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jimi 1drix- Messages : 95
Date d'inscription : 27/02/2013
Re: ...............
j'ai toujours été populaire. on me "connait". mais ce qui est drôle c'est que je ne corresponds pas du tout aux "critères" de popularité
pourquoi les gens font semblant ? pour faire comme tout le monde, par intérêt, par manque de personnalité
pourquoi écraser une autre catégorie ? pour faire comme tout le monde, pour ne pas être exclu d'un cercle, par peur, par bétise de comparaison, par éducation (j'ai un rang à tenir...)
ça se ressent à l'avenir si les personnes en question se sont tellement enfoncées dans un mode de vie qu'elles ne pourront plus en sortir sans conséquence
j'ai pour ma part démarrer une cure d'impopularité il y a je crois environ dix ans et dis donc c'est les vacances.
pourquoi les gens font semblant ? pour faire comme tout le monde, par intérêt, par manque de personnalité
pourquoi écraser une autre catégorie ? pour faire comme tout le monde, pour ne pas être exclu d'un cercle, par peur, par bétise de comparaison, par éducation (j'ai un rang à tenir...)
ça se ressent à l'avenir si les personnes en question se sont tellement enfoncées dans un mode de vie qu'elles ne pourront plus en sortir sans conséquence
j'ai pour ma part démarrer une cure d'impopularité il y a je crois environ dix ans et dis donc c'est les vacances.
Invité- Invité
Re: ...............
Lycéens, étudiants, je n'ai pour ma part pas trouvé de grands changements entre ses deux mondes. Même mécanismes et conséquences.
Re: ...............
Jamais très populaire, jamais impopulaire. Parfois leader dans certaines circonstances, parfois complètement en dehors.
Il n'y a pas règle, je trouve ma place dans les différents groupes et c'est pas toujours la même.
Il n'y a pas règle, je trouve ma place dans les différents groupes et c'est pas toujours la même.
Invité- Invité
Re: ...............
J'étais très populaire environ 2 ans quand j'étais étudiants mais comme la popularité est souvent basé sur l'hypocrisie je suis devenue très impopulaire suite à l'agression sexuelle d'une de mes meilleurs amie. Vu que je suis le seul a avoir eu le cran de faire qq chose.
Pour l'écrasement moi je dirais que souvent les gens s'écrase tous seul. Je n'ai jamais eu le sentiment d'écraser les autres j'ai toujours plutôt chercher à les connaitre a partager des connaissances avec eu.
Mais souvent ils s'effaçaient et me mettaient en valeur un peu comme si ils n'avaient pas le courage de s'assumer. J'ai toujours trouver ça curieux.
Pour l'écrasement moi je dirais que souvent les gens s'écrase tous seul. Je n'ai jamais eu le sentiment d'écraser les autres j'ai toujours plutôt chercher à les connaitre a partager des connaissances avec eu.
Mais souvent ils s'effaçaient et me mettaient en valeur un peu comme si ils n'avaient pas le courage de s'assumer. J'ai toujours trouver ça curieux.
magicglace- Messages : 367
Date d'inscription : 28/04/2014
Age : 36
Re: ...............
jimi 1drix a écrit:
Et je me suis dit , comment est on considéré populaire ?
Définition du Larousse, Popularité : "Faveur dont on jouit auprès de la population, du plus grand nombre.
Faveur dont jouit quelqu'un au sein d'un groupe : Avoir une grande popularité auprès de ses élèves."
Il me semble que la popularité est d'abord liée à l'image que l'on renvoie.
Celle-ci est variable selon les contextes, les groupes, les périodes de la vie, les époques...
Il y a une part plus ou moins maîtrisable - ce que l'on fait de/pour soi et avec/pour les autres, qui alimente une certaine image - et une part non maîtrisable - ce que les autres perçoivent, avec leur(s) filtre(s) et qu'ils propagent ou non.
Tu parles d'adolescents populaires, au sein de leur lycée, je pense que ça change la donne.
Cette période de développement (l'adolescence) a notamment pour enjeu l'affirmation de soi.
Rechercher la popularité peut être un biais pour arriver à cette fin.
Le mouvement est alors inverse : c'est d'abord l'image qui est nourrie, au détriment de l'être (qui en quête de sens, de construction).
Dans ces conditions, la popularité est fragile.
