Pour séduire, d'abord se séduire ?
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Pour séduire, d'abord se séduire ?
Séduction et estime de soi
Par Anne Marie
séduction et estime de soi - rencontre - la femme et l'amour
Lors de la phase de séduction, l'estime de soi joue un rôle primordial. Que ce soit dans l'approche ou le choix d'un éventuel partenaire, l'image que l'on a de soi aura son mot à dire. Non seulement, de l'estime de soi dépend notre façon de séduire, mais aussi, notre façon de nous laisser séduire. Car, si la séduction a pour premier objectif de permettre le rapprochement des corps et des âmes, la séduction est aussi un excellent moyen de nourrir son estime personnelle !
Mais est-on tous égaux devant l'estime de soi en matière de séduction ? Des expériences menées ont montré qu'une basse ou haute estime de soi aurait des conséquences différentes, non seulement en situation de séduction, mais aussi dans le choix d'un éventuel partenaire selon que l'on est un homme ou une femme.
L'estime de soi, la rencontre et le choix du partenaire
L'estime de soi se compose non seulement de la vision de soi mais aussi de la confiance que l'on s'accorde. Rien d'étonnant que l'estime ait un impact sur les rencontres que l'on fait. Et surtout sur l'impression que l'on laisse à l'autre.
Si la rencontre amoureuse est la rencontre de deux personnalités, de deux narcissismes, il n'est pas surprenant que les personnes à basse estime rencontrent quelques difficultés en matière de séduction.
Souvent les personnes à mauvaise estime sont comme handicapées dans les situations où elles doivent se présenter, parler d'elles-mêmes. Le discours n'est pas très convaincant car la personne n'est pas très convaincue elle-même. Il peut lui arriver de trébucher dans ses explications, de se contredire, cherchant plus à plaire, à ne pas décevoir, qu'à être elle-même. Malheureusement pour les individus à basse estime, des études ont révélé que l'on paraissait plus sympathique en se présentant positivement qu'en se dévalorisant. (C. André) En évitant bien sûr la vantardise qui, elle, a plutôt tendance à faire fuir. Inutile de préciser que savoir se mettre en avant et se valoriser n'est pas vraiment le fort des personnes à basse estime.
La personne à basse estime peut aussi ressentir une anxiété, une gêne à attirer l'attention sur elle. Car le moment de la rencontre, les temps de la séduction sont par excellence des moments où les projecteurs de l'un sont braqués sur l'autre. Il est d'ailleurs courant de confondre timidité et mauvaise estime de soi en matière de rencontre. Ce n'est pas tant la timidité qui représente un frein à la rencontre, mais la difficulté que ressent la personne à s'affirmer face à un autre, à vivre paisiblement l'intérêt qu'elle peut susciter chez l'autre. En résumé, il est primordial d'apprendre à cultiver une bonne estime de soi afin de rendre nos rencontres amoureuses plus fluides.
L'impact de l'estime de soi ne se limite pas à la rencontre en elle-même. Elle entre en jeu pour ce qui est du choix d'un éventuel partenaire de vie. Dans son livre « L'estime de soi », le psychiatre Christophe André relate des études qui ont été faites dans ce domaine. Il s'avère que si, pour des relations éphémères, nous choisissons des partenaires qui nous valorisent. Quand il s'agit de se choisir un partenaire de vie, on choisit celui « qui nous voit comme nous sommes ». Dans le long terme, on rechercherait la justesse dans le rapport à nous-mêmes, à l'autre. Ainsi les personnes à basse estime auront tendance à choisir un partenaire avec une même vision critique.
L'estime de soi versus homme-femme
Bien que la séduction ait un impact sur l'estime de soi, vouloir séduire est aussi une prise de risque. Séduire un autre soulève la possibilité d'être rejeté. Pour éviter cela, surtout si on appartient à la gent féminine, rien de plus simple. Les femmes ont, par habitude sociale, la bonne place en matière de séduction, puisqu'il revient le plus souvent à l'homme de faire la tâche la plus dure : l'approche.
