la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
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Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
En vlà d'la volaille, c'est Tippi-que, attention à ne pas lâcher la proie pour l'ombre. Bien tenté, mais non spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Un peu de légèreté dans la froideur de ce monde en tics :
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
@ Super Marre : désolé hein, mais tu peux m'expliquer comment tu as rattaché le texte à ce bas relief, je vois pas bien et ça m'intéresse ? Sinon, ben non spaça, mauvaise réponse !
@ prjevalski: féroces compagnons, lune, tromblons de bronze ? Désolé, spaça, mauvaise réponse !
@ prjevalski: féroces compagnons, lune, tromblons de bronze ? Désolé, spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Trouvé ayééé! lune irradiante , féroces compagnons, prédateur, nuée..c'était pas facile: suis fière.
Merci Kid.
Od@vie- Messages : 811
Date d'inscription : 03/08/2010
Localisation : somewhere over the rainbow
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Lol, excellent, élégante esquive ! mais bon, tu le sais hein , spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Donne ton prix, allezzz spaçe que ça m'éneeeerve de ne pas trouver.
Plus d'ongles, tapé mes gosses, café en perfusion, perdu mes clefs, accroc au site, no life, helppp!
Plus d'ongles, tapé mes gosses, café en perfusion, perdu mes clefs, accroc au site, no life, helppp!
Od@vie- Messages : 811
Date d'inscription : 03/08/2010
Localisation : somewhere over the rainbow
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Je renifle virilement mon aisselle et clame d'une voie virile : Nietzsche !
Puis je me reprend sur un ton timide et interrogatif et la tente quand même :
Also Sprache Zarathustra ?
Puis je me reprend sur un ton timide et interrogatif et la tente quand même :
Also Sprache Zarathustra ?
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Par la grande moustache en forme de balayette ! Otto ? Sinon, non spaça, mauvaise réponse !
ps : j'ai un indice encore plus explicite sousl'aisselle le coude à vous communiquer, je le ferais à 21h. Histoire d'attendre le retour de ceux qui ont de la marmaille à s'occuper Mais après c'est fini hein !
ps : j'ai un indice encore plus explicite sous
miwako- Messages : 369
Date d'inscription : 16/04/2010
Age : 39
Localisation : Alsace
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Indice du soir, bonsoir :
Bon et maintenant faut trouver hein, j'ai plus de petits cailloux en réserve moi !
- Cette lutte mythologique entre l'homme et la bête
Orne sculpturalement des enfants les tablettes
Bon et maintenant faut trouver hein, j'ai plus de petits cailloux en réserve moi !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
kid Pharaon a écrit:
écartelé
la lune
la tension
courbe
ses formes
la sueur
et ondoie sous
Le roc
bandés
Semble de sa puissance gainer chair, se faire os
un porno... que n'y ai-je pensé plus tôt...
Bon, cet indice ?
édit : indice arrivé...
Dernière édition par La Laie le Mar 12 Oct 2010 - 21:16, édité 1 fois (Raison : orthographe)
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
ps : Orne ou Ornait, je n'arrive pas à savoir
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Oserais-je ?
L'illiade d'Homère
(bon, je sais, spaça... pff)
L'illiade d'Homère
(bon, je sais, spaça... pff)
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Ben oui, "sculpturalement" voyons, bien sur que spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
oui mais tablette, j'ai pensé cahier, super conquérant, chevalier...
Esprit tordu, quoi...
pff
Esprit tordu, quoi...
pff
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Je ne dirais pas "Thésée vous !" même si vous avez mine d'avoir tort, mais spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
essaye donc cette adresse : http://www.insecula.com/PhotosNew/00/00/03/42/ME0000034271_3.JPG
Le minotaure c'était pas ça la première fois hein ? spaça, mauvaise réponse !
Le minotaure c'était pas ça la première fois hein ? spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
ben oui, mais c'est pas la même statue...
je sors
je sors
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
je joue encore... mais moins convaincue
Dernière édition par La Laie le Mar 12 Oct 2010 - 22:05, édité 3 fois (Raison : je sais, spaça, mais alors pas du tout. Eh, les z'autr', vous jouez ?)
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Le lion de Belfort ? spaça, mauvaise réponse !
ps : les autres ils jouent à pas oser poster leurs idées pas concluantes à leurs yeux je pense.
ps : les autres ils jouent à pas oser poster leurs idées pas concluantes à leurs yeux je pense.
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Arf, le lien-image ne fonctionne pas. Prométhée enchaîné ? Par Nicolas-Sébastien Adam, 1762, Louvre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Prometheus_Adam_Louvre_MR1745.jpg
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Prometheus_Adam_Louvre_MR1745.jpg
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Superbe groupe statuaire et vorace volatile, donc Prométh-eur, mais spaça, mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Juste parce que je la trouve belle (même sujet semble-t-il, en cire) :
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Mal au cou, arrggh, trop tordu la tête ! mais spaça (spa prométhée) mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Hé, je ne jouais pas là !
