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Message par Belhibou Sam 15 Fév 2014, 20:55

Pour épargner celles et ceux qu’un texte interminable rendrait malade, ou si l’on veut avoir une vision claire, je propose ici deux versions pour ma présentation - une qui est très (trop) longue, l’autre qui est très élaguée.


VERSION LONGUE

Salutations à toutes et à tous !  Smile 

Bien qu’ayant cultivé un certain art du développement scriptural, et pour éviter l’écueil souvent subit de la prolixité, j’ai tâché en rédigeant ce message introductif de m’exprimer de façon claire et synthétique. La concision étant par nature une de mes plus fidèles adversaires, l’exercice est fort difficile, aussi ne saurais-je trop vous demandez de me pardonner mes éventuels épanchements, que vous partagiez ce travers ou non, s'il-vous-plaît.  

Maxime est mon prénom, quoiqu’on me connaisse et désigne sous un nombre important de qualificatifs et surnoms plus ou moins plaisants. Je suis âgé d’un peu plus de vingt ans maintenant, même si la vieillesse n’est pas vraiment quantifiable en soi. Je suis né, puis j'ai passé mon enfance et mon adolescence en région parisienne, jusqu’à aujourd’hui ou presque. Cependant, pour des raisons personnelles, mes vraies racines me semblent être partout ailleurs - et nulle part.

Je viens d’une famille de culture judéo-chrétienne et bourgeoise, ex-aristocratique si l’on veut, ni très pauvre ni très riche, et plutôt nombreuse. J’ai la conviction intime que les 3/5e des membres de cette famille au sens large sont concernés par la douance, de près ou de loin. Quoiqu’ils n’aient pas été testés, mes parents le sont presque à coup sûr. Pour mes petits frères, qui ont tout deux passé les examens, le doute est levé - ils le sont très certainement.

Quant à moi, qui suis l’aîné, je n’ai pas été testé, tout simplement parce qu'une sacrée combativité m’a longtemps permis d’aborder sans m’effondrer les inconvénients que m’apportaient une logique particulière ; parce que l’habituelle  étrangeté d’un surdoué peut passer comme un fonctionnement normal dans une famille de surdoués, tant que ladite famille n’est pas tout de suite amenée à s’interroger plus avant sur des sujets qu’elle ignore ; parce que je me suis toujours senti évoluer autrement que commun des mortels, que j’avais appris à composer avec ce décalage malgré tout, et qu’un diagnostique alors me semblait inutile et superflus. Mais aujourd’hui, l’idée des tests me paraît moins angoissante qu’auparavant ; ce pourquoi j’irai sans doute les passer prochainement. Pour en avoir le cœur un peu plus net, en quelques sortes.

Si j’en crois les discours et les essais des uns et des autres, mon parcours scolaire correspond à celui d’un surdoué qui s’ignorait, luttant donc de toute son énergie pour trouver une place dans le monde des choses concrètes, sans savoir pourquoi il devait peiner autant. Toujours dans la tête de classe, je n’ai pourtant jamais été premier - ce n’est pas faute d’avoir essayé. Les appréciations de mes professeurs ont toujours été élogieuses, mais des bémols bien spécifiques revenaient souvent, qui sonnaient comme de profondes injustices à mon sens. En dépit de mon acharnement et de mes efforts pour entendre le système logique général - pire, le système logique scolaire - je n’ai jamais pu être le parfait bon élève. Quel problème d’être sans cesse hors-sujet, quand bien même tout ce qu’on a pu produire semble appréciable ! Reste à prendre conscience et à accepter que c’est parce qu’on est soi-même une espèce de hors-sujet ...

Globalement, le collège et le lycée m’ont permis de faire un long et fort pénible apprentissage de l’ennui. Je dis bien « globalement », puisqu’heureusement, rien ne peut être définitivement soit tout noir soit tout blanc. Aussi, certaines péripéties survenues et/ou vécues, certaines personnes rencontrées ou/et fréquentées, m’ont-elles permis de traverser les épreuves du quotidien, et d’y survivre a fortiori - comme vous pouvez le constater présentement.

J’exultais, au sortir du lycée, croyant naïvement pouvoir amorcer un départ vraiment nouveau en gagnant la première sphère de l’enseignement supérieur. Une année d’hypokhâgne passée dans l’un des établissements les plus prestigieux du pays m'a conduit simultanément à de nouveaux désagréments et à de nouvelles découvertes, que je vous détaillerai peut-être un jour, si l’envie m’en prend et si vous le souhaitez. Quoique très chaotique, cette expérience m'a littéralement transformé - j'ai brusquement grandit, et surtout en bien. Le bonheur en comparaison de ce que j'allais vivre l'année suivante.


