Les pieds dans le tapis..

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gare à la p’tite chute à cause d’un tapis !

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Je :
Je
......................

....
rien

Bienvenue au monde

tu parles d'une renaissance !

vieux motard que jamais

Bienvenuüe, Tennesseee.
Bienvenuuuûûue..

Bienvenue =)

Je comprends bien ce que tu dis, il est vrai qu'il faut éviter les étiquettes. C'est ce que j'ai fait longtemps. Le résultat n'est pas brillant. J'ai refusé de me rendre à l'évidence.

.......

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Bengale 38, merci pour ton message de bienvenue.  

Je manques à tous mes devoirs, sous le coup de l'émotion je n'ai pas remercié Unycorn, Ely; l'invité, et L'ange pour leur message de bienvenue, je crois que c'est cette discussion avec L'ange qui m'a perturbée sur le coup. C'est aussi la raison pour laquelle je modifie le titre de ce fil.
Avec le recul je le trouve plus approprié à mon entrée sur le forum. A la plupart de mes entrées d'ailleurs.

Coin coin !!!

L'éphémère.

Hello Tennessee !

Merci d'avoir posé un message dans ma "bulle". My turn ! (Comme dirait l'aut')

Bon week-end...

Merci Austraelle, bah, tiens, ça me donne envie d'investir cette bulle que j'ai laissée à l'abandon, faute de l'avoir commencée adroitement sans doute....
Pour la peine, je te bise  

Bonjour Tennessee

J'avais envie de venir visiter ce fil, on s'est rencontré à une irl en août et j'ai gardé un bon souvenir de toi

Moi aussi j'ai gardé un très bon souvenir de toi, c'est super, car on n'a pas vraiment eu l'occasion de discuter, j'espère qu'on se retrouvera bientôt, cela me ferait très plaisir..
Merci d'être passée par ici

Bah oui, c'est tout moi ....

"Philosophie
J’ai entendu dire que la philosophie était née d’un faux-pas.
Socrate (je crois qu’il s’agit de lui) voyant un passant trébucher aurait rit et se serait alors posé la question de ce rire.
Je ne sais pas si l’anecdote est vraie, en tout cas, elle me plaît.
François Duteurtre"

Elle me plait à moi aussi ...

Merci Mis En Pate Ugly Brat d'avoir posté dans ma bulle.

Réalisé sans trucage ! Ça m'a fait pensé à ton tapis...  



Bon week-end, à dimanche !

Merci MEPUB, mais je ne suis pas de celles qui aiment les méchants et je suis à l'heure à mes rendez vous... en général, enfin sauf quand les éléments sont contre moi, que j'suis en panne d'essence, que je ne trouve pas de place pour me garer ou que les feux rouges font exprès de passer au rouge....

Austraelle.......... j'aimerai bien être blonde du coup....

Excellent,  grand merci de poster cela dans ma bulle. Ca swing à mort

J'adore 1000 fois le début du morceau que je connais par coeur, comme tout musicien de jazz!!
Qui est extrait de la version sing sing sing de l'excellent orchestre de Benny Goodman avec un excellent chorus de clarinette (Benny) et je ne sais qui est à la drum, mais c'est juste excellent !

"Riche? J'suis pas bien riche et tu l'sais bien. Mais j'vis ma vie sans m'soucier de celle des autres, j'suis un loup solitaire, un mouton noir, j'ai la peste et vaut mieux m’fuir ou j'te r'filerai la gale ! Moi, j'suis pas faite pour le monde d'aujourd'hui tu vois ? J'suis faite pour plus tôt, ou plus tard. J'suis loin de tous ces étrangers qui semblent venir d'une autre planète. Ouais. J'crois que dans l'univers, y a d'autres planètes et qu'ils viennent de celles là. Ce monde m'appartient, il est a moi, c'est mon jouet. Et j'compte bien m'amuser comme une brindezingue.
J'fume trop, j'bois trop, j'aime personne. Et toi non plus, d'ailleurs. "

Se lovant dans les bras d'une demoiselle, une cigarette logée dans sa main atteignant parfois le bout de ses lèvres, Canis racontait à sa jeune amie qu'elle ne pourrait jamais subvenir à ses besoins. Le tact? La délicatesse? Elle ne connait pas. Les larmes aux yeux, sa jeune amie reprit en sanglot.

"T-Tu m'avais promis que..."

