Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
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Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Bonjour,
Je suis un peu le nez dans le guidon actuellement et j'ai besoin d'un regard extérieur.
Mon mari a commencé à mal gérer l'angoisse il y a environ 6 ans. S'en est suivi des troubles du sommeil (chez lui essentiellement des réveils précoces avec difficulté de se rendormir)
Il en a fait une obsession, a vu plein de psys et prend actuellement plusieurs médicaments (xanax, AD..)
Il n'est pas en dépression selon moi mais est bien accro et ne l'assume pas donc essaye d'arrêter en créant des paliers où clairement ça ne va pas du tout (crevé, mauvais poil...) puis reprend plus et rediminue, enfin cercle sans fin.
Afin de ne pas en subir trop de conséquences, il ne met jamais de réveil et se lève tard (8h30 environ) pour palier aux heures où il n'a pas ou peu dormi.
Conséquence pour moi, l'intendance le matin c'est pour ma pomme à 100% et heureusement je ne suis jamais malade...
Avec mes deux filles vraiment pas faciles du tout (une zèbre, l'autre probablement) j'accuse le coup. Je me sens en plus complètement nulle vu que si elles crisent, hurlent et le réveillent mon mari me reproche de n'avoir aucune autorité (ce qui me met 2 pieds sous terre)
J'en deviens agressive, avec elles, avec lui... Je suis vraiment mal, la situation devient merdique.
Lui demander de se lever au moins une fois par semaine est THE sujet ultra tabou. On a même tenté d'en parler à 3 avec son psy de l'époque il y a 2 ans... Même son psy était d'avis que je ne pouvais pas "forcer" parce qu'il risque de péter un plomb si on le cabre. (il n'est pas suicidaire mais une fois il a voulu fuguer et est allée jusqu'à l'aéroport, j'en ri encore mais ce n'est pas drôle)
A l'époque il rêvait d'être divorcé sans me quitter parce que son amour pour moi n'est pas remis en cause par ce besoin d'échapper à ses responsabilités ..
En bonne zèbrette j'ai tout essayé, fais des recherches pour trouver une solution à son sommeil, sans succès. Il est très hermétique à la thérapie, dès qu'on approche d'un nœud il ne revient plus et change de psy (là il n'en a plus depuis plus d'un an)
On avait convenu que pour m'alléger il s'occuperait des enfants le soir mais le soir arrivé il a oublié et exerce une forme de chantage sachant que je ne supporte absolument pas qu'il soit désagréable avec moi (un gros soucis quand il s'agit de communiquer et se faire entendre).
Du coup pour préserver sa bonne humeur et donc la mienne, je fais tout... ah ah elle est bonne... Je ne sais pas comment me tirer de ce mauvais pas sans me blesser... Des idées? des pistes? Merci
Je suis un peu le nez dans le guidon actuellement et j'ai besoin d'un regard extérieur.
Mon mari a commencé à mal gérer l'angoisse il y a environ 6 ans. S'en est suivi des troubles du sommeil (chez lui essentiellement des réveils précoces avec difficulté de se rendormir)
Il en a fait une obsession, a vu plein de psys et prend actuellement plusieurs médicaments (xanax, AD..)
Il n'est pas en dépression selon moi mais est bien accro et ne l'assume pas donc essaye d'arrêter en créant des paliers où clairement ça ne va pas du tout (crevé, mauvais poil...) puis reprend plus et rediminue, enfin cercle sans fin.
Afin de ne pas en subir trop de conséquences, il ne met jamais de réveil et se lève tard (8h30 environ) pour palier aux heures où il n'a pas ou peu dormi.
Conséquence pour moi, l'intendance le matin c'est pour ma pomme à 100% et heureusement je ne suis jamais malade...
Avec mes deux filles vraiment pas faciles du tout (une zèbre, l'autre probablement) j'accuse le coup. Je me sens en plus complètement nulle vu que si elles crisent, hurlent et le réveillent mon mari me reproche de n'avoir aucune autorité (ce qui me met 2 pieds sous terre)
J'en deviens agressive, avec elles, avec lui... Je suis vraiment mal, la situation devient merdique.
