Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
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Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
Pour répondre à la toute première question de ce topic. Je pense que la différence se fait d'elle-même entre l'amitié et l'amour. Si quelqu'un t'attire, l'idée d'avoir un rapprochement physique avec cette personne te viendra automatiquement à l'esprit alors que si ça te rebute, faut pas chercher, c'est que ça ne peut être que de l'amitié!
En ce qui me concerne, j'ai rencontré un zebre via internet et je pensais que je tombais amoureuse rien qu'en lisant les messages qu'il m'envoyait. J'avais l'impression que c'était mon âme soeur, qu'enfin je l'avais trouvé ! Et finalement, la rencontre irl m'a un peu déçue car aucune attirance physique. Au final, aujourd'hui on se voit de temps en temps, beaucoup moins que mes autres potes mais c'est drôle lui il me comprend parfaitement et c'est une amitié vraiment chouette! Sinon j'ai une très bonne amie zèbre et non ça ne m'a pas absolument pas rendu homo pour autant xD
Aujourd'hui je ne peux absolument pas me voir avec quelqu'un de non-surdoué, ou qui n'a pas la même façon de voir les choses que moi. Donc pour ma part il me faut la formule zèbre + attirance sinon c'est pas possible...Mais c'est très difficile à trouver malheureusement..
En ce qui me concerne, j'ai rencontré un zebre via internet et je pensais que je tombais amoureuse rien qu'en lisant les messages qu'il m'envoyait. J'avais l'impression que c'était mon âme soeur, qu'enfin je l'avais trouvé ! Et finalement, la rencontre irl m'a un peu déçue car aucune attirance physique. Au final, aujourd'hui on se voit de temps en temps, beaucoup moins que mes autres potes mais c'est drôle lui il me comprend parfaitement et c'est une amitié vraiment chouette! Sinon j'ai une très bonne amie zèbre et non ça ne m'a pas absolument pas rendu homo pour autant xD
Aujourd'hui je ne peux absolument pas me voir avec quelqu'un de non-surdoué, ou qui n'a pas la même façon de voir les choses que moi. Donc pour ma part il me faut la formule zèbre + attirance sinon c'est pas possible...Mais c'est très difficile à trouver malheureusement..
Invité- Invité
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
J'ai 35 ans et je dois avouer que le bilan amoureux de ma vie est quelque peu compliqué, et que personnellement je suis tombée très tôt dans une déviance amouro-sexuelle , je suis bi sexuelle, et j'ai été clairement attirée par des femmes ou des hommes intellectuellement supérieur.
Mais je suis relativement isolée et les sites de rencontre m'ont hélas fait rencontrer des gens qui ne correspondaient pas a mes attentes intellectuelles, des personnes avec qui je m'ennui profondément.
Je suis en ce moment même dans cette situation, emmêlée avec un garçon envahissant , possessif jaloux, et qui est tellement concentré sur lui qu'il ne sait pas qui je suis et qui élimine tous les sujets de conversations qui le dérange ( par soucis de compréhension , ou parce qu'il ne veut pas entendre les choses qu'il n'arrive pas forcement à gérer .)
Tout le monde ne peu pas avoir le même fonctionnement que moi et être en couple avec quelqu'un qui n'étais pas forcement comme moi , n'étais pas un soucis , car je compensais avec des amis qui eux m'apportaient ce qui me manquait. Et puis si je suis capable d'aimer et de comprendre un animal blessé ou un peu bête , je suis capable d'aimer et de comprendre n'importe quel être humain.
Mais cette relation récente ( 7 mois) m'a enfermé dans un système dont je n'arrive plus à me sortir, je ne peu plus parler a personne sans qu'il ai un œil sur ce que je fais, je travaille a la maison et il est aussi la , et je n'arrive plus à compenser se manque de nourriture intellectuel .
Avec le recul que j'ai sur moi, je suis capable de voir que cette relation ne m'épanouis pas , qu'elle me stress et que je suis reléguée au rang d'objet sexuel . Alors oui je peu comprendre la fascination que l'on peu avoir quand on a devant soi quelqu'un qui est le reflet de soi même , avoir quelqu'un qui nous comprend est un réel besoin ou au moins avoir quelqu'un qui est conscient du besoin que l'on a et qu'il ne peu pas combler.
Mais je suis relativement isolée et les sites de rencontre m'ont hélas fait rencontrer des gens qui ne correspondaient pas a mes attentes intellectuelles, des personnes avec qui je m'ennui profondément.
Je suis en ce moment même dans cette situation, emmêlée avec un garçon envahissant , possessif jaloux, et qui est tellement concentré sur lui qu'il ne sait pas qui je suis et qui élimine tous les sujets de conversations qui le dérange ( par soucis de compréhension , ou parce qu'il ne veut pas entendre les choses qu'il n'arrive pas forcement à gérer .)
