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Faits divers
par Abonné absent Sam 15 Aoû 2015 - 1:11
J'adore lire la presse anglaise à propos de la France, on y trouve parfois des 'perles' hilarantes :
French rail worker paid £3,500 to do 'absolutely nothing' for 12 years files 'complaint'
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/france/11803855/French-rail-worker-paid-3500-to-do-absolutely-nothing-for-12-years-files-complaint.html
J'aime beaucoup l'esprit britannique qui souligne qu'au lieu de profiter de cette chance d'avoir du bon temps payé, l'employé réclame du travail pour avoir une "carrière épanouissante", et n'en obtenant pas, réclame une indemnité.
Le beurre, l'argent du beurre, et la crémière.
Si vous lisez des nouvelles drôles, n'hésitez pas à les poster ci-après.
French rail worker paid £3,500 to do 'absolutely nothing' for 12 years files 'complaint'
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/france/11803855/French-rail-worker-paid-3500-to-do-absolutely-nothing-for-12-years-files-complaint.html
J'aime beaucoup l'esprit britannique qui souligne qu'au lieu de profiter de cette chance d'avoir du bon temps payé, l'employé réclame du travail pour avoir une "carrière épanouissante", et n'en obtenant pas, réclame une indemnité.
Le beurre, l'argent du beurre, et la crémière.
Si vous lisez des nouvelles drôles, n'hésitez pas à les poster ci-après.
Abonné absent- Messages : 2727
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Re: Faits divers
par DN Dim 16 Aoû 2015 - 18:15
Pour ceux qui ne liraient pas l'anglais, la presse française parle quelquefois (paru hier dans le parisien mais je l'ai lu avant aussi sur le même journal que je reçois gratuitement depuis plusieurs années mais je ne sais pas qui m'a fait ce coup sinon vous pensez bien que ma vengeance serait sans limite) d'absurdités même si elles ne sont pas forcément de première fraicheur ^^
«Placardisé» depuis 12 ans, un cheminot qui a été payé plus de 5000 euros par mois sans travailler, dénonce sa situation. La SNCF, qui lui reproche d'avoir refusé les affectations et solutions qui lui ont été proposées, va de nouveau lui faire une proposition en septembre.
Charles Simon, cadre supérieur de la SNCF, explique avoir été «placardisé virtuellement» en 2003 pour avoir «dénoncé une mauvaise gestion de Geodis, filiale de la SNCF», selon une information du journal Le Point.
L'homme de 55 ans indique avoir reçu quatre propositions de postes en 12 ans, pour lesquels il n'a pas été «accepté après les entretiens parce (qu'il est) un lanceur d'alerte». La SNCF précise que cet employé n'a déposé aucune plainte contre la mauvaise gestion qu'il dénonce, et considère l'attitude de Charles Simon «comme mal intentionnée», précisant qu'il a «refusé toutes les solutions proposées, reclassement ou négociation financière pour quitter l'entreprise», selon un porte-parole du groupe.
Le salarié réclame que son statut de lanceur d'alerte soit reconnu
Le groupe public, qui n'est pas en capacité de mettre quelqu'un à la retraite d'office, ne peut pas non plus le licencier, puisque Charles Simon est employé «au statut cheminot, qui interdit le licenciement», souligne le porte-parole. Selon Charles Simon, le statut de cheminot n'interdit pas le licenciement pour faute.
La SNCF a précisé mettre fin à toute négociation sans lui verser «un euro de dédommagement et annonce que le Saint-Quentinois qui a fait l'école des Mines et l'ESSEC «sera affecté à un nouveau poste à partir du 1er septembre». Qualifiant cette offre de «mutation disciplinaire» et précisant qu'il n'était pas au courant de cette proposition, le quinquagénaire réclame la reconnaissance de son statut de lanceur d'alerte et l'application de la loi Cahuzac qui protège ces derniers. «Dans le cas contraire, je prendrai les mesures qui s'imposent au regard de cette mutation d'office constituant un délit de plus commis par la SNCF à mon encontre. Concrètement je ne me mettrai pas en situation irrégulière en refusant ce poste», a précisé Charles Simon samedi.
La SNCF ajoute avoir été attaquée en 2011 devant les Prud'hommes par Charles Simon, qui estimait «que son inactivité constitue un préjudice». Le salarié «a été débouté», et réclame désormais au groupe ferroviaire «un demi-million d'euros de dédommagement pour son inactivité», selon la SNCF. Alors que la SNCF estime que l'homme a juridiquement épuisé toutes ses voies de recours, son avocate Me Anne-Sophie Petit, a expliqué qu'une demande de dommages et intérêts pour sanction injustifiée était en procédure à la Cour d'appel de Paris.
L'homme de 55 ans indique avoir reçu quatre propositions de postes en 12 ans, pour lesquels il n'a pas été «accepté après les entretiens parce (qu'il est) un lanceur d'alerte». La SNCF précise que cet employé n'a déposé aucune plainte contre la mauvaise gestion qu'il dénonce, et considère l'attitude de Charles Simon «comme mal intentionnée», précisant qu'il a «refusé toutes les solutions proposées, reclassement ou négociation financière pour quitter l'entreprise», selon un porte-parole du groupe.
