invader from planet vega
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igabiva
vega
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invader from planet vega
Bonjour à tous !
Ça fait quelques temps que je pioche de façon éclectique dans les sujets du forum, j'y trouve beaucoup de réconfort, c'est idiot mais le simple fait de savoir qu'on est pas un cas orphelin est rassurant. Donc je me suis dit qu'il était temps de passer à l'action et de me présenter à mon tour :-)
J'ai été « diagnostiquée » vers 12 ou 13 ans, par la médecin de famille, généraliste. Je ne me souviens plus du motif de la consultation mais j'étais nerveuse pour diverses raisons et je lui posais énormément de questions. Je lui expliquais aussi ma peur des prises de sang... Je sentais qu'elle était très intéressée, piquée au vif par mes questions, auxquelles elle répondait du mieux qu'elle pouvait. J'ai vu tout au long de notre échange quelque chose s'allumer dans son regard et elle m'a simplement dit de lire « trop intelligent pour être heureux ». Inutile de dire que je cachais le livre, un peu honteuse, pendant ma lecture et que ma famille n'a jamais rien su de tout ça. En revanche sans que le livre m'apprenne grand chose que je ne savais pas déjà intuitivement, il m'a fait un énorme choc. TOUT ce que j'y lisais n'était qu'un énoncé de ce que je définissais comme la « normalité ». Et tout décrivait au contraire une singularité, celle que nous partageons. J'ai par la suite échangé beaucoup d'e-mails avec ce médecin qui m'a diagnostiquée, zèbre elle même, mère d'enfants zèbres, bref, elle sait voir ça là où mes parents ne se sont jamais posé de questions.
Pourtant des choses qui m'ont isolée et différenciée des autres enfants, il y en a eu un paquet. Déjà j'ai souri en lisant un post sur le forum qui traite du laçage des lacets... Ma mère – je ne m'en souviens pas - m'a raconté plusieurs fois que quand j'étais en maternelle, elle avait reçu un coup de fil de l'école. Je pleurais parce que je n'arrivais pas à lacer mes chaussures.
Je garde en tête ma scolarité (primaire – collège) comme une impossible quête d'acceptation sociale, et une impossible tentative de me fondre dans le décor. Il faut dire que quand on n'a quasiment aucun intérêt commun avec la majorité de la population du même âge, c'est pas évident. Quand j'étais enfant, je passais mon temps libre à explorer la nature, capturer des insectes pour les observer, lire à leur sujet, jouer aux dinosaures, lire à leur sujet, explorer-lire-explorer-lire...
Sans être un garçon manqué j'avais quand même une véritable aversion pour les jeux qu'on destine aux filles : poupée, princesses, fées clochettes, ça ne passait pas la porte de ma chambre. À l'école, je trouvais quelques amis puis je les perdais aussi vite, incapable de me forcer à suivre leurs conversations, leurs jeux etc. Je m'occupais en dessinant, sans perdre mes nombreuses autres passions. Finalement c'est quand même le côté artistique qui m'a entrainée, sans doute pour m'extraire du moule dans lequel j'étais. Je suis partie faire un bac sti arts appliqués (design, graphisme, communication visuelle etc). Ça coïncidait avec le début d'une prise d'assurance en ce que j'étais. J'étais arrivée à un stade ou je raisonnais comme ça : « On ne veut pas de moi ? Non. Je ne veux plus des autres ». C'était sans calcul et pourtant tout à coup j'intriguais. Cynisme, humour noir, culture décalée, les gens aux profils créatif qui m'entouraient ne me voyaient pas comme quelqu'un à rejeter. Pour la première fois de ma vie je sentais que mes « camarades de classe » appréciaient ma compagnie. Ce sont mes premiers amis et ils sont toujours là !