Elle ne repose pas sur grand-chose (écraser la minorité pour redorer son blason ne marche qu'un temps) et peut devenir dangereuse (relever des défis insensés et parfois très violents pour maintenir sa côte, par exemple.)
A l'inverse, il y a les "populaires malgré eux" qui le deviennent en ayant simplement nourri leur être, et vivent parfois mal d'être sous les feux de la rampe...
Basilice- Messages : 1936
Date d'inscription : 01/11/2012
Localisation : Tout dépend des moments
Re: ...............
Il me semble important de souligner qu'appliquer le terme "populaire" de cette manière à une certaine catégorie d'étudiant – j'ai envie de dire : cette caste – est un phénomène récent.
Ca n'existait pas du temps que j'étais au collège. C'est apparu, en gros, en même temps que les deux autres catégorisations, les "swags" ( = les gens les plus conformes à la norme) et le reste, ceux avec qui tout contact est prohibé, les "boloss" (sérieusement...).
Je ne connais pas vraiment l'origine de ces deux derniers termes, mais celui de "populaire" s'est très certainement ancré dans le vocabulaire des cours de récré avec la généralisation des séries et films américains, notamment ceux conçus pour les ados. Il a bien fallu traduire l'anglais "popular", qui est devenu "populaire", deux mots qui pourtant n'ont pas tout à fait le même sens au départ...
C'est l'une des deux raisons pour lesquelles ce terme m'agace au plus haut point : je le perçois comme un horrible anglicisme.
L'autre, c'est simplement que l'apparition de ce mot a permis de cristalliser des différences, certes, préexistantes, mais qui depuis ne font que s'amplifier, hermétisent les groupes, ne permettent plus la mixité.
Au collège, je voyais bien des différences de "popularité" entre personnes, mais il ne nous était pas venu à l'esprit de caster la population en la découpant en trois avec un hachoir rouillé.
Et il me semble assez peu pertinent de regrouper les petits minets et minettes arrogant(e)s avec les gens qui ont su se faire apprécier pour leur bienveillance et leurs qualités humaines.
Mais telle est la loi de la jungle. Je suis bien content de n'avoir pas connu ça. C'est un drôle de symptôme qui montre qu'on ne va pas, à mon sens, dans le bon.
Cessons de nous coller des étiquettes. On voit ici tout le tort que ça peut faire. Les uns sont reclus dans la banalité, les autres dans la marginalité, et les derniers doivent se coltiner toute la pression sociale pour maintenir leur statut. C'est dégueulasse.
Ca n'existait pas du temps que j'étais au collège. C'est apparu, en gros, en même temps que les deux autres catégorisations, les "swags" ( = les gens les plus conformes à la norme) et le reste, ceux avec qui tout contact est prohibé, les "boloss" (sérieusement...).
Je ne connais pas vraiment l'origine de ces deux derniers termes, mais celui de "populaire" s'est très certainement ancré dans le vocabulaire des cours de récré avec la généralisation des séries et films américains, notamment ceux conçus pour les ados. Il a bien fallu traduire l'anglais "popular", qui est devenu "populaire", deux mots qui pourtant n'ont pas tout à fait le même sens au départ...
C'est l'une des deux raisons pour lesquelles ce terme m'agace au plus haut point : je le perçois comme un horrible anglicisme.
L'autre, c'est simplement que l'apparition de ce mot a permis de cristalliser des différences, certes, préexistantes, mais qui depuis ne font que s'amplifier, hermétisent les groupes, ne permettent plus la mixité.
Au collège, je voyais bien des différences de "popularité" entre personnes, mais il ne nous était pas venu à l'esprit de caster la population en la découpant en trois avec un hachoir rouillé.
Et il me semble assez peu pertinent de regrouper les petits minets et minettes arrogant(e)s avec les gens qui ont su se faire apprécier pour leur bienveillance et leurs qualités humaines.
Mais telle est la loi de la jungle. Je suis bien content de n'avoir pas connu ça. C'est un drôle de symptôme qui montre qu'on ne va pas, à mon sens, dans le bon.
Cessons de nous coller des étiquettes. On voit ici tout le tort que ça peut faire. Les uns sont reclus dans la banalité, les autres dans la marginalité, et les derniers doivent se coltiner toute la pression sociale pour maintenir leur statut. C'est dégueulasse.
Subrisio Saltat.- Messages : 174
Date d'inscription : 25/08/2014
Age : 37
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