Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
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Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Peut-être que je vais un peu tout mélanger, mais.
J'ai l'impression en ce moment, que ce soit avec Madame, au boulot, ou partout ailleurs, que... ben si j'ai pas la solution, la piste, l'idée, personne ne l'a.
Que je fasse part à mon épouse de mes difficultés du moment (je veux dire niveau moral, "sentiment de manque", angoisse, etc) ou qu'on parle des siennes... elle en reste à "je ne sais pas quoi dire", pas moyen de voir surgir du nouveau, à quoi je n'aurais pas pensé.
Qu'on aborde, au boulot, une difficulté qui surgit et qui va clairement nous barrer la route, c'est "ben oui mais on fait rien parce qu'on sait pas quoi faire". Et si bibi il a pas la solution clé en main, ben personne se gratte la panse dans l'espoir d'avoir une idée.
Et ainsi de suite.
Impossible de voir une idée nouvelle, d'être surpris, de dire "ah mais ouiiii putain j'y avais pas pensé"...
Alors quand ça me concerne moi, ben je reste dans mon puits. "Au bout de mon rouleau" de pistes et de solutions.
Quand ça concerne d'autres, aussi. On tourne en rond tous ensemble, ou on piétine et on s'ennuie.
Parce que bibi il est loin d'en avoir des tas, de solutions. Il est bien loin d'avoir ces fulgurances qu'on décrit dans la littérature sur les surdoueh. Il est bien loin d'être capable de faire le tour des questions. Il ne pense ni très loin, ni très divers, ni très innovant. Il ne trouve la réponse qu'à une fraction damaucaméliesque des questions qu'il se pose. Il n'a pas plus d'idées que le premier venu, en fait, bibi, il en a/j'en ai peur.
Et il est triste, et je suis triste jusque très profond de ne pas trouver, autour de moi, ces idées nouvelles, ces solutions nouvelles. Oh hé je "vous" demande pas la lune.
J'ai l'impression en ce moment, que ce soit avec Madame, au boulot, ou partout ailleurs, que... ben si j'ai pas la solution, la piste, l'idée, personne ne l'a.
Que je fasse part à mon épouse de mes difficultés du moment (je veux dire niveau moral, "sentiment de manque", angoisse, etc) ou qu'on parle des siennes... elle en reste à "je ne sais pas quoi dire", pas moyen de voir surgir du nouveau, à quoi je n'aurais pas pensé.
Qu'on aborde, au boulot, une difficulté qui surgit et qui va clairement nous barrer la route, c'est "ben oui mais on fait rien parce qu'on sait pas quoi faire". Et si bibi il a pas la solution clé en main, ben personne se gratte la panse dans l'espoir d'avoir une idée.
Et ainsi de suite.
Impossible de voir une idée nouvelle, d'être surpris, de dire "ah mais ouiiii putain j'y avais pas pensé"...
Alors quand ça me concerne moi, ben je reste dans mon puits. "Au bout de mon rouleau" de pistes et de solutions.
Quand ça concerne d'autres, aussi. On tourne en rond tous ensemble, ou on piétine et on s'ennuie.
Parce que bibi il est loin d'en avoir des tas, de solutions. Il est bien loin d'avoir ces fulgurances qu'on décrit dans la littérature sur les surdoueh. Il est bien loin d'être capable de faire le tour des questions. Il ne pense ni très loin, ni très divers, ni très innovant. Il ne trouve la réponse qu'à une fraction damaucaméliesque des questions qu'il se pose. Il n'a pas plus d'idées que le premier venu, en fait, bibi, il en a/j'en ai peur.
Et il est triste, et je suis triste jusque très profond de ne pas trouver, autour de moi, ces idées nouvelles, ces solutions nouvelles. Oh hé je "vous" demande pas la lune.
Dernière édition par Fus... le Mar 24 Sep 2013 - 18:35, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
C'est peut-être bien à toi que tu demandes la lune...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Je ne me demande rien ! (enfin, sur ce sujet)...
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Coucou Fusain
l'est là le problème, ou je projette ma propre situation sur celle que tu décris ?Il n'a pas plus d'idées que le premier venu, en fait, bibi, il en a/j'en ai peur.
