j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
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j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Rhhha saleté de doute
Bon, maintenant que je me suis ENFIN décidée à me faire un profil, quelques mots de présentation, puisqu'il semble que ce soir l'usage.
Permettez toutefois que je m'assiste d'un ptit verre de blanc et de quelques rondelles de saucisson. Ben oui, à l'heure ou je commence, c'est l'heure de l'apéro, il fait TRES chaud. Ça va peut-etre m'aider à délier les mots, à choisir ceux convenant le mieux.
Déjà l'avatar m'a couté quelques neurones, se résumer en une image, pas simple. J'ai opté pour un petit dessin griffonné cet été entre deux baignades dans l'océan. Une sirene, tout un symbole pour moi, toute une histoire à raconter... mais un autre jour, ou plus tard, un peu trop intime pour une première rencontre avec vous.
Alors, mon éveil à la zébritude n'a rien bien original. Avril 2014. Un questionnement sur mon cadet, intense (euphémisme) de la première heure, sur mon anxieté constitutionelle, sur un père à tuer pour arriver à exister un peu. Une heure et demi de logorrée pour condenser tout ça à une nouvelle et énième psy. Et là, miracle. "Cherchez donc un peu du côté zebre de la force ma ptite dame, pas impossible que vous trouviez quelques réponses à vos questions, pour votre petit, vous et sans conteste votre géniteur."
Siderée par les mille et une lectures qui s'en suivirent, envahie d'émotions en tout genre, submergée de honte à l'idée de me reconnaitre quelque potentiel... enfin, vous voyez ce dont je parle.
Un an d'investigation, une coach spécialisée pour qui pas de doute (la chance !!), des démarches pour mon loustic de fils. Mais je bloque à l'étape test.
Avril 2015, gros coup de pied aux fesses, prise de rdv, passation du test, hypothèse largement validée.
Dans la foulée, j'y passe ma progéniture, le fils, charmante petite boule de flipper, la fille adorablement sage et raisonnable. Le cliché. Deux ptits zebres itou.
Voila, c'est assez frais, pour l'heure, on décante, on essaye de voir ce qu'on va faire de tout ça.
Un peu isolée dans cette affaire car maman solo, et peu d'amis vraiment suffisamment intimes, je ressens tout de même un besoin d'échange.
Avec d'autre zebres qui se sont reconnu, parce que j'en discerne tout de même quelques autres dans mon entourage proche.
Sur la toile depuis tres tres tres longtemps, je picore (entre autre) sur les forums sans jamais m'installer. Je crois bien que c'est une première.
Mais j'aime le ton qui sévit ici, donc j'essaye.
En rebondissement professionnel tout les 4/5 ans, j'arrive au terme de mon 3eme cycle.
Un boulot pas trop pénible, du conseil, conditions cool, autonome, un seul chef et pas sur mon dos, c'est pas mal pour un zebre
N'empêche, je vois bien, je me lasse, je m'ennuie, j'ai plus la gniake... et pourtant, j'suis dans la transition énergétique, c'est tendance !
Bon enfin voilà le chantier !
Il y a du boulot pour aller faire quelques choses de ce potentiel caché sous le tapis depuis un moment et de retrouver la joie du moteur intérieur qui vrombit de plaisir à l'idée d'un projet, d'un défi.
bonne soirée à vous tous et à bientôt
Bon, maintenant que je me suis ENFIN décidée à me faire un profil, quelques mots de présentation, puisqu'il semble que ce soir l'usage.
Permettez toutefois que je m'assiste d'un ptit verre de blanc et de quelques rondelles de saucisson. Ben oui, à l'heure ou je commence, c'est l'heure de l'apéro, il fait TRES chaud. Ça va peut-etre m'aider à délier les mots, à choisir ceux convenant le mieux.
Déjà l'avatar m'a couté quelques neurones, se résumer en une image, pas simple. J'ai opté pour un petit dessin griffonné cet été entre deux baignades dans l'océan. Une sirene, tout un symbole pour moi, toute une histoire à raconter... mais un autre jour, ou plus tard, un peu trop intime pour une première rencontre avec vous.
