Le complexe de l'Albatros
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Forum ZEBRAS CROSSING :: La zébritude :: Discussions générales relatives à la zébritude :: Difficultés zébresques
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Re: Le complexe de l'Albatros
Plutôt rare, qu'on s'aperçoive de ça si vite. Faut bien une paire de semaines avant de faire l'effort d'aller au delà. La communication qu'est ce que tu veux. Demande à Godzilla le pauvre, il a mis 45 plombes lui. Et dire qu'il se présentait roi du pétrole. Maintenant la grande question, comment on revient au sujet (c'est quand même ça qui compte). Facile.
Nope. Erreur d'analyse. Classique tu me diras, quand o y vient avec tout l'amalgame du keumé qui s'intéresse à la psy. Réfuter une science par une justification verbeuse revient à se contredire. Boum. Là je t'ai fais mal au cerveau moi-même. Mais tu me diras (je suis bon seigneur) à faire d'une totologie une réponse, c'est aussi se discréditer. Hors sujet qui plus ait. Du coup on fait comment. On reprend de bout en bout. Pas considérer le complexe comme un effet de complaisance mais le considérer comme une pathologie à part entière. Non comme comme une composante intrinsèque à l'identité comme tu le fais mais comme le caractère chronique d'un ensemble de symptôme psy. Ce qui rend ton analyse bancale, bah ouais morray, t'y allé avec ta croyance j'y vais de la mienne. Après tout, la clé est dans la considération qu'on a pour les choses.
Je poursuis, considérant le complexe comme la pathologie, alors (un con l'aurait dit) reste plus qu'à chercher les caractérisques du truc. Là que (j'avoue ouais ouais) le titre fait pas honneur à la maladie. Du mal à prendre au sérieux le typos qui file une métaphore à une maladie, c'est comme si un toubib te causait dans son private et te disait "vous avez le crabe". Drôle de nom pour un cancer. Surtout quand tu roules en porche et t'es chef de clinique. Faut voir à pas tout vulgariser. Ma bon, c'est ça comme. Là ou t'as pêché d'ailleurs, pasque c'est pas si con, le môme inhibé intellectuellement ça part d'une bonne intention. Comme les voitures de course qui tourne en ville. Pas s'étonner qu'au bout d'un moment elle s'enraye. Pour le reste je laisse au défenseur du concept la main, j'ai trop donné de moi-même dans le but de rétablir un semblant de vérité. Même si, même si...
PouchKina a écrit:le complexe du chasseur existe pas non aussi ?
Nope. Erreur d'analyse. Classique tu me diras, quand o y vient avec tout l'amalgame du keumé qui s'intéresse à la psy. Réfuter une science par une justification verbeuse revient à se contredire. Boum. Là je t'ai fais mal au cerveau moi-même. Mais tu me diras (je suis bon seigneur) à faire d'une totologie une réponse, c'est aussi se discréditer. Hors sujet qui plus ait. Du coup on fait comment. On reprend de bout en bout. Pas considérer le complexe comme un effet de complaisance mais le considérer comme une pathologie à part entière. Non comme comme une composante intrinsèque à l'identité comme tu le fais mais comme le caractère chronique d'un ensemble de symptôme psy. Ce qui rend ton analyse bancale, bah ouais morray, t'y allé avec ta croyance j'y vais de la mienne. Après tout, la clé est dans la considération qu'on a pour les choses.
Je poursuis, considérant le complexe comme la pathologie, alors (un con l'aurait dit) reste plus qu'à chercher les caractérisques du truc. Là que (j'avoue ouais ouais) le titre fait pas honneur à la maladie. Du mal à prendre au sérieux le typos qui file une métaphore à une maladie, c'est comme si un toubib te causait dans son private et te disait "vous avez le crabe". Drôle de nom pour un cancer. Surtout quand tu roules en porche et t'es chef de clinique. Faut voir à pas tout vulgariser. Ma bon, c'est ça comme. Là ou t'as pêché d'ailleurs, pasque c'est pas si con, le môme inhibé intellectuellement ça part d'une bonne intention. Comme les voitures de course qui tourne en ville. Pas s'étonner qu'au bout d'un moment elle s'enraye. Pour le reste je laisse au défenseur du concept la main, j'ai trop donné de moi-même dans le but de rétablir un semblant de vérité. Même si, même si...
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
PouchKina a écrit:[...]Maintenant la grande question, comment on revient au sujet (c'est quand même ça qui compte). Facile.PouchKina a écrit:le complexe du chasseur existe pas non aussi ?