Tout le monde ne peu pas avoir le même fonctionnement que moi et être en couple avec quelqu'un qui n'étais pas forcement comme moi , n'étais pas un soucis , car je compensais avec des amis qui eux m'apportaient ce qui me manquait. Et puis si je suis capable d'aimer et de comprendre un animal blessé ou un peu bête , je suis capable d'aimer et de comprendre n'importe quel être humain.
Mais cette relation récente ( 7 mois) m'a enfermé dans un système dont je n'arrive plus à me sortir, je ne peu plus parler a personne sans qu'il ai un œil sur ce que je fais, je travaille a la maison et il est aussi la , et je n'arrive plus à compenser se manque de nourriture intellectuel .
Avec le recul que j'ai sur moi, je suis capable de voir que cette relation ne m'épanouis pas , qu'elle me stress et que je suis reléguée au rang d'objet sexuel . Alors oui je peu comprendre la fascination que l'on peu avoir quand on a devant soi quelqu'un qui est le reflet de soi même , avoir quelqu'un qui nous comprend est un réel besoin ou au moins avoir quelqu'un qui est conscient du besoin que l'on a et qu'il ne peu pas combler.
melie- Messages : 92
Date d'inscription : 13/02/2016
Age : 44
Localisation : eden
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
La fascination est souvent là simplement parce qu'il est possible d'être entièrement nous même dans ce type d'échange ,et tel que l'or ou le diamant qui est précieux à cause de sa rareté ,ce type de relation l'est tout autant.Je sais qu'il y a "et" fascination "et" possibilité de tomber amoureux si la personne en face de nous complète notre part de masculin ou de féminin.
J'ai pour ma part rencontré quelque zèbres dont une ,de laquelle je me souviendrai à peu près toute ma vie (à moins que je ne devienne sénile) ,une personne qui m'a autant troublé que charmé parce qu'en sa présence j'étais entièrement moi même ,voir le meilleur de moi même...Il n'y a pas eu de suite parce qu'autant elle que moi étions avec quelqu'un à ce moment là.Après est ce que ce genre de rencontre est de l'ordre du fantasme? (envisager l'autre de manière idyllique autant sur le plan intellectuel qu'émotionnel) .Malheureusement je ne le saurai jamais, je sais que cet instant passé était très particulier ,une large dilatation du temps et une sérénité sans fin.
Il m'est aussi arrivé de rencontrer des zèbres homme , et nous sommes devenu très vite amis ,mais ces rencontres étaient surtout réjouissante sur le plan intellectuel.
je crois que la fascination peut être amour si ,en plus de la dimension intellectuelle on intègre une dimension émotionnelle ,après tout dépend de la signification que chacun place sur "l'amour" et ses différents aspects.
J'ai pour ma part rencontré quelque zèbres dont une ,de laquelle je me souviendrai à peu près toute ma vie (à moins que je ne devienne sénile) ,une personne qui m'a autant troublé que charmé parce qu'en sa présence j'étais entièrement moi même ,voir le meilleur de moi même...Il n'y a pas eu de suite parce qu'autant elle que moi étions avec quelqu'un à ce moment là.Après est ce que ce genre de rencontre est de l'ordre du fantasme? (envisager l'autre de manière idyllique autant sur le plan intellectuel qu'émotionnel) .Malheureusement je ne le saurai jamais, je sais que cet instant passé était très particulier ,une large dilatation du temps et une sérénité sans fin.
Il m'est aussi arrivé de rencontrer des zèbres homme , et nous sommes devenu très vite amis ,mais ces rencontres étaient surtout réjouissante sur le plan intellectuel.
je crois que la fascination peut être amour si ,en plus de la dimension intellectuelle on intègre une dimension émotionnelle ,après tout dépend de la signification que chacun place sur "l'amour" et ses différents aspects.
nicolas.a- Messages : 90
Date d'inscription : 12/11/2013
Age : 41
Localisation : montpellier
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
A mons sens, amour et amitié font l'objet d'un pont naturel.
Passer de l'un a l'autre, dans le cadre d'une relation sincère est assez simple.
Après, a chacun sa définition d'amour et d'amité.
Certains sont en couple asexués, d'autres ont des amis avec qui ils couchent.
On dit que l'on aime sa famille, ses amis et son couple, on ne couche pas pour autant avec.
Le sexe n'est meme pas un critère différenciant au final.
L'amour, n'est il pas finalement synonyme d'affection et de respect des envies de l'autre?
Deux personnes qui s'apprécient, comme dans l'exemple que tu donnes, peuvent :
- devenir amis, car pour une relation exclusive et ayant fait le choix d'etre en couple,
- devenirs amants, car pour des relations non exclusives et cachées et ayant fait le choix d'etre en couple non libre,
- se mettre en couple, car ayant fait le choix de quitter leur couple,
- .....
Les combinaisons sont assez nombreuses en fait. Rajoute le polyamour, l'envie de celibat, etc...
