Nos illusions chimèriques
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Nos illusions chimèriques
Arrêter de vouloir tout contrôler
Dans ce monde imprévisible où nous avons trop souvent la sensation que « tout » nous échappe, la tentation est grande d’essayer de « tout » maîtriser : les émotions qui nous submergent, le temps qui passe trop vite, l’amour de nos proches que nous pourrions perdre, notre corps qui nous trahit… Ainsi cherchons-nous parfois à retenir l’eau entre nos mains ouvertes. Et nous fermons les poings. Nous nous érigeons en maîtres absolus de nos vies. Que cache cette volonté de maîtrise ? Quelles chimères poursuivons-nous ? Et si nous essayions de changer un peu cela ?
Tatiana de Rosnay, 49 ans, écrivaine
« J’ai jeté ma balance et cessé de me peser, pour moi et pour ma fille »
« Quand j’avais 13 ou 14 ans, je regardais les photos des mannequins en constatant que je ne leur ressemblais pas du tout : elles pesaient cinquante kilos pour un mètre soixante-quinze, j’en pesais dix de plus avec la même taille, j’avais des hanches, pas d’épaules… L’engrenage a commencé. Je mangeais à peine, je me faisais vomir dès que je pensais avoir avalé un peu trop. À 17 ans, par exemple, j’ai perdu dix kilos en deux mois. Je me privais du plaisir de la nourriture pour avoir celui du contrôle. Cela a duré vingt ans. Partout, je me promenais avec ma balance. Mon mari était épouvanté par mes comportements, mais c’était plus fort que moi. Après ma première grossesse, j’ai arrêté de me faire vomir. Mais, après la deuxième, je suis retombée dans l’obsession. Et puis, il y a dix ans, un jour, en sortant du bain, je me suis entendue me dire : “Tatiana, tu vas arrêter de te peser. C’est ridicule et égocentrique. Jette la balance.” Je l’ai fait. Pour moi et pour ma fille. Je ne voulais pas qu’elle grandisse avec l’exemple d’une mère obsédée par la taille de ses fesses. Et à l’instant où j’ai cessé de me peser, j’ai cessé de me teindre les cheveux. J’ai accepté mes cheveux blancs, qui sont devenus ma “marque”. Que s’est-il alors passé en moi ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que, du jour au lendemain, ne pas me contrôler est devenu mon luxe. Et je m’aime comme ça. »
Etes-vous aussi maître de votre vie ? Ou laissez-vous facilement arriver les choses ?
[i]Extrait de l’article paru sur http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Arreter-de-vouloir-tout-controler
Dans ce monde imprévisible où nous avons trop souvent la sensation que « tout » nous échappe, la tentation est grande d’essayer de « tout » maîtriser : les émotions qui nous submergent, le temps qui passe trop vite, l’amour de nos proches que nous pourrions perdre, notre corps qui nous trahit… Ainsi cherchons-nous parfois à retenir l’eau entre nos mains ouvertes. Et nous fermons les poings. Nous nous érigeons en maîtres absolus de nos vies. Que cache cette volonté de maîtrise ? Quelles chimères poursuivons-nous ? Et si nous essayions de changer un peu cela ?
Tatiana de Rosnay, 49 ans, écrivaine
« J’ai jeté ma balance et cessé de me peser, pour moi et pour ma fille »
« Quand j’avais 13 ou 14 ans, je regardais les photos des mannequins en constatant que je ne leur ressemblais pas du tout : elles pesaient cinquante kilos pour un mètre soixante-quinze, j’en pesais dix de plus avec la même taille, j’avais des hanches, pas d’épaules… L’engrenage a commencé. Je mangeais à peine, je me faisais vomir dès que je pensais avoir avalé un peu trop. À 17 ans, par exemple, j’ai perdu dix kilos en deux mois. Je me privais du plaisir de la nourriture pour avoir celui du contrôle. Cela a duré vingt ans. Partout, je me promenais avec ma balance. Mon mari était épouvanté par mes comportements, mais c’était plus fort que moi. Après ma première grossesse, j’ai arrêté de me faire vomir. Mais, après la deuxième, je suis retombée dans l’obsession. Et puis, il y a dix ans, un jour, en sortant du bain, je me suis entendue me dire : “Tatiana, tu vas arrêter de te peser. C’est ridicule et égocentrique. Jette la balance.” Je l’ai fait. Pour moi et pour ma fille. Je ne voulais pas qu’elle grandisse avec l’exemple d’une mère obsédée par la taille de ses fesses. Et à l’instant où j’ai cessé de me peser, j’ai cessé de me teindre les cheveux. J’ai accepté mes cheveux blancs, qui sont devenus ma “marque”. Que s’est-il alors passé en moi ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que, du jour au lendemain, ne pas me contrôler est devenu mon luxe. Et je m’aime comme ça. »
Etes-vous aussi maître de votre vie ? Ou laissez-vous facilement arriver les choses ?
