Fumez-vous?

Après la lecture d'un article où il était mentionné que, chez les fumeurs, le QI moyen était inférieur à la moyenne, je me suis demander si cela ne serait pas plutôt dû à un plus grand nombre de fumeur avec de petit QI (genre 80-90) alors que les Zèbres, peut-être, sont tout aussi, voire plus, assujettis à la dépendance nicotinique :

http://www.drgoulu.com/2010/02/27/fumer-rend-idiot-cest-prouve-au-contraire/

Le sondage dure 7 jours. Ne soyez pas gêné et permettez-vous quelques commentaires, prévisions ou observations.

Merci à tous.

J'ai jamais fumé...avant la sixième au collège...Rho !
J'ai arrêté de fumer, si c'est vrai ! Mais j'ai recommencé...Plusieurs fois !
Je fume...du cerveau, regarde, ça sort par les oreilles...

Y'a longtemps j'avais lu que la décharge de nicotine dans le cerveau était comme un flash de drogue !
Du coup , je me demande si j'ai vraiment besoin de fumer ...et à contrario soit je suis idiote, soit je vais le devenir si je stoppe la clope... 

Et en plus, pas de mesure de QI dans mon sac ,ai-je donc ma place dans ton test ?
Filer autant d'argent volontairement à l'état me donne plutôt l'impression d'être une poule au QI de moule !

Pan dans les dents !
Et une raison de plus pour arrêter ... Ne plus avoir des idées à la con qui fusent !
Ha , je risque d'être moins drôle...
Et si fumer était un écran de camouflage....?

Estelle a écrit:
Et en plus, pas de mesure de QI dans mon sac ,ai-je donc ma place dans ton test ?

À toi d'en juger. Je n'ai pas de prétention scientifique ici. La question m'est venue, je la traduit sous forme de sondage, voilà tout.

Que veux-tu dire pas :"écran de camouflage"? Je ne saisis pas très bien, tu veux dire que le nuage de fumée sert de camouflage? Non, sérieusement : peux-tu développer?

P.S. Moi aussi je fume! Je ne suis pas capable d'arrêter, bordel!

Je suis le premier du sondage à avoir arrêté
Arrêter c'est simple, il suffit de le faire

Oui, gros fumeur depuis mes 16-17 ans.
Le problème étant que, malgré l'inutilité totale du concept, j'aime vraiment ça.

Et globalement très (trop) sensible aux addictions en général.

Autour de moi (notamment groupe de potes) il y a toujours eu beaucoup de fumeurs faut dire aussi.
Mais depuis quelques mois je ne vois presque quasiment plus que des électroniques.
De toute évidence la plus grosse révolution depuis longtemps dans le domaine de la mort programmée.

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ouais moi je fume des grosses clopes !!! et ouais ça m'abrutit bien le cerveau... ahahahah blurp

J'étais également un énorme fumeur en soirée, jusqu'à deux paquets (bon, il faut dire que j'étais généreux aussi, si on peut appeler ça de la générosité ). C'est quand j'ai commencé à fumer pas mal (à la suite d'une rupture) en temps normal que ça a commencé à me saouler, d'autant plus que je trouve le goût et l'odeur dégueulasses, c'était juste un remède contre l'ennui. Quand un ami qui venait d'arrêter m'a servi la phrase idiote que j'ai écrit plus haut ça m'a fait réfléchir, je me suis dit merde, je pensais que c'était ultra compliqué à arrêter. Ça ne l'est pas, on remplace momentanément par des chewing gum et ça passe, donc au risque de passer pour un idiot je le dit, si ça peut faire arrêter quelques personnes, ça vaut le coup

J'ai voté "Je suis fumeur", bien que je considère être débarassé de ce fardeau. Mais je crois que même ancien fumeur, on reste fumeur, du moins potentiellement. Bon c'est tordu tout ça, disons pour simplifier que j'ai été un gros fumeur, j'ai arrété en lisant Allen Car, et j'ai eu par la suite plein de périodes de reprises, d'arrêts, jusqu'à une espèce de stabilisation où je fumais quelques cigarettes en soirée. Depuis peu je vapote (beaucoup), avec quelques cigarettes par ci par là. Par contre je m'imagine difficilement arrêter la vapote, pour la bonne raison que je ne vois pas de bénéfice immédiat (tandis qu'en arrétant de fumer, on retrouve plein de trucs positifs, la respiration, l'odorat, etc etc...)

cancre zébré a écrit:Par contre, si j'avais pu fumer 3 clopes/jour, j'aurais certainement continué mais le problème c'est que je suis un peu excessive en tout... quand je commence un truc, je le fais parfois jusqu'à l’écœurement.

