histoires d'amorphobique
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histoires d'amorphobique
Laisser derrière la porte les raisons mille fois, les mille et une fois raison, les mêmes à chaque, que l'on évoque pour ne pas y aller. Avoir foi. Et ouvrir la porte, et refermer la porte en prenant soin de l'avoir d'abord passée et de ne plus être dedans. Et on y va. Ce sera comme à chaque fois, la foi vient de toutes ces mille, et uniques chacunes fois, où tout va pourtant si bien.
Oui car le monde est pas si mal fait, tout compte fait, et cette brune renvoie la balle à celui à qui on ne sait pas quoi raconter, et là bas quelqu'un vous mange des yeux mais sans trop insister, mais ce n'est pas difficile d'éviter son regard, même si on voudrait ne pas, léviter en cet instant. Car finalement il faut avouer, pourquoi cette aérienne sensation et surprise renouvellée à chaque instant, comme un poisson rouge étonné chaque seconde, on est étonné que tout se passe si bien. Ca vous donne l'air charmant, vous savez, d'être absorbé dans ce elle ne sait quoi d'intérieur ou de timide. C'est si facile de plaire quand on ne veut pas. Arrêtez de me regarder, ne me demandez pas ce que je fais là. Heureusement il y a comme un rythme entrainant la fête, et les choses vont toujours au gré, une discussion, une autre, une autre, un verre, une pause le temps de montrer au monde comme l'on se sent si bien, même si c'est faux, pour se convaincre soi-même. Quelques tours dans ce manège, parfois il dure jusqu'au matin, parfois il change de décor, on improvise et ça passe.
Qu'est-ce que l'on va faire du lendemain avec ce quelqu'un. Que va devenir ce manège, maintenant qu'il y a des tripes répandues sur tous les draps ?
Il y a une chose amorphe, qui ne sait quoi raconter. A ces quelques uns qui des fois vous arrêtent et vous offrent une balade. Combien de temps peut-elle jouer la comédie, la chose, en se donnant une contenance ?
Ne lui faites pas palipter les entrailles, ça ne fait qu'accentuer le désordre.
Pourriez vous éviter de me présenter, mesdemoiselles ou messieurs, plus d'affection que je ne puis contenir ? Ou même seulement comprendre.
Comment renvoyer la balle et l'ascensceur, quand ils se sont tous les deux écrasés dans un tas de viande crue.
Un jour sous la tache de soleil des tableaux de Renoir il n'y aura plus mon bonheur de te voir. Et tu demanderas pourquoi.
Tu sais plus on se voit moins je suis tranquile. Plus je sais qu'il y a aura d'autres fois, d'autres jours qui devraient être aussi riants que les premiers, plus les boyaux se répandent en marres de sang et de merde.
Heureusement ça ne se voit pas, de quoi vous auriez l'air.
Alors est-il phobique, est-il parano, est-il pervers, est-il con ? Ou, ce personnage, est-il seulement un de ces figurants qui ne parle jamais dans vos comédies ? Faute de pouvoir, mais si bien que vous le prenez personnellement.
Oui car le monde est pas si mal fait, tout compte fait, et cette brune renvoie la balle à celui à qui on ne sait pas quoi raconter, et là bas quelqu'un vous mange des yeux mais sans trop insister, mais ce n'est pas difficile d'éviter son regard, même si on voudrait ne pas, léviter en cet instant. Car finalement il faut avouer, pourquoi cette aérienne sensation et surprise renouvellée à chaque instant, comme un poisson rouge étonné chaque seconde, on est étonné que tout se passe si bien. Ca vous donne l'air charmant, vous savez, d'être absorbé dans ce elle ne sait quoi d'intérieur ou de timide. C'est si facile de plaire quand on ne veut pas. Arrêtez de me regarder, ne me demandez pas ce que je fais là. Heureusement il y a comme un rythme entrainant la fête, et les choses vont toujours au gré, une discussion, une autre, une autre, un verre, une pause le temps de montrer au monde comme l'on se sent si bien, même si c'est faux, pour se convaincre soi-même. Quelques tours dans ce manège, parfois il dure jusqu'au matin, parfois il change de décor, on improvise et ça passe.
Qu'est-ce que l'on va faire du lendemain avec ce quelqu'un. Que va devenir ce manège, maintenant qu'il y a des tripes répandues sur tous les draps ?
Il y a une chose amorphe, qui ne sait quoi raconter. A ces quelques uns qui des fois vous arrêtent et vous offrent une balade. Combien de temps peut-elle jouer la comédie, la chose, en se donnant une contenance ?
Ne lui faites pas palipter les entrailles, ça ne fait qu'accentuer le désordre.
Pourriez vous éviter de me présenter, mesdemoiselles ou messieurs, plus d'affection que je ne puis contenir ? Ou même seulement comprendre.
Comment renvoyer la balle et l'ascensceur, quand ils se sont tous les deux écrasés dans un tas de viande crue.
Un jour sous la tache de soleil des tableaux de Renoir il n'y aura plus mon bonheur de te voir. Et tu demanderas pourquoi.
Tu sais plus on se voit moins je suis tranquile. Plus je sais qu'il y a aura d'autres fois, d'autres jours qui devraient être aussi riants que les premiers, plus les boyaux se répandent en marres de sang et de merde.
Heureusement ça ne se voit pas, de quoi vous auriez l'air.
Alors est-il phobique, est-il parano, est-il pervers, est-il con ? Ou, ce personnage, est-il seulement un de ces figurants qui ne parle jamais dans vos comédies ? Faute de pouvoir, mais si bien que vous le prenez personnellement.
May Lee- Messages : 1003
Date d'inscription : 05/10/2012
Re: histoires d'amorphobique
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Dernière édition par psyché-libérée le Jeu 12 Mar 2015 - 15:00, édité 1 fois
psyché-dream- Messages : 519
Date d'inscription : 01/08/2013
Age : 41
Re: histoires d'amorphobique
Tout le temps, les figurants ça dérange, parce qu'on ne sait pas trop s'ils ne seraient pas en train d'observer tout le monde sans rien dire, et de se faire leur propre opinion, à eux, avant de parler (ou pas.)
Rends toi compte, ces gens qui ne parlent pas à tort et à travers comme les autres.
Invité- Invité
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