Tortueux dédales ...
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Tortueux dédales ...
Je suis si Las d'ecrire ... et des fois je n'ai plus envie de parler non plus ..
Le silence s'installe et tout est blanc autour de moi .
Juste un observateur qui remarque la pathétique existence qui essaye de trouver une place dans un Monde qui n'est pas le sien ... pour décrire ma souffrance je n'ai que l'errance , celle des mots qui veulent bien venir des fois effleurer mon papier ...
Que dire lorsqu'on voit le chemin et la fin de celui ci ... que vos reves sont des fins possibles de l'humanitée ... que dire lorsque la Mort de vos semblables est gravé dans votre chair et que celle des autres vous est offerte a regarder ?
Si les mots des gens me blessent c'est qu'ils ne sont pas issu du Coeur , que leur mot ne transpirent pas leur ames .. Tout est profond comme la Nuit en mon sein , tout est grave et inscrit ...
Je porte en moi la Marque du Temps et pourtant aux yeux de ce Monde je reste jeune ...
Je percoit bien plus que tout ce qui est vain et secondaire , je me sens d'ailleurs et tout les chiffres et les echelles ne sont qu'humaines et imparfaites .. Mes yeux n'ont pas reçu le voile qui permet de ne plus voir le fil du Temps et de la réalitée , ils ont juste pleurés et vu la beautée inextinguible de Royaumes oubliés ainsi que les profondeur des Abysses ..
Etoile arrachée ...
Dans mon esprit les pensées se bousculent et s'inventent les unes aux autres ...
Comment pourrais je décrire la mélodie soudaine qui transperce mes doigts , La lueur qui s'en répand ...
Et les mots fusent comme un torrent d'acide, brulant mes lèvres,
Laissant leurs traces charbonneuses sous mes yeux sombres et fuyant dans ces eaux salées qui font mal au cœur , ces transpirations des sentiments ...
La Nuit je rêve en regardant le Ciel ... Celui qui m'a abandonné sur ses marches reste silencieux ...
Toucher les étoiles et leur appartenir a jamais ... Rester dans l'espace ...
J'insulte souvent les Nuages , les Orages deviennent la couleur de mes désespoirs , la Lune ... Elle ... s'en fout !
J'ai si mal ... et même si je sais qu'au fond ton sépulcre est la seule chose qui subsiste de Toi ...
Du haut de ma Tour j'implore souvent ton Nom pour bercer ma solitude et mes désillusions ...
Souvenir d'un Outre Monde ou ma place n'a pas le prix des larmes ... Chimère indécise qui s'efface aux yeux du Jour ...
Reviens me chercher ... Amour perdu ou simple poussière d’étoile ...
Car ici bas je m’éteins ...
J'inverserai le Temps , je prendrai la mort en otage pour une Éternité au Paradis ...
Mais ne me laisse pas crever ici ... Je perd mon Ombre et mon Âme ..
Comment pourrais je décrire la mélodie soudaine qui transperce mes doigts , La lueur qui s'en répand ...
Et les mots fusent comme un torrent d'acide, brulant mes lèvres,
Laissant leurs traces charbonneuses sous mes yeux sombres et fuyant dans ces eaux salées qui font mal au cœur , ces transpirations des sentiments ...
La Nuit je rêve en regardant le Ciel ... Celui qui m'a abandonné sur ses marches reste silencieux ...
Toucher les étoiles et leur appartenir a jamais ... Rester dans l'espace ...
J'insulte souvent les Nuages , les Orages deviennent la couleur de mes désespoirs , la Lune ... Elle ... s'en fout !
J'ai si mal ... et même si je sais qu'au fond ton sépulcre est la seule chose qui subsiste de Toi ...
Du haut de ma Tour j'implore souvent ton Nom pour bercer ma solitude et mes désillusions ...
Souvenir d'un Outre Monde ou ma place n'a pas le prix des larmes ... Chimère indécise qui s'efface aux yeux du Jour ...
Reviens me chercher ... Amour perdu ou simple poussière d’étoile ...
Car ici bas je m’éteins ...
J'inverserai le Temps , je prendrai la mort en otage pour une Éternité au Paradis ...
Mais ne me laisse pas crever ici ... Je perd mon Ombre et mon Âme ..
Elisa de Csetje.
Invité- Invité
Re: Tortueux dédales ...
Le monde peux me broyer , de cette douce étoile j' aimerais m' enivrer...
Déchu et tomber loin de tout paradis, sur cette terre aride , je me ère, meurtri,
gardant au fond du cœur, un souffle de chaleur qui me retiens en vie...
Chercher la lumière, pétri et façonné par l' ombre, perdu dans un tunnel, relié à l' autre monde;
Cet éclat d' étoile brisé qui scintille en mon cœur, recherche sa moitié pour sortir de l' horreure; de cette nuit éternelle...
Le verbe, se faisant chaire, m' a éloigner de l' âme sœur,
perdu au milieu de ceux dont la flamme a à jamais vaciller,
comment incarner l' amour sur la terre en cet heure? Cherchez l' erreur !
Brisé par le poids de cette lourde destinée, en cette heure je proclame que parcourir ce chemin,
un jour ne restera pas vain
Déchu et tomber loin de tout paradis, sur cette terre aride , je me ère, meurtri,
gardant au fond du cœur, un souffle de chaleur qui me retiens en vie...
Chercher la lumière, pétri et façonné par l' ombre, perdu dans un tunnel, relié à l' autre monde;
Cet éclat d' étoile brisé qui scintille en mon cœur, recherche sa moitié pour sortir de l' horreure; de cette nuit éternelle...