Pour la femme, il lui suffit de quelques minauderies pour faire comprendre à l'homme qu'il y a une possibilité d'ouverture, qu'il a le feu vert, qu'il peut l'aborder.
Des expériences menées sur l'estime de soi ont révélé qu'une basse estime n'avait pas les mêmes conséquences selon que le sujet est un homme ou une femme.
Si pour les hommes, une bonne estime permettra au sexe masculin de se montrer plus actif dans la rencontre, d'oser plus facilement aller vers la gent féminine, de prendre des risques. Il n'en va pas de même pour la femme. Ces études révèlent qu'une femme à basse estime se laissera plus aisément aborder qu'une femme à bonne estime. Ainsi les femmes à mauvaise estime accepteraient plus facilement de se faire séduire, même par un homme qui ne leur plaît pas nécessairement. Elles seraient plus vulnérables, plus sensibles à la séduction.
Ce qui s'explique aisément par le fait qu'une femme à basse estime sera plus facilement happée par la dynamique de tenter de plaire à un autre, de tenter d'être à la hauteur, d'y voir une chance de nourrir quelque peu son narcissisme. Il lui sera aussi plus difficile de s'affirmer dans son refus.
En résumé, si une femme à bonne estime aura son mot à dire sur le choix d'un partenaire potentiel, la femme à basse estime, elle, se laissera choisir ! Car le choix du partenaire, ou son-non choix, se fait sur la base de ce que l'on croit mériter !
http://www.etats-d-esprit.com/rencontre/seduction/seduction-et-estime-de-soi/109
Par Anne Marie
séduction et estime de soi - rencontre - la femme et l'amour
Lors de la phase de séduction, l'estime de soi joue un rôle primordial. Que ce soit dans l'approche ou le choix d'un éventuel partenaire, l'image que l'on a de soi aura son mot à dire. Non seulement, de l'estime de soi dépend notre façon de séduire, mais aussi, notre façon de nous laisser séduire. Car, si la séduction a pour premier objectif de permettre le rapprochement des corps et des âmes, la séduction est aussi un excellent moyen de nourrir son estime personnelle !
Mais est-on tous égaux devant l'estime de soi en matière de séduction ? Des expériences menées ont montré qu'une basse ou haute estime de soi aurait des conséquences différentes, non seulement en situation de séduction, mais aussi dans le choix d'un éventuel partenaire selon que l'on est un homme ou une femme.
L'estime de soi, la rencontre et le choix du partenaire
L'estime de soi se compose non seulement de la vision de soi mais aussi de la confiance que l'on s'accorde. Rien d'étonnant que l'estime ait un impact sur les rencontres que l'on fait. Et surtout sur l'impression que l'on laisse à l'autre.
Si la rencontre amoureuse est la rencontre de deux personnalités, de deux narcissismes, il n'est pas surprenant que les personnes à basse estime rencontrent quelques difficultés en matière de séduction.
Souvent les personnes à mauvaise estime sont comme handicapées dans les situations où elles doivent se présenter, parler d'elles-mêmes. Le discours n'est pas très convaincant car la personne n'est pas très convaincue elle-même. Il peut lui arriver de trébucher dans ses explications, de se contredire, cherchant plus à plaire, à ne pas décevoir, qu'à être elle-même. Malheureusement pour les individus à basse estime, des études ont révélé que l'on paraissait plus sympathique en se présentant positivement qu'en se dévalorisant. (C. André) En évitant bien sûr la vantardise qui, elle, a plutôt tendance à faire fuir. Inutile de préciser que savoir se mettre en avant et se valoriser n'est pas vraiment le fort des personnes à basse estime.
La personne à basse estime peut aussi ressentir une anxiété, une gêne à attirer l'attention sur elle. Car le moment de la rencontre, les temps de la séduction sont par excellence des moments où les projecteurs de l'un sont braqués sur l'autre. Il est d'ailleurs courant de confondre timidité et mauvaise estime de soi en matière de rencontre. Ce n'est pas tant la timidité qui représente un frein à la rencontre, mais la difficulté que ressent la personne à s'affirmer face à un autre, à vivre paisiblement l'intérêt qu'elle peut susciter chez l'autre. En résumé, il est primordial d'apprendre à cultiver une bonne estime de soi afin de rendre nos rencontres amoureuses plus fluides.