"J'ai mentis." Répliqua l'ignoble. "Ben ouais, un pirate c'est ça aussi, ma belle. Et c'est pas parce que j'suis sensée mieux t’comprendre que ton fiancé parce que j'suis une donzelle, que j'suis pas une grognasse comme tant d'autres. Faudra t'y faire, tu sais? La vie c'est d'la saloperie ! Y a plus d'justice. Y en a jamais eu à vrai dire. "

Puis en deux en trois mouvements, l'amante sortit du lit, se rhabilla de ses parures étoffées avant de quitter la chambre qu'elle regrettait déjà avoir payé avant d'entendre ce discours. Pendant ce temps, le flibustier s'étala dans le lit qu'elle trouvait excessivement grand pour deux personnes, avant de s'étirer nonchalamment... Cette journée risquait une fois de plus d'être bourrée de plaisantes mésaventures !
Chaque jours lui paraissait être plus amusant que la veille, mais le jeu commençait réellement, lorsqu'elle arrivait sur son Zeppelin. Ici se trouvait les seuls êtres vivant qu'elle ne méprisait pas. Bien au contraire, une certaine admiration pour ces personnes naquit le jour ou leurs chemins se croisèrent. Voilà comment Canis percevait l'amour. De l'admiration et un sentiment d'égalité.

"Bordel, Cap'taine ! J'crois bien que l'cambusier à 'core fumé ma dernière bouteille ! "

Un homme aux allures farouches s'avança vers la jeune femme poussant des râles de colère du fond de sa gorge.

"Ecoute, Kamen. Arrête un peu d't'agiter comme un pauvre emmanché ! C'est pas un abruti et si y a vraiment plus d'boisson, il en trouvera avant qu'on n’reparte en chasse... Il risquera pas d’nous faire manquer d'Rhum pendant un voyage. Il sait c'qu'il a à perdre..."

Sans mot dire, le béotien s'en alla le pied lourd, se dirigeant là ou se trouvait sa cale, auprès de ses armes et cannons. Mais avant qu’il ne parvienne aux escaliers, Canis l'interpela :

"Mat'lot ! Dit au Mécano d'monter m'voir, j'ai à discuter avec..."

Le canonnier répondit en grognant… Ainsi, elle s'avait qu'il le ferait. Ce garçon était pour ainsi dire le plus fidèle de son équipage et elle le comprenait quel que soit le dialecte utilisé. En fin de compte, lui et le navigateur étaient en quelque sorte ses bras et son cerveau. Cordis ne réfléchissait pas toujours avant d'agir, son coeur agissait avant tout pour elle, pour se protéger. Elle n'avait de coeur que pour la protection et l'attaque, l'amour n'ayant pas de place dans sa vie. Quelques instants plus tard, le Mécano rejoignit le Capitaine à la barre.

"Vous m'avez demandé, Capitaine?"

"Ouais, ma jolie." -Le Mécano était en effet une femme. L'une des plus belle que Canis connaissait, mais aussi celle qu'elle respectait le plus.- "J'voulais  vous causer au sujet d'la fuite d'hydrogène. Z'avez retrouvé d'ou v'nait la fuite? De quelle cellule ça vient?"

"Oui, cela venait de la cellule cylindrique numéro deux, Capitaine."

"Tout est réparé, y aura plus d'problème?"

"S'il n'y aura plus de problème ? Ah, je ne peux rien affirmer. Je n'ai pas encore trouvé comment la panne s'est produite. Mais je serais toujours là, si la chose réitère..."

"Bien. Vous pouvez circuler et rejoindre le canonnier. Si possible, calmez-le un peu... Ah ! Et pensez à changer nos hélices ! Y en a une qu'est tordue, ça m'énerve tellement qu'j'ai envie d'le faire moi même et ‘savez bien qu'c'est pas une bonne idée."

"Effectivement, j'y penserai !!"

La belle demoiselle se mit à rire et décrochant de par ce son, un sourire à l’Ignoble. Le mécano était le seul à avoir fait vraiment souffrir la Dame Cordis. Mais il fallait bien que certaine personne remette à sa place le Coeur de Chien qu'elle était. Il fallait bien que parfois, on lui montre qu'elle aussi avait des faiblesses et qu'elle pouvait avoir du chagrin. Le Capitaine en avait besoin afin d’éviter que son pouvoir ne lui monte à la tête.
Derrière elle, se tenait un homme de taille moyenne aux larges épaules et à l’allure royale. Il se tenait droit, fier, lorgnant l’horizon à l’aide d’une longue vue. Canis s’avança jusqu’à lui se tenant à ses cotés, le regard pensif. Elle souriait. Sur ce « Rafiot », comme elle avait pour habitude de l’appeler, elle était reine d’un monde qui n’appartenait qu’à elle. C’était le Capitaine. Et son équipage était sa fierté. Le majestueux baissant la longue vue avant de poser ses yeux azures sur elle, un sourire tendre se dessinant sur son visage. Seul le vent se faisait entendre jusqu’à ce qu’il ne lui coupe la parole.

"Alors, Capitaine ? Quand larguons-nous les amarres..? "

"On attend la Troubadour, Lord. L’aventure commence dès qu’elle s’ra prête. "

Merci Tennessee !  

Un endroit sûr pour planquer le test que j'ai passé hier matin.....

Non, trois fois non, je ne me laisserai pas abattre ! hop ! hop ! hop ! du rebond, de l'élan, du ressort...

Je m'rends
à l'évidence...

Mon institutrice préférée.

Merci MEPUB
c'est bon de rigoler un coup !