas dans la graisse d'un quotidien routinier.
Oblige t on ces messieurs à s'affubler de soutien-testicules? Ornés de dessins virils? Quoique...Il me semble bien avoir vu de la pub pour des coques en matière synthétique à porter sous un jean moulant.

S'ils sont trop lourds, je vous aiderai à les porter.

Un film qui ne contient pas de scène violente et que j'ai trouvé d'une violence inouïe :

De ces enfants violentés, combien ont été désirés et conçus consciemment?

Hier une jeune fille me racontait son boulot quotidien dans un orphelinat du Tiers Monde: Une mère qui avait abandonné son bébé la veille, est revenue le chercher le lendemain, car on lui avait dit qu'elle gagnerait plus en mendiant avec lui que toute seule.

C'est difficile pour nous de le concevoir mais il reste néanmoins très important de ne pas juger.

Certaines conditions de survie conduisent à une inhumanité à laquelle nous n'échapperions probablement pas.

En tout cas çà fait sacrément pitié, tant pour le gosse que pour la mère.
Je ne juge pas non plus la jeune fille de riches qui bosse là bas gratos.

Pour en revenir au film d'hier, à un moment quand Jean Carmet Georges Lajoie lutinait la jeune fille, je me suis dit: "Nan, il ne va pas lui faire de mal, c'est un film drôle, n'aie pas peur."
Raté.

Désolé, je mettrai un avertissement sur les contenus.

C'est un film qui m'avait marqué quand j'étions jeune. D'autant qu'il utilise effectivement des acteurs et des codes de comédie.

Pas grave.
Tu peux continuer, comme je te l'ai dit, ma culture ciné est nulle, heu...j'ai du mal à tenir plus de cinq minutes dans une salle, avec un doux nounours, peut être çà irait mieux?
Pis depuis que j'ai quitté Paris, ici, les cinés...

Ma culture cinématographique n'est pas très conséquente, j'ai juste bonne mémoire des films qui m'ont marqué.

Pour ce qui est du nounours, je crains de ne pas être suffisamment poilu.

Quant au ciné, j'en ai donné le gout à mes mini-moi et je n'y vais plus que pour voir des films adaptés à leur âge et leur gout, durant lesquels, en général, je dors profondément.

Avec You Tube, pas besoin de Nounurse

Ca me fait penser que je dois aller à l'administration communale :

https://youtu.be/hxlkBDYEKZw

J’ai vécu 15 ans durant avec un chien à mes côtés. Partout, tout le temps.
Cinq ans plus tard, il m’arrive encore machinalement de tendre la main pour chercher sa présence. Dans la rue, au bureau, en auto, au resto, je tendais la main et il était là.
C’était un chien de récup avec lequel j’avais immédiatement passé un accord : tu ne m’emmerdes pas, je t’emmène partout. De là, nous avons fréquenté autant les palaces que nous avons campé sauvagement, nous avons voyagé sur tout ce qui roule, flotte, vole.

J’étais régulièrement consulté pour des problèmes de chien. J’avais donc décidé de mettre un peu de théorie sur ma pratique et m’étais mis en quête d’éducateurs dont je pouvais partager les vues.

Nous voici un dimanche matin dans un club spécialisé dans l’éducation par le jeu. Le chien est debout à mes côtés et nous regardons des gens qui jouent à la baballe avec leur chien, quand arrive une dame qui commence à narguer mon chien avec une balle. Le chien ne bronche pas, moi non plus. La dame se lasse et s’en va.
Dix minutes plus tard, elle revient et m’explique qu’elle est la responsable et que ça ne va pas le faire avec mon chien parce que leur système est basé sur le jeu et mon chien n’est absolument pas joueur. Je n’ai jamais dit à la dame que j’estime qu’un chien bien éduqué n’a pas à courir après n’importe quelle balle, ne fut-ce que par sécurité pour lui, et que si elle avait voulu jouer avec, il lui suffisait de le dire, j’aurais dit au chien « va jouer » et, elle aurait pu lancer sa baballe une semaine d’affilée si ça lui avait chanté, il l’a lui aurait ramenée aussi souvent.

Plus tard, je tombe sur les écrits d’un gars avec lequel j’ai l’impression de pouvoir partager des choses. Nous voici donc dans le sud de la France pour une semaine de stage professionnel.
Un après-midi, en attendant la repris, je me trouve un coin d’ombre dans l’herbe grasse et m’y couche. Mon berger de chien se met exactement dans la position du chien sur cette image.



Chaque fois que j’ai dormi dehors, le chien s’est mis ainsi. Je savais ce qu’il faisait. Pas le maitre de stage qui m’a appelé par après pour m’expliquer que le chien marquait ainsi une domination inacceptable qui me conduirait à des problèmes avec lui. Explication généralement valable, mais pas dans celle de ce chien qui ne le faisait que lorsque nous dormions dehors et qu’il m’estimait de ce fait menacé. Un chien qui dit aussi qu’on peut dormir car il veille et qui dit à tout autre celui sur qui il veille et qu’il défie quiconque de s’en prendre à lui.

Dormir sous la protection d'un loup, car dans ce cas, il s'agit à nouveau d'un loup, est quelque chose d’unique.

Le type qui a fait cette image doit savoir ce que c’est. Ça me plairait de rencontrer un autre qui le sait.

Mais, je me suis surtout rendu compte, en voyant cette image, combien ça me manque. Je donnerais beaucoup et même plus pour revivre une fois, même un toute petite fois, ce sentiment.

J'ai eu un chien de récup, un croisé de Golden retriever et de Patou des Pyrénées. Lorsque j'allais m'asseoir sur les berges de la rivière avec un bouquin, il décrivait un grand cercle autour de moi: personne n'avait le droit d'approcher. De temps en temps il se reposait, puis il reprenait sa ronde, lançant des gros wouaf wouaf s'il voyait un pêcheur. Il était grand, il était blanc, et son nom était Grognon.

Mes yeux brûlent.

Pour ce soir, une vraie comédie pleine de bons mots et de jeux d'acteurs magnifiques :

Je finis juste le job! Une soupe sauvage et au film, merci Gimli.

Le film de ce soir, en se demandant s'il existerait encore aujourd'hui :

Bonsoir Gimli;
Patrick Dewaere...A priori je ne me sens plus guère concernée par tout ce qui est pathos, désespoir existentiel de ce monde, et autres perversions de ce bonheur insensé qu'est vivre. Je reste concernée comme par solidarité avec mes contemporains, bien que, cela même prend un petit air de fin de série...
Mais si tu l'as choisi, il y a un motif, ou une bonne raison: je le regarderai tout à l'heure

Pas tant pour le film que pour la place qu'il laisse au doute, cette zone constructive entre convictions et responsabilités. C'est finalement dans le doute que tout est possible.

Une vie pour remplacer les oui ou non par des oui et non, assumer ses paradoxes.

Quant aux poètes maudits, je pisse sur leurs couronnes mortuaires.

Je préfère tes commentaires au film. Que j'ai suivi. Les poules font une poussée dentaire.

Nounurse [img][/img] tout doux, cage aux lignes.

52. Ils vont bientôt tourner l'Apache.

Hello allo Pacha Mama, justement je suis en train de replanter un semis de la plante salvia hispanica, la Chia amérindienne, avec des tagetes! Temps idéal pour ce faire: doux et couvert. Bon après midi!