De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
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De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Acuité ne veut pas dire se saouler et être 'cuité'. Mais un lien est à faire, tout comme l'on fabrique une sauce aux champignons. On utilise du beurre pour que cela glisse, pas de l'huile...
Alors bon, pourquoi des gens, des membres ici bas ne savent pas s'assumer et ne cesse avec Art et Intelligence à se pourrir la vie.
Le vin, quand il vieillit tourne vinaigre.
Attendez les gens pour être mauvais, vous allez le devenir, pas la peine de se presser.
Que l'on s'emballe, et s'énerve sur un lieu qui a des allures de faux-rhum, qui est légèrement frelaté me faire rire au plus haut point en même temps que cela m’exaspère dans le point G de mon esprit.
Les gens les plus brillants ne sont pas les plus beaux.
Et tout ce qui brille n'est pas or.
Je m'explique.
Par ce post je désigne les gens qui me gonflent et me cassent les bonbons, les roubignoles... j'utilise des métaphores et des allégories, pas d'oxymores pour essayer de leur faire prendre conscience (en vain, car ces personnes ne boivent pas de vin...) du fait qu'elles excellent dans l'art de se pourrir par eux même là vie, tout en ayant l'acuité d'être de mauvaise fois et de rejeter leurs fautes, leurs erreurs sur les autres.
Ce qui est très chrétien, je n'en disconviens pas.
On est dans notre siècle et notre époque.
En fait, le pire P.N. c'est nous même par rapport à nous même.
Et le pire P.N. de ces personnes, c'est eux-même par rapport à elle même.
"Si Marc-Aurèle *, comme l'écrivit Hippolyte Taine, « est l'âme la plus noble qui ait vécu », n'est-il pas nécessaire, pour bien connaître cette âme, de connaître aussi la vie qu'elle dut mener? Marc-Aurèle, en effet, ne se contenta pas d'être l'adepte inactif d'un système philosophique connu . La rare noblesse de cette conscience d'élite est moins faite de la grandeur relative de la doctrine à laquelle il voulut se soumettre, que de la façon dont il entendit vivre selon les préceptes de cette philosophie. Pourrait-on, dès lors, apprécier à sa juste valeur la doctrine de vie qu'il nous légua dans ses Pensées écrites « pour lui-même », si l'on ignorait le vivant commentaire qu'il ne cessa d'en faire tout au cours des phases de sa rude existence, et saurait-on comprendre l'exemple de sa vie et en tirer profit, si l'on ne savait point quels principes en fondèrent l'enchaînement parfait, l'admirable tenue? "
Pour cela, on dit en Oracle de Delphes, "Connait toi même", j'ajoute et le ciel t'aidera, tant qu'il y'a du ciel.
Les oiseaux sont libres et comme l'on dit en Outre-Atlantique ; "S'il y avait un dollar au fond de l'enfer, on trouverait un Yankee pour l'y aller chercher."
Allez Gringos, que dieu vous bless...
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Devant l'inacuité, mot inversé de la situation, je continue mes propos.
Parlons peu, parlons suicide.
Je me méfie énormément de ceux qui me disent en souriant, 'je n'ai jamais pensé ou envisagé l'idée de me tuer'.
Ceux là, ne savent pas le poids d'une vie. “Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie.” - A.C.
Ils ont le sourire en Corn Flakes et le rire bedonnant de flatulence ceux qui ne pensent pas, ou refusent de penser à cela.
« L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire » - F.N.
« J’ai le tort (je dis “j’ai” parce que je persiste), de passer par une sorte de dialectique de la première, simple mort physique, à la seconde, où c’est la pensée qui sombre. À vrai dire, la pensée sombre aussi dans la première, mais dans la seconde la pensée qui sombre accomplit son naufrage si l’on peut dire à l’intérieur de la pensée, c’est-à-dire dans une pensée où subsiste la conscience de sombrer. » - Georges Bataille, « l’Enseignement de la mort ».
On en est là,
- Code:
[u] bon_heure, mal_heure[/u]
Réponse à la question, en explosant la métaphysique elle-même.