Je crois en effet n’avoir pas connu de pire période dans ma vie que celle en tant qu’étudiant à l’université. Six mois trop longs d'amère solitude et de traversée du désert. Nié dans tout ce que j'étais et tout ce pourquoi je me battais, j'ai fini par abandonner la partie, par sortir du jeu après avoir jeté mes dernières cartes sur le tapis en me ruinant la santé - quitte ou double comme on dit. C'était la toute première fois que je baissais complètement les bras. De ces jours et nuits honnis dans ma mémoire, j'ai déchiré les pages sans façon.

Tout cela pour dire que l'expérience compliquée d'un enseignement général orthonormé m'a donné la quasi-certitude que je n'y trouverai pas de place à l'heure actuelle. Question de différents systèmes réflexifs et logiques pour la compréhension d'un monde en partage - problème de stricte parallélisme et de non-correspondance. J'espère en tout cas que, plus tard, j'aurais mieux compris certains codes communément admis, encore et toujours absurdes et/ou mystérieux à mon sens, afin de reprendre un jour des études dites "classiques".

Quitter le système général est un choix difficile à faire, car c'est d'ordinaire une importante prise de risque. Seulement, il vient un moment où il faut gagner son pain, comme dirait l'autre (si souvent cité). Aussi me suis-je dirigé, pour des raisons que j'exposerai vite par la suite, vers un domaine artisanal particulier - et me voici depuis septembre dernier, étudiant en première année de lutherie du quatuor à l'Ecole nationale de Mirecourt ! C'est certes là un grand retournement de situation - mais il est bien vrai que je n'aime pas faire les choses à moitié.

La question suivante ne manquera sans doute pas de germer dans les esprits : pourquoi donc la lutherie ? Question à laquelle je réponds : et pourquoi pas ? Plaisanterie mise à part, l'impératif de brièveté de cette présentation - j'ai déjà fait trop long ! - m'oblige à ne pas beaucoup développer ce sujet ici. Je ne ferai donc que mentionner certains éléments corrélatifs qui me semblent importants pour comprendre mon choix d'orientation. Sachez bien en revanche que je répondrai volontiers à vos éventuelles remarques et interrogations par la suite.

Vous l'aurez compris, l'école a longtemps signifié pour moi beaucoup d'efforts pour pas grand chose, et trop de temps perdu pour espérer vivre quelque fois de ces "pas grands choses" qui en valent la peine. Trop de frustrations, de renoncements, d'humiliations, d'abêtissements, d'incompréhensions, d'angoisse et d'ennui, sont liées à ma scolarité. De même que pas assez d'épanouissement, de satisfaction, d'étonnement, d'exaltation, de plaisir et de création - etc. Comme un pesant devoir. Aussi, ce par quoi j'existe et me définie se situerait plutôt en-dehors, au-delà et ailleurs tout à la fois.

Comme bon nombre d'entre vous, j'ai paradoxalement besoin d'un cadre assez strict et défini pour canaliser mes pensées avant de m'exprimer, de toutes les manières. C'est-à-dire donner des limites à ce qui n'est pas limitable afin d'être audible. Personnellement, je vois le langage comme une espèce d'artisanat perpétuel et permanent. C'est certes un point de vue contestable, mais je me sens généralement moins "artiste" qu'artisan dans ma façon d'être et de créer. D’autant que ce sont souvent les autres qui font d'untel ou d'untel un "artiste".

Quoiqu'il en soit, j'ai cherché à m'exprimer au mieux, de manière à toujours raconter les choses comme une histoire. Cela a commencé par le langage proprement dit. Comme beaucoup d'enfants "précoces", j'ai gardé le silence depuis ma naissance jusque fort tard, jusqu'à ce que je prononce enfin mes premiers mots - qui furent des phrases complètes et complexes, au vocabulaire riche et soutenu - et disons que je parlais comme un livre à un âge qui admet rarement ce genre d'excentricités. Mais parler comme un livre ne veut pas dire s'exprimer de façon adéquate en société. Si l'on s'amuse du décalage au début, on le trouvera bizarre par la suite.