Lui demander de se lever au moins une fois par semaine est THE sujet ultra tabou. On a même tenté d'en parler à 3 avec son psy de l'époque il y a 2 ans... Même son psy était d'avis que je ne pouvais pas "forcer" parce qu'il risque de péter un plomb si on le cabre. (il n'est pas suicidaire mais une fois il a voulu fuguer et est allée jusqu'à l'aéroport, j'en ri encore mais ce n'est pas drôle)
A l'époque il rêvait d'être divorcé sans me quitter parce que son amour pour moi n'est pas remis en cause par ce besoin d'échapper à ses responsabilités ..
En bonne zèbrette j'ai tout essayé, fais des recherches pour trouver une solution à son sommeil, sans succès. Il est très hermétique à la thérapie, dès qu'on approche d'un nœud il ne revient plus et change de psy (là il n'en a plus depuis plus d'un an)
On avait convenu que pour m'alléger il s'occuperait des enfants le soir mais le soir arrivé il a oublié et exerce une forme de chantage sachant que je ne supporte absolument pas qu'il soit désagréable avec moi (un gros soucis quand il s'agit de communiquer et se faire entendre).
Du coup pour préserver sa bonne humeur et donc la mienne, je fais tout... ah ah elle est bonne... Je ne sais pas comment me tirer de ce mauvais pas sans me blesser... Des idées? des pistes? Merci
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Ma situation est assez comparable à la tienne, sauf qu'elle est inversée puisque c'est ma femme qui souffre de troubles psy.
Je ne vais pas décrire ma situation, ce n'est pas ce que tu cherches.
Tout ce que je peux te dire c'est ce que je ressens assez régulièrement :
- impression de tout (absolument tout) porter sur mon petit dos fragile et délicat
- absence total d'espoir que la situation s'améliore
- absence total de ... "compensation" ou au moins de reconnaissance de tout ce que je fais
- impression que rien ne change, que tout est figé (ça fait bientôt 10 ans que ça dure)
Donc c'est parfois très dur (c'est une litote) à vivre.
Cela dit ... et ça ne va sûrement pas te faire plaisir, il ne faut pas sous-estimer notre capacité. Je n'aurais jamais pensé être en mesure de pouvoir traverser tout ça, tout seul en plus hein, parce que je n'en parle à personne, je ne vois pas de psy ... mais pourtant ça fait déjà 10 ans que ça dure (ah zut déjà dit) et je l'ai bien fait.
Souvent je culpabilise parce que je n'ai pas les bonnes réactions : je m'emporte, je m'énerve, je me mets en colère au lieu d'être doux et attentionné quand elle est en pleine crise ... mais bon c'est ainsi, faut s'accepter tel que l'on est. Je peux être fier de tout ce que j'ai traversé ... même si je n'en tire aucune fierté, je peux au moins abandonner la cuplabilité de ne pas être parfait.
Je ne sais pas si ce que j'ai écrit t'apportera, t'aidera, je ne sais même pas si ça a du sens, mais bon c'est fait.
Courage !
Je ne vais pas décrire ma situation, ce n'est pas ce que tu cherches.
Tout ce que je peux te dire c'est ce que je ressens assez régulièrement :
- impression de tout (absolument tout) porter sur mon petit dos fragile et délicat
- absence total d'espoir que la situation s'améliore
- absence total de ... "compensation" ou au moins de reconnaissance de tout ce que je fais
- impression que rien ne change, que tout est figé (ça fait bientôt 10 ans que ça dure)
Donc c'est parfois très dur (c'est une litote) à vivre.
Cela dit ... et ça ne va sûrement pas te faire plaisir, il ne faut pas sous-estimer notre capacité. Je n'aurais jamais pensé être en mesure de pouvoir traverser tout ça, tout seul en plus hein, parce que je n'en parle à personne, je ne vois pas de psy ... mais pourtant ça fait déjà 10 ans que ça dure (ah zut déjà dit) et je l'ai bien fait.