Tout pareil. Je connais quelques personnes qui ne fument qu'en soirée par exemple, je trouve ça génial !
La liberté du petit plaisir ponctuel sans les inconvénients (puisque évidemment ça n'a pas la moindre incidence physique à une si faible dose).
Me rappelle aussi d'une fille qui était une vraie fumeuse régulière, mais qui tournait autour de 3-5 clopes par jour.
Étant excessif comme toi (haha) je n'ai jamais compris comment c'était possible, mais c'est un peu pareil que l'exemple précédent.
Il y a certes une vraie dépendance dans ce cas, mais peu de risques physiques à 5 clopes par jour, ce qui change quand même la donne.
Et puis c'est pas du tout le même prix non plus entre autres choses...

Cr4G a écrit:c'était juste un remède contre l'ennui.

C'est clair qu'il y a vraiment de ça...
D'ailleurs j'ai toujours trouvé le mot-valise « fume-heure » très approprié !

Patate a écrit:ouais moi je fume des grosses clopes !!! et ouais ça m'abrutit bien le cerveau... ahahahah blurp

Je ne suis pas sûr d'avoir saisi hem... tu es une camée ou une nympho ?  

Camouflage...à l'époque où ça coutait pas cher d'être de la " foule qui fume" et rapidement sous dépendance de la nicotine...
Camouflage " ha désolée , je bois pas , mais je fume"...ouf , je suis pas trop différente...
Parce qu'enfin c'est con, mais j'ai souvent trouvé pas mal de gens sympas "chez les fumeurs"...on fait une pause pendant que les autres continuent à bosser !!! 
Camouflage...derrière ma fumée , je dissimule mes émotions...ou je tente d'abrutir mon ennui ...(embouteillages).
Grâce à ma clope, j'ai tout loisir de faire un break dehors, sortir quoi, m'échapper du monde quand il m'oppresse !

jamais commencé, je me contente de tirer sur un petit joint qui passe par-ci par-là une fois toutes les lunes... jamais eu envie de m'en faire un...

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Punaise! Le sondage est fort populaire : déjà 30 votants. J'avais été étonné de constater que cette question n'avait jamais été posé : à croire que tous les sujets n'ont pas été exploités.

Ultraterrestre a écrit:

Patate a écrit:ouais moi je fume des grosses clopes !!! et ouais ça m'abrutit bien le cerveau... ahahahah blurp

Je ne suis pas sûr d'avoir saisi hem... tu es une camée ou une nympho ?  

... un peu des 3 ! non mais ultraterrestre je BLAGUAIS ! sinon je clope 1 fois dans la journée et 3/4 dans la soirée.
J'ai bon ?

Patate a écrit:... un peu des 3 ! non mais ultraterrestre je BLAGUAIS ! sinon je clope 1 fois dans la journée et 3/4 dans la soirée.
J'ai bon ?

Oui bah j'étais pas éminemment sérieux moi non plus, pas la peine de majusculer  


Mais sinon ouais, pas mal du tout ta consommation.
Juste le côté plaisir en limitant drastiquement les effets négatifs.
C'est vraiment un rythme raisonnable, pas d'abus, tu es une Patate douce.

Moi j'adore fumer.
Je ne fume pas pourtant de la journée, là je suis chez mes parents, je ne fume pas, quand j'ai mon gosse, je ne fume pas, pourtant je ne comprends pas ceux qui ne le font pas.
C'est un acte 'suicidaire' par défaut.
On fume un peu, on se brule les poumons, on se tue à petit feu.
C'est extrêmement sain.
Cela permet de vivre.
Paradoxe comme toute chose.