Simultanément, j'ai découvert des moyens d'expression graphiques plus efficaces a priori que les moyens langagiers oraux, et je me suis mis à dessiner, tout et n'importe quoi, très vite et en grande quantité. Un geste libre et fluide. Un trait simple et expressif. Une rapide approche des vues en perspectives, des ombres et lumières, de la suggestion du mouvement. Là de même, on pouvait croire que j'avais de bonnes prédispositions aux arts graphiques. C'est resté vrai jusqu'à ce que je découvre l'existence de canons esthétiques conditionnant la critique, et la règle graduée. De là, j'ai voulu d'un trait impeccable, régulier, conforme, et j'ai détruis la spontanéité de mon crayon - en somme, j'ai tué mon dessin.

C'est qu'alors j'ai affirmé mon goût pour les projets d'ingénierie, d'architecture, d'urbanisme. Je me suis tourné vers le maquettisme, le schéma technique explicatif, les jeux de construction, la collection des savoirs encyclopédiques. Si ce que je créé ne peut être parfait, je ferai en sorte que cela soit le plus logique possible, ai-je sans doute pensé alors. Par là-même, j'ai conceptualisé de multiples langues artificielles, divers systèmes socio-politiques utopiques, bon nombre d'univers complets bien qu'imaginaires : je me suis bâti des sphères bariolées parallèles au réel.

Mais en vérité, j’ai arrêté de dessiner au moment même où une autre activité a pris une place absolument passionnelle et nécessaire dans mon quotidien d’enfant : la lecture. Dès lors j’ai bien plus souvent voyagé par les livres que je n’ai mis ma confiance aux choses plus concrètes et plus terriennes. Je dévorais tout ce qui passait à ma portée, tout ce qui semblait susceptible d’éveiller ma curiosité et/ou de m’emmener au loin - une kyrielle de « pavés » si je puis dire. Impossible au reste de me tirer de ces plongées dans l’ailleurs. J’en oubliais les choses et le temps.

D’ailleurs, j’ai très vite pu et su écrire. En découvrant les histoires des autres, j’ai moi-même eu envie de faire jouer ma plume juvénile et de coucher du sens et mes idées sur du papier. Enfant, j’étais un spécialiste involontaire ou presque de la phrase trop décousue, longue et complexe - on n’en voyait pas la fin, et quand soudain cette dernière arrivait, on ne se souvenait déjà plus du début. C’est que j’écrivais beaucoup et intensément. Au fil des années, par soucis esthétique, mais aussi de clarté et d’efficacité, mon style s’est assez bien amélioré. Aujourd’hui - ce n’est pas très visible ici - je suis parvenu à un niveau d’exigence tel que mes textes sont ciselés jusqu’au moindre détail.

J’ai d’abord écrit par plaisir, en improvisant presque. Ensuite, j’ai connu les syndromes du perfectionnisme aigu - éternel insatisfait, j’ai détruit la plupart de mes textes presque immédiatement après les avoir fait naître. À l’instar de mon crayon, ma plume a souffert lorsque j’ai découvert les règles qui régissent et déterminent plus ou moins les « belles » œuvres. C’est ainsi qu’aux dépends de la dimension de romancier ou de nouvelliste, n’arrivant pas à terminer mes essais, j’ai pris goût au style épistolaire ces quarante derniers mois. En outre, si bien écrire est toujours tant un plaisir qu’un enjeu pour moi, je souffre depuis quelques années d’un blocage psychologique devant tout type de lecture et de rédaction. À vouloir trop bien faire...

Mais c’est au terme de ma présentation que j’en arrive à la chose essentielle et indispensable qui me fait vivre depuis des années maintenant - la musique ! J’y ai pris goût tardivement, et si soudainement que ça été une heureuse surprise pour les personnes de mon entourage. Car si je l’appréciais quand il y en avait, je passais pourtant à côté de cet univers des sons organisés sans que cela n’attise véritablement les feux de ma curiosité. D’autre part, ça a longtemps été un inconnu trop grand pour que je me sentisse de taille à l’aborder sérieusement.