L'impact de l'estime de soi ne se limite pas à la rencontre en elle-même. Elle entre en jeu pour ce qui est du choix d'un éventuel partenaire de vie. Dans son livre « L'estime de soi », le psychiatre Christophe André relate des études qui ont été faites dans ce domaine. Il s'avère que si, pour des relations éphémères, nous choisissons des partenaires qui nous valorisent. Quand il s'agit de se choisir un partenaire de vie, on choisit celui « qui nous voit comme nous sommes ». Dans le long terme, on rechercherait la justesse dans le rapport à nous-mêmes, à l'autre. Ainsi les personnes à basse estime auront tendance à choisir un partenaire avec une même vision critique.
L'estime de soi versus homme-femme
Bien que la séduction ait un impact sur l'estime de soi, vouloir séduire est aussi une prise de risque. Séduire un autre soulève la possibilité d'être rejeté. Pour éviter cela, surtout si on appartient à la gent féminine, rien de plus simple. Les femmes ont, par habitude sociale, la bonne place en matière de séduction, puisqu'il revient le plus souvent à l'homme de faire la tâche la plus dure : l'approche.
Pour la femme, il lui suffit de quelques minauderies pour faire comprendre à l'homme qu'il y a une possibilité d'ouverture, qu'il a le feu vert, qu'il peut l'aborder.
Des expériences menées sur l'estime de soi ont révélé qu'une basse estime n'avait pas les mêmes conséquences selon que le sujet est un homme ou une femme.
Si pour les hommes, une bonne estime permettra au sexe masculin de se montrer plus actif dans la rencontre, d'oser plus facilement aller vers la gent féminine, de prendre des risques. Il n'en va pas de même pour la femme. Ces études révèlent qu'une femme à basse estime se laissera plus aisément aborder qu'une femme à bonne estime. Ainsi les femmes à mauvaise estime accepteraient plus facilement de se faire séduire, même par un homme qui ne leur plaît pas nécessairement. Elles seraient plus vulnérables, plus sensibles à la séduction.
Ce qui s'explique aisément par le fait qu'une femme à basse estime sera plus facilement happée par la dynamique de tenter de plaire à un autre, de tenter d'être à la hauteur, d'y voir une chance de nourrir quelque peu son narcissisme. Il lui sera aussi plus difficile de s'affirmer dans son refus.
En résumé, si une femme à bonne estime aura son mot à dire sur le choix d'un partenaire potentiel, la femme à basse estime, elle, se laissera choisir ! Car le choix du partenaire, ou son-non choix, se fait sur la base de ce que l'on croit mériter !
http://www.etats-d-esprit.com/rencontre/seduction/seduction-et-estime-de-soi/109
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
Merci Nath. Il y a des choses intéressantes dans ce texte.
ErikFromFrance- Messages : 2873
Date d'inscription : 11/04/2014
Age : 46
Localisation : Roci Nantes
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
ErikFromFrance a écrit:Merci Nath. Il y a des choses intéressantes dans ce texte.
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
http://www.etats-d-esprit.com/soi/estime-de-soi/les-nourritures-de-l-estime-de-soi/53
Nourrir son estime
Par Anne Marie
Les nourritures de l'estime de soi - soi - la femme et l'amour
Selon le psychiatre Christophe André, l'estime de soi se nourrit de deux ingrédients :
le sentiment d'être aimé et le sentiment d'être compétent.
L'estime de soi prend ses racines dans notre enfance.
Que ce soit l'amour que l'on se porte, la vision que l'on a de soi ou la confiance que l'on place en soi, tous ces ingrédients, formant l'estime de soi, se façonnent pendant notre enfance, au travers des nourritures affectives reçues.