Scolairement ça a très bien marché au lycée. Malgré la monstrueuse déception que ressentais pour les cours, je me débrouillais très bien. Ceci dit l'ennui ne m'a jamais quittée et je commençais à me poser des questions, notamment une, qui est récurrente : « qu'est ce que je fous là ? » Je me disais que j'aurais du faire des sciences, je me passionnais de militantisme pour la libération animale, je commençais à créer des biotopes complexes dans un aquarium, et, surtout, je me lançais dans l'écriture d'un roman. Tout ces centres d'intérêts annexe m'ont fait tenir jusqu'au bac et me voilà aux arts décoratifs de Paris, une grande école de design. J'y suis en quatrième année en design de mode. Je m'ennuie à mourir, il me reste deux ans à faire et j'ai l'impression que la durée de ma vie entière tient dans ces deux années à faire encore. J'ai terminé mon roman, du moins le premier tome l'année dernière, j'ai essayé de le faire publier. Je n'ai reçu que des refus, mais aussi une lettre personnalisée d'un éditeur qui m'encourageait à continuer en corrigeant quelques points. Je suis donc en pleine réécriture, tout en essayant de finaliser ma première collection en vue d'un défilé en octobre. C'est ma première collection, et quelque part j'aimerais déjà que ça soit la dernière. Donc j'ai déjà des projets de réorientation pour après mon diplôme. Socialement, ça n'est pas autant la fête qu'au lycée mais ça va. J'arrive, de temps en temps, à « m'oublier », à jouer le jeu. Le jeu de s'amuser en soirée, le jeu de se fondre dans la masse tout en gardant l'esprit mordant d'un zèbre. Je pense que le plus grand travail que j'aie fait sur moi même c'est de réduire, de plus en plus, l'impact que le regard des autres peut avoir sur moi. Parce que j'ai réalisé, d'expérience, que moins j'y accorde d'importance, donc moins je fais d'efforts pour lutter contre ce que je suis intrinsèquement, plus, au final, je suis acceptée, même appréciée dans certains cas.
Je viens de produire ce résumé qui semble cohérent mais j'aurais pu, aisément, en écrire un autre tout aussi vrai formulé différemment, en axant moins sur les études, en parlant d'autres passions (le footing, le tatouage, la littérature et le cinéma..) En parlant des hauts et des bas, des chutes de confiance, du besoin d'évasion... Ah l'écriture ! Ça ne tient pas tant à ce qu'on raconte qu'à ce qu'on omet.
Quoiqu'il en soit, merci et bravo à ceux qui ont lu mon pavé, je serai ravie de prendre part aux conversations de la savane locale, et pourquoi pas de vous rencontrer à l'occasion :-)
Ça fait quelques temps que je pioche de façon éclectique dans les sujets du forum, j'y trouve beaucoup de réconfort, c'est idiot mais le simple fait de savoir qu'on est pas un cas orphelin est rassurant. Donc je me suis dit qu'il était temps de passer à l'action et de me présenter à mon tour :-)
J'ai été « diagnostiquée » vers 12 ou 13 ans, par la médecin de famille, généraliste. Je ne me souviens plus du motif de la consultation mais j'étais nerveuse pour diverses raisons et je lui posais énormément de questions. Je lui expliquais aussi ma peur des prises de sang... Je sentais qu'elle était très intéressée, piquée au vif par mes questions, auxquelles elle répondait du mieux qu'elle pouvait. J'ai vu tout au long de notre échange quelque chose s'allumer dans son regard et elle m'a simplement dit de lire « trop intelligent pour être heureux ». Inutile de dire que je cachais le livre, un peu honteuse, pendant ma lecture et que ma famille n'a jamais rien su de tout ça. En revanche sans que le livre m'apprenne grand chose que je ne savais pas déjà intuitivement, il m'a fait un énorme choc. TOUT ce que j'y lisais n'était qu'un énoncé de ce que je définissais comme la « normalité ». Et tout décrivait au contraire une singularité, celle que nous partageons. J'ai par la suite échangé beaucoup d'e-mails avec ce médecin qui m'a diagnostiquée, zèbre elle même, mère d'enfants zèbres, bref, elle sait voir ça là où mes parents ne se sont jamais posé de questions.