Comment faire alors pour vivre sans subir le poids de l'existence...
Réponse à la question, en explosant la question elle-même.
Méta, au dela, physique, ce qui est... Au delà de ce qui est... ben voyons mon colon...
Des gens ont la superstition de l'âme. Pourquoi pas.
D'autres de l'esprit... soit.
Ou encore des karmas et des auras... c'est un peu comme-ci dans le métro je me mettais à douter de l'existence de mes congénères humains et de la rame elle même...
La métaphysique est toutes ces choses qui nous tuent la vie par le fait même qu'elles sont indémontrables.
'Celui qui croit, c'est celui qui refuse de savoir'. - F.N.
Nous cherchons tous par des choses indémontrables à montrer à autrui que nous existons, vivons, connaissons et comprenons pleinement nos vies mieux que lui ne comprends la sienne.
Si Miss Tigri à une vie de merde, c'est que son karma est lui même de la merde, à elle de le changer...
Si Miss Griti n'a pas d'amis, c'est que son esprit est trop optu pour en avoir, à elle de le changer...
Si j'ai loupé mon métro, j'ai cas attendre le suivant, ou alors marché si la station est fermée... à mon de l'assumer...
Et si simplement l'individu X - Y, on est à l'époque des gènes sans gêne... acceptait lui même par lui même ce qu'il est, sans hontes ni remords, je me demande et vous demande, est-ce que ces questions se poseraient-elles encore ?
Sans renier un mysticisme post soixante huitard bien de chez nous, ou on allume la télé pour pleurer les attentats horribles commis par des fous au nom de dieu, pour pleurer la mort d'un chaton, d'un chien, lapin ou autre connerie domestiqué qui comble l'inacuité (je réutilise ce terme) de nos vies..., donc sans renier ce mysticisme, fort est pour moi de dire que depuis l'invention de la Bombe A ou du téléphone portable je ne vois rien de magique dans notre monde. La magie est un outil de pouvoir et de domination à l'image du prêtre, de l'imam, du politique ou autre médiateur qui par son 'savoir' tente d'imposer une pensée à autrui.
Et je, nous, le faisons tous.
La seule magie qui est, est celle inhérente à l'esprit humain car c'est de lui que sort toute ces artifices.
Le bienfait de tous cela est que c'est l'Homme qui les a inventé.
Pourquoi dis je cela, car supprimez l'Homme, toutes ces choses s'effacent d'elles mêmes...
Bref, que ceux qui se pensent investis de pouvoirs se liguent contre moi, je rigole et me marre en canard, qu'ils me fassent la peau, je leur dirait merci.
Sinon, je leur donne en monnaie de singe mon mépris et en numéro complémentaire du loto, je les emmerde.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Hello, je me lance pour ma première participation, yepee !
Le titre et le sujet de ton topic m'ont tout de suite fait penser à ce délicieux bouquin de Watzlawick: "Faites vous-même votre malheur" - je ne sais pas si tu l'as lu ?
A recommander à tout ceux qui mettent un point d'honneur à se sentir vivant dans leur malheur, et donc à se créer artificiellement leur propre enfer... comme ces gens la:
Ya plein de raisons à ça... déjà, il y a le fait que globalement la plupart des gens se sentent de loin plus vivants dans la tempête que dans la quiétude/sereinité.
D'autres part nous avons tous un égo, (égo, mon bel égo) qui s'est construit sur des croyances de bases (la plupart issues de messages non transmis durant l'enfance: manque d'amour, de reconnaissance, etc). Certaines de ces croyances sont d'une violence assez forte, ça peut donner des choses comme: "je ne mérite pas d'être aimé", "les autres sont dangereux", "si j'exprime mes émotions je serais rejeté", etc...
Croyances sur lesquelles on fonde notre identité (oui, ça craint un peu... on se demande ensuite pourquoi tant de névroses...). Et il y a un phénomène merveilleux qui se greffe à tout ça, c'est le besoin de cohérence... (aka le biais d'engagement).