Souvent je culpabilise parce que je n'ai pas les bonnes réactions : je m'emporte, je m'énerve, je me mets en colère au lieu d'être doux et attentionné quand elle est en pleine crise ... mais bon c'est ainsi, faut s'accepter tel que l'on est. Je peux être fier de tout ce que j'ai traversé ... même si je n'en tire aucune fierté, je peux au moins abandonner la cuplabilité de ne pas être parfait.
Je ne sais pas si ce que j'ai écrit t'apportera, t'aidera, je ne sais même pas si ça a du sens, mais bon c'est fait.
Courage !
Invité- Invité
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Requiem,
En effet je traverse ça relativement bien (pas de dépression, je reste zen 80% du temps...)
Mon mari dit que j'ai les hormones de la patience et lui n'en est pas pourvu (bah tient donc...) et que j'ai besoin de moins de sommeil (bon ça, c'est probable mais j'aime pas trop l'arnaque derrière!!!)
En effet je traverse ça relativement bien (pas de dépression, je reste zen 80% du temps...)
Mon mari dit que j'ai les hormones de la patience et lui n'en est pas pourvu (bah tient donc...) et que j'ai besoin de moins de sommeil (bon ça, c'est probable mais j'aime pas trop l'arnaque derrière!!!)
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Super ! sacré chance que tu as là : la patience est mère de toutes les vertus
Que demander de plus ? Tu ne peux malheureusement pas le changer à sa place ; c'est à lui de faire le travail qui va bien.
Peut-être un peu plus de "justice" ou de reconnaissance ?
Que demander de plus ? Tu ne peux malheureusement pas le changer à sa place ; c'est à lui de faire le travail qui va bien.
Peut-être un peu plus de "justice" ou de reconnaissance ?
Invité- Invité
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
C'est tout à fait ça Requiem, un peu de reconnaissance, une doudouce sur la main et je suis contente. Dans le fond je n'attends pas des actions surréalistes.
Le plus difficile étant de recevoir des reproches alors que j'ai l'impression de me sacrifier comme une bête...
Le plus difficile étant de recevoir des reproches alors que j'ai l'impression de me sacrifier comme une bête...
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
bonjour,
je ne comprends pas trop...
quel est le problème en fait ?
Hillary a écrit:besoin de moins de sommeil (bon ça, c'est probable mais j'aime pas trop l'arnaque derrière!!!)
l' "arnaque" ????
tu ne pourrais pas comprendre quelqu'un qui a un corps qui le force à dormir ? un hypersomniaque.
moi je me lève au plus tôt à 13h dans le meilleur des cas, pendant une décénie je me suis levé à 16h (couché vers minuit).
si quelqu'un m'empèche de dormir et me réveille de force le matin... je vais avoir des envies de meurtres sur lui. je ne plaisante pas avec le sommeil. c'est un besoin.
l'hypersomnie est un handicap, mais pas encore reconnu par la société le corps médical et la sécu. (mais il serait temps).
en tout cas on ne peut pas reprocher à quelqu'un de dormir.
quand t'es fatigué tu t'asseois ou tu t'allonges, t'as pas le choix, c'est ton corps qui a des limites. on est pas superman ou des robots.
évidemment quand on a ce handicap on ne peut pas avoir d'enfants, car on ne serait pas en capacité de s'en occuper. je n'en veux pas. la vie est deja assez difficile en s'occupant de soi-même.
apres quand c'est fait... c'est fait... c'est à vie.
(pas fini de le regretter... surtout si t'as plusieurs enfants).
sinon, j'aimerais savoir... comment se passe la communication entre toi et ton mari ?
est ce que vous communiquez bien... calmement, sans s'énerver, sans hausser la voix...
ou est ce que (par hazard) l'un de vous 2 est un peu "colérique".
(la colère met fin à la communication, et instaure un rapport de force. c'est tres malsain).
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Wise,
Je pense pas qu'on soit dans l'hypersomnie ici et je ne remets pas en question le handicap que ça représente.