[i]Extrait de l’article paru sur http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Arreter-de-vouloir-tout-controler
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Nos illusions chimèriques
Eh oui, ça me ressemble, cette manie de vouloir tout maîtriser. Je suis perfectionniste et je n'aime pas les imprévus. C'est l'ego qui parle. Tout pour se pourrir la vie. C'est une illusion. Les meilleures choses qui me sont arrivées se sont produites justement quand j'ai lâché prise ou que je ne m'y attendais pas (et paf, l'ego se prend une claque).
Puisqu'il est question de silhouette dans cet article, j'ai tenté moi aussi pendant longtemps de maîtriser la mienne avec force régimes... jusqu'au jour où je me suis rendue compte que je cherchais en fait à me détruire, en faisant cela. Je voulais faire disparaître mes formes et je me suis dit d'un coup : "mais c'est TOI qui tu veux faire disparaître ! Toi toute entière". ça a stoppé net toute envie de changer quoi que ce soit car j'ai quand même un peu de respect pour moi-même. J'ai gardé mes formes et maintenant j'en suis fière. J'ai même perdu le surplus sans rien faire, et mon poids s'est miraculeusement stabilisé. C'est merveilleux.
Les cheveux blancs c'est une autre histoire, je ne pense pas que je les garderai. Dans ma tête je suis toujours une gamine, j'ai 16-17 ans, pas plus, alors me voir en vieille bique, beark. Les rides passe encore, mais les cheveux, non.
Puisqu'il est question de silhouette dans cet article, j'ai tenté moi aussi pendant longtemps de maîtriser la mienne avec force régimes... jusqu'au jour où je me suis rendue compte que je cherchais en fait à me détruire, en faisant cela. Je voulais faire disparaître mes formes et je me suis dit d'un coup : "mais c'est TOI qui tu veux faire disparaître ! Toi toute entière". ça a stoppé net toute envie de changer quoi que ce soit car j'ai quand même un peu de respect pour moi-même. J'ai gardé mes formes et maintenant j'en suis fière. J'ai même perdu le surplus sans rien faire, et mon poids s'est miraculeusement stabilisé. C'est merveilleux.
Les cheveux blancs c'est une autre histoire, je ne pense pas que je les garderai. Dans ma tête je suis toujours une gamine, j'ai 16-17 ans, pas plus, alors me voir en vieille bique, beark. Les rides passe encore, mais les cheveux, non.
Cleore- Messages : 1019
Date d'inscription : 13/01/2014
Age : 61
Localisation : complètement à l'ouest
Re: Nos illusions chimèriques
Cleore,
J'aime bien ce que tu dis, je t'en parlerai un peu plus plus tard.
J'aime bien ce que tu dis, je t'en parlerai un peu plus plus tard.
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Nos illusions chimèriques
bonjour offset,
Je ne comprends pas vraiment bien ta question - sans que ce soit gênant, au contraire - (ça permet d'examiner ce qu'on met derrière les termes) :
le fait d'être ''maître de sa vie'' est plutôt positif, hors de tout contexte, mais je crois comprendre que tu associes cela avec par exemple l'ancien comportement de Tatiana de Rosnay, à savoir le fait de vouloir tout maîtriser. En ce sens, on n'est pas maître mais bien esclave, esclave d'une part de nous-mêmes qui est aliénée par certains codes de la société (ici, la représentation du corps de la femme comme un objet devant correspondre à certains critères arbitraires). Ca pose la question du conditionnement, et dans quelle mesure y échapper est une liberté.
''Laissez-vous facilement arriver les choses ?''
Là encore, on peut l'interpréter dans deux sens allant dans deux directions opposées, suivant le point de vue pris. Tu assimiles cela au ''lâcher-prise'' je pense - comme le fait de ne plus se focaliser sur le poids, de ne plus se focaliser sur les cheveux blancs, etc - ?
On aboutit au paradoxe du lâcher-prise, lâcher-prise que je m'efforce pour ma part de mettre en oeuvre : c'est en acceptant que l'on ne peut pas tout contrôler que l'on acquiert plus de maîtrise dans sa vie.
En pensant bien que ''lâcher-prise'' n'est pas synonyme, du tout, du ''laisser-aller'' (y compris dans l'apparence physique). C'est plutôt un ''laissez aller'' : on laisse des parties de nous notamment au niveau biologique vivre leur vie,
on ne lutte donc plus contre ce qui est normal, mais que dans certains cas la société voudrait nous faire voir comme pathologique.