Quand t'as passé toute ta vie à te construire une identité selon ces préceptes, il est beaucoup plus facile de continuer à les prendre pour argent comptant que de les remettre en question... et il y a autre chose: se rendre compte qu'on s'est planté est trop dur à imaginer, toute cette souffrance pour rien ?...
Donc la solution, pour ne pas se rendre compte qu'on s'est bien baisé la gueule, c'est de s'arranger (évidemment inconsciemment, c'est plus facile à vivre) pour que notre vie soit cohérente par rapport à ces croyances ! Et oui, d'ou ces fameux paterns de vie qui se répètent ad vitam (jusqu'a ce que la personne trouve les ressources pour s'éveiller... ou pas).
C'est assez triste oui. Je comprends ta colère vis-à vis de la chiantise invétérée de telles personnes lorsqu'elles essayent de faire des jeux psychologiques avec toi (car oui, il s'agit bien de cela... elles t'utilisent simplement pour continuer à valider leurs croyances). Mais pour ma part j'ai globalement plutôt de l'empathie pour ces gens-la: j'en suis passé par la et derrière leurs artifices je vois juste la violence et la souffrance qu'elles s'infligent elles-même.
Cependant, l'empathie ne dispense pas de mettre une distance, surtout quand ces personnes, à tendance parfois vampiriques, viennent te prendre pour proie ou viennent envahir ton espace vital. Et encore plus si elles sont tellement hypnotisées que même une communication subtile ne permet pas de les sortir de transe... dans ce cas faut d'abord penser à sa peau !
désolée pour la réponse fleuve mais ton texte m'a inspirée
désolée aussi si c'est peut-être hors-sujet, mais voici ce que mon inspiration a pondu
Le titre et le sujet de ton topic m'ont tout de suite fait penser à ce délicieux bouquin de Watzlawick: "Faites vous-même votre malheur" - je ne sais pas si tu l'as lu ?
A recommander à tout ceux qui mettent un point d'honneur à se sentir vivant dans leur malheur, et donc à se créer artificiellement leur propre enfer... comme ces gens la:
Par ce post je désigne les gens qui me gonflent et me cassent les bonbons, les roubignoles... j'utilise des métaphores et des allégories, pas d'oxymores pour essayer de leur faire prendre conscience (en vain, car ces personnes ne boivent pas de vin...) du fait qu'elles excellent dans l'art de se pourrir par eux même là vie, tout en ayant l'acuité d'être de mauvaise fois et de rejeter leurs fautes, leurs erreurs sur les autres.
Ya plein de raisons à ça... déjà, il y a le fait que globalement la plupart des gens se sentent de loin plus vivants dans la tempête que dans la quiétude/sereinité.
D'autres part nous avons tous un égo, (égo, mon bel égo) qui s'est construit sur des croyances de bases (la plupart issues de messages non transmis durant l'enfance: manque d'amour, de reconnaissance, etc). Certaines de ces croyances sont d'une violence assez forte, ça peut donner des choses comme: "je ne mérite pas d'être aimé", "les autres sont dangereux", "si j'exprime mes émotions je serais rejeté", etc...
Croyances sur lesquelles on fonde notre identité (oui, ça craint un peu... on se demande ensuite pourquoi tant de névroses...). Et il y a un phénomène merveilleux qui se greffe à tout ça, c'est le besoin de cohérence... (aka le biais d'engagement).
Quand t'as passé toute ta vie à te construire une identité selon ces préceptes, il est beaucoup plus facile de continuer à les prendre pour argent comptant que de les remettre en question... et il y a autre chose: se rendre compte qu'on s'est planté est trop dur à imaginer, toute cette souffrance pour rien ?...
Donc la solution, pour ne pas se rendre compte qu'on s'est bien baisé la gueule, c'est de s'arranger (évidemment inconsciemment, c'est plus facile à vivre) pour que notre vie soit cohérente par rapport à ces croyances ! Et oui, d'ou ces fameux paterns de vie qui se répètent ad vitam (jusqu'a ce que la personne trouve les ressources pour s'éveiller... ou pas).