Le sentiment d'être aimé
De l'avis général, l'amour inconditionnel est le lien qui devrait unir le parent à son enfant.
Galvaudé, incompris, cet amour inconditionnel n'est pourtant pas l'amour que l'on retrouve dans le rapport parent-enfant.
A vrai dire, il n'est même pas très conseillé pour le bien de l'enfant. En effet, les parents, éducateurs par essence, sont en charge de préparer l'enfant à la vie sociale. Ils ne peuvent donc accepter inconditionnellement les comportements de leurs enfants.
D'après le psychologue Moussa Nabati, l'enfant devrait « être désiré simplement pour lui-même, pour ce qu'il est réellement, dans la gratuité du désir, et non pour ce qu'il représente pour les parents.»
Ainsi la justesse du rapport parent-enfant se situerait plus dans la gratuité que l'inconditionnalité. Cependant, force est de constater qu'il apparaît plus répandu chez les parents, le plus souvent inconsciemment, que ces derniers se servent de leurs enfants pour leurs propres nourritures narcissiques et affectives.
Or, c'est au travers du regard de ses parents que l'enfant apprend à se sentir aimable pour ce qu'il est.
On comprend ensuite pourquoi il paraît si difficile, pour beaucoup d'entre nous, de se sentir aimables sans avoir à remplir une fonction, sans avoir à être là pour un autre, bref, sans avoir à payer de prix pour être aimé(e).
De plus, comme le dit le psychiatre Christophe André, « l'intention d'amour ne suffit pas si elle n'est pas suivi d'actes et de gestes concrets. » Pour se développer, l'enfant a besoin de faire du sens avec ce qu'il vit, ce qui l'entoure.
L'enfant interprète les comportements et pensées de ses parents à son encontre, nantis de la toute-puissance que leur octroie l'enfant. Ainsi si les parents sont maltraitants, l'enfant se perçoit comme un être indigne d'amour.
Ou bien encore des parents plaçant leur progéniture sur un piédestal, l'enfant continuera de se percevoir ainsi. Et ces différentes perceptions se feront au détriment de la réalité, le plus souvent en parfaite inconscience.
Les parents définissent leur enfant, ou plutôt la façon dont l'enfant va se percevoir. Puis, au fil du temps, le discours parental devient le critique intérieur de l'enfant, ses références.
La connaissance de soi, socle de la confiance en soi, du sentiment de compétence
La connaissance de soi n'est pas innée, elle s'acquiert tout au long de notre vie. La connaissance de soi suppose, dans un premier temps, l'existence d'une certaine conscience de soi. Or celle-ci n’apparaît que vers l'âge de huit ans chez l'individu.
En effet, la conscience de soi implique un accès à l'individualité, à une identité propre. La connaissance de soi ne peut surgir seulement lorsque le soi est déjà construit.Celle-ci est emplie, dans un premier temps, d'une construction du soi à travers le regard de son environnement familial, culturel.
Et surtout, de ce que celui-ci nous a permis d'expérimenter.
Le regard sur soi est à l'image du regard que l'on portait sur nous, non une connaissance propre.
Sylvie Tenenbaum définit l'estime de soi comme la représentation, « le reflet, le double de la confiance que nos parents ont placé en nous. Il renvoie à la culpabilité d'être mauvais, aux carences narcissiques. » En sus de cette confiance placée en nous, les parents, modèles référents de l'enfant, transmettront à leur progéniture, au travers d'apprentissage, leurs propres façons d'être, leurs peurs et angoisses. Jung disait à ce propos, que « les enfants sont éduqués par ce que l'adulte est, non par ses bavardages. »
Si dans un premier lieu, l'amour, l'acceptation gratuite, la protection furent absents pendant l'enfance, le narcissisme de l'enfant, assise indispensable sur laquelle se fonde l'estime de soi, ne pourra se développer correctement. Sans ces ingrédients, il sera difficile à l'enfant de développer une sécurité interne suffisante pour partir à la découverte du monde, à la découverte du soi.