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire...
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Si bibi c'est toi
Bibi à des idées / tu en as peur
c'est comme ça que je comprend la phrase que tu as écris et que j'ai mise en gras
mais peut être que le : / ne signifie pas la même chose pour toi que pour moi qui utilise ce signe pour montrer une réalité parallèle ou adjacente
Bibi à des idées / tu en as peur
c'est comme ça que je comprend la phrase que tu as écris et que j'ai mise en gras
mais peut être que le : / ne signifie pas la même chose pour toi que pour moi qui utilise ce signe pour montrer une réalité parallèle ou adjacente
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Il n'a pas plus d'idées que le premier venu, en fait, bibi, il en a/j'en ai peur.
= Je n'ai pas plus d'idées que le premier venu, j'en ai peur.
= Je n'ai pas plus d'idées que le premier venu, j'en ai peur.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Peut-être qu'il faut que tu changes de rôle ?
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Ah ok:D Vive la sémantique !!
Donc j'ai projeté ... et ne peu répondre à cette problématique autrement que par : ben si je trouve pas de solution c'est que le problème est mal posé... ou qu'il n'est pas ce qu'il paraît
en général ça le fait : le processus se met en place pour investiguer, trouver et expérimenter
cela n'enlève pas pour autant le fait que les autres soient fermés à ce que je trouve
or ce depuis plus de 10 ans
ce qui me laisse de la marge pour comparer avec mes autres expériences étalée sur les 56 qui reste, et entrer ça dans mes cases mentales pour comprendre
C'est un apprentissage à la dure : me re-cantonner à appliquer mes idées pour moi, point, et à supporter mon isolement et la solitude subie qui va avec sans m'enfermer dans le ressentiment, l'amertume, et la colère. Pas facile quand même...
Donc j'ai projeté ... et ne peu répondre à cette problématique autrement que par : ben si je trouve pas de solution c'est que le problème est mal posé... ou qu'il n'est pas ce qu'il paraît
en général ça le fait : le processus se met en place pour investiguer, trouver et expérimenter
cela n'enlève pas pour autant le fait que les autres soient fermés à ce que je trouve
or ce depuis plus de 10 ans
ce qui me laisse de la marge pour comparer avec mes autres expériences étalée sur les 56 qui reste, et entrer ça dans mes cases mentales pour comprendre
C'est un apprentissage à la dure : me re-cantonner à appliquer mes idées pour moi, point, et à supporter mon isolement et la solitude subie qui va avec sans m'enfermer dans le ressentiment, l'amertume, et la colère. Pas facile quand même...
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Et ça consisterait en quoi ?siamois93 a écrit:Peut-être qu'il faut que tu changes de rôle ?
La question n'est pas: pourquoi les autres ne veulent pas suivre mes idées, mais: pourquoi, quand je n'ai pas d'idées, les autres n'en ont pas non plus. Je n'ai RIEN à appliquer, et la pseudo-solution "fuite" consistant à dire "c'est que le problème est mal posé" (alias "s'il n'y a pas de solution c'est qu'il n'y a pas de problème"), j'en ai juste ras la casquette.me re-cantonner à appliquer mes idées pour moi, point, et à supporter mon isolement et la solitude subie qui va avec sans m'enfermer dans le ressentiment, l'amertume, et la colère. Pas facile quand même...
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Les autres ont pris l'habitude que tu trouves les solutions. Pendant combien de temps peux-tu les laisser se débrouiller sans tes solutions ? Ils finiront par évoluer ou pas ?
On m'a un jour offert un livre dont le titre est «qui m'a volé mon fromage ?», une histoire de souris qui un jour découvre que son fromage quotidien a disparu, comment s'adapte-t-elle, et les sratégies des autres souris. C'est toujours culpabilisant et pas agréable ce genre de bouquin, pas motivant pour moi. Mais c'est peut-être bien de le lire malgré tout.
On m'a un jour offert un livre dont le titre est «qui m'a volé mon fromage ?», une histoire de souris qui un jour découvre que son fromage quotidien a disparu, comment s'adapte-t-elle, et les sratégies des autres souris. C'est toujours culpabilisant et pas agréable ce genre de bouquin, pas motivant pour moi. Mais c'est peut-être bien de le lire malgré tout.