C'est assez triste oui. Je comprends ta colère vis-à vis de la chiantise invétérée de telles personnes lorsqu'elles essayent de faire des jeux psychologiques avec toi (car oui, il s'agit bien de cela... elles t'utilisent simplement pour continuer à valider leurs croyances). Mais pour ma part j'ai globalement plutôt de l'empathie pour ces gens-la: j'en suis passé par la et derrière leurs artifices je vois juste la violence et la souffrance qu'elles s'infligent elles-même.
Cependant, l'empathie ne dispense pas de mettre une distance, surtout quand ces personnes, à tendance parfois vampiriques, viennent te prendre pour proie ou viennent envahir ton espace vital. Et encore plus si elles sont tellement hypnotisées que même une communication subtile ne permet pas de les sortir de transe... dans ce cas faut d'abord penser à sa peau !
désolée pour la réponse fleuve mais ton texte m'a inspirée
désolée aussi si c'est peut-être hors-sujet, mais voici ce que mon inspiration a pondu
Lulla- Messages : 29
Date d'inscription : 20/10/2014
Age : 39
Localisation : Banlieue parisienne
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Non, pas lu.délicieux bouquin de Watzlawick: "Faites vous-même votre malheur" - je ne sais pas si tu l'as lu ?
Je ne lis que de la philo en ce qui concerne le savoir vivre...
Tu parles de croyances, tu poses le doigts sur le problème.
LA CROYANCE ou d'autres nomment cela la FOI.
Nietzsche disait ; 'Celui qui croit est celui qui refuse de savoir'.
Ben oui mon colon.
Je crois que Y est amoureuse de moi car dans le fond je sais que c'est faux et que je me refuse d'aller lui demander pour ne pas casser mon illusion.
Je crois que Z est tout puissant et je n'ose pas m'opposer à lui car je me refuse à casser ma croyance et à me mettre face à mes responsabilités...
C'est bon de dire que c'est l'autre, que la réalité nous échappe, on est plus responsable...
Alors que si je me confronte à la réalité, ben les croyances s'écroulent.
Et encore, je peux me mettre aussi à croire à la réalité au lieu de la savoir.
Ma réalité est ma croyance on pourrait dire en pirouette sémantique.
Sauf que ma réalité est seulement mienne, les autres n'y entrent pas.
Et jamais, je dis bien JAMAIS, je n'imposerai ma réalité aux autres.
Y'en a qui disent je sais, je vais t'aider ou te soigner. La seule chose à dire est soigne toi toi même !!! Et si tu le veux je t'aiderai.
Trouve des gens comme cela.
Y'a moi, je le dis sans scrupule car je le sais. Je suis comme cela.
Et inversement je dirai, mais si tu ne veux pas te soigner, ben crève, mais assume le. Prends conscience que tu meurs ou va mourir .
Et cela va pour moi. Quand j'ai mal, je souffre réellement, je ne fais pas semblant.
Quand j'aime, je le fais réellement, j'ajouterai comme pour la souffrance, pleinement.
Je me suis souvent demandé pourquoi les femmes aimaient être aimées par moi. Pour cela, y'a pas de mensonges.
Et ensuite, très peu de colère.
Que celui ou celle qui désire partager avec moi sa réalité et la mienne vienne, mais JAMAIS je ne forcerai une personne à vivre dans mon monde.
Aucune empathie de ma part, encore moins quand ils se revendiquent HP ou THQUI sur ce site.Mais pour ma part j'ai globalement plutôt de l'empathie pour ces gens-la: j'en suis passé par la et derrière leurs artifices je vois juste la violence et la souffrance qu'elles s'infligent elles-même.
HP pour moi rime avec Hopital Psychiatrique.
Ici j'ai vu beaucoup de gens qui se CROIENT libres mais peu qui se le SAVENT.
Oui, car si tu n'es plus vivant, tu ne peux plus aider les autres.dans ce cas faut d'abord penser à sa peau !
Le cercle est cassé.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Mis En Pate Ugly Brat a écrit:
Ici j'ai vu beaucoup de gens qui se CROIENT libres mais peu qui se le SAVENT.
Comment s'approcher d'un état qu'on pourrait qualifier de "sachant être libre" ?