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
mince, désolé augenblick, me suis niqué le cou pour rien tu veux dire ?
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
J'ai mal au crâne
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
J'ai une cousine qui a un peu du bas de cette tête, sauf qu'elle es jolie ! Enfin, ce sont surtout les yeux de la méduse là qui sont pas très choucards, mais bon, quoiqu'il en soit, spaça mauvaise réponse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Bon, je vois que les combattants désertent les rangs ou se lassent alors je vais vous résumer les indices déjà semés en vous les transcrivant en langage contemporain :
En d'autres termes :
L'œuvre d'art dont le poème et l'objet n'est pas un tableau ;
Le texte quant à lui est composé d'un partie littérale, d'une partie symbolique et d'une autre cryptique ;
Cette dernière partie décrit une scène non représentée (bien qu'importante) dans l'œuvre à découvrir.
Dans cette œuvre, les méchants sont une multitude volante carnivore opposé à un héros, le prédateur naturel des monstres.
Ce combat est extrait de la mythologie et une représentation de cette statue à orné des cahiers d'écoliers.
Est-ce que les choses s'éclairent un peu ?
- Il s'agit d'œuvre d'art et quelle qu'en soit la forme
tout n'est pas littéral dans les mots qui t'informent
Loin des yeux se déroule la moitié de l'action
Maquillée sous les traits d'une étrange description
Multitude néfaste par la chair attirée
Quel prédateur saurait à ta rencontre voler ?
Cette lutte mythologique entre l'homme et la bête
Orne sculpturalement des enfants les tablettes
En d'autres termes :
L'œuvre d'art dont le poème et l'objet n'est pas un tableau ;
Le texte quant à lui est composé d'un partie littérale, d'une partie symbolique et d'une autre cryptique ;
Cette dernière partie décrit une scène non représentée (bien qu'importante) dans l'œuvre à découvrir.
Dans cette œuvre, les méchants sont une multitude volante carnivore opposé à un héros, le prédateur naturel des monstres.
Ce combat est extrait de la mythologie et une représentation de cette statue à orné des cahiers d'écoliers.
Est-ce que les choses s'éclairent un peu ?
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Pfiou, vous m'avez fait souffrir !
Maintenant par contre il va falloir nous proposer une œuvre à découvrir Madame la vainqueuse !
Maintenant par contre il va falloir nous proposer une œuvre à découvrir Madame la vainqueuse !
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Bravo Super Marre
et merci Kid pour l'énigme...
et merci Kid pour l'énigme...
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
lol
On verra demain, j'ai la cervelle en bouillie
Vite un Efferalgan
merci Kid ^^
edit : l'oeuvre originale est en plâtre ici
On verra demain, j'ai la cervelle en bouillie
Vite un Efferalgan
merci Kid ^^
edit : l'oeuvre originale est en plâtre ici
Invité- Invité
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
La réponse était donc : Héraklès archer d'Antoine Bourdelles (maître de Giacometti pour situer)
Il s'agit de la plus célèbre et sans doute d'une des plus belles sculpture d'antoine Bourdelles. Rendue populaire par sa reproduction sous forme de dessin (déburné) sur les cahiers d'écolier de marque Héraklès que je pense beaucoup d'entre vous connaissent. On peut admirer cette sculpture un peu partout dans différents musées et dans différents matériaux, mais on peut aussi choisir de visiter le musée Bourdelles à Paris, près de Montparnasse pour profiter d'autres oeuvres du maître, tenant d'un art statuaire dit "archaïque".
Bien, juste pour en finir avec cette énigme, maintenant qu'elle est trouvée, pour ceux que ça intéresse, voici comment elle est composée : une partie est décorative (stylistique), une autre plutôt littérale et une dernière est masquée (cryptique). Des mots sont présents dans le texte, dans une autre utilisation que celle qui importe, de façon à ce qu'un cerveau habitué à noter des détails et à faire des connexions s'en saisisse.
L'arc est donc représenté par "la lune" (immense croissant de lune), la corde par "la tension" (résolue) et les "muscles bandés" (comme on bande un arc n'est-ce pas ?), les flèches par les "traits" (irradiant "du" soleil dans le texte mais pouvant voler "vers" dans vos petites têtes de surdoués, une fois connecté aux autres indices). Qui plus est, la flèche encochée n'est pas représentée dans la sculpture, elle est invisible bien que présente, reconstituée par notre esprit. La main d'héraklès en pinçant visiblement l'empenne . Cependant, pratiquement, elle n'est effectivement qu'un "trait" de lumière.