Nope. Erreur d'analyse. Classique tu me diras, quand o y vient avec tout l'amalgame du keumé qui s'intéresse à la psy. Réfuter une science par une justification verbeuse revient à se contredire. Boum. Là je t'ai fais mal au cerveau moi-même. Mais tu me diras (je suis bon seigneur) à faire d'une totologie une réponse, c'est aussi se discréditer. Hors sujet qui plus ait. Du coup on fait comment. On reprend de bout en bout. Pas considérer le complexe comme un effet de complaisance mais le considérer comme une pathologie à part entière. Non comme comme une composante intrinsèque à l'identité comme tu le fais mais comme le caractère chronique d'un ensemble de symptôme psy. Ce qui rend ton analyse bancale, bah ouais morray, t'y allé avec ta croyance j'y vais de la mienne. Après tout, la clé est dans la considération qu'on a pour les choses.
Je poursuis, considérant le complexe comme la pathologie, alors (un con l'aurait dit) reste plus qu'à chercher les caractérisques du truc. Là que (j'avoue ouais ouais) le titre fait pas honneur à la maladie. Du mal à prendre au sérieux le typos qui file une métaphore à une maladie, c'est comme si un toubib te causait dans son private et te disait "vous avez le crabe". Drôle de nom pour un cancer. Surtout quand tu roules en porche et t'es chef de clinique. Faut voir à pas tout vulgariser. Ma bon, c'est ça comme. Là ou t'as pêché d'ailleurs, pasque c'est pas si con, le môme inhibé intellectuellement ça part d'une bonne intention. Comme les voitures de course qui tourne en ville. Pas s'étonner qu'au bout d'un moment elle s'enraye. Pour le reste je laisse au défenseur du concept la main, j'ai trop donné de moi-même dans le but de rétablir un semblant de vérité. Même si, même si...
Hola, hola, tu veux qu'on reprenne tout ce que se cache derrière les appellations qui fleurent bon le marketing des idées pas chères, pour revoir où on en est et repartir sur des bonnes bases, des faits, des raisonnements solides, et tout, et tout ?
Vas-y, on te regarde faire !
Ah ouais, non, tu as abandonné l'idée trois lignes plus tard...
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
Bin disons que c'est prouver un concept foireux pour atteindre un semblant d'équilibre dans le débat. Moi je serais vraiment intéressée de trouver une, et rien qu'une personne capable de défendre de l'existence de ce complexe. Là je serai tenté de dire impossible.Regarde la majorité des post : effet barnum. Je, je, je. Moi je. Je pense. Je crois. J'ai, j'ai vaicu. Bref, que de la croyance. Limite on s'en baleck de la croyance, démontrer une théorie c'est faire de l'analytique. Dualité fait/croyance.
Ce que je disais au début quoi, 95% des post du genre c'est un confessionnal géant, tu viens pas pour échanger des idées et raisonner, mais pour parler de toi. Même pas trouver un post en supra de réconfort, mais juste parler pour "aaaaah, j'ai pu le dire, ça m'a fait du bien." Bon c'est bien beau hein, c'est bien cool, mais c'est quand même du foutage de gueule, autant aller sur Doctissimo ou Facebook.
Être sur un forum c'est confronter une analyse des faits à une autre analyse des faits, là qu'on avance. Le truc c'est que personne à envie d'aller aussi loi dans l'explication. De se poser 10, 20 minutes. De dire ok, là, c'est faux et je le démontre. Même aller tafer un peu sur un internet pourquoi pas, mais sortir un truc conçis qui permet d'aller plus loin. Bref un partage. D'où mon sarcasme, ici à part ton malheur et ta culture à 2 balles la seule chose que tu partage c'est ta volonté de tromper ta relative solitude en 25 lignes lu et relu. Joli. À ce rythme autant lire un dev perso et enchaîner par 3 verres de skï. À la fin t'as la même bonhomie.
Tout ça pour dire que tenter de modérer la raison par l'opinion contraire dans le but de satisfaire un esprit avide c'est surtout aller dans le sens de l'irrationnel. C'est un peu le challenge d'influence et manipulation quoi, je me prétends capable de défendre tout les points de vue, je défends le contraire de ce que je pense une fois, t'insiste encore dans le but de prouver simplement que j'ai tord, mmm, pas bête mais trop bancal. Je me trompe jamais. Je pourrais défendre une égalité irrationnelle pour le fun mais pas au prétexte de ma croyance. Truc assez marrant d'ailleurs, mais pour le coup hyper hyper long à expliquer, et ce serait plus démagogue.
En conclusion je citerais deux trois expérience psychologique basé sur le conditionnement pour démontrer que le complexe c'est en fait rien de plus qu'un apprentissage. (ouillle, là quand tu l'as compris cette phrase, c'est la plus violente qu'un des 17 000 membre du forum ait jamais posté) (je pense même que certain qui interviendront pas rigoleront intérieurement) – je pense à eux.
p.s. elles sont où les deux trois expériences psychologiques ?