Alors, mon éveil à la zébritude n'a rien bien original. Avril 2014. Un questionnement sur mon cadet, intense (euphémisme) de la première heure, sur mon anxieté constitutionelle, sur un père à tuer pour arriver à exister un peu. Une heure et demi de logorrée pour condenser tout ça à une nouvelle et énième psy. Et là, miracle. "Cherchez donc un peu du côté zebre de la force ma ptite dame, pas impossible que vous trouviez quelques réponses à vos questions, pour votre petit, vous et sans conteste votre géniteur."
Siderée par les mille et une lectures qui s'en suivirent, envahie d'émotions en tout genre, submergée de honte à l'idée de me reconnaitre quelque potentiel... enfin, vous voyez ce dont je parle.
Un an d'investigation, une coach spécialisée pour qui pas de doute (la chance !!), des démarches pour mon loustic de fils. Mais je bloque à l'étape test.
Avril 2015, gros coup de pied aux fesses, prise de rdv, passation du test, hypothèse largement validée.
Dans la foulée, j'y passe ma progéniture, le fils, charmante petite boule de flipper, la fille adorablement sage et raisonnable. Le cliché. Deux ptits zebres itou.
Voila, c'est assez frais, pour l'heure, on décante, on essaye de voir ce qu'on va faire de tout ça.
Un peu isolée dans cette affaire car maman solo, et peu d'amis vraiment suffisamment intimes, je ressens tout de même un besoin d'échange.
Avec d'autre zebres qui se sont reconnu, parce que j'en discerne tout de même quelques autres dans mon entourage proche.
Sur la toile depuis tres tres tres longtemps, je picore (entre autre) sur les forums sans jamais m'installer. Je crois bien que c'est une première.
Mais j'aime le ton qui sévit ici, donc j'essaye.
En rebondissement professionnel tout les 4/5 ans, j'arrive au terme de mon 3eme cycle.
Un boulot pas trop pénible, du conseil, conditions cool, autonome, un seul chef et pas sur mon dos, c'est pas mal pour un zebre
N'empêche, je vois bien, je me lasse, je m'ennuie, j'ai plus la gniake... et pourtant, j'suis dans la transition énergétique, c'est tendance !
Bon enfin voilà le chantier !
Il y a du boulot pour aller faire quelques choses de ce potentiel caché sous le tapis depuis un moment et de retrouver la joie du moteur intérieur qui vrombit de plaisir à l'idée d'un projet, d'un défi.
bonne soirée à vous tous et à bientôt
Dernière édition par Tooma le Mer 26 Aoû 2015 - 16:33, édité 2 fois
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Et bien tu arrives ici comme bien d'autres, un peu par hasard après une découverte, le monde des zèbres.
Soit la bienvenue, essaye et vois, mais attention beaucoup sont restés, tu es prévenue
Soit la bienvenue, essaye et vois, mais attention beaucoup sont restés, tu es prévenue
Stripe- Messages : 250
Date d'inscription : 22/12/2014
Localisation : Sur la route des tigres
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Merci de ton accueil Stripe
partage de l'humeur musicale du matin, sous la petite pluie qui rafraîchit l'atmosphère
belle journée
partage de l'humeur musicale du matin, sous la petite pluie qui rafraîchit l'atmosphère
belle journée
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Bonjour à tous,
Bienvenue parmi nous.
Cordialement.
Alain.
Bienvenue parmi nous.
Cordialement.
Alain.
Doom666- Messages : 946
Date d'inscription : 23/04/2015
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Bienvenue donc!
Lilou- Messages : 598
Date d'inscription : 25/07/2009
Age : 44
Localisation : Ailleurs
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Bonjour à tous,
Je t'en prie. J'aime beaucoup Maalouf. Impossible de me rappeler de ce titre qui commence tout doucement par des arpèges au métallophone et dont l'intensité monte peu à peu. Je l'avais utilisé avec mes élèves. Je pensais qu'il était dans l'album diasporas mais non.
Cordialement.
Alain.
Je t'en prie. J'aime beaucoup Maalouf. Impossible de me rappeler de ce titre qui commence tout doucement par des arpèges au métallophone et dont l'intensité monte peu à peu. Je l'avais utilisé avec mes élèves. Je pensais qu'il était dans l'album diasporas mais non.