Bon, je vais bosser pas loin de la Belgique et là bas le tabac c open bar ; alors je file zéro thunes à l'Etat français ; mais bon.
L'argument, tu fumes donc tu te tues... léger...
Quand on mange, on cultive notre ulcère ou cancer de l'estomac, pourtant cet organe est là pour cela.
Si on ne devait pas mourir, nous n'aurions pas d'organes.

En cela je fume car j'ai des poumons ; si je n'en avais pas je ne fumerai pas.

Bref, je fume, je fumais et je fumerai.
Merci Cabrel.

 

Je ne sais pas quoi voter car je ne fume qu'en soirée. Et ce, depuis des années (depuis environ mes 18 ans, et j'en ai 35). En fait, c'est l'alcool qui me donne automatiquement envie de fumer
Si je fume dans la journée, sans alcool, je ne ressens que les effets négatifs de la cigarette : j'ai la nausée, la tête qui tourne, voire une petite chute de tension  ... tandis que si je fume en buvant du vin par exemple, bein là je ne ressens que les effets agréables : stimulation, plaisir, etc.

Explication possible : la cigarette est vaso constricteur (rétrécit les vaisseaux sanguins) et l'alcool est vaso dilatateur (dilate les vaisseaux sanguins), donc peut-être que les deux ensemble s'annulent mutuellement leurs effets désagréables, et qu'alors on ne retire que les sensations agréables de l'alcool et du tabac... je sais pas...  


D'ailleurs, je n'ai jamais compris ceux qui disent que leur plus grand plaisir est de fumer une clope en buvant un café. Déjà, le café tout seul me réussit moyen (ça me donne de la tachycardie et si je monte en voiture juste après avoir avalé un café, j'ai la gerbe, c'est une horreur ).
Donc si je bois un café et que je fume une clope, à moins d'avoir la méga patate ce jour-là, généralement j'ai la nausée et je suis à la limite de me trouver mal...
(Edit : et quand on sait que le café est, comme la cigarette, vaso constricteur, y'a peut-être une explication de ce côté-là)


Par contre, comme je suis excessive, quand je sors, je suis capable de me fumer un paquet entier dans la soirée (voire plus, si on fait la fiesta jusqu'au bout de la night, cong ), et vu que je ne suis pas une fumeuse régulière, mon corps a ensuite du mal à s'en remettre (généralement le lendemain je m'appelle Roger et je suis crevée complet ... je décide alors, pour la 150ème fois, que je vais arrêter de fumer, même si je fume qu'en soirée, parce qu'à force ça fait beaucoup aussi... mais je m'y tiens pas... j'ai acheté une clope électronique, mais franchement, spapareil )


Quand j'étais étudiante et que je rédigeais mon mémoire, j'étais en mode autisto-troglodite, tout le temps enfermée chez moi devant mon ordi , donc je sortais très rarement ("sortir" dans le sens de aller au restau, boire un verre, faire la fête, toussa), du coup je ne fumais pratiquement pas de l'année.
Et puis si je sortais un soir (ça m'arrivait quand même de temps en temps), PAF (non pas le chien), je me grillais un paquet dans la soirée, et je disais aux gens : "ça fait un mois que j'ai pas fumé " (là vous voyez bien le côté excessif du truc : passer de 1 mois entier sans fumer une seule clope >> à 20 cigarettes en quelques heures. Non mais allo quoi :Nabila:). Et là, tous les fumeurs me regardaient avec des yeux ronds : "quoi ? mais comment tu fais ?  t'as de la volonté dis donc !" et je leur répondais "mais non, j'ai pas de volonté, je me force pas à ne pas fumer. J'ai même des cigarettes chez moi ! Mais toute seule, sans amis ni un p'tit verre, bein je ne ressens aucune envie de fumer, voilà tout..."


Ah oui parce que y'a ça aussi qui entre en ligne de compte : j'ai surtout la clope sociale. C'est-à-dire que si je suis seule et que je me bois un p'tit verre de vin en fumant une clope (les gens vont finir par me prendre pour une grosse alcolo ), bein ça ne me fait pas le même effet... alors qu'avec des gens, en train de papoter, etc., bein là c'est agréable !