Ce que je disais au début quoi, 95% des post du genre c'est un confessionnal géant, tu viens pas pour échanger des idées et raisonner, mais pour parler de toi. Même pas trouver un post en supra de réconfort, mais juste parler pour "aaaaah, j'ai pu le dire, ça m'a fait du bien." Bon c'est bien beau hein, c'est bien cool, mais c'est quand même du foutage de gueule, autant aller sur Doctissimo ou Facebook.
Être sur un forum c'est confronter une analyse des faits à une autre analyse des faits, là qu'on avance. Le truc c'est que personne à envie d'aller aussi loi dans l'explication. De se poser 10, 20 minutes. De dire ok, là, c'est faux et je le démontre. Même aller tafer un peu sur un internet pourquoi pas, mais sortir un truc conçis qui permet d'aller plus loin. Bref un partage. D'où mon sarcasme, ici à part ton malheur et ta culture à 2 balles la seule chose que tu partage c'est ta volonté de tromper ta relative solitude en 25 lignes lu et relu. Joli. À ce rythme autant lire un dev perso et enchaîner par 3 verres de skï. À la fin t'as la même bonhomie.
Tout ça pour dire que tenter de modérer la raison par l'opinion contraire dans le but de satisfaire un esprit avide c'est surtout aller dans le sens de l'irrationnel. C'est un peu le challenge d'influence et manipulation quoi, je me prétends capable de défendre tout les points de vue, je défends le contraire de ce que je pense une fois, t'insiste encore dans le but de prouver simplement que j'ai tord, mmm, pas bête mais trop bancal. Je me trompe jamais. Je pourrais défendre une égalité irrationnelle pour le fun mais pas au prétexte de ma croyance. Truc assez marrant d'ailleurs, mais pour le coup hyper hyper long à expliquer, et ce serait plus démagogue.
En conclusion je citerais deux trois expérience psychologique basé sur le conditionnement pour démontrer que le complexe c'est en fait rien de plus qu'un apprentissage. (ouillle, là quand tu l'as compris cette phrase, c'est la plus violente qu'un des 17 000 membre du forum ait jamais posté) (je pense même que certain qui interviendront pas rigoleront intérieurement) – je pense à eux.
p.s. elles sont où les deux trois expériences psychologiques ?
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
Tu espères trouver des personnes qui raisonnent et qui puissent distinguer l'aspect émotionnel (qui a ses dérives : moi, moi, effet Barnum, complexe de jesaispasquoi..., identification, revendication, illusion, etc.) et le mettre de côté parfois pour parler de faits, de raisonnements (démontables si mauvais, défendables jusqu'à preuve du contraire sinon) ? Je crois t'avoir bien lu. Tu espères spécialement en trouver ici ? Est-ce que c'est pour toi une déception qu'un forum de surdoués tombe dans les travers que tu décris ? :
Je crois que oui :
Être sur un forum, c'est ce qu'on veut selon ce qu'on vient y chercher, et parfois trouver.
Bin disons que c'est prouver un concept foireux pour atteindre un semblant d'équilibre dans le débat. Moi je serais vraiment intéressée de trouver une, et rien qu'une personne capable de défendre de l'existence de ce complexe. Là je serai tenté de dire impossible.Regarde la majorité des post : effet barnum. Je, je, je. Moi je. Je pense. Je crois. J'ai, j'ai vaicu. Bref, que de la croyance. Limite on s'en baleck de la croyance, démontrer une théorie c'est faire de l'analytique. Dualité fait/croyance.
Je crois que oui :
Être sur un forum c'est confronter une analyse des faits à une autre analyse des faits, là qu'on avance. Le truc c'est que personne à envie d'aller aussi loi dans l'explication. De se poser 10, 20 minutes. De dire ok, là, c'est faux et je le démontre.
Être sur un forum, c'est ce qu'on veut selon ce qu'on vient y chercher, et parfois trouver.
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
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Dernière édition par Zebulon2.52 le Jeu 16 Fév 2017 - 20:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
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Dernière édition par Zebulon2.52 le Jeu 16 Fév 2017 - 20:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
Kolyma a écrit:Être sur un forum, c'est ce qu'on veut selon ce qu'on vient y chercher, et parfois trouver.