Ce n'est pas rhétorique.
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Qu'est-ce qu'il a, ton côlon?
j'aime beaucoup la réponse de Lulla
je n'apporte rien mais je voulais le signaler
j'aime beaucoup la réponse de Lulla
je n'apporte rien mais je voulais le signaler
une (gaufre)- Messages : 707
Date d'inscription : 02/06/2012
Age : 32
Localisation : La cité aux cent clochers
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Ma réalité est ma croyance on pourrait dire en pirouette sémantique. Sauf que ma réalité est seulement mienne, les autres n'y entrent pas. Et jamais, je dis bien JAMAIS, je n'imposerai ma réalité aux autres. Y'en a qui disent je sais, je vais t'aider ou te soigner. La seule chose à dire est soigne toi toi même !!! Et si tu le veux je t'aiderai. Trouve des gens comme cela. Y'a moi, je le dis sans scrupule car je le sais. Je suis comme cela. Et inversement je dirai, mais si tu ne veux pas te soigner, ben crève, mais assume le. Prends conscience que tu meurs ou va mourir . a écrit:
Je suis tout à fait d'accord avec toi dans le fond.
Par contre dans la forme, je trouve ta communication assez violente, en fait, c'est tout.
J'entends ton ras-le bol, et je le comprends, car ça m'arrive souvent de vivre le genre de situation que tu décris avec d'autres personnes qui se créent de A à Z leurs illusions de souffrances. Et oui, ma façon de penser revient à la tienne, car la ou quelqu'un voulant vraiment prendre soin de lui me demanderait du soutien, je pourrais éventuellement essayer de lui en apporter mais uniquement si je me sens disponible pour. Ce qui, je dois le dire, n'est pas si courant - d'une part parce que des personnes me demandant ça, c'est vraiment rare , et d'autres part car je pense d'abord à moi avant de donner de l'énergie aux autres, car ça me coute et parfois je n'ai pas les ressources pour. Je n'ai pas la vocation d'aider les gens à tout prix ou l'idée de changer la réalités des autres malgré eux (l'empathie n'a rien à voir avec ça) car comme tu l'as dit, c'est impossible, seuls eux-même peuvent le faire. A la rigueur, les gens conscients de ça et voulant prendre soin d'eux se nourriront tous seuls de ce genre de discussions/partages, sans demander activement de l'aide, car ils sauront être réceptifs et auront accès à leurs propres ressources (qui sont d'ailleurs les seules ressources réelles qu'on ait pour ça).
Si d'autres humains préfèrent rester dans l'illusion de leurs croyances, ça ne me regarde pas. C'est leur choix de vie, pas le mien.
Je trouve ça dommage et assez triste mais ça reste mon ressenti et en aucun cas je ne les jugerai.
Après, effectivement, je ne m'entourerai certainement pas de ces personnes... ce qui est assez difficile, je trouve, car on en trouve beaucoup. Mais j'ai remarqué que très souvent on attire qui on veut attirer... depuis que je sais prendre soin de moi j'ai rencontré beaucoup de personnes capables de le faire aussi et avec qui je ne risque pas de me trouver confronter aux cas que tu décrivais dans ton premier post.
Merci pour le partage.
et merci à toi chère gaufre, ça fait toujours plaisir de lire ça (oui, j'ai un égo, comme tout le monde )
Lulla- Messages : 29
Date d'inscription : 20/10/2014
Age : 39
Localisation : Banlieue parisienne
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Je trouve ta communication éminemment sincère et non violente, MEPU.
Sans empathie ou ces conneries, juste respect d'un.
Sans empathie ou ces conneries, juste respect d'un.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Moaï a écrit:Je trouve ta communication éminemment sincère et non violente, MEPU.
Sans empathie ou ces conneries, juste respect d'un.
Justement, perso ça me gêne à chaque fois.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Oui mais après quelque fois moi j'ai vu que c'était ainsi, sans façons,
et si je ne puis en faire de même et ne le ferai jamais, je peux apprécier pour autant.