A mon sens, la fascination est une composante de l'amour (couple), un bon moteur pour apprécier de se découvrir chaque jour.
Au final, et c'est ma position, mieux vaut être ouvert avec des gens ouverts, ça évite ce genre de situations, l'impression d’être passé a coté de quelque chose et de ne jamais "savoir" finalement.
Ta situation avec cette personne envahissante me trouble assez. Poser des limites, avoir son espace, sa liberté, "preserver sa bulle", est important. Surtout pour un zebre ou des asperger.
Je donne ces conseils tirés de ma propre expérience et d'erreurs passées. Si tu as besoin d'une aide plus précise, n'hésite pas, ma boite a mp est toujours ouverte.
Passer de l'un a l'autre, dans le cadre d'une relation sincère est assez simple.
Après, a chacun sa définition d'amour et d'amité.
Certains sont en couple asexués, d'autres ont des amis avec qui ils couchent.
On dit que l'on aime sa famille, ses amis et son couple, on ne couche pas pour autant avec.
Le sexe n'est meme pas un critère différenciant au final.
L'amour, n'est il pas finalement synonyme d'affection et de respect des envies de l'autre?
Deux personnes qui s'apprécient, comme dans l'exemple que tu donnes, peuvent :
- devenir amis, car pour une relation exclusive et ayant fait le choix d'etre en couple,
- devenirs amants, car pour des relations non exclusives et cachées et ayant fait le choix d'etre en couple non libre,
- se mettre en couple, car ayant fait le choix de quitter leur couple,
- .....
Les combinaisons sont assez nombreuses en fait. Rajoute le polyamour, l'envie de celibat, etc...
A mon sens, la fascination est une composante de l'amour (couple), un bon moteur pour apprécier de se découvrir chaque jour.
Au final, et c'est ma position, mieux vaut être ouvert avec des gens ouverts, ça évite ce genre de situations, l'impression d’être passé a coté de quelque chose et de ne jamais "savoir" finalement.
Ta situation avec cette personne envahissante me trouble assez. Poser des limites, avoir son espace, sa liberté, "preserver sa bulle", est important. Surtout pour un zebre ou des asperger.
Je donne ces conseils tirés de ma propre expérience et d'erreurs passées. Si tu as besoin d'une aide plus précise, n'hésite pas, ma boite a mp est toujours ouverte.
Invité- Invité
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
Je suis assez d'accord avec toi sur ton point de vue sur l'amour,
mais je ne pense pas que passer de l'amour à l'amitié (sans amour) soit simple, ce qui dépend en grande partie des rancœurs éventuelles ou attirances physiques fortes.
Concernant la fascination, je dirais plutôt l'émerveillement (qui est de l'ordre de l'attitude envers le monde en général, de la curiosité, étonnement, admiration...), la fascination renvoie pour moi à quelque chose d'hypnotique, d'irrésistible, et qui peut éventuellement occulter des choses malsaines, ou déformer la réalité sur la personnalité d'une personne. (Est ce que c'est ce que tu entendais par là ?)
Si la fascination peut intervenir dans une relation, je crois qu'il faut s'en méfier et ne surtout pas fonder des sentiments dessus.
De manière générale je pense également que l'amour est un mélange de nombreuses composantes dont les plus fortes sont l’empathie, l’attirance physique, la proximité intellectuelle (et affective), le partage et le vécu (d'expériences, de gouts, de plaisirs), et la confiance (inconditionnelle) et le support ou soutient mutuel.
J'ai l'impression que lorsqu'une de ces composantes fait défaut, ou que l'une d'entre elles est hypertrophiée, la relation est vouée à l'éloignement ou à une forme de souffrance.
J'imagine qu'un milliard de combinaisons sont possibles suivant les moments, les trajets de vie et les personnes.
Je dirais que ce qui est de l'ordre du fantasme est ce qui ne se concrétise pas ; il n'en demeure pas moins qu'il arrive que l'on commette des erreurs de choix. Par exemple quitter une personne qu'on aime pour une autre car on se rend compte de la profondeur de ses sentiments envers celle-ci, puis qu'elle s'avère ne pas être aussi compatible. Mais à l'heure première du choix, chacun fait avec son éthique (honnêteté émotionnelle envers l'autre), et son vécu de ses sentiments. Je crois qu'au fond on a très peu de vrais choix, et que les motivations de ceux-ci sont très obscures à la raison.
@Melie : (je suis surement excessif ou un peu manichéen, donc à lire en conséquence avec recul)
J'espère ne pas être blessant, j'expose simplement à la fois une crainte et un point de vu personnel, ce que je n'arrive pas à faire en mettant de l'eau dans mon vin sans trahir la nature de mon propos. En tout cas bon courage pour tes choix.
mais je ne pense pas que passer de l'amour à l'amitié (sans amour) soit simple, ce qui dépend en grande partie des rancœurs éventuelles ou attirances physiques fortes.