Connerie. Alors appelle ton forum tocard.com. Quand tu cause à quelqu'un qui a soit disant une intelligence plus avancée dans des sujets comme ça, tu t'entends à pas trouver un type lambda, sinon c'est de l'arnaque. Pouf. Tu tombes à l'eau. Moi je fais ma pars de taff sur tout les post, je sors de la réflexion, si faut pousser je pousse, si faut réfléchir plus je réfléchis plus. Mais personne donne ici ou ailleurs, surdoué ou pas vous êtes tous pareil. Apathique et complaisant. Irrespectueux en fait, moi j'suis là d'égal à égal, mon égal je le traite de la façon dont je me traiterais moi. Avec aucune complaisance, parce-que je sais que c'est dans la dur qu'il avance. Comme tout le monde. Je donne, je file de l'info. T'en file pas, pas mon problème, après viens pas te plaindre d'être traité de tocard. Tu l'as mérité. C'est pas un jugement c'est ce que t'es. Je file des arguments, des rèf, des analyses pas trouvable chez le premier gugus qui publie dans les éditions mes chiottes à 5000 exemplaires vulgarisé au max. Lis, lis pas ? pas mon blème, mais quand tu viens me causer, c'est pas à coup de trois logique axiomatique et pseudo-réflexion que tu vas trouver de la compassion ou de l'empathie. Ce que je dis, ma vérité est absolu parce-que dans ma tête elle est abouti et finale. Si besoin je la développée au max, vulgarisé d'abord, ensuite non.
Du coup, je m'excuse un peu, le seul type surdoué ici j'aurais tendance à dire que c'est moi, et deux trois membres du forum avec quelque chose de plus avancé que les autres. Pas de la mégalo, que de l'analyse, suis quand même un des seul à prendre le temps de proposer une réflexion personnelle en total contre-point avec la valeur absolu du post. Si y en a un autre, qu'on me fasse signe, je lui demande un orthographe. Métaphore : quand tu vas chez Ducasse tu t'attends à manger du 3 étoiles. Mais encore une fois je suis pervers, zèbre ou pas, vous êtes tous pareil. Parlez et raisonnez tous pareil. Pas votre faute, la faute à votre conditionnement permanent. J'arrête ici, je me répète avec des mots différents.
@Zébulon, t'es vraiment zébulon toi ??????????? Mmm, je commence à douter, tu parlais pas comme ça avant. Ta Forme était la même mais ton contenu différent. Y t'es arrivé quoi ? (pas le temps de répondre sur le fond de ton post) le ferai ceus.
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
Le complexe de PouchKina : "Ta gueule t'as torD, moi je chie de l'or..."
Bah, parle tout seul, persécuté de ouf...
Bah, parle tout seul, persécuté de ouf...
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
Cet article, je le connais depuis quelques années. Perso, "moi je", ça me parle.http://pedagogie.ac-toulouse.fr/garsep/gauvrit.htm
De cet article on peut déjà constater une chose : on dit par ici que le QI ne mesure qu'un potentiel; c'est encore trop optimiste :
En réalité, y'a différents niveaux de potentiel. Il y a le potentiel qui s'actualise "hors de soi", ce sont les achievements, se réaliser, mais ce potentiel doit lui même avoir été actualisé "en soi". Le QI, ce serait donc plutôt la mesure de ce qui s'est actualisé d'un potentiel "en soi", c'est ce qui se manifeste suffisamment pour être détecté.
Sur certains cas d'enfants, des différences mesurées de 2, 3 voire 4 écarts-types entre l'entrée et la sortie de l'internat, vise le délire, on peut plus parler de stabilité du test-restest aux extrêmes, trop d'entropie, quelque chose se passe donc. Y'a fort à parier que la violence des écarts soit moins fréquente dans le cadre d'une intelligence normale... en même temps, il y a asymétrie : 4 écarts-types, c'est passer de 40 à 100, d'un niveau typique dans le cadre d'une trisomie 21 à un mec lambda qui travaille dans une boutique de fringues. Tandis qu'à l'inverse, le mec à 160 tu peux très bien le retrouver chez Celio* à côté dudit collègue taille M.
Apparté:
Cette idée de comparer une différence de X d'un bout à l'autre du spectre cognitif est ici illustratif. Sur ce forum, je vois souvent ce genre de raccourcis, alors qu'en réalité la mesure chiffrée continue ne l'est que statistiquement, par modélisation, avec pour axiome que l'intelligence suit une distribution en loi normale au même titre que la taille ou les notes des films sur un site de critique ciné. En fait, elle fait fi des sauts qualitatifs, de la réalité des proportions dans la population des natures cognitives. Dire "Y'a autant de différence entre un à 100 et un à 130 qu'entre ce dernier et un à 160", c'est hasardeux, et probablement faux, dans un sens ou dans l'autre. On ne pèse pas des poires et des oranges, ici il s'agit de la modélisation selon des critères arbitraires de la répartition statistique d'une configuration de 80 milliards de cellules.
De l'extérieur, l'intelligence s'adapte dans un sens, pas dans l'autre (pour ça entre autres que lorsque la différence est trop grande, elle devient invisible, on ne comprend plus ce qui se passe, c'est au delà de la ligne d'horizon).
Au prix de quelques souffrances et astuces, facile de moduler son intelligence vers le bas (moduler capacités, affectif, vi(d)e intérieure, toussa c'est lié) : à grands renforts de substances (alcool, beuh, médocs,...), shoot à l'insomnie ou aux activités abrutissantes ("moi je" pratique, un peu malgré moi), dépression carabinée (effets visibles en IRM).