On communique peu. J'ai toujours la crainte d'être mal reçue et d'en souffrir.
Mon mari est colérique, moi a l'inverse je ne colère pas assez si on peut dire ça...
Je pense pas qu'on soit dans l'hypersomnie ici et je ne remets pas en question le handicap que ça représente.
On communique peu. J'ai toujours la crainte d'être mal reçue et d'en souffrir.
Mon mari est colérique, moi a l'inverse je ne colère pas assez si on peut dire ça...
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Mon ex-femme a trouvé une solution. Mais ça va pas plaire à ton mari.
Invité- Invité
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
A une période, mon conjoint, plutôt colérique, était toujours en train de râler, de parler de tout en négatif, sans arrêt sur le dos de ma fille etc. Je n'en voyais plus le bout et quand j'ai pris conscience de l'impact que ça avait sur mon humeur (moi je n'ai pas réussi à rester zen, j'étais sur une bonne pente dépressive), je lui ai demandé de prendre un petit temps pour nous afin de discuter. Quand il a été dispo en soirée, je lui ai dit que j'étais très malheureuse et d'autant plus que je ne voyais pas d'amélioration possible dans l'avenir vu qu'il ne souhaitait pas consulter ou autre. Et apparemment de savoir que son comportement avait un impact aussi négatif sur moi lui a permis de modifier une partie de ses comportements (en même temps j'avais pleuré de desespoir aussi, ça a peut-être plus d'impact que les mots en tant que tels).
Sur d'autres sujets, tu m'as l'air assez au fait des méthodes "positives" d'éducation : les techniques de communication qu'on y trouve fonctionnent bien aussi avec les adultes (pas de discours en "tu", des faits et pas d'interprétations etc). Peut-être pourrais-tu tenter une discussion sur ces soirées où il s'esquive, sans l'accuser mais en étant factuelle, en relevant la contradiction entre ses engagements et ce qu'il fait et tes besoins à toi. Peut-être pourrais-tu lui demander de te dire des choses positives sur ta façon d'éduquer vos filles car les seules fois où il aborde la question, il est sous le coup de la colère et donc ce n'est pas forcément le reflet de ce qu'il pense
Chaudoudou
Sur d'autres sujets, tu m'as l'air assez au fait des méthodes "positives" d'éducation : les techniques de communication qu'on y trouve fonctionnent bien aussi avec les adultes (pas de discours en "tu", des faits et pas d'interprétations etc). Peut-être pourrais-tu tenter une discussion sur ces soirées où il s'esquive, sans l'accuser mais en étant factuelle, en relevant la contradiction entre ses engagements et ce qu'il fait et tes besoins à toi. Peut-être pourrais-tu lui demander de te dire des choses positives sur ta façon d'éduquer vos filles car les seules fois où il aborde la question, il est sous le coup de la colère et donc ce n'est pas forcément le reflet de ce qu'il pense
Chaudoudou
Weigela- Messages : 1011
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Merci Fleurdesel,
J'envisage sérieusement une discussion en appliquant un max ce que je sais de la CNV. De toute façon discuter autrement c'est aller droit dans la bagarre et ça n'apportera absolument rien.
Je ne pense pas que ça me donnerait de l'espoir qu'il consulte car s'il consulte ce sera pour parler de ce qui l'inquiète, lui, et ça m'étonnerait qu'il débarque et dise qu'il aimerait me rendre plus heureuse...
J'envisage sérieusement une discussion en appliquant un max ce que je sais de la CNV. De toute façon discuter autrement c'est aller droit dans la bagarre et ça n'apportera absolument rien.
Je ne pense pas que ça me donnerait de l'espoir qu'il consulte car s'il consulte ce sera pour parler de ce qui l'inquiète, lui, et ça m'étonnerait qu'il débarque et dise qu'il aimerait me rendre plus heureuse...