Concernant la fascination, je dirais plutôt l'émerveillement (qui est de l'ordre de l'attitude envers le monde en général, de la curiosité, étonnement, admiration...), la fascination renvoie pour moi à quelque chose d'hypnotique, d'irrésistible, et qui peut éventuellement occulter des choses malsaines, ou déformer la réalité sur la personnalité d'une personne. (Est ce que c'est ce que tu entendais par là ?)
Si la fascination peut intervenir dans une relation, je crois qu'il faut s'en méfier et ne surtout pas fonder des sentiments dessus.
De manière générale je pense également que l'amour est un mélange de nombreuses composantes dont les plus fortes sont l’empathie, l’attirance physique, la proximité intellectuelle (et affective), le partage et le vécu (d'expériences, de gouts, de plaisirs), et la confiance (inconditionnelle) et le support ou soutient mutuel.
J'ai l'impression que lorsqu'une de ces composantes fait défaut, ou que l'une d'entre elles est hypertrophiée, la relation est vouée à l'éloignement ou à une forme de souffrance.
J'imagine qu'un milliard de combinaisons sont possibles suivant les moments, les trajets de vie et les personnes.
Je dirais que ce qui est de l'ordre du fantasme est ce qui ne se concrétise pas ; il n'en demeure pas moins qu'il arrive que l'on commette des erreurs de choix. Par exemple quitter une personne qu'on aime pour une autre car on se rend compte de la profondeur de ses sentiments envers celle-ci, puis qu'elle s'avère ne pas être aussi compatible. Mais à l'heure première du choix, chacun fait avec son éthique (honnêteté émotionnelle envers l'autre), et son vécu de ses sentiments. Je crois qu'au fond on a très peu de vrais choix, et que les motivations de ceux-ci sont très obscures à la raison.
@Melie : (je suis surement excessif ou un peu manichéen, donc à lire en conséquence avec recul)
- @Melie:
- pour moi comprendre n'est pas légitimer, ou accepter.
Certaines fois on peut avoir tendance à croire que ce don d'empathie est un dû pour autrui.
D'une part j'ai le sentiment que c'est narcissique de ma part quand je ressens cela (que c'est un dû pour l'autre). Je pense qu'au contraire, l'autre a surtout (pas uniquement, mais surtout) besoin de moi en temps que personne telle que je suis et non pas comme réceptacle, et que mon attitude de St Bernard est décalée.
En amitié comme en amour j'ai constaté que si l'on est disponible pour les autres tel que l'on est c'est le meilleur que l'on puisse apporter, et on ne peut pas jouer le rôle de ce (et de ceux) que l'on est pas (le soignant, le parent, le psy, le pansement affectif...).
D'autre part on ne peut pas régler les déficits, et blessures de l'autre à sa place et encore une fois ce n'est absolument pas notre rôle.
Trop de personnes, en particulier à personnalité masculine (femme ou homme au demeurant) tentent d'enfermer ce qui les fascinent (.) comme si elles pouvaient s'en approprier un bout pour combler ce qu'il n'ont pas ou dont elles manquent ou encore qui les complexent (liberté, courage, intelligence, créativité, confiance...la liste peut être sans fin).
Ce travers peut même être une stratégie inconsciente systématique chez certaines personnes.
Cela s'apparente à de la perversion (le terme de pervers narcissique me revient mais je ne maitrise pas cette terminologie donc je ne m'y risquerais pas) par isolement de l'autre, et dégradation de son estime de soit : rendre dépendant en vulnérabilisant.
Ces personnes n'éprouvent pas de sentiments dirigés envers l'autre, elles s'en servent simplement pour tenter de compenser leur blessures par de la domination.
Enfin c'est l'interprétation que j'en fait et j'imagine qu'il existe tout les intermédiaire.
Personnellement si un doute raisonné me prends sur la personne, je mets un terme à notre relation quelque soit mes sentiments.
Sans aller jusqu'à la perversion, l'enfermement de l'autre par une relation très possessive ou plutôt exclusive, est un comportement répendu chez les zèbres en raison de l'insécurité émotionnelle, la grande empathie, du besoin de communication parfois permanent, le gout d'aller au fond des choses, les prises d'habitudes rapides...
Toujours est il que rien ne justifie de ne pas respecter le besoin d'intimité, d'espace et d’indépendance de l'autre.
Une relation trop exclusive, trop fusionnelle peut avoir tendance à s'essouffler rapidement par étouffement mutuel (ou unilatéral). les émotions tout comme le désir de l'autre ont besoin d'être recharger. Ce qui prends plus ou moins de temps suivant les personnes. On peut tuer une relation par besoin excessif d'affection de l'autre (ou de plaisir), tout en n' y voyant qu'un désir de partage normal dans un couple. Bien intentionné ou non c'est négatif et c'est une impasse dont il est difficile de sortir. Peut être simplement car les deux personnes ne sont pas assez équilibrés ou compatibles émotionnellement ce qui génère un manque qui se creuse donc perpétuellement et crée des crispations.