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Malheureusement, vu que je n'en trouve justement plus de solutions, je sais ce qui se passe: rien.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Laisse, c'est à eux de trouver leurs solutions, laisse plus de temps si tu peux, ainsi peut-être que tes solutions à tes problèmes émergeront, quand tu te préoccupperas plus de tes problèmes et moins de ceux des autres.
Je ne sais plus si tu es l'ainé, ton rôle c'est un peu celui de l'ainé.
Je ne sais plus si tu es l'ainé, ton rôle c'est un peu celui de l'ainé.
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Fils unique.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Encore de la sémantique :Je n'ai RIEN à appliquer, et la pseudo-solution "fuite" consistant à dire "c'est que le problème est mal posé" (alias "s'il n'y a pas de solution c'est qu'il n'y a pas de problème"), j'en ai juste ras la casquette.
Pour moi avoir une idée pour solutionner un problème c'est appliquer cette idée sur le problème et voir si ça le résoud
quand je me dis que "le problème est mal posé" je ne me dis pas "qu'il n'y a pas de problème parcequ'il n'y a pas de solution"
et désolée de t'ébouriffer la casquette
bon maintenant que j'ai compris ta question j'observe que mon fonctionnement me fait me la poser autrement : "que se passe-t-il pour que nous n'ayons aucune idée pour résoudre ce pb que nous avons en commun"
en fait je me prend plus la tête : je pose directement les questions à mon Pote en Ciel, il est obligé de me répondre,
et il ne le fait pas sous forme de pensées ou d'idées d'ailleurs mais plus comme un flux d'éléments d'informations, ou de données internes, ou même de changement complet de situation qui font que le problème disparaît
c'est un fonctionnement qui me va de mieux en mieux
mais je me suis exilée pour le vivre !
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Mag, tout le monde est comme toi mais rares sont ceux qui le savent.
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Siamois je ne crois plus ça du tout ... mais ceci est une autre histoire
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Fusain, si tu ne trouves pas la solution, ou si personne ne l'a, si personne ne peut te la dire, c'est qu'elle n'est pas prête. Elle mûrit. Oui, c'est long
Mais ton questionnement me rappelle plein de moments où j'ai l'impression de patiner, patauger, et même pire, revenir en arrière. Et en fait, non. C'est l'image du cocon que j'ai évoqué sur ton fil.
Je ne me base sur rien de précis pour dire ça, c'est une intuition. Et puis j'aime bien imaginer que les idées, les solutions, nous sont extérieures, elles ont leur vie propre, et on les capte quand elles deviennent signifiantes. Autrement dit, elle pré-existent, elles circulent, elles nous frôlent, mais on les perçoit que quand elles deviennent justes. Juste là, sous nos yeux ou entre nos oreilles.
Mais ton questionnement me rappelle plein de moments où j'ai l'impression de patiner, patauger, et même pire, revenir en arrière. Et en fait, non. C'est l'image du cocon que j'ai évoqué sur ton fil.
Je ne me base sur rien de précis pour dire ça, c'est une intuition. Et puis j'aime bien imaginer que les idées, les solutions, nous sont extérieures, elles ont leur vie propre, et on les capte quand elles deviennent signifiantes. Autrement dit, elle pré-existent, elles circulent, elles nous frôlent, mais on les perçoit que quand elles deviennent justes. Juste là, sous nos yeux ou entre nos oreilles.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Le truc, c'est que toutes ces réponses reviennent à ce que cela reste à moi de trouver les solutions aux problèmes qui me sont posés au sens de: ceux qui sont placés en ma présence. (Ensemble regroupant 3 sous-ensembles: les problèmes qui sont purement miens, ceux qui concernent d'autres personnes qui, néanmoins, me les soumettent, et ceux qui concernent moi et d'autres à la fois).