D'ailleurs, les gens qui ne me fréquentent qu'en soirée sont persuadés que je suis une grosse fumeuse régulière. Ils sont loin d'imaginer qu'après avoir passé une soirée à fumer comme un pompier, je suis heureuse de ne plus fumer pendant plusieurs jours et de laisser mes poumons respirer. D'ailleurs, je crois que si on me faisait fumer un paquet/jour tous les jours (genre on me force pour pratiquer une expérience ), je le vivrais SUPER MAL et j'aurais l'impression de crever.


Bien sûr, tous les fumeurs réguliers m'envient, aimeraient en arriver à ne fumer qu'occasionnellement comme moi... et moi j'envie les non fumeurs, qui peuvent passer toute une soirée à faire la fête sans fumer une seule clope...  


Ché pas, faudrait peut-être étudier les cerveaux des non fumeurs, des fumeurs occasionnels et des fumeurs réguliers, pour voir les différences et à quoi sont dûes ces inégalités vis-à-vis de l'addiction

Enfant et ado, je détestais la clope, je n'ai jamais fait partie de ceux qui allaient se planquer pour aller en fumer une pendant les récrés.
Puis je suis entrée à la fac: même ligne de conduite alors qu'autour de moi, cela fumait à fond.
Puis ma formation professionnelle et les stages pratiques (j'avais 24 ans): là, une de mes tutrices, me voyant hyper flippée m'a dit: "tiens, essaie ça, cela te détendra". C'était une clope, une Royale Menthol en plus...
Une des plus grosses conneries de ma vie, car je suis vite devenue accro...
Six ans après, j'étais facilement à un paquet par jour (j'ai arrêté les menthol, j'étais aux Marlobro Light), puis est venu le ras le bol d'être aussi connement dépendante.
Je m'y suis prise à deux fois pour arrêter, mais à 30 ans, j'étais libérée de cette merde...
Et pourtant, j'avoue que comme certains, j'aimerais être capable d'en fumer juste une de temps en temps pendant les fêtes, mais je me connais, si j'en refume une, je vais retomber dedans.
Je serais plutôt une fumeuse qui a arrêté de fumer et ceci, 11 ans 2 mois et 12 jours après avoir allumé et éteint mon dernier clou de cercueil...

Bliss a écrit:
D'ailleurs, je n'ai jamais compris ceux qui disent que leur plus grand plaisir est de fumer une clope en buvant un café. Déjà, le café tout seul me réussit moyen (ça me donne de la tachycardie et si je monte en voiture juste après avoir avalé un café, j'ai la gerbe, c'est une horreur ).
Donc si je bois un café et que je fume une clope, à moins d'avoir la méga patate ce jour-là, généralement j'ai la nausée et je suis à la limite de me trouver mal...
(Edit : et quand on sait que le café est, comme la cigarette, vaso constricteur, y'a peut-être une explication de ce côté-là)

Ba j'ai jamais compris pourquoi non plus ... Le café donne pas plus envie de fumer qu'autre chose. Moi c'est dès que je mange ou boit quelque chose que j'ai envie de fumer ... (Bon c'est de l'humour je sais très bien pourquoi les gens disent avoir plus envie de fumer quand ils boivent un café).

Plus sérieusement je fume depuis mon entrée au lycée, soit depuis mes 15 ans. Je suis pas particulièrement un gros fumeur, moyenne de 15 clopes par jours, avec des périodes à 40 une fois de temps en temps (et je ne parle pas des soirées mais de vraies périodes).
Par contre sans être un "gros" fumeur, je suis pas le genre qui arrète, encore moins par un simple effort de volonté. Si y'a bien un truc auquel je suis dépendant c'est bien la clope (j'ai eu plus de facilité à arrété les opiacés de mon toubib que la clope après des pb aux poumons).

On sait pourtant bien que c'est de la crotte (qui a dit comme le reste ? faites pas les malins j'ai entendu ! ..), mais faut croire que mettre sa santé en danger n'est pas suffisant pour casser le lien de dépendance.