J'espère ne pas être blessant, j'expose simplement à la fois une crainte et un point de vu personnel, ce que je n'arrive pas à faire en mettant de l'eau dans mon vin sans trahir la nature de mon propos. En tout cas bon courage pour tes choix.
Pelot- Messages : 226
Date d'inscription : 25/03/2016
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
Pour l'avoir vécu, non, effectivement ce n'est pas "si simple" que ça effectivement, quand on a pas la méthode, cela peut mettre effectivement du temps en fonction de ces critères, ou etre assez rapide. J'ai vécu les deux cas (+ de 10 ans et quelques mois), cela ce fait. J'ai vécu 2 grandes histoires, 5 ans et 7ans+ 1 enfant, et aujourd'hui, ce sont 2 amies formidables en qui j'ai la plus grande des confiances. 2 supers relations pleines de bienveillances. J'aime bien dire "je suis célibataire, mais j'ai deux super ex"! lolPelot a écrit:Je suis assez d'accord avec toi sur ton point de vue sur l'amour,
mais je ne pense pas que passer de l'amour à l'amitié (sans amour) soit simple, ce qui dépend en grande partie des rancœurs éventuelles ou attirances physiques fortes.
Oui c'est tout a fait ma pensée Les précisions sont tout a fait justes, c'est la bonne "nuance de couleur".Pelot a écrit:
Concernant la fascination, je dirais plutôt l'émerveillement (qui est de l'ordre de l'attitude envers le monde en général, de la curiosité, étonnement, admiration...), la fascination renvoie pour moi à quelque chose d'hypnotique, d'irrésistible, et qui peut éventuellement occulter des choses malsaines, ou déformer la réalité sur la personnalité d'une personne. (Est ce que c'est ce que tu entendais par là ?)
Si la fascination peut intervenir dans une relation, je crois qu'il faut s'en méfier et ne surtout pas fonder des sentiments dessus.
Tout a fait! Meme si on peut encore aller dans la précision et la nuance, mais c'est une bonne synthèse. J'aime a dire que c'est c'est quand on peut exprimer toute la "matiere culturelle amoureuse" a la personne, sans rien éliminer, ni du lara fabian, ni du thiefaine, ni du baudelaire, ni la musique latino, ni le sourire de la joconde.... ni... brefPelot a écrit:
De manière générale je pense également que l'amour est un mélange de nombreuses composantes dont les plus fortes sont l’empathie, l’attirance physique, la proximité intellectuelle (et affective), le partage et le vécu (d'expériences, de gouts, de plaisirs), et la confiance (inconditionnelle) et le support ou soutient mutuel.
Je ne pense pas, car au final, surtout pour nos personnalités, il arrive fréquemment que l'on ai quelque "blocages" d'ordres émotionnels. A mon sens, comme l'amour est enrichissement et porteur d'amélioration, de changement, cela peu aider a faire sauter ces blocages, ou l'on peu aussi compenser. Par exemple, un blocage sur l'attachement peut se compenser par de l'engagement, un blocage sur l'affectif peu se compenser pas de l'addiction au sexe, ou l'inverse... tout est une question de "compatibilité". La preuve, c'est que personne n'est parfait et que l'on ne peut pas etre avec n'importe qui (hors situations de controle/manipulation/emprises etc...). Il faut cependant que les éventuels "manques" soient identifiés et partagés, sinon je pense qu'il n'y a aucune chance d'équilibre.... meme sur du long terme.Pelot a écrit:
J'ai l'impression que lorsqu'une de ces composantes fait défaut, ou que l'une d'entre elles est hypertrophiée, la relation est vouée à l'éloignement ou à une forme de souffrance.
Oui, et cela peut évoluer sur la durée. On évolue tous, pas forcément au meme rythme, pas forcement dans la meme direction.Pelot a écrit:
J'imagine qu'un milliard de combinaisons sont possibles suivant les moments, les trajets de vie et les personnes.
Je pense que quitter quelqu'un pour quelqu'un d'autre est une très mauvaise chose. On quitte quelqu'un parce que l'on est plus bien avec, point.Pelot a écrit:
Je dirais que ce qui est de l'ordre du fantasme est ce qui ne se concrétise pas ; il n'en demeure pas moins qu'il arrive que l'on commette des erreurs de choix. Par exemple quitter une personne qu'on aime pour une autre car on se rend compte de la profondeur de ses sentiments envers celle-ci, puis qu'elle s'avère ne pas être aussi compatible. Mais à l'heure première du choix, chacun fait avec son éthique (honnêteté émotionnelle envers l'autre), et son vécu de ses sentiments. Je crois qu'au fond on a très peu de vrais choix, et que les motivations de ceux-ci sont très obscures à la raison.