Et les motivations sont nombreuses (autant que je conçois que les motivations de s'épanouir au contraire le soient, nombreuses : environnement, enfance, génotype psychologique, etc) pour se normaliser. Il y a certes une grande beauté à entrevoir l'envers du décor, relever un pan de rideau et quitter son persona, délice du fin gourmet. Sauf que la cuisine c'est bien meilleur à plusieurs. Sauf qu'être dans les coulisses tandis que le public et les acteurs sont en communion, c'est moment de solitude. Surtout lors de l'ovation.
Bref, ce sujet c'est l'occasion de partager un truc que j'me dis depuis quelques temps : trop d'amalgames entre généralité et tendance.
Les théories, c'est une généralité dans un champ de définition. Ici, théorie du domaine de la psychologie, eh bien je vais mettre dans le même sac les Freud, les Jung, les Dabrowski, et autres JSF. On les connaît bien ici.
Les théories, voilà comment ça se passe : tu as la réalité, excessivement complexe, des têtes pensantes en extraient quelques éléments, les mettent en cohérence, l'écrivent sur du papier, y apposent leur nom, puis c'est au tour du public de travailler, au gré des aléas et des besoins de l'époque, ils notent la copie. Note qui se mesure à la notoriété (nombre de références sur Google par exemple), à l'utilisation en guise d'argument de qualité. "Du génie", c'est les félicitations du jury.
Sauf que voilà, le champ de définition ne rend jamais tellement hommage à la réalité : il découpe, épure, recolle et cache les chutes sous le tapis.
Donc tu as d'un côté un chercheur qui a bien envie de percer dans son milieu, et ses intentions mises à part, il reste toujours ses biais, une vision assurément partielle et forcément un peu partiale. De l'autre un public qui a la mémoire courte et davantage besoin d'être rassuré, d'avoir un sentiment de maîtrise, de cohérence, et même ici d'identité avec la zébritude. Donc JSF fait fureur.
Et c'est là que le bât blesse : le public est exigeant, tellement qu'aucune théorie rigoureuse ne peut assouvir leur soif de certitude. Vient alors l’irrationalité qui s'affaire à transformer ce qu'est la théorie, soit une tendance laborieusement décrite de la réalité, eh bien l'ériger au rang de généralité. Ouf, plus de zone d'ombre, on peut enfin décrisper les mâchoires et se laisser choir dans la paresse intellectuelle, le repos de l'âme.
"Ah j'ai enfin trouvé ma famille ! Ca y est, j'ai trouvé la cause de tous mes maux." Un nouvel arrivant sur ZC.
"Je suis INTP, c'est Jung qui l'a dit. Les INTP sont..." Non, tu as répondu à un questionnaire qui te met dans une case parmi 16, laquelle exprime une tendance d'une portion de la population à penser par système logique et à être indépendants, ce que tu sais déjà puisque tu as su remplir le questionnaire. Mais je te concède que ce soit rassurant d'avoir la confirmation que tu n'es pas le seul dans ce cas, être 1 parmi 16 est plus supportable qu'être 1 parmi 7,4 milliards. Et puis c'est agréable d'entendre parler de soi, même si c'est une tautologie de tes réponses.
"Je suis Charlie." Non, tu as tendance à gober le contenu médiatique qui te fait verser la petite larme lors d'une marche de soutien pour des ex-caricaturistes dont tu fichais avant, mais on t'a dit attentat à la liberté d'expression alors... tandis que ces 12 morts (chiffre ridicule en comparaison des civils de Syrie, par exemple) sont instrumentalisés pour instaurer un climat de peur, justifier les parades militaires quotidiennes ineptes dans les villes, et une liberté du citoyen un peu plus grappillée. De toute façon, ce n'est déjà plus le gouvernement français qui décide des mesures importantes, autant combler l'actualité avec des bons soufflets faits maison.
JeanMath- Messages : 661
Date d'inscription : 04/12/2012
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Localisation : Clermont-Ferrand
Re: Le complexe de l'Albatros
prose éditée.. gauvrit rulez, c'est pas mon trip, et j'en ai marre de causer dans le vide
pour pouchkina puisque personne n'est aussi bon que toi, continue de le penser
sur ce je vous laisse à vos proses
pour pouchkina puisque personne n'est aussi bon que toi, continue de le penser
sur ce je vous laisse à vos proses
Invité- Invité
Re: Le complexe de l'Albatros
JeanMath s'est embêté à développer des idées, j'espère qu'il n'édite pas aussi. O_o'
J'ai trouvé que c'était intéressant à lire, mais ça ne se répond pas en deux secondes un message garni, pareil pour Zébulon avec des difficultés pour lire la mise en forme spéciale.