Tuer à coup de flèches les oiseaux du lac de Stymphale est le sixième des douze travaux d'Hercules. Ces oiseaux monstrueux (féroces compagnons du soleil) se nourrissaient de chair humaine et transperçaient leur victime grâce à leurs becs et serres en airain et leurs plumes de bronze.
"L'astre luit volatile sur le bronze des nuées", il s'agit d'une nuée d'oiseau de bronze sur lequel les rayons du soleil luisent. L'adjectif "volatile" est bien présent pour votre subconscient, parler des oiseaux de façon littérale à ce moment aurait fortement écourté le jeu. Ces oiseaux, objet de l'ire du chasseur-prédateur qu'est le fils de Zeus sont bien la moitié de l'action absente de la scène représentée
L'élément statuaire est clairement suggérée : "le roc devenant glaise". Tout comme cette imbrication du corps de chair, arc-bouté sur un rocher qui semble se déformer sous la pression démiurgique et de ces muscles déliés dur et puissants à leur tour semblant rigides comme du roc. Cela témoigne aussi du travail du sculpteur, d'abord la glaise puis la pierre ( ou le bronze) et en retour le matériau solide qui simule la chair (ou la glaise) à son tour. Témoin du génie de l'artiste. Les formes de la sculpture sont évoquées ici : "L'espace courbe ses formes contre l'air et le vent". Il faut lire "contre-forme", comprendre que l'oeuvre décrite se déploie dans l'espace (et donc qu'il ne s'agit pas d'une image en deux dimensions) que l'air y circule au milieu de courbes ouvertes (la lune formée par l'arc, les courbes formées par les membres étirés du héros, le croissant formé par le socle).
Enfin le temps, élément fondamental bien qu'invisible pour une image figurative figeant un mouvement en général, et pour cette scène particulier, devient une sorte de ralenti éternel et donne paradoxalement vie à cet archer immobile. "Le temps écartelé (par l'étirement de la corde) ramassé dans l'instant (dans l'attente de la libération de la flèche)". Ce vers dans son symbolisme, rattache l'extrême tension avant le lâcher de la flèche à l'art zen du tir à l'arc. Le temps suspend son vol attendant en retrait (derrière la lune) que l'arc lui rende sa liberté en même temps qu'il libérera la tension de la corde.
La tension résolue est à la fois celle de la corde ainsi que la résolution concentrée du héros dans sa tâche. Un seul instant convient pour lâcher la flèche, la concentration est extrême, il n'y a pas le droit à l'erreur. "Le vent qui se joue de la sueur et ondoie sous la vue", permet d'imaginer la sueur perler sur le corps de l'athlète, desséchée ou non par le vent, coulant peut-être dans les yeux ou sur la "joue" contre la corde et de figurer ce vent avec lequel il va falloir composer pour atteindre ces cibles lointaines, l'air ondoyant sous la chaleur du soleil.
Voilà, j'espère que vous vous êtes bien amusés à vous creuser les méninges. Bon courage à la prochaine intrigant(e) !
Il s'agit de la plus célèbre et sans doute d'une des plus belles sculpture d'antoine Bourdelles. Rendue populaire par sa reproduction sous forme de dessin (déburné) sur les cahiers d'écolier de marque Héraklès que je pense beaucoup d'entre vous connaissent. On peut admirer cette sculpture un peu partout dans différents musées et dans différents matériaux, mais on peut aussi choisir de visiter le musée Bourdelles à Paris, près de Montparnasse pour profiter d'autres oeuvres du maître, tenant d'un art statuaire dit "archaïque".
Bien, juste pour en finir avec cette énigme, maintenant qu'elle est trouvée, pour ceux que ça intéresse, voici comment elle est composée : une partie est décorative (stylistique), une autre plutôt littérale et une dernière est masquée (cryptique). Des mots sont présents dans le texte, dans une autre utilisation que celle qui importe, de façon à ce qu'un cerveau habitué à noter des détails et à faire des connexions s'en saisisse.
L'arc est donc représenté par "la lune" (immense croissant de lune), la corde par "la tension" (résolue) et les "muscles bandés" (comme on bande un arc n'est-ce pas ?), les flèches par les "traits" (irradiant "du" soleil dans le texte mais pouvant voler "vers" dans vos petites têtes de surdoués, une fois connecté aux autres indices). Qui plus est, la flèche encochée n'est pas représentée dans la sculpture, elle est invisible bien que présente, reconstituée par notre esprit. La main d'héraklès en pinçant visiblement l'empenne . Cependant, pratiquement, elle n'est effectivement qu'un "trait" de lumière.