Après ça peut prendre du temps de quitter quelqu'un, surtout si on est comme moi, et que l'on tient a passer de l'amour à l'amitié. Il peut aussi arriver aussi d'avoir une vraie obligation d'avoir cette ambition, quand on a des enfants par exemple. N'y a t il pas plus important finalement, pour ne pas "gacher sa vie" et vivre sa paternité, d'avoir la meilleur relation possible avec la mere de son fils? Je suis très fiert de cela, de me dire que je pourrais passer des supers moments avec la mere de mon fils à l'avenir, et j'espere des soirées, des week end, des vacances.... Ou encore ne rien partager, ne rien devoir, car moralement et éthiquement, il serait malsain que je me sente d'avoir une quelconque obligation vis a vis de la mere de mon fils ou mon fils. Cela peut paraitre bizarre ou malsain que je dise cela, mais ma situation est vraiment particuliere, et cette vision, qui m'a demandé des mois de prise de tete a en devenir fou, est bien la plus juste. Je n'attends pas d'etre compris sur ma position d'ailleurs. Impossible a expliquer car bien trop de parametres. Il faut admettre que ce cas est possible et que cela est le miens.
De meme. Il faut garder l'esprit critique. Apres j'aurais une légere tendance a dire que le plus grand malheur de ma vie, est que les gens n'ont jamais assez confiance en moi. Les seules pouvant le confirmer... étant mes ex je pense lol. C'est ptete pour ca que j'en prend soin Je me dis que mon prochain amour aura des personnes qui pourront l'aider en ce sens Je suis tellement particulier, je vois pas d'autre moyen a par user de manipulation, ce que je me refuse dans mes relations amoureuses.Pelot a écrit:
@Melie : (je suis surement excessif ou un peu manichéen, donc à lire en conséquence avec recul)
- @melie:
Oui, très mauvaise chose! On peut prendre soin, cadrer, philosopher, avoir de l'affection, mais pas de dérive! Je suis justement célibataire aujourd'hui car continuer ma relation de couple m'aurait imposé cela, en plus de persister dans la souffrance d'une relation toxique découverte tardivement....Pelot a écrit:
En amitié comme en amour j'ai constaté que si l'on est disponible pour les autres tel que l'on est c'est le meilleur que l'on puisse apporter, et on ne peut pas jouer le rôle de ce (et de ceux) que l'on est pas (le soignant, le parent, le psy, le pansement affectif...).
Cela est le symptome du pygmalion si je ne me trompe pas. Ou du zebre qui veut sauver les femmes... J'ai eut ce défaut pour mes 2 premieres copines, et au final, ca revient à la position du sauveur, ca tient pas la route sur le long terme. On aime les gens pour ce qu'ils sont, par pour ce qu'ils pourraient devenir. sinon oui, on dérive vers des comportements relevant de la pn... ou dans l'exces de bienveillance, la "bonne poire" (moi il y a 10 ans lol).Pelot a écrit:
D'autre part on ne peut pas régler les déficits, et blessures de l'autre à sa place et encore une fois ce n'est absolument pas notre rôle.
Trop de personnes, en particulier à personnalité masculine (femme ou homme au demeurant) tentent d'enfermer ce qui les fascinent (.) comme si elles pouvaient s'en approprier un bout pour combler ce qu'il n'ont pas ou dont elles manquent ou encore qui les complexent (liberté, courage, intelligence, créativité, confiance...la liste peut être sans fin).
Ce travers peut même être une stratégie inconsciente systématique chez certaines personnes.
Cela s'apparente à de la perversion (le terme de pervers narcissique me revient mais je ne maitrise pas cette terminologie donc je ne m'y risquerais pas) par isolement de l'autre, et dégradation de son estime de soit : rendre dépendant en vulnérabilisant.
pn c'est tres particulier, voir mes posts sur le sujet, mon dernier couple m'ayant imposé de devenir expert du sujet lol
Exact, c'est ma compréhenion de la perversion narcissique. Il y a différents degrés quand meme.Pelot a écrit:
Ces personnes n'éprouvent pas de sentiments dirigés envers l'autre, elles s'en servent simplement pour tenter de compenser leur blessures par de la domination.
Enfin c'est l'interprétation que j'en fait et j'imagine qu'il existe tout les intermédiaire.
Ne pas confondre avec les asperger qui controle pour ce protéger. Vécu dans une relation naissante, et percu comme tel dans les deux sens d'apres moi. Mais jamais pu vérifier, et pas si important que ca pour moi au final...Pelot a écrit:
Personnellement si un doute raisonné me prends sur la personne, je mets un terme à notre relation quelque soit mes sentiments.