J'ai trouvé que c'était intéressant à lire, mais ça ne se répond pas en deux secondes un message garni, pareil pour Zébulon avec des difficultés pour lire la mise en forme spéciale.
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
JeanMath a écrit:De l'extérieur, l'intelligence s'adapte dans un sens, pas dans l'autre (pour ça entre autres que lorsque la différence est trop grande, elle devient invisible, on ne comprend plus ce qui se passe, c'est au delà de la ligne d'horizon).
Au prix de quelques souffrances et astuces, facile de moduler son intelligence vers le bas (moduler capacités, affectif, vi(d)e intérieure, toussa c'est lié) : à grands renforts de substances (alcool, beuh, médocs,...), shoot à l'insomnie ou aux activités abrutissantes ("moi je" pratique, un peu malgré moi), dépression carabinée (effets visibles en IRM).
Et les motivations sont nombreuses (autant que je conçois que les motivations de s'épanouir au contraire le soient, nombreuses : environnement, enfance, génotype psychologique, etc) pour se normaliser. Il y a certes une grande beauté à entrevoir l'envers du décor, relever un pan de rideau et quitter son persona, délice du fin gourmet. Sauf que la cuisine c'est bien meilleur à plusieurs. Sauf qu'être dans les coulisses tandis que le public et les acteurs sont en communion, c'est moment de solitude. Surtout lors de l'ovation.
Ce passage mérite un sujet à lui tout seul, mais surtout il invite à la réflexion, et je ne suis pas sûr que les sources du ratage soient aussi évidentes que ce qui est suggéré (*trop intelligent => inadapté). D'ailleurs, tu signales que les motivations sont nombreuses..., je crois que paradoxalement les motivations sont nombreuses, non pas forcément de se normaliser (ce qui irait dans le sens de ce schéma que je trouve trop bête pour être vrai : *), mais plutôt de ne pas tenir les promesses de ce qu'on pourrait être pour peu qu'on joue le jeu. Le fond de ma pensée est que l'intelligence elle-même n'empêche rien pour briller socialement, au contraire. Là où ça bloque, c'est finalement d'être intelligent ET malgré tout inadapté. Que l'intelligence très élevée implique d'être inadapté est faux ; la propension de quelqu'un à comprendre n'est pas un handicap, même quand on est entouré de moins vifs (le pourquoi de la tendance au machiavélisme chez les personnes vives d'esprit (pour manipuler, il faut comprendre et prévoir), ou au contraire les scrupules à manipuler et alors la tendance à se voir en victime dans un monde de salauds).
Ce que tu dis à la fin est très vrai, on se sent très seul quand on fait semblant d'aimer trouver les mêmes plaisirs que ceux qu'on singe. Mais encore une fois je ne crois pas qu'il faille conclure que ce soit l'intelligence qui rend inadapté, ce serait plutôt le sentiment d'être déraciné, d'être hors système. Penser, c'est déjà désobéir, nous dit Suce ces ptits bleus. Le souci vient peut-être du fait de désobéir en pensant, et non d'être plus capable de penser.** Même si je peux apercevoir la corrélation.
Est-ce un hasard si beaucoup comparent la découverte de ces théories de surdon (notamment le surdon malheureux avec JSF, qui doit maintenant payer l'ISF) avec la sortie de la Matrice ? Est-ce le moment où ils commencent à voir en quoi ils désobéissent et alors en quoi ils (je trouve pas le mot) font tâches dans le paysage ? Et aussi ceux qui n'ont jamais pensé peuvent s'y mettre, car on leur dit (effet Barnum) "t'es trop fort, tu peux tout faire". Le QI se trouvait juste là par hasard pour gratter du pognon. Le QI, c'est des conneries...
Et pardon de le dire, même ici penser c'est désobéir.
** notez aussi que les items de test de QI sollicitent l'intellect, ce qui n'est pas encore tout à fait l'intelligence : fonctionner et réfléchir, même différence qu'entre bailler et chanter.
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
- Spoiler:
- Et les motivations sont nombreuses (autant que je conçois que les motivations de s'épanouir au contraire le soient, nombreuses : environnement, enfance, génotype psychologique, etc) pour se normaliser. Il y a certes une grande beauté à entrevoir l'envers du décor, relever un pan de rideau et quitter son persona, délice du fin gourmet. Sauf que la cuisine c'est bien meilleur à plusieurs. Sauf qu'être dans les coulisses tandis que le public et les acteurs sont en communion, c'est moment de solitude. Surtout lors de l'ovation.
J'ai déjà été dans l'incapacité de penser (incapacité à tenir un dialogue intérieur, à cause de médicaments), j'étais client de tout, enthousiaste pour toutes les choses que j'aurais trouvées sans relief en tant normal. Ce sentiment de solitude dont tu fais part a dû se produire dans un moment de plus faible abrutissement : dans une zone grise. Évidemment, on n'atteint pas une diminution nette et durable de ses capacités, sauf extrème fatigue, effets de médicaments ou de drogues. Ah oui, dépression ou alcool, comme tu disais.
