Corrélation entre Suicide et Lésions cérébrales ...
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Corrélation entre Suicide et Lésions cérébrales ...
En effectuant une recherche sur "Suicides et SEP", je viens de lire cet article sur l'Examer (journal britannique):
Corrélation entre le suicide et les lésions cérébrales et ce que cela pourrait signifier pour la SEP.
En fait, pas que la SEP, mais toute autre cause de lésion cérébrale ....
L'article parle, entre autre, du suicide de deux joueurs de football américain atteints d’encéphalopathies traumatiques dues à ce sport violent, mais pas que ....
The director of Moss Rehabilitation Research Institute, Dr. John Whyte, says a écrit:"Exactement comme n'est pas claire, la façon dont les dommages cérébraux provoquent des troubles de l'humeur. Il pourrait y avoir des changements biologiques en cours, ou des changements dans les neurotransmetteurs qui affectent l'humeur, ou bien, il se pourrait que ces lésions perturbent un facteur psychologique, si bien que cela modifie vraiment votre vie "
Les traumas ne semblent pas les seuls facteurs mis en cause, les "maladies démyélinisantes" également, et probablement nos problèmes de connexions cérébrales différentes (là, c'est moi qui me pose la question), qui pourraient provoquer des changements "biologiques" dans nos cerveaux ...
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Corrélation entre Suicide et Lésions cérébrales ...
J'ajoute que les violences physiques créent des lésions cérébrales (cf. références dans alice-miller.com) et des souffrances psychiques qui mènent légitimement au suicide...
Corrélation Suicide-Violences subies avant 18 ans
http://www.institutdevictimologie.fr/actualites_1.html
Re: Corrélation entre Suicide et Lésions cérébrales ...
Je ne découvre ce sujet qu'aujourd'hui.
Il aborde des préoccupations qui ont été et sont miennes encore, mais de façon beaucoup moins aiguës.
AVC (AIT) le 26 janvier 2011 dans la soirée et hospitalisation le 28 à 12h30 ( médecin traitant pas disponible et viscosité cérébrale innée chez moi ). Un dernier clop ( C.. jusqu'au bout ) devant l'entrée des urgences, sur une jambe et soutenu par mon amie.
Hémiplégie totale durant 3 jours. puis 1 mois d’hôpital, 3 mois à Kerpape dans la même chambre qu'un homme de mon âge mais avec une SEP et 2 mois environ en hôpital de jour.
Aujourd'hui, une vie presque normale hormis des épisodes d'immense fatigue. L'émotion, positive ou négative influe sur ma vitesse et mon équilibre en marchant. j'ai alors la jambe émue et la coquetterie dans la démarche devient visible.
Par rapport au suicide: J'en ai eu l'idée, mais pas plus que les personnes que je fréquente. C'est tout de même un sujet qui a été abordé avec presque l'ensemble de mes amis, et à leur sujet autant qu'au mien. Ici, c'est la première fois que je l'aborde pour moi, mais sans alarmisme.
J'ai trouvé différents résultats concernant le lien entre suicide et AVC:
Une étude suédoise a été menée entre 2001 et 2012 auprès de 220 000 personnes ayant eu un AVC.
- 1217 tentatives dont 260 décès.
- age < 55 ans ...... risque X 5 dans les 2 ans après l'AVC.
- Risque 72 % plus grand pour les personnes vivant seules.
- Risque augmenté de 37% pour les personnes à faible niveau d'éducation et de revenus.
Etude danoise a été menée auprès de 114 000 personnes ayant eu un AVC.
- Population normale 45 décès pour 100 000 mais 83 pour les personnes avec AVC.
- Facteur X 1.88 chez les hommes par rapport aux femmes.
- Avant 50 ans, risque X 3
- hospitalisation pour l'AVC < 2 semaines est plus grande que pour hospitalisation > 3 mois.
C'est pas réjouissant quand en plus, tu lis qu'après un AVC, les risques d'en avoir un autre sont plus grands qu'avant le premier mais s'amenuisent dans le temps.
Mais ce ne sont que des chiffres, et je suis d'un tempérament particulièrement contrariant pour ce que je ne comprends pas, c'est peu de le dire.
Les bonnes nouvelles.
- Cela fait plus de cinq ans déjà.
- Une sexualité normale quand j'ai une compagne. ( recherche ........ et plus si affinités )
- Des revenus qui m'autorisent plus que la survie.