Tout a fait exact! Apres, je pense que l'on a le droit d'insister un peu quand il y a des sujets grave a aborder et que des vies sont en jeu. Une seule fois dans ma vie j'ai "un peu" insister d'avoir une discution avec quelqu'un : ma vie était en danger - j'ai vraiment failli mourir - et j'avais peur de l'avoir envoyé dans une direction dangereuse pour elle.Pelot a écrit:
Sans aller jusqu'à la perversion, l'enfermement de l'autre par une relation très possessive ou plutôt exclusive, est un comportement répendu chez les zèbres en raison de l'insécurité émotionnelle, la grande empathie, du besoin de communication parfois permanent, le gout d'aller au fond des choses, les prises d'habitudes rapides...
Toujours est il que rien ne justifie de ne pas respecter le besoin d'intimité, d'espace et d’indépendance de l'autre.
Oui, ca doit se gérer. Apres ce genre de relation est extrement rare: il faut en avoir envie et laisser le temps au temps, surtout quand on est particulierement émotif et que l'on a pas appris à gérer.Pelot a écrit:
Une relation trop exclusive, trop fusionnelle peut avoir tendance à s'essouffler rapidement par étouffement mutuel (ou unilatéral). les émotions tout comme le désir de l'autre ont besoin d'être recharger. Ce qui prends plus ou moins de temps suivant les personnes. On peut tuer une relation par besoin excessif d'affection de l'autre (ou de plaisir), tout en n' y voyant qu'un désir de partage normal dans un couple. Bien intentionné ou non c'est négatif et c'est une impasse dont il est difficile de sortir. Peut être simplement car les deux personnes ne sont pas assez équilibrés ou compatibles émotionnellement ce qui génère un manque qui se creuse donc perpétuellement et crée des crispations.
Tout pareil. Ma démarche est de partager mon expérience sur ce qui restera jespere, le pire "louppé" de ma vie. Je suis telllement dégouté de mon échec dans cette histoire similaire que j'ai passé plusieurs mois a quasi plein temps pour aquerir ces expériences que je vous partage. Si j'avais le choix de revivre et avoir une "seconde chance", c'est cette scene de ma vie que je demanderai à dieu de me laisser rejouer. J'ai vécu pire, mais je n'ai jamais croisé une telle "perspective de bonheur".Pelot a écrit:
J'espère ne pas être blessant, j'expose simplement à la fois une crainte et un point de vu personnel, ce que je n'arrive pas à faire en mettant de l'eau dans mon vin sans trahir la nature de mon propos. En tout cas bon courage pour tes choix.
Invité- Invité
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
Coucou tout le monde
Tout d'abord je suis désolée pour vos mauvaises expériences. Je ne veux pas relancer le débat et je n'ai pas grand chose à ajouter, j'imagine juste que ça n'a pas été (ou n'est pas) facile
Mais bon je vais quand même répondre à la question initiale du coup:
En règle générale, je pense que la rencontre entre deux surdoués a quelque chose d'un peu spécial(parce que le fonctionnement des surdoués est special en lui même ). Mais le sens et le ton que prendra la relation ne dépend que du caractère des protagonistes (tant de similitudes peuvent même amener à ne pas se supporter l'un l'autre!). Enfin bref, pour parler de mon expérience personnelle, je ne connais qu'une personne « comme moi ». Il n'est pas « officiellement » surdoué (moi non plus d'ailleurs), mais il ne fait aucun doute qu'il l'est. On s'est connus par le biais d'un ami, il y a trois-quatre ans (ça date tout ça).
C'est impossible de décrire cette relation tellement elle est complexe. C'est un mélange (un brin toxique?) de méfiance (vis à vis du potentiel de l'autre, de sa morale ambiguë et de son coté tordu), de compétition même peut être (ou du moins le besoin de rester égaux, de ne pas se laisser dépasser par l'autre) d'estime (voire d'admiration) et surtout de fascination,. On se complète énormément, et on remplit la solitude de l'autre (peut etre qu'on en est un peu reconnaissants,d'ailleurs?). On a surtout une complicité très fraternelle et très forte (qui est aussi en rapport avec d'autres affinités que le QI), et même si on a nos propres manières de le faire, on s'aime profondément, et on est toujours là l'un pour l'autre. On a plein de petites attentions, on connaît les goûts de l’autre et les petits détails qui lui font plaisir.
C'est vrai que la fascination entraîne une attirance psychique hors du commun, et ça m'a déjà fait douter de la nature de notre relation. Mais à vrai dire, il n'y a pas d'attirance sexuelle, et certains traits de (fort) caractère nous rendent "incompatibles". En fait je pense qu'on en est à un stade où on ne peut même plus mettre d'étiquette sur cette relation. C'est juste fort, point.
Pour la comparaison, j'ai été très amoureuse d'un « normopensant » (qui était loin d'être bête cependant), et ça n'a rien à voir. C'est bizarre, ce décalage entre la passion que j'ai eu pour mon ex, et le sentiment indescriptible que j'ai pour mon ami. Les deux sensations sont intenses, et pourtant différentes.