Pourtant des choses qui m'ont isolée et différenciée des autres enfants, il y en a eu un paquet. Déjà j'ai souri en lisant un post sur le forum qui traite du laçage des lacets... Ma mère – je ne m'en souviens pas - m'a raconté plusieurs fois que quand j'étais en maternelle, elle avait reçu un coup de fil de l'école. Je pleurais parce que je n'arrivais pas à lacer mes chaussures.
Je garde en tête ma scolarité (primaire – collège) comme une impossible quête d'acceptation sociale, et une impossible tentative de me fondre dans le décor. Il faut dire que quand on n'a quasiment aucun intérêt commun avec la majorité de la population du même âge, c'est pas évident. Quand j'étais enfant, je passais mon temps libre à explorer la nature, capturer des insectes pour les observer, lire à leur sujet, jouer aux dinosaures, lire à leur sujet, explorer-lire-explorer-lire...
Sans être un garçon manqué j'avais quand même une véritable aversion pour les jeux qu'on destine aux filles : poupée, princesses, fées clochettes, ça ne passait pas la porte de ma chambre. À l'école, je trouvais quelques amis puis je les perdais aussi vite, incapable de me forcer à suivre leurs conversations, leurs jeux etc. Je m'occupais en dessinant, sans perdre mes nombreuses autres passions. Finalement c'est quand même le côté artistique qui m'a entrainée, sans doute pour m'extraire du moule dans lequel j'étais. Je suis partie faire un bac sti arts appliqués (design, graphisme, communication visuelle etc). Ça coïncidait avec le début d'une prise d'assurance en ce que j'étais. J'étais arrivée à un stade ou je raisonnais comme ça : « On ne veut pas de moi ? Non. Je ne veux plus des autres ». C'était sans calcul et pourtant tout à coup j'intriguais. Cynisme, humour noir, culture décalée, les gens aux profils créatif qui m'entouraient ne me voyaient pas comme quelqu'un à rejeter. Pour la première fois de ma vie je sentais que mes « camarades de classe » appréciaient ma compagnie. Ce sont mes premiers amis et ils sont toujours là !
Scolairement ça a très bien marché au lycée. Malgré la monstrueuse déception que ressentais pour les cours, je me débrouillais très bien. Ceci dit l'ennui ne m'a jamais quittée et je commençais à me poser des questions, notamment une, qui est récurrente : « qu'est ce que je fous là ? » Je me disais que j'aurais du faire des sciences, je me passionnais de militantisme pour la libération animale, je commençais à créer des biotopes complexes dans un aquarium, et, surtout, je me lançais dans l'écriture d'un roman. Tout ces centres d'intérêts annexe m'ont fait tenir jusqu'au bac et me voilà aux arts décoratifs de Paris, une grande école de design. J'y suis en quatrième année en design de mode. Je m'ennuie à mourir, il me reste deux ans à faire et j'ai l'impression que la durée de ma vie entière tient dans ces deux années à faire encore. J'ai terminé mon roman, du moins le premier tome l'année dernière, j'ai essayé de le faire publier. Je n'ai reçu que des refus, mais aussi une lettre personnalisée d'un éditeur qui m'encourageait à continuer en corrigeant quelques points. Je suis donc en pleine réécriture, tout en essayant de finaliser ma première collection en vue d'un défilé en octobre. C'est ma première collection, et quelque part j'aimerais déjà que ça soit la dernière. Donc j'ai déjà des projets de réorientation pour après mon diplôme. Socialement, ça n'est pas autant la fête qu'au lycée mais ça va. J'arrive, de temps en temps, à « m'oublier », à jouer le jeu. Le jeu de s'amuser en soirée, le jeu de se fondre dans la masse tout en gardant l'esprit mordant d'un zèbre. Je pense que le plus grand travail que j'aie fait sur moi même c'est de réduire, de plus en plus, l'impact que le regard des autres peut avoir sur moi. Parce que j'ai réalisé, d'expérience, que moins j'y accorde d'importance, donc moins je fais d'efforts pour lutter contre ce que je suis intrinsèquement, plus, au final, je suis acceptée, même appréciée dans certains cas.