Du coup, je vous laisse, faut que j'aille surveiller la pelouse et prendre l'air ... 

shannow a écrit:Plus sérieusement je fume depuis mon entrée au lycée, soit depuis mes 15 ans. Je suis pas particulièrement un gros fumeur, moyenne de 15 clopes par jours, avec des périodes à 40 une fois de temps en temps (et je ne parle pas des soirées mais de vraies périodes).

Entre 15 et 40 clopes par jour.
Je ne sais pas ce qu'est un gros fumeur pour toi alors

Je 'ai touché mes premières clopes à l'adolescence, mais c'était genre deux ou trois par an. Donc je n'aurais pas été concerné par l'étude scientifique mentionnée dans ce fil.

Puis, quand j'étais étudiant, j'ai commencé à fumé en soirée.

Suite à une rupture, j'ai commencé à fumer, mais très peu. Je me suis stabilisé à 1 cigarette par jour. Pour ceux qui aimeraient diminuer leur consommation, j'ai deux suggestions qui semblent avoir marché pour moi :

1. les cigarettes classiques ont tendance à appeler la suivante. Ce n'est pas le cas des cigarettes sans additifs (p. ex. Pueblo ou American Spirit). J'ai trouvé que celles-ci se fumaient moins vite et ne donnaient pas envie d'en prendre une deuxième. Je crois que passer à ce type de cigarettes à aussi aidé ma douce à passer d'un demi paquet à une cigarette par jour en quelques mois. Attention, je ne dis pas que c'est automatique, simplement ça me semble plus facile de diminuer avec ce genre de clopes.
   
2. Ce qui m'a permis de ne pas glisser vers une plus grosse consommation, c'est d'arrêter régulièrement pendant une semaine. Je fais ça aussi pour l'alcool : si je trouve que je consomme un peu trop souvent, j'essaie de ne rien consommer pendant une semaine, juste histoire de voir si ça me manque de façon inquiétante.
   

Et puis à un moment, on s'est dit ensemble qu'il était temps d'arrêter et on l'a juste fait. Il peut arriver qu'on prenne une clope comme ça avec un verre de bière mais sincèrement je n'ai plus l'impression d'y prendre plaisir.

Ma mère a commencé à 14 ans, a fumé une moyenne de 60 gitanes sans filtre par jour pendant près de 15 ans (même quand elle était enceinte), avant de changer pour des clopes réputées moins malsaines (tu parles, Royales mentholées) et de réduire à deux paquets par jour quelques années plus tard.

Vers 45 ans, elle a fait faire une radio des poumons et le médecin lui avait dit qu'elle avait des poumons de jeune fille, tous blancs. A l'époque, elle marchait énormément, habitait au 6e étage sans ascenseur, ça entretenait le souffle.

Alors, qui est un grand fumeur ?  


Moi, ça m'a dégoûté des clopes à vie, ça et le fait d'avoir essayé discrétos quand j'avais 7 ans; J'ai à peine crapoté, mais c'était tellement immonde que je n'ai plus jamais fumé de ma vie.

@Ainaelin: les gitanes sans filtres, c'est vraiment un autre monde ! Mon papa m'a fait goûté vers l'âge de 7 ans et en pratique je crois que ça m'a préservé pendant le début de l'adolescence. À l'âge adule, du temps ou je fumais plus ou moins régulièrement, j'ai acheté un paquet de ces fameuses gitanes sans filtre. Je n'ai pas pu finir la première du paquet. Ça a toujours été et ça restera toujours dégueulasse.

Ultra : Je voulais dire que d'une manière générale je fume 15 clopes par jours, 40 c'est des périodes qui sont heureusement rares.

Concernant les cigs sans additifs, je pense que c'est peut-être éfectivmeent moins addictif, mais la encore, à voir pour chacun. Je fume ce genre de tabac depuis 8 ans, jamais varié (ou alors quelques mois), et, paradoxe, c'est ce genre de tabac auquel je suis accros.

Ainaelin a écrit:J'ai à peine crapoté, mais c'était tellement immonde que je n'ai plus jamais fumé de ma vie.

J'ai commencé en classe de 3e pour faire comme les copains : des Royale menthol (pour que ça sente moins    )
Ca a duré quelques semaines, puis plus rien...