Et si vous vous posez la question, mon pote n'est pas si moche que ça (et je sais que lui de son coté me trouve pas immonde non plus), donc l'aspect physique n'a rien bloqué dans notre relation ahah.
Enfin bref, c'était un peu long, mais j'ai essayé de détailler au maximum pour répondre à la question, que j'ai trouvé super intéressante d'ailleurs. Les relations entre des personnes complexes sont elles mêmes si complexes, qu'il y a plein de nuances et de contradictions à détailler ^^
Tout d'abord je suis désolée pour vos mauvaises expériences. Je ne veux pas relancer le débat et je n'ai pas grand chose à ajouter, j'imagine juste que ça n'a pas été (ou n'est pas) facile
Mais bon je vais quand même répondre à la question initiale du coup:
En règle générale, je pense que la rencontre entre deux surdoués a quelque chose d'un peu spécial(parce que le fonctionnement des surdoués est special en lui même ). Mais le sens et le ton que prendra la relation ne dépend que du caractère des protagonistes (tant de similitudes peuvent même amener à ne pas se supporter l'un l'autre!). Enfin bref, pour parler de mon expérience personnelle, je ne connais qu'une personne « comme moi ». Il n'est pas « officiellement » surdoué (moi non plus d'ailleurs), mais il ne fait aucun doute qu'il l'est. On s'est connus par le biais d'un ami, il y a trois-quatre ans (ça date tout ça).
C'est impossible de décrire cette relation tellement elle est complexe. C'est un mélange (un brin toxique?) de méfiance (vis à vis du potentiel de l'autre, de sa morale ambiguë et de son coté tordu), de compétition même peut être (ou du moins le besoin de rester égaux, de ne pas se laisser dépasser par l'autre) d'estime (voire d'admiration) et surtout de fascination,. On se complète énormément, et on remplit la solitude de l'autre (peut etre qu'on en est un peu reconnaissants,d'ailleurs?). On a surtout une complicité très fraternelle et très forte (qui est aussi en rapport avec d'autres affinités que le QI), et même si on a nos propres manières de le faire, on s'aime profondément, et on est toujours là l'un pour l'autre. On a plein de petites attentions, on connaît les goûts de l’autre et les petits détails qui lui font plaisir.
C'est vrai que la fascination entraîne une attirance psychique hors du commun, et ça m'a déjà fait douter de la nature de notre relation. Mais à vrai dire, il n'y a pas d'attirance sexuelle, et certains traits de (fort) caractère nous rendent "incompatibles". En fait je pense qu'on en est à un stade où on ne peut même plus mettre d'étiquette sur cette relation. C'est juste fort, point.
Pour la comparaison, j'ai été très amoureuse d'un « normopensant » (qui était loin d'être bête cependant), et ça n'a rien à voir. C'est bizarre, ce décalage entre la passion que j'ai eu pour mon ex, et le sentiment indescriptible que j'ai pour mon ami. Les deux sensations sont intenses, et pourtant différentes.
Et si vous vous posez la question, mon pote n'est pas si moche que ça (et je sais que lui de son coté me trouve pas immonde non plus), donc l'aspect physique n'a rien bloqué dans notre relation ahah.
Enfin bref, c'était un peu long, mais j'ai essayé de détailler au maximum pour répondre à la question, que j'ai trouvé super intéressante d'ailleurs. Les relations entre des personnes complexes sont elles mêmes si complexes, qu'il y a plein de nuances et de contradictions à détailler ^^
Anachronisme- Messages : 11
Date d'inscription : 07/06/2016
Age : 25
Re: Rencontre entre HQI, relation amoureuse vs amicale
Zebra56 a écrit:Est-il courant de confondre attraction amoureuse et fascination amicale quand on se croise entre HQI (ou THQI) ? La rareté de telles rencontres les rend elle troublantes par essence ?
Cette question me rappel une rencontre en particulier.
J'ai eu un nouveau collègue, rapidement nous avons ressenti le besoin d'échanger un maximum.
Lui en souffrance, moi plutôt bien dans mes basquettes à cette époque là.
Plusieurs personnes me diront que sa fascination pour moi était criante.
Dés lors qu'une attraction intellectuelle et reciproque est devenue impossible à nier, je l'ai vu se renfermer, sans m'éviter mais ma compagnie semblait tout cas poser un problème profond sans que je sache de quoi il s'agissait. 2 semaines plus tard, du jour au lendemain il a disparu, arrêt maladie , plus de son plus d'image.
J'ai assez mal vécu cet événement car je n'avais aucun élément pour comprendre ce qui a bien pu se passer.
1 an plus tard j'apprendrai qu'il est gay. Il n'avait pas encore fait son coming out à l'époque. Tout est devenu limpide !
Je devine qu'il s'est senti coincé/perdu entre l'envie de me révéler sa préférence, et ce mélange d'attraction/fascination qui n'avait rien de sexuel.
Invité- Invité
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