Mais si l'enfant a besoin d'amour pour venir au monde, comme le dit Boris Cyrulnik, « il faut aussi que cet amour meure pour que l'enfant devienne une personne, pour l'éduquer, c'est-à-dire le conduire hors de soi », hors de la matrice maternelle. Car si « sans amour, les choses ne prennent pas de sens, trop d'amour empêche la naissance d'un monde extérieur », il n'y a alors pas de place pour un soi différencié.
En effet, pour se découvrir, se connaître, l'enfant doit expérimenter. Si la protection est nécessaire à la naissance, trop de protection finit par tuer la protection. Cette surprotection maintient l'enfant dans un cocon, lui interdisant la découverte de ses besoins, de ses désirs, de son soi profond. Il n'y a pas de place pour la découverte du « je » de l'enfant.
Cet enfermement, interdisant l'expérimentation du monde extérieur, empêchera le développement de la confiance en soi, de sa capacité à être au monde, à agir, à être lui-même, à accéder à son soi profond, différencié, unique.
(si tu m'as dit merci pour avoir un Chamallow, tu peux te gratter
Nourrir son estime
Par Anne Marie
Les nourritures de l'estime de soi - soi - la femme et l'amour
Selon le psychiatre Christophe André, l'estime de soi se nourrit de deux ingrédients :
le sentiment d'être aimé et le sentiment d'être compétent.
L'estime de soi prend ses racines dans notre enfance.
Que ce soit l'amour que l'on se porte, la vision que l'on a de soi ou la confiance que l'on place en soi, tous ces ingrédients, formant l'estime de soi, se façonnent pendant notre enfance, au travers des nourritures affectives reçues.
Le sentiment d'être aimé
De l'avis général, l'amour inconditionnel est le lien qui devrait unir le parent à son enfant.
Galvaudé, incompris, cet amour inconditionnel n'est pourtant pas l'amour que l'on retrouve dans le rapport parent-enfant.
A vrai dire, il n'est même pas très conseillé pour le bien de l'enfant. En effet, les parents, éducateurs par essence, sont en charge de préparer l'enfant à la vie sociale. Ils ne peuvent donc accepter inconditionnellement les comportements de leurs enfants.
D'après le psychologue Moussa Nabati, l'enfant devrait « être désiré simplement pour lui-même, pour ce qu'il est réellement, dans la gratuité du désir, et non pour ce qu'il représente pour les parents.»
Ainsi la justesse du rapport parent-enfant se situerait plus dans la gratuité que l'inconditionnalité. Cependant, force est de constater qu'il apparaît plus répandu chez les parents, le plus souvent inconsciemment, que ces derniers se servent de leurs enfants pour leurs propres nourritures narcissiques et affectives.
Or, c'est au travers du regard de ses parents que l'enfant apprend à se sentir aimable pour ce qu'il est.
On comprend ensuite pourquoi il paraît si difficile, pour beaucoup d'entre nous, de se sentir aimables sans avoir à remplir une fonction, sans avoir à être là pour un autre, bref, sans avoir à payer de prix pour être aimé(e).
De plus, comme le dit le psychiatre Christophe André, « l'intention d'amour ne suffit pas si elle n'est pas suivi d'actes et de gestes concrets. » Pour se développer, l'enfant a besoin de faire du sens avec ce qu'il vit, ce qui l'entoure.
L'enfant interprète les comportements et pensées de ses parents à son encontre, nantis de la toute-puissance que leur octroie l'enfant. Ainsi si les parents sont maltraitants, l'enfant se perçoit comme un être indigne d'amour.
Ou bien encore des parents plaçant leur progéniture sur un piédestal, l'enfant continuera de se percevoir ainsi. Et ces différentes perceptions se feront au détriment de la réalité, le plus souvent en parfaite inconscience.
Les parents définissent leur enfant, ou plutôt la façon dont l'enfant va se percevoir. Puis, au fil du temps, le discours parental devient le critique intérieur de l'enfant, ses références.