Et puis il y a eu comme un déclic, une immense révélation. J’ai commencé par écouter les disques de mes parents, puis à emprunter ceux des copains, à les emprunter à la médiathèque de ma ville, à les acheter, puis finalement à en trouver des centaines sur la toile, où je me suis perdu des heures durant chaque jour, chaque nuit. D’énormes quantités de musique dite « savante » en priorité, mais aussi pas mal de musique « actuelle » et de musique « du monde ». Le champ des recherches et découvertes m’a semblé presque infini et, aujourd’hui encore, ma curiosité n’est pas parvenue à satiété. D’autant que je ne me suis pas contenté d’écoutes en amateur ni de collectionner/compiler les enregistrements, mais j’ai réalisé d’importants travaux d’investigation musicologique.

Il a fallu du temps pour que je me mette à vouloir jouer de la musique à mon tour, pour des raisons personnelles. Puis, aussi soudainement que j’ai souhaité cultiver mon oreille, j’ai commencé à gratter quelques accords de base sur la guitare folk de mon père. En quelques mois, j’ai pu (mal) jouer à l’oreille quelques belles pièces du répertoire classique pour luth et/ou guitare, puis progressivement me former en autodidacte à la guitare flamenca, électrique, basse et jazz. Je crois avoir acquis depuis un niveau guitaristique acceptable, quoique très loin de la virtuosité. Pour moi, je fais corps avec l’instrument, et c’est tout ce qui importe.

Par la suite, je me suis découvert d’heureuses facilités d’apprentissage de la musique instrumentale en général. J’ai plutôt une bonne oreille et une assez bonne mémoire musculaire. Ayant étudié pléthore d’ouvrages de théorie harmonique et mélodique (les maths que j’aime), ma vitesse d’apprentissage a vite été démultipliée. Sans vantardise aucune, mon approche des instruments à cordes et à claviers peut sembler d’une simplicité déconcertante. Il me suffit de trouver quelques repères, et le reste suit à peu près normalement. Mais je n’ai pas l’impression d’effectuer quelque chose de si exceptionnelle qu’on me le dit.

Jusqu’à présent, en ce qui concerne les cordes, j’ai plus ou moins été mis en contact avec la famille des guitares, des mandolines, et des violons. En outre, j’ai appris la guitare à défaut de dénicher un luth quelque part, et le violoncelle en conservatoire depuis peu, à défaut de dégoter une basse de viole de gambe autre part. Depuis plus récemment encore, je m’initie au jeu du violon et de l’alto, même si, vous allez comprendre ensuite pourquoi, le temps me manques dans la semaine pour travailler tout cela. Le comble est que je compte encore découvrir une quinzaine d’autres instruments, ne serait-ce que pour sortir quelques notes avec, pour le plaisir.

Cependant, le premier outil que l’on possède pour produire un son à valeur musicale a priori est tout simplement notre voix - d’ailleurs, un instrument à cordes en soi. Je chantonne depuis tout petit ; je chante depuis la mue. Au collège, j’étais fasciné par les larges tessitures vocales, et je pensais pouvoir devenir contre-ténor. Je puis certes monter très haut en voix de tête, mais il se trouve que la nature m’a fait baryton-basse assez jeune. De fait, je suis assez polyvalent vocalement, et je puis aborder pas mal de styles différents sans que ma voix jure avec le reste.

Enfin - tenez bon ! - le dernier instrument dont j’ai commencé à apprendre le jeu est l’orgue - en toute simplicité. C’est un rêve que j’avais depuis que je suis haut comme trois pommes, et que je croyais irréalisable jusqu’à cette année. Jamais le jeu d’un instrument ne m’a autant séduit que celui de l’orgue. Il semble qu’aucun autre instrument n’a autant correspondu dans son ensemble à mon caractère et à ma façon d’être jusqu’à présent. Certes, je suis encore débutant et le resterai longtemps sans doute, car on ne devient pas bon organiste en cinq minutes. Mais je passe pour ainsi dire tout mon temps libre, mes soirs et nuits, à jouer à la tribune de l’église autant que faire ce peu, seul et dans la pénombre, insatiablement. Cela me conforte dans l’idée que le plaisir peut être un très bon refuge pour le corps et l’esprit. Et que la musique assurément me tient en vie.