Que je conclue qu'elles n'ont qu'à mûrir, ou que je n'ai qu'à les faire venir de "quelque part" sous une forme différente, on en revient au même, assavoir: pourquoi serait-ce à moi d'être cet opérateur, quelle que soit la métaphore qu'on emploie pour sa tâche, et pourquoi pas aux autres. Que ce soit pour les problèmes qui sont purement miens (sinon, à quoi sert de demander de l'aide ?) ou ceux qui, peu ou prou, concernent ces mêmes autres. Je n'ai pas demandé "je n'ai plus d'idées, comment faire pour recommencer à en avoir" mais "pourquoi est-ce toujours à moi d'en avoir, alors que je ne suis pas plus qualifié que quiconque pour ça".
Que je conclue qu'elles n'ont qu'à mûrir, ou que je n'ai qu'à les faire venir de "quelque part" sous une forme différente, on en revient au même, assavoir: pourquoi serait-ce à moi d'être cet opérateur, quelle que soit la métaphore qu'on emploie pour sa tâche, et pourquoi pas aux autres. Que ce soit pour les problèmes qui sont purement miens (sinon, à quoi sert de demander de l'aide ?) ou ceux qui, peu ou prou, concernent ces mêmes autres. Je n'ai pas demandé "je n'ai plus d'idées, comment faire pour recommencer à en avoir" mais "pourquoi est-ce toujours à moi d'en avoir, alors que je ne suis pas plus qualifié que quiconque pour ça".
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Ah, oups, pardon, dans ce sens-là. Pourquoi est-ce toujours à toi d'en avoir, pourquoi est-ce qu'on te délègue toujours la "responsabilité" de l'idée, de la solution ?
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Je n'en sais rien. Je ne sais même pas si on me la délègue, je constate juste - au moins en ce moment - un nombre inouï de situations où, alentour, tout le monde est d'accord sur l'existence d'un problème posé, mais qu'après, c'est "je sais pas quoi dire, je sais pas quoi faire, qu'est-ce qu'on peut y faire, etc." De sorte que rien ne bouge, et je voudrais tellement du nouveau, donc, pas quelque chose qui sortira une fois de plus de ma pomme, ridée, usée, trop pressée.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Si ça n'a pas de solution, ce n'est pas un problème...
Eomer- Messages : 112
Date d'inscription : 11/07/2013
Localisation : Île de France
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Et bien suis moi ! J'en déborde d'idées !
Je suis comme toi dans un sens : les autres, mes proches n'ont pas d'idées, c'est toujours moi qui en ai. Ils s'en servent quand ça leur est utile, mais ces nouilles là sont fatiguées de mes idées, j'en ai trop ! Ils n'en veulent plus, ils ont peur de croire, ils ont la flemme !
Personne n'en veut des idées ! Tout le monde veut TF1 ou Le Monde pour savoir quoi penser ! Ronronner que le patron est méchant, que l'état est méchant, le voisin de palier ! Tout le monde veut se divertir en rentrant du boulot et pas de contrariété hein ! Moi j'ai dédié ma vie au beau jeu, je ne bosse que par plaisir et je défends ma différence au corps à corps ! Je suis un esthète !
Tu es bizarre, tu es entre deux, tu es où ?
Je suis comme toi dans un sens : les autres, mes proches n'ont pas d'idées, c'est toujours moi qui en ai. Ils s'en servent quand ça leur est utile, mais ces nouilles là sont fatiguées de mes idées, j'en ai trop ! Ils n'en veulent plus, ils ont peur de croire, ils ont la flemme !
Personne n'en veut des idées ! Tout le monde veut TF1 ou Le Monde pour savoir quoi penser ! Ronronner que le patron est méchant, que l'état est méchant, le voisin de palier ! Tout le monde veut se divertir en rentrant du boulot et pas de contrariété hein ! Moi j'ai dédié ma vie au beau jeu, je ne bosse que par plaisir et je défends ma différence au corps à corps ! Je suis un esthète !
Tu es bizarre, tu es entre deux, tu es où ?
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Je crois que je suis comme toi mais fatigué de cet état de fait. L'autre hypothèse, c'est que si #lesgens se comportent comme tu le décris, on finit par s'assécher à force de proposer des solutions qu'ils dédaignent parce que c'est plus simple de ronchonner. On est au bout de son rouleau, on n'a plus rien à proposer, mais c'est moins faute d'idées que de réactivité en face.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Déjà fatigué ? J'ai commencé le boulot à ton age après m'être gentiment détruit pendant deux décennies et j'irai jusqu'au bout de mon fil, quitte à l'étirer à fond par tous les moyens.