Moi ça me gêne quand tu te livres trop, à ta façon faussement pudibonde,
d'autant que je peux pas m'empêcher de lire si je tombe dessus.
Toujours les mêmes quoiqu'il en soient, des sentimentaux pudiques effrontés,
dont le beau sexe n’atteindra jamais la délicatesse.
et si je ne puis en faire de même et ne le ferai jamais, je peux apprécier pour autant.
Moi ça me gêne quand tu te livres trop, à ta façon faussement pudibonde,
d'autant que je peux pas m'empêcher de lire si je tombe dessus.
Toujours les mêmes quoiqu'il en soient, des sentimentaux pudiques effrontés,
dont le beau sexe n’atteindra jamais la délicatesse.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Comment s'approcher d'un état qu'on pourrait qualifier de "sachant être libre" ?
Ce n'est pas rhétorique.
Ce n'est pas rhétorique...
J'ai pas la capacité de dire ben si, alors je vais développer.
Simplement.
Libre, liberté, qu'est ce que ce concept ?
En anglais, on rigole plus qu'en français, sans parler du russe ou le mot n'a surement pas le meme sens que chez nous.
Les terroristes du dictionnaire me font rire car leur liberté se limite à leur langue, sans penser à celle des autres... limités qu'ils sont...
Comme ci de l'autre côté des Pyrénées la langue était la même...
Alors je ne regarderai ou ne copierait/colle pas la définition de la liberté.
Freedom, Liberty ?
Cookies ou alors Donuts ?
N'est libre que celui qui assume ses actions. Voila à mon sens la définition de ma liberté, je précise toujours 'à mon sens' car nul envie en moi de dire la Vérité, mais ma vérité, sans qu'elle déborde sur celle d'autrui.
Comme je sais ce que je fais, ou m'évertue à le savoir, je peux dire que je sais ma liberté.
Exemple pratique.
Lesson number one.
Ma femme avait un amant, je le savais, je ne le croyais pas, elle me le niait, ben je suis parti, j'ai quitté le foyer conjugal.
Ma liberté fut celle de confronter la réalité à ce que j'étais et d'agir en conséquence.
J'aurai pu rester pépére pervers à la maison, mes pieds au chaud dans les chaussons.
Ben non, ma liberté à fait que mes action m'ont mené ou je suis.
Exemple pratique.
Lesson number two.
Mon père à trompé ma mère avec une femme plus jeune qu'elle.
Faut dire que ma mère, enfin... je m'égare.
Déjà le mot trompé.
J'en ai parlé avec ma mère. Mais il n'a trompé personne mon père vu que ma mère le sait. Et plus marrant, mon frère et moi même on le savait !!! Mis a part lui même qui croyait qu'on ne savait pas, qui était trompé ?
Pendant 6-9 mois elle lui a fait vivre un enfer. Et le long des repas elle disait, je vais me barrer sans le faire.
Un midi, je m'en souviens super bien, on lui a dit en fait qu'elle nous cassait à moi et mon frère les couilles. Que si elle voulait partir elle le pouvait, qu'on l'aimerait toujours, elle comme mon père, mais qu'elle devait arrêter de geindre ainsi.
Ok, papa t'a trompé.
Soit c'est insupportable et tu te casses et on est solidaire avec vous.
Soit tu fermes ta gueule et tu nous redonnes des frites. On mangeait bœuf frite ce midi là.
Ma mère qui se veut forte (c'est à dire moralement intouchable) n'était pas en accord avec ses actes là, toujours pour moi, elle n'était pas libre.
Et je peux multiplier à pléthore (c'est pas un lieu de villégiature) les exemples.
Voilà pourquoi je me sais libre.
Je fais ce que je veux en assumant les conséquences.
Positives ou négatives.
Y'a une forme d’existentialisme teinté de situationnisme là dedans.
Si ils ferment leur gueule et vivent leurs illusions en silence cela ne me dérange pas.Si d'autres humains préfèrent rester dans l'illusion de leurs croyances, ça ne me regarde pas. C'est leur choix de vie, pas le mien.