Je relis les autres paragraphes, et je crois qu'ils fourmillent aussi d'idées. Je baffouillerai dessus plus tard.
Kolyma- Messages : 971
Date d'inscription : 28/01/2017
Re: Le complexe de l'Albatros
JeanMath s'est embêté à développer des idées, j'espère qu'il n'édite pas aussi. O_o'
J'ai trouvé que c'était intéressant à lire, mais ça ne se répond pas en deux secondes un message garni, pareil pour Zébulon avec des difficultés pour lire la mise en forme spéciale.
Je relis les autres paragraphes, et je crois qu'ils fourmillent aussi d'idées. Je baffouillerai dessus plus tard.
Petit HS (en réponse à Zébulon et à toi), je bafouillerai aussi plus tard sur ce qui importe ici.
- Horse U.G.:
- Merci, ça fait plaisir ! Tu es sympa de prendre la peine de me faire ce petit retour. Aussi, c'est une agréable surprise de te voir participer plus sérieusement qu'à l'habitude (pas une façon de te reprocher un truc hein).
Ici, je m'attends pas à ce qu'il y ait des réactions à la majorité de ce que j'écris et pars même du principe que ça puisse faire un bide total, en fait je suis parvenu à ce que ça me pose plus tellement problème.
Y'a quelques temps lorsque j'me suis remis à poster sur ZC, j'ai fait des post très construits, denses, fouillés, bien plus que celui qui précède, et ça a juste fait des bides de l'extrême (ch'uis même arrivé à tuer un topic actif), c'était frustrant. En fait, y'a moyen de voir les choses ainsi : adapter son discours au format, au public, écrire d'abord parce que ça t'apporte à toi et bien rédiger (travailler un peu la forme) pour, d'une part, que tu puisses revenir plus tard te relire, car c'est fixé, un référentiel saisi au polaroid à consulter dans l'album ZC. D'autre part, encourager les autres forumeurs à lire, espérer que ça leur apporte un truc, et éventuellement donner l'envie de rebondir dessus, et qui sait, en ressortir chacun plus grand ?
Qu'il n'y ait aucune réaction n'est pas la garantie qu'avoir participé ait été vain, mais c'est peut-être le signe que ce n'est pas assez accessible ou attrayant. Alors, sans se vendre... on s'adapte ! Si la motivation manque, on s'analyse en train de ne pas lire l'intervention d'un autre : pourquoi ? Et on évite les écueils qu'on identifie chez cet autre. Trop facile de rejeter la faute : est-ce qu'on agit si différemment ?
Du coup Zébulon : Avant tout, je trouve que tes interventions sont riches en contenu. Mais sincèrement, lorsque je te lis, non seulement je n'ai pas vraiment l'impression que tu lis attentivement les autres, mais en plus tu ne fais pas d'effort pour les lecteurs. Il me semble que tu écris tout comme tu penses. Sans mise en forme, ni tri, ni hiérarchie, on doit faire tout le boulot, recoller les pièces de ta pensée, saisir l'ambiance.
Alors voilà, bien que tes pensées vaillent le détour, au final... je ne te lis que rarement jusqu'au bout, parfois je ne commence pas. Si tu veux davantage de réactions enthousiastes (ou ne serais-ce qu'avoir plus d'auditoire, apporter à plus de gens), à mon avis tu devrais donc faire cet effort de structure de tes posts. Tout le monde aurait à y gagner (toi et tes nouveaux lecteurs dont je ferais partie). Je n'ai aucun problème avec ce que tu fais pour l'instant, mais tu fais une erreur en pensant que ce sont les autres qui pêchent à ne pas faire l'effort...
Je sais, je suis pas le premier à te dire ça, c'est donc d'autant plus à prendre en compte car je répète pas bêtement, je suis simplement d'accord (et le pensais avant de le lire ailleurs).
J'espère que tu prendras pas ça mal, mon intention est d'être bienveillant et constructif.
JeanMath- Messages : 661
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Age : 32
Localisation : Clermont-Ferrand
Re: Le complexe de l'Albatros
- arguments d'autorité et HS:
(je sais bien que c'en sont (des arguments d'autorités) et que c'est en partie ce qui est dénoncé dans ton message, et dans les citations elles-mêmes )JeanMath a écrit:Bref, ce sujet c'est l'occasion de partager un truc que j'me dis depuis quelques temps : trop d'amalgames entre généralité et tendance.
Les théories, c'est une généralité dans un champ de définition. Ici, théorie du domaine de la psychologie, eh bien je vais mettre dans le même sac les Freud, les Jung, les Dabrowski, et autres JSF. On les connaît bien ici.