- Une éducation, une culture et une estime de moi pas trop mauvaise bien qu'aggravée par ma participation à ce forum
- De multiples témoignages de personnes ayant vécu au delà de 90 ans après un AVC dans la cinquantaine.
- Hormis la fatigue, la douleur, la casse de vaisselle en la lavant , les difficultés d'orientation dans la conduite automobile et ces p...ting de cubes, je vis NORMALEMENT et peut venir emmerder les genssss ici
D'après mes proches à qui j'ai posé la question, je n'ai pas eu de changement de comportement, d'humeur. J'exploiterais donc toujours mont THPE ( très haut Potentiel à Enquiquiner les autres ).
Voilà, quelques résultats d'études et mon témoignage pour l'AVC.
Jepense crois suis maintenant sûr que la particularité des HPI vient de notre grande plasticité cérébrale. Il me semble avoir lu que toi même était atypique dans l'évolution de la SEP.
La plasticité est notre chance, en tant que HPI et en tant que cérébrolésés.
Il aborde des préoccupations qui ont été et sont miennes encore, mais de façon beaucoup moins aiguës.
AVC (AIT) le 26 janvier 2011 dans la soirée et hospitalisation le 28 à 12h30 ( médecin traitant pas disponible et viscosité cérébrale innée chez moi ). Un dernier clop ( C.. jusqu'au bout ) devant l'entrée des urgences, sur une jambe et soutenu par mon amie.
Hémiplégie totale durant 3 jours. puis 1 mois d’hôpital, 3 mois à Kerpape dans la même chambre qu'un homme de mon âge mais avec une SEP et 2 mois environ en hôpital de jour.
Aujourd'hui, une vie presque normale hormis des épisodes d'immense fatigue. L'émotion, positive ou négative influe sur ma vitesse et mon équilibre en marchant. j'ai alors la jambe émue et la coquetterie dans la démarche devient visible.
Par rapport au suicide: J'en ai eu l'idée, mais pas plus que les personnes que je fréquente. C'est tout de même un sujet qui a été abordé avec presque l'ensemble de mes amis, et à leur sujet autant qu'au mien. Ici, c'est la première fois que je l'aborde pour moi, mais sans alarmisme.
J'ai trouvé différents résultats concernant le lien entre suicide et AVC:
Une étude suédoise a été menée entre 2001 et 2012 auprès de 220 000 personnes ayant eu un AVC.
- 1217 tentatives dont 260 décès.
- age < 55 ans ...... risque X 5 dans les 2 ans après l'AVC.
- Risque 72 % plus grand pour les personnes vivant seules.
- Risque augmenté de 37% pour les personnes à faible niveau d'éducation et de revenus.
Etude danoise a été menée auprès de 114 000 personnes ayant eu un AVC.
- Population normale 45 décès pour 100 000 mais 83 pour les personnes avec AVC.
- Facteur X 1.88 chez les hommes par rapport aux femmes.
- Avant 50 ans, risque X 3
- hospitalisation pour l'AVC < 2 semaines est plus grande que pour hospitalisation > 3 mois.
C'est pas réjouissant quand en plus, tu lis qu'après un AVC, les risques d'en avoir un autre sont plus grands qu'avant le premier mais s'amenuisent dans le temps.
Mais ce ne sont que des chiffres, et je suis d'un tempérament particulièrement contrariant pour ce que je ne comprends pas, c'est peu de le dire.
Les bonnes nouvelles.
- Cela fait plus de cinq ans déjà.
- Une sexualité normale quand j'ai une compagne. ( recherche ........ et plus si affinités )
- Des revenus qui m'autorisent plus que la survie.
- Une éducation, une culture et une estime de moi pas trop mauvaise bien qu'aggravée par ma participation à ce forum
- De multiples témoignages de personnes ayant vécu au delà de 90 ans après un AVC dans la cinquantaine.
- Hormis la fatigue, la douleur, la casse de vaisselle en la lavant , les difficultés d'orientation dans la conduite automobile et ces p...ting de cubes, je vis NORMALEMENT et peut venir emmerder les genssss ici
D'après mes proches à qui j'ai posé la question, je n'ai pas eu de changement de comportement, d'humeur. J'exploiterais donc toujours mont THPE ( très haut Potentiel à Enquiquiner les autres ).
Voilà, quelques résultats d'études et mon témoignage pour l'AVC.
Je
La plasticité est notre chance, en tant que HPI et en tant que cérébrolésés.
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