Tu es en train de devenir comme eux, mais ce sera pire pour toi, tu sera un vieillard avant l'age !
Aime toi !
Tu es en train de devenir comme eux, mais ce sera pire pour toi, tu sera un vieillard avant l'age !
Aime toi !
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Des idées, la résistance
Klein observe donc que “la résistance” est, dans ce cas, devenue un concept scientifique intégré dans la science géophysique, qui mène le constat de la destruction du monde par le Système : «So it stands to reason that, “if we’re thinking about the future of the earth, and the future of our coupling to the environment, we have to include resistance as part of that dynamics”. And that, Werner argued, is not a matter of opinion, but “really a geophysics problem”.»
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
C'est la résistance le problème.
Quand il s'agit d'idées que je peux concrétiser par moi-même, il n'y a pas de problème. Mais seul, on ne peut pas grand-chose. Ce qui assèche, épuise, c'est d'être le moteur, le tracteur, mais opposé à des forces d'inertie invraisemblables.
Tu veux étirer ton fil à fond ? Ne t'inquiète pas: il cassera. Le mien a déjà cassé, et c'est déjà pas mal de l'avoir renoué. Mais cette performance-là, on ne l'accomplit pas deux fois.
Quand il s'agit d'idées que je peux concrétiser par moi-même, il n'y a pas de problème. Mais seul, on ne peut pas grand-chose. Ce qui assèche, épuise, c'est d'être le moteur, le tracteur, mais opposé à des forces d'inertie invraisemblables.
Tu veux étirer ton fil à fond ? Ne t'inquiète pas: il cassera. Le mien a déjà cassé, et c'est déjà pas mal de l'avoir renoué. Mais cette performance-là, on ne l'accomplit pas deux fois.
Invité- Invité
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Fus......
La résistance à ce qui te fait toi est un problème, celle à ce qui t'empêche est salutaire.
Des gens ont des protections qui marchent, d'autres moins. Si tu regardes mon "humeur" de profil, tu verras : pas plus vite qu'à fond. Voila ce qui me protège, cette sagesse qui m'arrête avant la rupture qu'éxpérimentent ceux qui n'ont pas la chance de savoir et qui vont plus vite qu'à fond. Il faut savoir pleurer. Ma route n'est pas terminée, des épreuves sont encore devant, mon dévoilement n'est pas achevé. Je suis toujours ce simplet, je suis toujours en devenir de ne plus l'être. La vraie épreuve sera sans doute quand je ne le serais plus. C'est une autre histoire.
La résistance à ce qui te fait toi est un problème, celle à ce qui t'empêche est salutaire.
A qui le dis tu...Mais seul, on ne peut pas grand-chose
On essaye parfois de faire avancer des gens qui n'en ont pas vraiment envie, mais qui savent qu'ils devraient avoir envie et qui simulent cette envie, même inconsciemment, même tout simplement pour te faire plaisir. Je me suis heurté à ça si souvent. Ils disent qu'ils veulent, mais derrière ils renoncent à faire plus que ce que l'on a fait pour eux. C'est une impasse le plus souvent, ou bien c'est de la très très longue haleine que tu ne peux pratiquer que sur de très proches. Soit c'est ingrat, soit c'est juste de l'amour et de l'attention que tu donnes au jour le jour, sans rien anticiper, sauf que tu ne seras pas toujours là.Ce qui assèche, épuise, c'est d'être le moteur, le tracteur, mais opposé à des forces d'inertie invraisemblables.
Tu confonds ton histoire et celle des autres. Je suis bien sur désolé de lire cette souffrance chez quelqu'un, mais ce n'est pas la mienne, mon fil ne casse pas, je ne sais pas vraiment pourquoi, d'ailleurs. J'ai eu à l'origine une apparente simplicité d'esprit acquise (au sens de handicap) qui m'a protégée et que j'ai résorbée au fur et à mesure que j'ai grandi, ce qui a fait que j'ai toujours été en mesure d'affronter les choses devant moi avant que la catastrophe n'arrive. J'ai eu la vraie "chance" d'être vu comme, à mes yeux comme aux autres un idiot, un simplet. C'est mon histoire, c'est une histoire.Tu veux étirer ton fil à fond ? Ne t'inquiète pas: il cassera.