Je trouve ça dommage et assez triste mais ça reste mon ressenti et en aucun cas je ne les jugerai.
Mais si ils l'ouvrent et commence à polluer la vie avec, non.
Je ne suis pas d'accord.
Et tu dis leur choix de vie. Pour certains oui, et eux ils ont mon respect, mais ceux qui le subissent, qu'ils aillent pas se faire foutre !!! Et c'est encore moins moi qui leur donnera du plaisir à ceux là.
Ensuite, tu vois, je me permet le tutoiement, je développe pousse cela ici. Pas ailleurs. Je ne m’étale pas ailleurs sur le forum, je ne suis pas sérial posteur.
Ou alors en mode Uccen, pour soulever une absurdité qui dans son ensemble peut ressembler à une pierre accrochée à la gorge d'une personne prête à se jeter dans un fleuve d'excréments.
Je trouve ta communication éminemment sincère et non violente, MEPU.
Je suis non-violent car je sais que je peux l'être.
Ce que de nombreux pacifistes ne peuvent faire.
C'est comme ceux qui ne mangent pas de viande parcequ'ils ne peuvent pas le faire.
Moi je peux tuer un lapin, le dépecer, le faire cuire, le cuisiner sans sourciller.
Comme je peux décider de ne pas le faire.
Et si je le fais, je n'éprouverai aucun plaisir comme aucune tristesse à le faire. L'objet ne sera pas le lapin mais ma faim.
Mais ceux qui décident qu'ils ne désirent plus tuer alors qu'ils savent le faire, eux pour moi son libre d'être végétarien.
Les autres, ils le croient...
Au final, je ne parle que peu de moi, mais du monde.Moi ça me gêne quand tu te livres trop, à ta façon faussement pudibonde,
d'autant que je peux pas m'empêcher de lire si je tombe dessus
Et si je parle de moi, c'est pour expliquer comment je vois le monde.
Et je dis bien, je vois, pas comment le monde il est...
"La fin est un moyen qui se justifie." - Moi
"La fin justifie les moyens." - Nicolas M
"Si la fin justifie les moyens, les moyens justifient la fin" - Albert C
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Précision au cas où, ce que tu reprends vers la fin était adressé à Kramit,
çà tombe sous le sens mais j'ai ce tic de la transparence.
Bon ce sera sans commentaires sur ta jeunesse.
Et je vais dire à l'autre abruti de chacal qu'il s'inquiète de l'utilisation abusive de son nom,
il serait riche à l'heure qu'il est s'il revendiquait son droit, et aurait pu payer sa caution depuis longtemps.
çà tombe sous le sens mais j'ai ce tic de la transparence.
Bon ce sera sans commentaires sur ta jeunesse.
Et je vais dire à l'autre abruti de chacal qu'il s'inquiète de l'utilisation abusive de son nom,
il serait riche à l'heure qu'il est s'il revendiquait son droit, et aurait pu payer sa caution depuis longtemps.
Invité- Invité
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
Ce n'est pas rhétorique...
J'ai pas la capacité de dire ben si, alors je vais développer.
C'était uniquement pour préciser que je ne lançai pas une pic déstabilisatrice mais bien que la question (et la réponse) m’intéressait ; mais tu as dû le comprendre et finalement, ce n'est pas fondamentalement le sujet (quoi que, on touche au sens des mots et à leur définitions parfois personnelles avec nos propres raisonnances à propos).
Merci pour le partage et l'explication.
Ce que tu appelles liberté je crois l'appeler sagesse.
N'est - ce pas l'inverse ?
Ben non, ma liberté à fait que mes action m'ont mené ou je suis.
Re: De l'acuité à être de mauvaise fois et de l'art de se pourrir soit-même la Vie.
il a été prouvé que la cuitée provoque des problèmes de foie.
Je confirme écouter du saez est un acte sado masochiste.
SI je l'écoutais je m'auto pourrirai la vie aussi je lirais tout le reste plus tard.
Je confirme écouter du saez est un acte sado masochiste.
SI je l'écoutais je m'auto pourrirai la vie aussi je lirais tout le reste plus tard.
Invité- Invité
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