Cordialement.
Alain.
Doom666- Messages : 946
Date d'inscription : 23/04/2015
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
celle que j'adore aussi de Maalouf c'est Beirut, dans le genre début tout doux, montée en puissance et bouquet final explosif
Re: j'y vais... j'y vais pas... j'y vais ....
Bon,
petite suite décousue de présentation, j'évoquerais aujourd'hui l'éclectisme, musical, mais pas que !
Parmi les sens affûtés comme beaucoup d'entre vous, l’ouïe, chez moi c'est quelque chose !
Canal toujours ouvert et ultra sensible à tout ce qui se passe, jusqu'à même certains sons infimes qu'il n'y a parfois que moi dans mon entourage à entendre ou a en être gênée, me poussant régulièrement à recourir aux boules kies, pour dormir, pour travailler...
L'alternative aux boules kies, c'est de la musique dans les oreilles, et plutôt fort que pianissimo. A fond ça m'aide à me concentrer (enfin les musiques que je connais), pianissimo, ça me parasite, ça fait du brouillage, j'aime pas
Souvenir de course dans un sup'march un jour:
petite précision, les courses pour moi, c'est le supplice, particulièrement dans ces temples de la consommation que j'essaye dans la mesure du possible d'éviter, mais parfois, je dois y passer.
En général et si je suis seule, j'enfile mes écouteurs pour tenter de faire abstraction de la pollution sonore ambiante et filer au plus vite dans les allées, slalomant entre les gens, sortes de touristes perpétuellement hagards et satisfaits, manifestement ravis, eux, de passer du temps en ces lieux.
Bref, je m'attendais à quelques minute de pur calvaire. Cependant, en rentrant, j'ai un drôle d'effet, plutôt agréable. Je mets quelques instants à comprendre qu'il n'y a pas de fond sonore. Sans conteste les plus agréables courses de ma vie, j'arrive tout sourire à la caisse et partage mon bonheur de ce silence apaisant avec la caissière et ma voisine. Elles m'ont toutes deux regardées comme une folle, elles trouvaient ça triste et morose... bon...
fin de la pause, je retourne à la mine
partages zicaux zécléctiks du matin, féminins ...
belle journée
petite suite décousue de présentation, j'évoquerais aujourd'hui l'éclectisme, musical, mais pas que !
Parmi les sens affûtés comme beaucoup d'entre vous, l’ouïe, chez moi c'est quelque chose !
Canal toujours ouvert et ultra sensible à tout ce qui se passe, jusqu'à même certains sons infimes qu'il n'y a parfois que moi dans mon entourage à entendre ou a en être gênée, me poussant régulièrement à recourir aux boules kies, pour dormir, pour travailler...
L'alternative aux boules kies, c'est de la musique dans les oreilles, et plutôt fort que pianissimo. A fond ça m'aide à me concentrer (enfin les musiques que je connais), pianissimo, ça me parasite, ça fait du brouillage, j'aime pas
Souvenir de course dans un sup'march un jour:
petite précision, les courses pour moi, c'est le supplice, particulièrement dans ces temples de la consommation que j'essaye dans la mesure du possible d'éviter, mais parfois, je dois y passer.
En général et si je suis seule, j'enfile mes écouteurs pour tenter de faire abstraction de la pollution sonore ambiante et filer au plus vite dans les allées, slalomant entre les gens, sortes de touristes perpétuellement hagards et satisfaits, manifestement ravis, eux, de passer du temps en ces lieux.
Bref, je m'attendais à quelques minute de pur calvaire. Cependant, en rentrant, j'ai un drôle d'effet, plutôt agréable. Je mets quelques instants à comprendre qu'il n'y a pas de fond sonore. Sans conteste les plus agréables courses de ma vie, j'arrive tout sourire à la caisse et partage mon bonheur de ce silence apaisant avec la caissière et ma voisine. Elles m'ont toutes deux regardées comme une folle, elles trouvaient ça triste et morose... bon...
fin de la pause, je retourne à la mine
partages zicaux zécléctiks du matin, féminins ...
belle journée
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