Le verbe, se faisant chaire, m' a éloigner de l' âme sœur,
perdu au milieu de ceux dont la flamme a à jamais vaciller,
comment incarner l' amour sur la terre en cet heure? Cherchez l' erreur !
Brisé par le poids de cette lourde destinée, en cette heure je proclame que parcourir ce chemin,
un jour ne restera pas vain
keyofspirit- Messages : 128
Date d'inscription : 19/03/2014
Age : 37
Localisation : 71
Re: Tortueux dédales ...
keyofspirit a écrit:Le monde peux me broyer , de cette douce étoile j' aimerais m' enivrer...
Déchu et tomber loin de tout paradis, sur cette terre aride , je me ère, meurtri,
gardant au fond du cœur, un souffle de chaleur qui me retiens en vie...
Chercher la lumière, pétri et façonné par l' ombre, perdu dans un tunnel, relié à l' autre monde;
Cet éclat d' étoile brisé qui scintille en mon cœur, recherche sa moitié pour sortir de l' horreure; de cette nuit éternelle...
Le verbe, se faisant chaire, m' a éloigner de l' âme sœur,
perdu au milieu de ceux dont la flamme a à jamais vaciller,
comment incarner l' amour sur la terre en cet heure? Cherchez l' erreur !
Brisé par le poids de cette lourde destinée, en cette heure je proclame que parcourir ce chemin,
un jour ne restera pas vain
Je sais .. que nous sommes l'un et l'autre semblables
Invité- Invité
Re: Tortueux dédales ...
oui mais l' un de nous deux n assume peut être pas totalement ses rêves, ses envies et réels aspirations ou n ' ose pas avancer ^^ mais oui on est semblable :p
keyofspirit- Messages : 128
Date d'inscription : 19/03/2014
Age : 37
Localisation : 71
Re: Tortueux dédales ...
DRole ... plus de je ne sais combien de vue et une seule personne qui répond ^^ sympa .
Invité- Invité
Re: Tortueux dédales ...
Hello. Bienvenue. Ton texte est un peu chargé. J'ai pas vraiment réussi à le lire. Et donc je n'ai pas répondu.
Invité- Invité
Re: Tortueux dédales ...
Peut être tu devrais faire une présentation qui parlerait de toi en des termes plus accessibles
Invité- Invité
Re: Tortueux dédales ...
Mais peut être
Ne reste-t-il
Au temps caméléon
Plus de couleurs ?
Encore un sursaut
Et il retombera,
Sans souffle et rigide.
Peut – être,
Enivrée de fumées et de combats,
La terre ne relèvera-t-elle jamais la tête ?
Peut être,
Un jour ou l’autre,
Le marais des pensées se fera cristal
Un jour ou l’autre,
La terre verra le pourpre qui jaillit des corps,
Au-dessus des cheveux cabrés d’épouvante
Elle tordra ses bras, gémissante
Peut être…
Écoutez !
Puisqu’on allume les étoiles,
c’est qu’elles sont à
quelqu’un nécessaires ?
C’est que quelqu’un désire
qu’elles soient ?
C’est que quelqu’un dit perles
ces crachats ?
Et, forçant la bourrasque à midi des poussières,
il fonce jusqu’à Dieu,
craint d’arriver trop tard, pleure,
baise sa main noueuse, implore
il lui faut une étoile !
jure qu’il ne peut supporter
son martyre sans étoiles.
Ensuite,
il promène son angoisse,
il fait semblant d’être calme.
Il dit à quelqu’un :
" Maintenant, tu vas mieux,
n’est-ce pas ? T’as plus peur ? Dis ? "
Écoutez !
Puisqu’on allume les étoiles,
c’est qu’elles sont à quelqu’un nécessaires ?
c’est qu’il est indispensable,
que tous les soirs
au-dessus des toits
se mette à luire seule au moins
une étoile?
Vladimir Maïakovski
Ne reste-t-il
Au temps caméléon
Plus de couleurs ?
Encore un sursaut
Et il retombera,
Sans souffle et rigide.
Peut – être,
Enivrée de fumées et de combats,
La terre ne relèvera-t-elle jamais la tête ?
Peut être,
Un jour ou l’autre,
Le marais des pensées se fera cristal
Un jour ou l’autre,
La terre verra le pourpre qui jaillit des corps,
Au-dessus des cheveux cabrés d’épouvante
Elle tordra ses bras, gémissante
Peut être…
Écoutez !
Puisqu’on allume les étoiles,
c’est qu’elles sont à
quelqu’un nécessaires ?
C’est que quelqu’un désire
qu’elles soient ?
C’est que quelqu’un dit perles
ces crachats ?
Et, forçant la bourrasque à midi des poussières,
il fonce jusqu’à Dieu,
craint d’arriver trop tard, pleure,
baise sa main noueuse, implore
il lui faut une étoile !
jure qu’il ne peut supporter
son martyre sans étoiles.
Ensuite,
il promène son angoisse,
il fait semblant d’être calme.
Il dit à quelqu’un :
" Maintenant, tu vas mieux,
n’est-ce pas ? T’as plus peur ? Dis ? "
Écoutez !
Puisqu’on allume les étoiles,
c’est qu’elles sont à quelqu’un nécessaires ?
c’est qu’il est indispensable,
que tous les soirs
au-dessus des toits
se mette à luire seule au moins
une étoile?
Vladimir Maïakovski
Invité- Invité
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