Constats/ idées amusantes

Les précédents sujets que j'ai ouverts n'ont pas rencontrés un franc succès, mais j'essaie quand même...
Voici le constat, l'idée que j'ai eue (et dans quelles histoires idiotes ça m'a fait partir):
j'ai réalisé que la peau de mes (et je suppose les vôtres aussi) doigts de pieds, comme celle de mes doigts de mains (eh oui...) était parcourue de fines stries faisant des dessins, bref que ça faisait aussi des empreintes digitales. Je me suis dit que sur les papiers d'identité ou au commissariat, on pourrait donc aussi nous demander nos empreintes de pieds, mais que ce serait mal commode. Avec l'idée aussi qu'on laisse rarement nos empreintes de pieds par terre (et encore moins sur les murs, sur les objets).
Plusieurs cas sont toutefois envisageables, pour lesquels les empreintes des membres inférieurs seraient bien utiles: une personne est retrouvée assassinée dans sa piscine (elle ne s'est pas noyée, traces de strangulation, ou bien les mains attachées dans le dos). Mais le coupable ne sera peut-être jamais confondu PARCE QU'ON N'A PAS RELEVE LES BONNES EMPREINTES (les boules). Même chose si le coupable est manchot (il s'agirait de connaître le taux de criminalité chez les manchots -pas les cousins des pingouins, bien sûr) ET à la piscine l'été, ou bien qu'il marche pieds nus, là encore, dans un intérieur (mais pas sur de la moquette).

Et vous? Des choses du même acabit, constats, observations, hypothèses amusantes ou folles à partager?

Avec les empreintes digitales on utilise les empreintes des paumes. Mais on ne les relève qu'après avoir interpellé des suspects. J'imagine que cela a pu se faire aussi dans ce cas avec celles des pieds. D'ailleurs j'ai entendu récemment qu'on avait confondu une personne parce qu'elle avait collé son visage contre une vitre; il y avait sans doute des traces de son nez et de sa bouche.

Pour ce qui est des idées amusantes, toujours concernant les pieds, on peut imaginer des chaussures faites d'une matière élastomère qui s'étendrait progressivement avec la taille de l'enfant. Encore faudrait-il qu'on s'oppose à la programmation de l'usure des objets par les fabricants. Quant à la mode, ces chaussures pourraient toujours être teintes et dé-teintes facilement...

Géniale, cette idée!
Pour s'opposer à la programmation de l'usure par les fabricants, il n'y a qu'à être soi même fabriquant, non?
Chez les Z, il y a bien des gens désoeuvrés, qui cherchent à donner un sens... Voilà une belle idée d'entreprise, je trouve.
J'avais une autre idée (dans le même esprit): une machine pour peser les produits liquides (shampooings, après shampoings, gels douches, lessive, liquide vaisselle) de la même façon que les fruits et légumes. Des pochettes plastiques fin en libre service, mais la possibilité aussi d'apporter ses bouteilles d'avant -mais ça veut dire que tu viens de chez toi, que tu as anticipé: "tiens, je vais m'acheter du shampooing" et que tu ne viens pas directement du travail); tu indiques le produit que tu as mis (en fait, peut-être faut-il un employé pour peser, comme chez Monop, et choisir la marque que tu as mis, afin d'avoir le prix correspondant). D'aucuns m'ont dit que ce serait une bonne idée pour les magasins bio, les consommateurs non militants (au moins un tout petit peu) répugnant à mettre leur nouveau shampooing dans une ancienne bouteille.
Donc, une autre idée de taf.

Autrefois on achetait tout en vrac, que ce soit en sac papier ou en apportant ses propres bouteilles. Je n'ai pas connu cette époque mais celle des bouteilles consignées n'est pas si lointaine, qui avait l'avantage qu'on n'était pas obligé de rapporter à chaque fois son contenant.
Désormais on recycle papier, verre et plastique, ce qui constitue de fait un impôt sur la consommation, analogue à la TVA.

L'achat en vrac exigeait qu'on s'adresse un employé pour mesurer la quantité demandée. C'est-à-dire que cette fois on payait un service (qui avait quand même l'avantage de se traduire par des emplois). Mais avec les distributeurs automatiques, on peut s'en affranchir.
Je verrais bien dans les magasins des distributeurs de divers liquides, à la façon des pompes à essence. On aurait des bouteilles en plastique souple, sinon le goulot et le fond, qui pourraient être réduites en boule pour se placer dans une poche ou un sac. On y ficherait le tube distributeur, on indiquerait la quantité demandée, et voilà !
Sur ces bouteilles pourrait être indiquée la marque mais on pourrait aussi avoir des bouteilles sans marque. Chez moi on ne voit pratiquement pas une marque dans la cuisine ou la salle de bains; je trouve ces inscriptions ridicules, presque obscènes, ou alors il faut qu'elles soit écrites discrètement sur une surface transparente, comme on fait heureusement maintenant.
Bon, le problème, c'est que les gens auraient du mal à se servir de cette façon, que les autres s'impatienteraient...

Alors il y aurait bien une autre l'idée, ce serait d'avoir une imprimante 3D pour fabriquer ses propres objets mais aussi un recycleur domestique : quand on doit acheter un emballage, hop ! on le met dans le recycleur et c'est du matériau pour l'imprimante 3D !