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C'était un message d'"Elnumaem",

( A l'instar d'une punition méritée par ce qu'elle provoque, je me lève, ou plutôt, je m'enlève. Rien ne le prévoyait jusqu'alors, sinon la pensée maintes fois effleurée, et cela nous prend, comme ça, un beau matin, d'un soleil de Turin. )

Alors, rien de grave... Sinon le minimum d'ennui qui échoit à la soudaineté. J'ai toujours mes dix doigts pour compter ce que je ne trouve nulle part. Je ne veux pas m'étaler, mais je pense à la susceptible pointe d'étonnement de mes camarades de la modération... Quoiqu'étrangement, ce matin-ci, je ne suis pas seul à déguerpir. Et c'est un pur hasard.

Pour mes connaissances, et les désireux non avertis de discussions, mon mail est encore fonctionnel : elnumaem@hotmail.fr

Bref, si Œdipe nous donne à manger, il n'est pas celui qui nous livre le goût.  

"Eh quoi, on ne vous a rien promis, personne ne vous aidera à vivre." (Otto Hahn : 1992), en simples termes : "Débrouillez-vous",

Et puis aussi, je vous aime, je vous aime, je vous aime,

Du Soleil dans vos mirettes, ses rayons dans vos écrins, brûlez, brûlez, brûlez de joie et d'envie.

Bonne route à toi, jeune et vaillant camarade de modération arrivé en même temps que moi et qui me manquera.
J'espère que l'immense solitude des grands voyageurs de l'esprit ne fera que t'effleurer.

choisissons une placette avec une fontaine au milieu et commandons un caffe latte.

bonne route

Ce sont des choses qui arrivent, un jour, comme ça, on part. L'envie de soleil, de vent, d'ailleurs...

Bon vent, elnumaem