Tuer à coup de flèches les oiseaux du lac de Stymphale est le sixième des douze travaux d'Hercules. Ces oiseaux monstrueux (féroces compagnons du soleil) se nourrissaient de chair humaine et transperçaient leur victime grâce à leurs becs et serres en airain et leurs plumes de bronze.
"L'astre luit volatile sur le bronze des nuées", il s'agit d'une nuée d'oiseau de bronze sur lequel les rayons du soleil luisent. L'adjectif "volatile" est bien présent pour votre subconscient, parler des oiseaux de façon littérale à ce moment aurait fortement écourté le jeu. Ces oiseaux, objet de l'ire du chasseur-prédateur qu'est le fils de Zeus sont bien la moitié de l'action absente de la scène représentée
L'élément statuaire est clairement suggérée : "le roc devenant glaise". Tout comme cette imbrication du corps de chair, arc-bouté sur un rocher qui semble se déformer sous la pression démiurgique et de ces muscles déliés dur et puissants à leur tour semblant rigides comme du roc. Cela témoigne aussi du travail du sculpteur, d'abord la glaise puis la pierre ( ou le bronze) et en retour le matériau solide qui simule la chair (ou la glaise) à son tour. Témoin du génie de l'artiste. Les formes de la sculpture sont évoquées ici : "L'espace courbe ses formes contre l'air et le vent". Il faut lire "contre-forme", comprendre que l'oeuvre décrite se déploie dans l'espace (et donc qu'il ne s'agit pas d'une image en deux dimensions) que l'air y circule au milieu de courbes ouvertes (la lune formée par l'arc, les courbes formées par les membres étirés du héros, le croissant formé par le socle).
Enfin le temps, élément fondamental bien qu'invisible pour une image figurative figeant un mouvement en général, et pour cette scène particulier, devient une sorte de ralenti éternel et donne paradoxalement vie à cet archer immobile. "Le temps écartelé (par l'étirement de la corde) ramassé dans l'instant (dans l'attente de la libération de la flèche)". Ce vers dans son symbolisme, rattache l'extrême tension avant le lâcher de la flèche à l'art zen du tir à l'arc. Le temps suspend son vol attendant en retrait (derrière la lune) que l'arc lui rende sa liberté en même temps qu'il libérera la tension de la corde.
La tension résolue est à la fois celle de la corde ainsi que la résolution concentrée du héros dans sa tâche. Un seul instant convient pour lâcher la flèche, la concentration est extrême, il n'y a pas le droit à l'erreur. "Le vent qui se joue de la sueur et ondoie sous la vue", permet d'imaginer la sueur perler sur le corps de l'athlète, desséchée ou non par le vent, coulant peut-être dans les yeux ou sur la "joue" contre la corde et de figurer ce vent avec lequel il va falloir composer pour atteindre ces cibles lointaines, l'air ondoyant sous la chaleur du soleil.
Voilà, j'espère que vous vous êtes bien amusés à vous creuser les méninges. Bon courage à la prochaine intrigant(e) !
Dernière édition par kid Pharaon le Mar 12 Oct 2010 - 23:38, édité 2 fois (Raison : des fautes...)
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
Stait chouette, Merci !
(et désolé pour le dérapage politiquement incorrect, lié à la libre association licencieuse)
La vainqueuse est trop forte, je m'incline...
(et désolé pour le dérapage politiquement incorrect, lié à la libre association licencieuse)
La vainqueuse est trop forte, je m'incline...
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
La vainqueuse a trouvé sa cible, elle compose son énigme et repasse la poser dans un moment ^^
Invité- Invité
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
ON A FAIM ! ON A FAIM ! ON A FAIM !
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
Nicoco- Messages : 4321
Date d'inscription : 16/09/2009
Age : 60
Localisation : Paris
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
vivi ça vient ^^ Alors voilà, amusez-vous
Sur le marbre éternel, l'ironie édentée
froidement te rappelle à la lucidité...
car le temps écoulé, l'humain toujours vaincu
n'a plus à ses côtés que ce qu'il a perdu.
Là, dans le silence en flotte encore l'effluve
ultime affront reçu pour vaines convoitises...
Sur le marbre éternel, l'ironie édentée
froidement te rappelle à la lucidité...
car le temps écoulé, l'humain toujours vaincu
n'a plus à ses côtés que ce qu'il a perdu.
Là, dans le silence en flotte encore l'effluve
ultime affront reçu pour vaines convoitises...
Invité- Invité
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
La première chose qui me vient à l'esprit c'est "L'œil était dans la tombe et regardait Caïn". La conscience, poème de Victor Hugo.
(Mais je parie que spaça ^^)
(Mais je parie que spaça ^^)
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: la transversalité de l'émotion artistique (let's play!)
le vieil homme et la mer ?
(sans sombrero)
(sans sombrero)
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
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