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
- Spoiler:
- moi je ne peux pas être avec une personne colérique.
je ne supporte pas les gens colérique.
il semble qu'une partie des zèbres soient colériques... ça a été le cas d'au moins 1/4 que j'ai rencontrés...
même z je m'en fous je les évite.
et comme ça pas de problème.
la vie est assez stressante comme ça...
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Idem avec fleur de sel : la.CNV peut être bien utile !!
Surtout "sur-gratifier" chacune de ses bonnes actions du soir avec les filles..
Comme avec les gamins, animaux, handicapés etc, ne pas reentrer dans le reproche, la colère ou le mépris..
Il faut qu il comprenne par lui même, ne pas le mettre face à ses erreurs par risque de le déstabiliser..
Moi je dirais donc d exagérer quand tout est bien, et prendre de la distance ( pas trop non plus) quand ça ne va pas..
Si la rage te monte, resté stoïque, zen et faire comme si tu avais entendu mais pas relevé ( bien mieux pour provoquer l introspection plutôt que la défense)
Bon Courage, ce n est pas facile comme situation..
Et surtout COMMUNICATION !!
Parler, voir trop parler ne peut que vous aider..a mettre chacun vos mots sur ce que vous percevez et ressentez
Plus de mots sont exprimés, selon moi, plus la compréhension est clair..
Et pas de reproches ou brimades devant les petites, c est une obligation pour qu il ne sente pas agressé ou blessé ( moi un mauvais père/mari ?! )
Surtout "sur-gratifier" chacune de ses bonnes actions du soir avec les filles..
Comme avec les gamins, animaux, handicapés etc, ne pas reentrer dans le reproche, la colère ou le mépris..
Il faut qu il comprenne par lui même, ne pas le mettre face à ses erreurs par risque de le déstabiliser..
Moi je dirais donc d exagérer quand tout est bien, et prendre de la distance ( pas trop non plus) quand ça ne va pas..
Si la rage te monte, resté stoïque, zen et faire comme si tu avais entendu mais pas relevé ( bien mieux pour provoquer l introspection plutôt que la défense)
Bon Courage, ce n est pas facile comme situation..
Et surtout COMMUNICATION !!
Parler, voir trop parler ne peut que vous aider..a mettre chacun vos mots sur ce que vous percevez et ressentez
Plus de mots sont exprimés, selon moi, plus la compréhension est clair..
Et pas de reproches ou brimades devant les petites, c est une obligation pour qu il ne sente pas agressé ou blessé ( moi un mauvais père/mari ?! )
Drixme- Messages : 70
Date d'inscription : 26/04/2015
Age : 42
Localisation : Chelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Drixme, oui la communication c'est mon point faible... Merci de ton aide!!
Hillary- Messages : 274
Date d'inscription : 24/04/2015
Age : 45
Localisation : Bruxelles
Re: Quand les besoins de l'un vont à l'encontre de ceux de l'autre
Je pense que la communication est encore plus importante chez les HQI etc afin que chaque interlocuteur ne s imagine pas ce que l autre essaie de faire comprendre..
il est si facile de tirer ses propres conclusions d après ses analyses..surtout avec un fonctionnement cognitif dédéveloppé !!
D oú mon questionnement sur un autre fil du droit au bonheur avec un "norme-pensant".. Si la communication n est pas optimum, je me dis que forcément il y aura incompréhensions menant fatalement à une résignation du dit surdoué, incompris..
mais ce n est que mon avis, celui d un idéaliste..
la communication cela se travaille ! Tu m as l air très bien partie en tout cas !!
Continue
il est si facile de tirer ses propres conclusions d après ses analyses..surtout avec un fonctionnement cognitif dédéveloppé !!
D oú mon questionnement sur un autre fil du droit au bonheur avec un "norme-pensant".. Si la communication n est pas optimum, je me dis que forcément il y aura incompréhensions menant fatalement à une résignation du dit surdoué, incompris..
mais ce n est que mon avis, celui d un idéaliste..
la communication cela se travaille ! Tu m as l air très bien partie en tout cas !!
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Drixme- Messages : 70
Date d'inscription : 26/04/2015
Age : 42
Localisation : Chelles
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