Voici que ma présentation touche à son terme. J’aurais pu développer encore, sur le fait que je me suis remis à lire et écrire par exemple, ou sur les autres centres d’intérêts que j’ai, ou d’autres choses ; mais à vrai dire une telle opération n’aurait vraiment pas été raisonnable. J’en profite donc juste pour dire que j’ai consulté ce forum en visiteur au cours de deux dernières années, sans avoir osé m’inscrire. Et certifier que je suis à la fois content et intimidé de rejoindre la communauté des « extra-terrestres » en ligne maintenant. Mes excuses encore pour la longueur. (du coup, ça s’achève un peu brutalement, tout ça)  Smile 


VERSION COURTE

Maxime, vingt ans, de région parisienne. D’origines diverses. Classe moyenne.
Famille avec une majorité de cas reconnus ou non de surdoués HP/HQI et/ou d’Aspis.
N’ai pas encore passé les tests, mais fortement soupçonné d’être HQI.
Parcours socio-culturel difficile au collège et au lycée.
Désarroi identitaire et sentimental en prépa littéraire et à l’université.
Suis aujourd’hui étudiant à l’Ecole nationale de lutherie française.
De caractère profondément romantique et baroque - déséquilibré.
Très souvent dans les extrêmes - passions et sensations plus que raison.
Centre d’intérêt principal : musiques et Musique.
Guitariste, violoncelliste, claviériste-organiste, chanteur baryton-basse - pour le moment.
Grands centres d’intérêts : littérature/écriture, philosophie, histoire socio-culturelle, savoirs encyclopédiques, etc.
Autres centres d’intérêts : architecture et sculpture, arts graphiques, arts martiaux, dialectes anciens ou artificiels, sciences et maths appliquées, marche et course à pieds (surtout en montagne), cinéma et théâtre, etc. Et j’en oublie sans doute.




Dernière édition par Belhibou le Mar 25 Mar 2014, 22:52, édité 1 fois
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Message par poèterouge Dim 16 Fév 2014, 17:30

Bonjour et bienvenu Maximus.
J'espère que tu rrouveras ici ce que tu recherches.
Il y a d'autres musiciens avec qui tu pourras
partager ta passion.
@ + pour d'éventuels échanges.
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Message par Belhibou Lun 17 Fév 2014, 22:08

Merci, poèterouge ! Smile
Tu as raison, ça ne pourrait être qu'enrichissant !
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Message par MazelTov Mer 05 Nov 2014, 19:47

J'ai lu, en plus de ta riche présentation (une des plus réussies sur ce forum), ton analyse de ton résultat au test, et franchement il n'y a aucun doute, tu es surdoué. Comme tu l'as écrit, le test était en partie trop facile, et tu n'as pas encore assez confiance en toi, donc ton vrai score est évidemment plus élevé. Bref, tu as toute ta place ici !

P.S. : je suis concis.

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Message par Delb92 Jeu 06 Nov 2014, 11:22

Maxime... je ne crois pas pouvoir réellement te souhaiter la bienvenue vu que tu es sur le forum depuis très longtemps (bien plus que moi du reste) en observateur mais bienvenue quand même ! Smile

Et vraiment un grand bravo pour cette magnifique présentation que j'ai trouvé superbement écrite et très très touchante. Tu as fait plus long que moi Smile https://www.zebrascrossing.net/t18952-presentation-sous-forme-de-roman-fleuve-y-a-de-la-lecture-donc

Cela dit dans la mienne, j'ai omis beaucoup beaucoup beaucoup de choses Smile

En fait, vraiment tes mots m'ont touchée.. tu m'impressionnes beaucoup par ton jeune âge et pourtant tu as cette belle maturité, cette réflexion comme si tu avais déjà vécu mille ans ou mille vies (et c'est un compliment). Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire Smile

Je suis touchée par la justesse de tes mots, de tes émotions, de ton vécu. Je ne peux pas rebondir sur tout ce que tu as écris, ça serait bien trop long...
Mais je suis fascinée par ton choix d'aller vers la lutherie, ayant moi même une passion pour les instruments à cordes. Un de mes rêves serait d'apprendre à jouer du violoncelle, je le ferai un jour je pense.. Et la seule fois où j'ai pu essayer, il semblerait que j'ai qqs dispositions naturelles. Smile

Alors voilà, bravo et merci pour cette très belle présentation que j'ai lue jusqu'au bout avec grand intérêt.

Au plaisir d'échanger avec toi

Delphine

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Message par Rosetta Jeu 06 Nov 2014, 11:38

Bonjour Belhibou,

Bien que je répugne généralement à lire les looongues présentations (et, du reste, à écrire sur le forum), j'ai pris un grand plaisir à lire la tienne dans son intégralité. Non seulement elle est excellemment bien écrite, mais le fond est on ne peut plus intéressant.

Bref : bravo et bonne suite à toi !

Rosetta

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