Les théories, voilà comment ça se passe : tu as la réalité, excessivement complexe, des têtes pensantes en extraient quelques éléments, les mettent en cohérence, l'écrivent sur du papier, y apposent leur nom, puis c'est au tour du public de travailler, au gré des aléas et des besoins de l'époque, ils notent la copie. Note qui se mesure à la notoriété (nombre de références sur Google par exemple), à l'utilisation en guise d'argument de qualité. "Du génie", c'est les félicitations du jury.
Sauf que voilà, le champ de définition ne rend jamais tellement hommage à la réalité : il découpe, épure, recolle et cache les chutes sous le tapis.Chamfort a écrit:Les Maximes, les Axiomes sont, ainsi que les Abrégés, l’ouvrage des gens d’esprit qui ont travaillé, ce semble, à l’usage des esprits médiocres ou paresseux. Le paresseux s’accommode d’une maxime qui le dispense de faire lui-même les observations qui ont mené l’auteur de la maxime au résultat dont il fait part à son lecteur. Le paresseux et l’homme médiocre se croient dispensés d’aller au delà, et donnent à la maxime une généralité que l’auteur, à moins qu’il ne soit lui-même médiocre, ce qui arrive quelquefois, n’a pas prétendu lui donner. L’homme supérieur saisit tout d’un coup les ressemblances, les différences qui font que la maxime est plus ou moins applicable à tel ou tel cas, ou ne l’est pas du tout. Il en est de cela comme de l’histoire naturelle, où le désir de simplifier a imaginé les classes et les divisions. Il a fallu avoir de l’esprit pour les faire ; car il a fallu rapprocher et observer des rapports. Mais le grand naturaliste, l’homme de génie voit que la nature prodigue des êtres individuellement différens, et voit l’insuffisance des divisions et des classes qui sont d’un si grand usage aux esprits médiocres ou paresseux ; on peut les associer : c’est souvent la même chose, c’est souvent la cause et l’effet.Pessoa a écrit:Aucune idée brillante ne peut être mise en circulation sans qu’on y ajoute quelque élément de stupidité. La pensée collective est stupide parce qu’elle est collective : rien ne peut franchir les barrières du collectif sans y laisser, comme une dîme inévitable, la plus grande part de ce qu’elle comportait d’intelligent.Cioran a écrit:Seules les fausses valeurs ont cours, pour la raison que tout le monde peut les assimiler, les contrefaire (le faux au second degré). Une idée qui réussit est nécessairement une pseudo-idée.
En fait, je vais laisser la suite de mon message sous spoiler, car ce n'est pas totalement sur le sujet, c'est sur une parenthèse que tu fais :JeanMath a écrit:Sauf que voilà, le champ de définition ne rend jamais tellement hommage à la réalité : il découpe, épure, recolle et cache les chutes sous le tapis.
Donc tu as d'un côté un chercheur qui a bien envie de percer dans son milieu, et ses intentions mises à part, il reste toujours ses biais, une vision assurément partielle et forcément un peu partiale. De l'autre un public qui a la mémoire courte et davantage besoin d'être rassuré, d'avoir un sentiment de maîtrise, de cohérence, et même ici d'identité avec la zébritude. Donc JSF fait fureur.
Et c'est là que le bât blesse : le public est exigeant, tellement qu'aucune théorie rigoureuse ne peut assouvir leur soif de certitude. Vient alors l’irrationalité qui s'affaire à transformer ce qu'est la théorie, soit une tendance laborieusement décrite de la réalité, eh bien l'ériger au rang de généralité. Ouf, plus de zone d'ombre, on peut enfin décrisper les mâchoires et se laisser choir dans la paresse intellectuelle, le repos de l'âme.
"Ah j'ai enfin trouvé ma famille ! Ca y est, j'ai trouvé la cause de tous mes maux." Un nouvel arrivant sur ZC.
Oui, et des "auteurs" comme JSF en jouent de l'effet Barnum, de l'effet rassurant, du sentiment de troupeau, de la volonté d'appartenir à un groupe si on se sent rejeté, etc.
Insister sur ce qu'est une théorie, un schéma ou un paradigme (comme ça se dit) n'est pas superflu, vu qu'après avoir lu JSF beaucoup se disent "j'en suis, aucun doute !" : ce qui montre qu'ils n'ont pas bien conscience de ce qu'ils viennent de lire, en fait. (je ne m'exclus pas de cette dérive très naïve)
À part ça, et aussi que même des plus chevronnés prennent la métaphore, l'exagération du bouquin, le clivage, la caricature, etc., pour la réalité au lieu d'y voir un schéma, je crois bien que ce que tu dis, par rapport à la volonté de s'identifier et aux travers que ça implique, est très largement admis.
Kolyma- Messages : 971
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