En terminale, une copine m'a enfin appris à avaler la fumée.
Je me souviens avoir traversé la place en zig-zag pour aller prendre mon bus  
Ca a duré quelques semaines, puis plus rien...

Rebelote en fac. Année de licence.
Sur les conseils d'une copine, je suis passée à des choses plus "classe"...
Des JPS pour le paquet noir puis des fines 120, mentholées.

J'ai dû en fumer trois par jour pendant... 6 mois...
Pour finalement décider que c'était franchement mauvais et, surtout, que je n'arriverais pas à devenir dépendante  
Alors j'ai arrêté !!!

Juste avant mon divorce... je me suis dit que peut-être...
Lors d'une fête, j'en ai fumé 1, toujours dans la même optique : classe, contenance mais...   

Le paquet de fines 120 acheté en 2005 est passé à la poubelle il y a quelques semaines.   

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Avant-hier, j'ai pris le bus. Je me suis décalé pour permettre à une jeune fille de s'asseoir. Pendant tout le trajet, je me suis tourné vers la fenêtre en bloquant parfois ma respiration tellement elle empestait le tabac froid. Insupportable.

Mais ça n'est pas vraiment le sujet, pardonnez-moi.

Tous mes potes de fac fument...  je déteste l'odeur de clope, l'idée de sentir comme du goudron dans ma gorge mais si ce sont des menthol, on aura tjrs l'impression d'avaler du goudron... quitte à accélérer le processus, vaut mieux boire un bon coup et aller faire un p'tit tour sur la route pour le dernier roulé-boulé (roulé... haha qu'elle bonne blague... ) de sa vie avant de scratcher sa bagnole contre un arbre pour que celle çi fasse enfin BOUM !
Pardon, je déteste la clope, même parfumées et je ne veux pas d'un p'tit copain qui fume juste pour faire joli car on ne sait pas comment occuper ses moments d’ennui.

Je fume depuis mes 15 ans
j'ai arrêté 3 fois de fumer. De fermes résolutions pour les deux premières, avec hélas des reprises au bout de six mois, et à chaque fois lors de repas de famille.
La troisième fois, j'ai été obligé d'arrêter. c'était le 26 janvier 2011 à 12h15, quand j'ai eu un AVC.
Dans l'après midi, j'avais des fils partout, mais j'ai demandé à l'infirmière de m'aider à aller sur le balcon pour prendre ma dose. 15 mn plus tard, j'avais l'addictologue et un patch sur le dos.
Hélas, j'ai repris le clop délibérément, dans un moment d’égarement, après 15 mois d'abstinence.
Il y a deux mois, je suis allé voir un acupuncteur, pour faire plaisir à ma marraine qui insistait, et ne pas avoir à lui mentir.
J'ai eu des trous dans le nez et dans le portefeuille, et c.. comme pas deux, j'ai fumé avant la voiture pour voir si ça avait toujours du goût.
Il faut que j'arrête, mais avant, je voudrais goûter autre chose, pour voir.

J'évite les fumeurs. C'est un geste que je n'ai jamais compris.

siamois93 a écrit:J'évite les fumeurs. C'est un geste que je n'ai jamais compris.

Ce qui te fait éviter un tiers de la population française adulte sur un critère que tu ne comprends pas.

Certes. Et puis au-delà de ça il n'y a rien à comprendre de toute façon. C'est une drogue c'est tout.

Cigarette depuis la 2nde.

Bédo au lycée. Arrêté depuis, c'est le côté social du truc qui me dérange maintenant. En plus les consommateurs réguliers (c-à-d en dehors des soirées, donc avant le boulot/cours) finissent par ne parler plus que de ça. C'est horriblement chiant.

je suis trop tard pour répondre aux questionnaire, mais je suis ancienne fumeuse, 25 clopes par jour en moyenne. Arrêtée sans rien avec de l'actifed pour palier les crises du manque du soir. Le cachet "nuit" me stonifiait, et quand la crise de manque a cessé j'ai arrêté l'actifed.
Cela fera 10 ans en Janvier, pas une rechute. En fait il ne faut pas avoir envie d'arrêter de fumer, il faut arriver à se ressentir esclave, et vouloir s'en libérer. C'est un choix, à chacun le sien.