La connaissance de soi, socle de la confiance en soi, du sentiment de compétence
La connaissance de soi n'est pas innée, elle s'acquiert tout au long de notre vie. La connaissance de soi suppose, dans un premier temps, l'existence d'une certaine conscience de soi. Or celle-ci n’apparaît que vers l'âge de huit ans chez l'individu.
En effet, la conscience de soi implique un accès à l'individualité, à une identité propre. La connaissance de soi ne peut surgir seulement lorsque le soi est déjà construit.Celle-ci est emplie, dans un premier temps, d'une construction du soi à travers le regard de son environnement familial, culturel.
Et surtout, de ce que celui-ci nous a permis d'expérimenter.
Le regard sur soi est à l'image du regard que l'on portait sur nous, non une connaissance propre.
Sylvie Tenenbaum définit l'estime de soi comme la représentation, « le reflet, le double de la confiance que nos parents ont placé en nous. Il renvoie à la culpabilité d'être mauvais, aux carences narcissiques. » En sus de cette confiance placée en nous, les parents, modèles référents de l'enfant, transmettront à leur progéniture, au travers d'apprentissage, leurs propres façons d'être, leurs peurs et angoisses. Jung disait à ce propos, que « les enfants sont éduqués par ce que l'adulte est, non par ses bavardages. »
Si dans un premier lieu, l'amour, l'acceptation gratuite, la protection furent absents pendant l'enfance, le narcissisme de l'enfant, assise indispensable sur laquelle se fonde l'estime de soi, ne pourra se développer correctement. Sans ces ingrédients, il sera difficile à l'enfant de développer une sécurité interne suffisante pour partir à la découverte du monde, à la découverte du soi.
Mais si l'enfant a besoin d'amour pour venir au monde, comme le dit Boris Cyrulnik, « il faut aussi que cet amour meure pour que l'enfant devienne une personne, pour l'éduquer, c'est-à-dire le conduire hors de soi », hors de la matrice maternelle. Car si « sans amour, les choses ne prennent pas de sens, trop d'amour empêche la naissance d'un monde extérieur », il n'y a alors pas de place pour un soi différencié.
En effet, pour se découvrir, se connaître, l'enfant doit expérimenter. Si la protection est nécessaire à la naissance, trop de protection finit par tuer la protection. Cette surprotection maintient l'enfant dans un cocon, lui interdisant la découverte de ses besoins, de ses désirs, de son soi profond. Il n'y a pas de place pour la découverte du « je » de l'enfant.
Cet enfermement, interdisant l'expérimentation du monde extérieur, empêchera le développement de la confiance en soi, de sa capacité à être au monde, à agir, à être lui-même, à accéder à son soi profond, différencié, unique.
(si tu m'as dit merci pour avoir un Chamallow, tu peux te gratter
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
*grat*Nath a écrit:si tu m'as dit merci pour avoir un Chamallow, tu peux te gratter
*grat*
*grat*
Le 1er texte que tu as mis dit certaines choses avec lesquelles je suis plus que d'accord... mais il les dit mieux que moi.
Par contre, le 2ème texte me semble trop éthéré et je n'y adhère pas.
ErikFromFrance- Messages : 2873
Date d'inscription : 11/04/2014
Age : 46
Localisation : Roci Nantes
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
ErikFromFrance a écrit:*grat*Nath a écrit:si tu m'as dit merci pour avoir un Chamallow, tu peux te gratter
*grat*
*grat*
Le 1er texte que tu as mis dit certaines choses avec lesquelles je suis plus que d'accord... mais il les dit mieux que moi.
Par contre, le 2ème texte me semble trop éthéré et je n'y adhère pas.
Je pense que dans chaque texte, puisque chacun est unique dans son propre parcours, il/elle sera, non pas d'accord, mais se sentira concerné(e) ou pas.
Pour moi se savoir/sentir concerné est un pas, ne pas se sentir concerné est un pas aussi.... vers soi.
à mon avis.....
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
Ah je vois pourquoi ces textes me paraissent dénués d'intérêt.