Le salarié réclame que son statut de lanceur d'alerte soit reconnu
Le groupe public, qui n'est pas en capacité de mettre quelqu'un à la retraite d'office, ne peut pas non plus le licencier, puisque Charles Simon est employé «au statut cheminot, qui interdit le licenciement», souligne le porte-parole. Selon Charles Simon, le statut de cheminot n'interdit pas le licenciement pour faute.
La SNCF a précisé mettre fin à toute négociation sans lui verser «un euro de dédommagement et annonce que le Saint-Quentinois qui a fait l'école des Mines et l'ESSEC «sera affecté à un nouveau poste à partir du 1er septembre». Qualifiant cette offre de «mutation disciplinaire» et précisant qu'il n'était pas au courant de cette proposition, le quinquagénaire réclame la reconnaissance de son statut de lanceur d'alerte et l'application de la loi Cahuzac qui protège ces derniers. «Dans le cas contraire, je prendrai les mesures qui s'imposent au regard de cette mutation d'office constituant un délit de plus commis par la SNCF à mon encontre. Concrètement je ne me mettrai pas en situation irrégulière en refusant ce poste», a précisé Charles Simon samedi.
La SNCF ajoute avoir été attaquée en 2011 devant les Prud'hommes par Charles Simon, qui estimait «que son inactivité constitue un préjudice». Le salarié «a été débouté», et réclame désormais au groupe ferroviaire «un demi-million d'euros de dédommagement pour son inactivité», selon la SNCF. Alors que la SNCF estime que l'homme a juridiquement épuisé toutes ses voies de recours, son avocate Me Anne-Sophie Petit, a expliqué qu'une demande de dommages et intérêts pour sanction injustifiée était en procédure à la Cour d'appel de Paris.
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Re: Faits divers
par DN Dim 16 Aoû 2015 - 18:28
Sinon j'en ai 3 que j'ai lu dans des journaux régionaux (DNA pour ne pas le nommer hors période de 1er avril) donc de de mémoire :
- il y a une femme qui a jetté de l'huile de friture dans ses toilettes, le mari va pisser et comme tout bon cowboy jette le mégot avant de tirer la chasse ce qui lui brûle les parties. Alertés les secours arrivent mais les brancardiers sont tellement morts de rire qu'ils le laissent tomber dans les escaliers et le pauvre se brise la jambe.
- Un homme en voiture s'arrête pour acheter ses clopes à un bureau de tabac moteur allumé, il ressort assez rapidement mais la voiture n'y est plus. Il fait toutes les déclarations administratives de vol mais le lendemain il voit la voiture devant chez lui. Dans sa boîte aux lettres les clés avec un mot qui explique qu'une femme allait accoucher dans la rue et que dans l'urgence son mari avait emprunté la voiture pour se rendre à l'hôpital. Pour s'excuser il offre donc en dédommagement deux places pour un opéra; saluant le savoir vivre de leur emprunteur, les propriétaires de la voiture honorent l'invitation et rentrent dans une maison forcément vidée de son contenu vu que les cambrioleurs avaient les doubles des clés.
Et enfin une histoire italienne qui a provoqué un afflux de dons : un homme est dans sa maison avec sa femme et sa fille quand le téléphone sonne pour leur annoncer que le fils de la famille vient d'avoir un grave accident de voiture, l'homme se précipite seul sur les lieux du drame mais dans la précipitation il écrase son chien devant le garage…. Pendant qu'il est sur la route son fils meurt des suites de l'accident et sa maison prend feu faisant mourir femme et fille. A la fin de la journée il se retrouva seul comme un con dans sa voiture.
- il y a une femme qui a jetté de l'huile de friture dans ses toilettes, le mari va pisser et comme tout bon cowboy jette le mégot avant de tirer la chasse ce qui lui brûle les parties. Alertés les secours arrivent mais les brancardiers sont tellement morts de rire qu'ils le laissent tomber dans les escaliers et le pauvre se brise la jambe.
- Un homme en voiture s'arrête pour acheter ses clopes à un bureau de tabac moteur allumé, il ressort assez rapidement mais la voiture n'y est plus. Il fait toutes les déclarations administratives de vol mais le lendemain il voit la voiture devant chez lui. Dans sa boîte aux lettres les clés avec un mot qui explique qu'une femme allait accoucher dans la rue et que dans l'urgence son mari avait emprunté la voiture pour se rendre à l'hôpital. Pour s'excuser il offre donc en dédommagement deux places pour un opéra; saluant le savoir vivre de leur emprunteur, les propriétaires de la voiture honorent l'invitation et rentrent dans une maison forcément vidée de son contenu vu que les cambrioleurs avaient les doubles des clés.
Et enfin une histoire italienne qui a provoqué un afflux de dons : un homme est dans sa maison avec sa femme et sa fille quand le téléphone sonne pour leur annoncer que le fils de la famille vient d'avoir un grave accident de voiture, l'homme se précipite seul sur les lieux du drame mais dans la précipitation il écrase son chien devant le garage…. Pendant qu'il est sur la route son fils meurt des suites de l'accident et sa maison prend feu faisant mourir femme et fille. A la fin de la journée il se retrouva seul comme un con dans sa voiture.
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Re: Faits divers
par Abonné absent Lun 17 Aoû 2015 - 6:53
MDR. La presse régionale est quelquefois bien plus intéressante à lire que la presse nationale 
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