Je viens de produire ce résumé qui semble cohérent mais j'aurais pu, aisément, en écrire un autre tout aussi vrai formulé différemment, en axant moins sur les études, en parlant d'autres passions (le footing, le tatouage, la littérature et le cinéma..) En parlant des hauts et des bas, des chutes de confiance, du besoin d'évasion... Ah l'écriture ! Ça ne tient pas tant à ce qu'on raconte qu'à ce qu'on omet.
Quoiqu'il en soit, merci et bravo à ceux qui ont lu mon pavé, je serai ravie de prendre part aux conversations de la savane locale, et pourquoi pas de vous rencontrer à l'occasion :-)
vega- Messages : 13
Date d'inscription : 05/09/2013
Age : 33
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Bonjour à toi, je suis le premier à te souhaiter bienvenue et je ne serai certainement pas le dernier. Au plaisir de lire tes contributions sur ce forum.
Nous pouvons ouvrir un post "spécial lacets", étant moi-même concerné
Nous pouvons ouvrir un post "spécial lacets", étant moi-même concerné
igabiva- Messages : 341
Date d'inscription : 04/07/2013
Age : 55
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Merci pour l'accueil Igabiva! justement il y a un post spécial lacets haha https://www.zebrascrossing.net/t12388-les-lacets-et-un-sondage
vega- Messages : 13
Date d'inscription : 05/09/2013
Age : 33
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Bonjour Vega,
J'ai lu ton "pavé" et, comme beaucoup ici, il y a des similitudes. Surtout pour les "amis". Perso je n'arrive toujours pas à en avoir, à part, des amis à "usage unique".
Ma mère a réglé le problème des lacets par des chaussures à scratch.
J'ai lu ton "pavé" et, comme beaucoup ici, il y a des similitudes. Surtout pour les "amis". Perso je n'arrive toujours pas à en avoir, à part, des amis à "usage unique".
Ma mère a réglé le problème des lacets par des chaussures à scratch.
mort vivant- Messages : 84
Date d'inscription : 02/09/2013
Age : 50
Localisation : entre deux mondes
Re: invader from planet vega
Mercivega a écrit:Merci pour l'accueil Igabiva! justement il y a un post spécial lacets haha https://www.zebrascrossing.net/t12388-les-lacets-et-un-sondage
En cadeau de bienvenue, je t'offre le titre de ton prochain roman : Les lacets. Résumé : A travers l'histoire d'un enfant qui a du mal à faire ses lacets et qui subit les moqueries de son entourage (blessure narcissique qui se réouvre ensuite tout au long de son existence) le roman évoque les parcours en lacets de bien d'entre nous.
J'espère que tu me le feras lire
igabiva- Messages : 341
Date d'inscription : 04/07/2013
Age : 55
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Et bien, c'est marrant, tous les "ptits nouveaux" ici (mais surement bien plus expérimentés que moi dans de nombreux domaines, stun qualificatif affectif et non méprisant, hein ! ) se souhaitent mutuellement la bienvenue ...
Bref, je radote (). Bienvenue, Vega !
J'espère te lire très bientôt, ici et en rayon des librairies !
Bref, je radote (). Bienvenue, Vega !
J'espère te lire très bientôt, ici et en rayon des librairies !