Pardon par avance si ce que j'exprime n'est pas très clair c'est juste ce qui me vient à l'esprit sur le moment - réflexion intéressante, en tout cas ! -
Je ne comprends pas vraiment bien ta question - sans que ce soit gênant, au contraire - (ça permet d'examiner ce qu'on met derrière les termes) :
êtes-vous aussi maître de votre vie ? Ou laissez-vous facilement arriver les choses ?
le fait d'être ''maître de sa vie'' est plutôt positif, hors de tout contexte, mais je crois comprendre que tu associes cela avec par exemple l'ancien comportement de Tatiana de Rosnay, à savoir le fait de vouloir tout maîtriser. En ce sens, on n'est pas maître mais bien esclave, esclave d'une part de nous-mêmes qui est aliénée par certains codes de la société (ici, la représentation du corps de la femme comme un objet devant correspondre à certains critères arbitraires). Ca pose la question du conditionnement, et dans quelle mesure y échapper est une liberté.
''Laissez-vous facilement arriver les choses ?''
Là encore, on peut l'interpréter dans deux sens allant dans deux directions opposées, suivant le point de vue pris. Tu assimiles cela au ''lâcher-prise'' je pense - comme le fait de ne plus se focaliser sur le poids, de ne plus se focaliser sur les cheveux blancs, etc - ?
On aboutit au paradoxe du lâcher-prise, lâcher-prise que je m'efforce pour ma part de mettre en oeuvre : c'est en acceptant que l'on ne peut pas tout contrôler que l'on acquiert plus de maîtrise dans sa vie.
En pensant bien que ''lâcher-prise'' n'est pas synonyme, du tout, du ''laisser-aller'' (y compris dans l'apparence physique). C'est plutôt un ''laissez aller'' : on laisse des parties de nous notamment au niveau biologique vivre leur vie,
on ne lutte donc plus contre ce qui est normal, mais que dans certains cas la société voudrait nous faire voir comme pathologique.
Pardon par avance si ce que j'exprime n'est pas très clair c'est juste ce qui me vient à l'esprit sur le moment - réflexion intéressante, en tout cas ! -
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: Nos illusions chimèriques
zwizwi a écrit:bonjour offset,
Je ne comprends pas vraiment bien ta question - sans que ce soit gênant, au contraire - (ça permet d'examiner ce qu'on met derrière les termes) :êtes-vous aussi maître de votre vie ? Ou laissez-vous facilement arriver les choses ?
le fait d'être ''maître de sa vie'' est plutôt positif, hors de tout contexte, mais je crois comprendre que tu associes cela avec par exemple l'ancien comportement de Tatiana de Rosnay, à savoir le fait de vouloir tout maîtriser. En ce sens, on n'est pas maître mais bien esclave, esclave d'une part de nous-mêmes qui est aliénée par certains codes de la société (ici, la représentation du corps de la femme comme un objet devant correspondre à certains critères arbitraires). Ca pose la question du conditionnement, et dans quelle mesure y échapper est une liberté.
''Laissez-vous facilement arriver les choses ?''
Là encore, on peut l'interpréter dans deux sens allant dans deux directions opposées, suivant le point de vue pris. Tu assimiles cela au ''lâcher-prise'' je pense - comme le fait de ne plus se focaliser sur le poids, de ne plus se focaliser sur les cheveux blancs, etc - ?
On aboutit au paradoxe du lâcher-prise, lâcher-prise que je m'efforce pour ma part de mettre en oeuvre : c'est en acceptant que l'on ne peut pas tout contrôler que l'on acquiert plus de maîtrise dans sa vie.
En pensant bien que ''lâcher-prise'' n'est pas synonyme, du tout, du ''laisser-aller'' (y compris dans l'apparence physique). C'est plutôt un ''laissez aller'' : on laisse des parties de nous notamment au niveau biologique vivre leur vie,
on ne lutte donc plus contre ce qui est normal, mais que dans certains cas la société voudrait nous faire voir comme pathologique.
Pardon par avance si ce que j'exprime n'est pas très clair :)c'est juste ce qui me vient à l'esprit sur le moment - réflexion intéressante, en tout cas ! -
J'ai eu cette idée ce matin, et j'ai eu envie de la partager spontanément, c'est pour cela que mes questions ne sont pas claires.
Je te remercie d'avoir apporté un complément.
« Une passion ne souffre ni organisation ni prévoyance ; elle n'est que folle témérité, risque et spontanéité. »
Citation de Alain Gagnon
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Nos illusions chimèriques
J'agis spontanément et cela n'est pas très bon, n'est ce pas ?
Pas du tout, c'est super la spontanéité - lâche ce il n'y en a pas besoin -
(tiens, je me disais que justement, pour prendre mon propre cas, j'ai beaucoup de mal à poster une réflexion de façon assez spontanée, je vais réécrire, supprimer, prendre du temps pour voir si ce que j'écris sera compris dans le sens où je le comprends moi, d'où de nombreuses et longues minutes passées sur la rédaction d'un message, là où je pourrais en passer moins.