Des gens ont des protections qui marchent, d'autres moins. Si tu regardes mon "humeur" de profil, tu verras : pas plus vite qu'à fond. Voila ce qui me protège, cette sagesse qui m'arrête avant la rupture qu'éxpérimentent ceux qui n'ont pas la chance de savoir et qui vont plus vite qu'à fond. Il faut savoir pleurer. Ma route n'est pas terminée, des épreuves sont encore devant, mon dévoilement n'est pas achevé. Je suis toujours ce simplet, je suis toujours en devenir de ne plus l'être. La vraie épreuve sera sans doute quand je ne le serais plus. C'est une autre histoire.
Re: Et les autres, ils peuvent pas des fois avoir des idées ? Parce que moi j'en ai pas.
Je prends le risque de dire une énorme bêtise: j'ai l'impression, et c'est pas à prendre comme une critique, que personne n'a entendu Fus... pour ce qu'il avait vraiment à dire.
Je ne prétends pas être dans sa tête bien-sûr, mais quand je le lis ce que je comprends c'est: je parle avec des personnes qui ne s'intéressent pas à ce que je dis, qui ne sont pas capables de mener la conversation quand je suis épuisé et que j'aimerais que quelqu'un prenne les choses en main. La situation tourne en rond, ras-le-bol...
Mon interprétation, qui sans doute ne vaut rien, c'est que tu n'as plus d'idées en ce moment précisément parce que tu constates que tu es dans une situation qui ne va nulle part. Cette situation changerait simplement si tu trouvais quelqu'un avec qui discuter, qui serait à la fois capable de t'écouter et de te répondre, quelqu'un qui te comprenne pour ce que tu es.
C'est la de la psychologie de comptoir, je partage juste ce que j'ai ressenti en te lisant.
Edit: je ne sais pas dire à quel point j'ai interprété ce fil. Je fais un lien avec un "j'en ai marre de faire semblant". Les autres sont souvent lents, d'autres sont méga speed, spirituels, surprenants... Les pas drôles s'offusquent que toi tu (le "toi tu" vaut pour un "je" sauf que j'énonce ça comme une généralité; ça n'en reste pas moins une hypothèse) sois vif, impatient, taquin et un brin emmerdeur, ou que sais-je... Marre des compromis qui sont pour moi de la condescendance.
Je ne prétends pas être dans sa tête bien-sûr, mais quand je le lis ce que je comprends c'est: je parle avec des personnes qui ne s'intéressent pas à ce que je dis, qui ne sont pas capables de mener la conversation quand je suis épuisé et que j'aimerais que quelqu'un prenne les choses en main. La situation tourne en rond, ras-le-bol...
Mon interprétation, qui sans doute ne vaut rien, c'est que tu n'as plus d'idées en ce moment précisément parce que tu constates que tu es dans une situation qui ne va nulle part. Cette situation changerait simplement si tu trouvais quelqu'un avec qui discuter, qui serait à la fois capable de t'écouter et de te répondre, quelqu'un qui te comprenne pour ce que tu es.
C'est la de la psychologie de comptoir, je partage juste ce que j'ai ressenti en te lisant.
Edit: je ne sais pas dire à quel point j'ai interprété ce fil. Je fais un lien avec un "j'en ai marre de faire semblant". Les autres sont souvent lents, d'autres sont méga speed, spirituels, surprenants... Les pas drôles s'offusquent que toi tu (le "toi tu" vaut pour un "je" sauf que j'énonce ça comme une généralité; ça n'en reste pas moins une hypothèse) sois vif, impatient, taquin et un brin emmerdeur, ou que sais-je... Marre des compromis qui sont pour moi de la condescendance.
Dernière édition par Lambda le Ven 29 Nov 2013 - 16:23, édité 1 fois (Raison : pour ajouter qqch)
Invité- Invité
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