Re: invader from planet vega
Mh c'est l'histoire de ma vie! Quand j'en aurai fini avec ma trilogie jeunesse explosive je me lance!igabiva a écrit:Mercivega a écrit:Merci pour l'accueil Igabiva! justement il y a un post spécial lacets haha https://www.zebrascrossing.net/t12388-les-lacets-et-un-sondage
En cadeau de bienvenue, je t'offre le titre de ton prochain roman : Les lacets. Résumé : A travers l'histoire d'un enfant qui a du mal à faire ses lacets et qui subit les moqueries de son entourage (blessure narcissique qui se réouvre ensuite tout au long de son existence) le roman évoque les parcours en lacets de bien d'entre nous.
J'espère que tu me le feras lire
Merci Ardel! Tu es bien jeune pour un vieux de la vieille
vega- Messages : 13
Date d'inscription : 05/09/2013
Age : 33
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Bienvenue et pressée de lire tes contributions (un vrai régal ta plume !).
Anamorphoz- Messages : 21
Date d'inscription : 05/08/2013
Age : 38
Localisation : Rennes
Re: invader from planet vega
Merci beaucoup Anamorphoz, ça me fait très plaisir
vega- Messages : 13
Date d'inscription : 05/09/2013
Age : 33
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
salut! bienvenue a toi! je nai pas tout lu ta presentation (trop long pour moi), ton avatar du moine qui fume est sympa, mais faire de la pub pour le tabac nest pas tres approprier sur un site de surdoues? on doit montrer l'exemple
Coyote- Messages : 117
Date d'inscription : 06/09/2013
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
Bonjour Supra-Moderator, je sais qu'avec toutes les campagnes de santé anti-tabac on a pris l'habitude de censurer toute image de fumeur au quotidien, mais à mon sens montrer quelqu'un qui fume ça n'est pas faire de la pub pour le tabac. En soi, l'image n'incite pas à fumer. Je crois en la capacité de distanciation critique de l'humain.
Par ailleurs je n'ai même pas pensé à ça en choisissant cette image, je la trouve simplement belle dans son paradoxe (pour moi un moine bouddhiste et un fumeur ne peuvent pas être une même personne) et j'aime son esthétique. Ce "moine" a une dégaine qui m'inspire :-)
Par ailleurs je n'ai même pas pensé à ça en choisissant cette image, je la trouve simplement belle dans son paradoxe (pour moi un moine bouddhiste et un fumeur ne peuvent pas être une même personne) et j'aime son esthétique. Ce "moine" a une dégaine qui m'inspire :-)
vega- Messages : 13
Date d'inscription : 05/09/2013
Age : 33
Localisation : Paris
Re: invader from planet vega
salut! Par experience, les gens ne sont pas capable de se distancer de ce quils voit, je pense que sa doit dependre de leur qi qui est trop bas pour certain. Le moine represente la spiritualite et le tabac donne le cancer, sa me choque un peu a cause de mon hypersensibilite, mais je me dis que ceux qui sont pas assez inteligent peuve etre influencer, et il faut aussi penser a eux! il y a des censure qui sont positive quand cest pour proteger les plus faible, ou pour faire respecter l'autorite. cest juste mon point de vue perso, ton avatar est qd meme cool, tu as raison la dessusvega a écrit:Bonjour Supra-Moderator, je sais qu'avec toutes les campagnes de santé anti-tabac on a pris l'habitude de censurer toute image de fumeur au quotidien, mais à mon sens montrer quelqu'un qui fume ça n'est pas faire de la pub pour le tabac. En soi, l'image n'incite pas à fumer. Je crois en la capacité de distanciation critique de l'humain.
Par ailleurs je n'ai même pas pensé à ça en choisissant cette image, je la trouve simplement belle dans son paradoxe (pour moi un moine bouddhiste et un fumeur ne peuvent pas être une même personne) et j'aime son esthétique. Ce "moine" a une dégaine qui m'inspire :-)
Coyote- Messages : 117
Date d'inscription : 06/09/2013
Localisation : Paris
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