poéme; un divorce annoncée
Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Nos passions :: J'écris
Page 1 sur 1
poéme; un divorce annoncée
Ses jours sans songes au pays sans lueurs
Parcelle de vide d'un égoïste partage
Au travers des revers où fanent les fleurs,
Comme se répand le liseron des présages.
distinctement, on se brise l'iris d'un viol irréel édulcoré d'armoiries,
Où se dessinent à tous les âges un semblant liquéfié d'urine,
aux quatre coins du monde transpercé des dents de la nuits...
Des îles immergées et des corps noyés tels des palais en ruines,
Fréquentant de pâles lits Sade et des mûres pourris.
Hoqueter à peine vomit, des relents altruistes honnit,
Au nid sans éclosion des rocs roulent au fond du puit
Et la Tamise coule de nostalgie révélée sur un tas mit en paillettes,
Il fait beau pourtant dehors en des sons descendant en votre âme aigrelette,
Dans la bruine, un rêve qui se fond et le carreau embué; un doigt y lave son regard,
y sculpte une première absence, car demain la propreté sur le verre et le rire des avares...
Il est fait de douceur ce matin, les oiseaux chantent à peine dans les rayons aux senteurs de pommes,
Et les draps ennoués sous la longueur du mollet imberbe au cuivre statufié,
C'est un miroir sur la cloison, un mirage passant, sans y tenir quelconque égard,
Mais en un instant j'ai bien vu double, le temps qui passe vivait alors deux fois,
Comment sourire à ces visions hurlant tocsins, un je ne sais quoi psalmodiait tu partiras...
Alors, en plongeon, toucher le sable des fonds, hey caille! et le poud laid,
Ce pou ci, possédait des ailes avant ses vénielles de premier pas.,
Les loges sont vides, maintenant et les doges sentent toujours l'aigreur d'ombre qui suait
Sur des mesures de poutres, pareilles à celles que mangent un borgne
Les jours de disettes le ventre bedonnant gonflé de miettes...
Puis un triangle parlant sans glottes la voix nocturne du chat,
Disant, dévoile en sillage les clins-d'oeil sur la mer où des rideaux se déchirent,
Le vents s'atténuent et brutaux, ils aiment la vélocité tendre d'amour,
Qui jettent en rafales, une épopée d'or sur un cartilage de poudre sans carrefour.
Plane sans fleurs, ni fruits, l'abattage de froideur où giclent des menteurs à la tire!
oyans- Messages : 2733
Date d'inscription : 13/04/2014
Age : 50
Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Nos passions :: J'écris
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum