Au fil des mots ....
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Au fil des mots ....
Les mots nous ressemble... tantôt gais, tantôt tristes... ils sont le miroirs de notre âme et quoi de plus beau que la poésie pour les mettre en lumière.
Je vous propose de partager simplement, sans jugement, le plaisir des mots qui virevoltent sans vergogne ....
Les mots sont plus forts que les maux
Bonnes fêtes !!
Je vous propose de partager simplement, sans jugement, le plaisir des mots qui virevoltent sans vergogne ....
Les mots sont plus forts que les maux
Bonnes fêtes !!
Cétoine- Messages : 86
Date d'inscription : 07/12/2013
Age : 58
Re: Au fil des mots ....
Des mots encore des mots, toujours des mots ... jamais ils ne finissent ...jamais ils se tarissent
Bonne journée
Bonne journée
Cétoine- Messages : 86
Date d'inscription : 07/12/2013
Age : 58
Re: Au fil des mots ....
Saxo folie
Charlie Parker te tape dans le dos
Et tu expulses un vibrato
Jazzy Saxo
Accord mineur, accord majeur
La musique vibre dans mon cœur
Elle me lèche l'oreille
Saxo, instrument sans pareil.
Ton saxo rutilant
Brille au firmament
Les notes tourbillonnent
Majestueux saxophone
Dans une ivresse harmonique
Coltrane flotte euphorique
Sur ta divine musique
Tu improvises un morceau
Sur un blues en solo
Tremolo et vibrato
Exulte ton saxo
Véritable duo
Les notes nous transportent
Vers ton Eldorado
Poème écrit pour une amie saxophoniste
Charlie Parker te tape dans le dos
Et tu expulses un vibrato
Jazzy Saxo
Accord mineur, accord majeur
La musique vibre dans mon cœur
Elle me lèche l'oreille
Saxo, instrument sans pareil.
Ton saxo rutilant
Brille au firmament
Les notes tourbillonnent
Majestueux saxophone
Dans une ivresse harmonique
Coltrane flotte euphorique
Sur ta divine musique
Tu improvises un morceau
Sur un blues en solo
Tremolo et vibrato
Exulte ton saxo
Véritable duo
Les notes nous transportent
Vers ton Eldorado
Poème écrit pour une amie saxophoniste
Cétoine- Messages : 86
Date d'inscription : 07/12/2013
Age : 58
Re: Au fil des mots ....
Désir d’enfant
Si souvent j’ai caressé
Ce désir d’enfanter,
ce désir de maternité.
Alors en rêve,
je préparais mon antre
te réservais mon ventre,
Enfant de la trêve.
Et ne voyais pas pourquoi diantre
Il n’y pousserait que l’ivraie
Mais pas l’enfant espéré.
Souvent de ta naissance, j’ai rêvé.
Et à l’espoir je me suis livrée.
Mais me laissais aller aux larmes,
Et déposais les armes
A la vue de ce flot garance
Qui vidait ce corps en transe.
Alors je fardais l’espérance
Qui se muait en souffrance.
Cet enfant que tant d’autres portent
Me laisse vide et morte
Quand se ferme la porte
Et que le désir avorte.
Si souvent j’ai caressé
Ce désir d’enfanter.
Quand viendra-t-il ce jour
Délivrance de l’amour ?
Poème écrit il y a quelques années mais toujours aussi vrai
Si souvent j’ai caressé
Ce désir d’enfanter,
ce désir de maternité.
Alors en rêve,
je préparais mon antre
te réservais mon ventre,
Enfant de la trêve.
Et ne voyais pas pourquoi diantre
Il n’y pousserait que l’ivraie
Mais pas l’enfant espéré.
Souvent de ta naissance, j’ai rêvé.
Et à l’espoir je me suis livrée.
Mais me laissais aller aux larmes,
Et déposais les armes
A la vue de ce flot garance
Qui vidait ce corps en transe.
Alors je fardais l’espérance
Qui se muait en souffrance.
Cet enfant que tant d’autres portent
Me laisse vide et morte
Quand se ferme la porte
Et que le désir avorte.
Si souvent j’ai caressé
Ce désir d’enfanter.
Quand viendra-t-il ce jour
Délivrance de l’amour ?
Poème écrit il y a quelques années mais toujours aussi vrai
Cétoine- Messages : 86
Date d'inscription : 07/12/2013
Age : 58
Re: Au fil des mots ....
La vie c’est comme une rivière
La vie c'est comme une rivière. Elle prend sa source au flan des collines et se nourrit de la sève de notre bonne mère la terre, comme le nourrisson au sein de sa mère. Et au fil des rencontres, au fil du temps, le lit s'élargit et le ruisseau grossit. Sur le chemin de cette rivière : cascades de joie et torrents de bonheur et tout s'accélère. Puis les eaux deviennent calmes, paisibles. Mais les terrains accidentés accélèrent de nouveau le débit de notre rivière puis un barrage. Barrage de nos peurs et de nos doutes, ouvrez les vannes que je puisse vivre et reprendre ma route. Et la rivière reprend son chemin jonché d'obstacles encore, mais les eaux sont plus fortes. Elle suit sa route toujours et toujours portée par les flots. Rien ne retient ses gouttes d'eau qui s’unissent dans un même élan et regagnent l'océan.
L'océan, n'est-ce pas là vers où nous voulons aller : l'océan du bonheur, l'océan de l'amour ? Oh, cet océan n'est pas toujours calme, tempêtes, ouragans, flots agités. Mais il résiste à tout. Car il a compris que dans la vie tout va et tout revient : qu'après la tempête revient le beau temps, qu'après la pluie le soleil brille. Alors il attend, il ne subit pas les remous du temps, il patiente.
Cétoine- Messages : 86
Date d'inscription : 07/12/2013
Age : 58
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