Pour d'autres choses par contre, je peux agir de manière spontanée et ça fait du bien en plus
Je me demandais dans quelle mesure chaque être humain n'est pas ''déterminé" à vouloir contrôler certains domaines de sa vie - qui vont différer suivant le vécu et le parcours de chacun -, et dans quelle mesure cela était lié à la culture et à la société, au fait que l'homme soit considéré comme un ''animal politique'' (au sens d'Aristote) )
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: Nos illusions chimèriques
zwizwi a écrit:J'agis spontanément et cela n'est pas très bon, n'est ce pas ?
Pas du tout, c'est super la spontanéité - lâche ce il n'y en a pas besoin -
(tiens, je me disais que justement, pour prendre mon propre cas, j'ai beaucoup de mal à poster une réflexion de façon assez spontanée, je vais réécrire, supprimer, prendre du temps pour voir si ce que j'écris sera compris dans le sens où je le comprends moi, d'où de nombreuses et longues minutes passées sur la rédaction d'un message, là où je pourrais en passer moins.
Pour d'autres choses par contre, je peux agir de manière spontanée et ça fait du bien en plus
Je me demandais dans quelle mesure chaque être humain n'est pas ''déterminé" à vouloir contrôler certains domaines de sa vie - qui vont différer suivant le vécu et le parcours de chacun -, et dans quelle mesure cela était lié à la culture et à la société, au fait que l'homme soit considéré comme un ''animal politique'' (au sens d'Aristote) )
J'ai tendance à me juger sévèrement, merci pour le rappel
Ta dernière phrase attire ma curiosité, tu peux me parler de "l'animal politique" par Aristote, que veut t'il dire exactement ?
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Nos illusions chimèriques
offset a écrit:Arrêter de vouloir tout contrôler
Dans ce monde imprévisible où nous avons trop souvent la sensation que « tout » nous échappe, la tentation est grande d’essayer de « tout » maîtriser : les émotions qui nous submergent, le temps qui passe trop vite, l’amour de nos proches que nous pourrions perdre, notre corps qui nous trahit… Ainsi cherchons-nous parfois à retenir l’eau entre nos mains ouvertes. Et nous fermons les poings. Nous nous érigeons en maîtres absolus de nos vies. Que cache cette volonté de maîtrise ? Quelles chimères poursuivons-nous ? Et si nous essayions de changer un peu cela ?
Tatiana de Rosnay, 49 ans, écrivaine
« J’ai jeté ma balance et cessé de me peser, pour moi et pour ma fille »
« Quand j’avais 13 ou 14 ans, je regardais les photos des mannequins en constatant que je ne leur ressemblais pas du tout : elles pesaient cinquante kilos pour un mètre soixante-quinze, j’en pesais dix de plus avec la même taille, j’avais des hanches, pas d’épaules… L’engrenage a commencé. Je mangeais à peine, je me faisais vomir dès que je pensais avoir avalé un peu trop. À 17 ans, par exemple, j’ai perdu dix kilos en deux mois. Je me privais du plaisir de la nourriture pour avoir celui du contrôle. Cela a duré vingt ans. Partout, je me promenais avec ma balance. Mon mari était épouvanté par mes comportements, mais c’était plus fort que moi. Après ma première grossesse, j’ai arrêté de me faire vomir. Mais, après la deuxième, je suis retombée dans l’obsession. Et puis, il y a dix ans, un jour, en sortant du bain, je me suis entendue me dire : “Tatiana, tu vas arrêter de te peser. C’est ridicule et égocentrique. Jette la balance.” Je l’ai fait. Pour moi et pour ma fille. Je ne voulais pas qu’elle grandisse avec l’exemple d’une mère obsédée par la taille de ses fesses. Et à l’instant où j’ai cessé de me peser, j’ai cessé de me teindre les cheveux. J’ai accepté mes cheveux blancs, qui sont devenus ma “marque”. Que s’est-il alors passé en moi ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que, du jour au lendemain, ne pas me contrôler est devenu mon luxe. Et je m’aime comme ça. »
Etes-vous aussi maître de votre vie ? Ou laissez-vous facilement arriver les choses ?
euh les deux mais je me pèse plus depuis longtemps voire un siècle .... cela dit j'ai anticipé de par le passé beaucoup de choses donc je ne me pose plus certaines questions me semble t il et j'ai fait des choix de vie particuliers selon certains. et puis quand elles arrivent comme je sais que j'ai pu gérer de par le passé, je gérerai encore
[i]Extrait de l’article paru sur http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Arreter-de-vouloir-tout-controler
Invité- Invité
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