En fait, au delà des lieux communs, c'est un texte qui habille en bon mot les concepts des sites de séduction. Grosso merdo, on remplace le mec à faible d'estime de lui même par le nice guy qui sait pas dragué. Et la fille avec un faible estime d'elle même par la ...fille à faible d'estime d'elle même (en anglais, mais j'ai oublié l'acronyme, LEG ? ) qui se laisse draguer par n'importe qui, et qui ressemble fortement au PN du séducteur.
En fait, au delà des lieux communs, c'est un texte qui habille en bon mot les concepts des sites de séduction. Grosso merdo, on remplace le mec à faible d'estime de lui même par le nice guy qui sait pas dragué. Et la fille avec un faible estime d'elle même par la ...fille à faible d'estime d'elle même (en anglais, mais j'ai oublié l'acronyme, LEG ? ) qui se laisse draguer par n'importe qui, et qui ressemble fortement au PN du séducteur.
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
Molina a écrit:Et ça s'achète où l'estime de soi du coup ?
La résilience: développer la capacité à rebondir
après un drame ou un traumatisme et reconstruire l'estime de soi
Nous sommes tous un jour ou l’autre, confrontés à un traumatisme plus ou moins difficile à combattre, nous devons tous vivre avec «le murmure de nos fantômes» (Cyrulnik).
Lorsque notre réalité de vie est ou a été particulièrement difficile, quels moyens mettons nous en place pour nous défendre, pour vivre, voire survivre, pour continuer à avancer?
Définition de la résilience
La résilience a ses origines dans la théorie du développement psychologique et humain.
Ce mot décrit la capacité de l’individu de faire face à une difficulté ou à un stress important, de façon non seulement efficace, mais susceptible d’engendrer une meilleure capacité de réagir plus tard, à une difficulté.
C'est l'aptitude à surmonter les traumatismes psychiques et les blessures émotionnelles les plus graves : maladie, deuil, viol, torture, attentat, déportation, guerre, abandon…
L’ethnologue et neuropsychiatre Boris Cyrulnik est un pionnier du concept, le mot résilience vient du latin : «ressauter» non pas ressauter à la même place, comme si rien ne s’était passé, mais ressauter un petit peu à coté pour continuer d’avancer. Pour lui, même dans les cas les plus terribles, les personnes peuvent s’en sortir et reprendre le cours de leur vie grâce à quelques difficultés acquises dans l’enfance et aux soutiens qu'ils trouvent après l’expérience traumatique.
Les 10 clés de la résilience
Les gens n'ont pas la meme reaction
face aux drame qu'ils vivent...
Certains se reprennent en main
alors que d'autres s'effondrent...
Pourquoi ?
Les facteurs contribuant à la résilience
A. Les mécanismes de défense
L’activisme
L’activisme peut être une réponse ponctuelle par exemple : la personne se réfugie dans son travail pour oublier momentanément sa peine, on peut parler de mécanisme adaptatif, il peut interdire toute réflexion sur soi par le fait que l’hyperactivité empêche le repos psychique.
L’affirmation de soi
Par l’expression des sentiments, en proies à un état émotionnel ou à un événement extérieur, la personne qui utilise ce mécanisme de défense communique sans détours sentiments et pensées de façon ni agressive ni manipulatrice, exemple : le personnel humanitaire.
L’agression passive
Il s’agit d’une réponse aux conflits émotionnels ou aux facteurs de stress intenses ou externes, par une agression envers autrui exprimée de façon indirecte et non combative. L’agression passive représente une réponse aux exigences d’action ou de performance d’une autre personne, ou au manque de gratification des propres désirs du sujet.
Exemple : la personne qui n’exprime pas son hostilité ou sa colère ouvertement mais l’exprime en laissant des notes virulentes à l’attention de ses collègues de travail.
L’altruisme
Le dévouement à autrui permet au sujet d’échapper à un conflit; ici, le risque est de tisser une relation de dépendance avec la ou les personnes avec lesquelles il se dévoue.
L’anticipation
Anticiper consiste lors d’une situation conflictuelle, à imaginer l’avenir, en expérimentant d’avance ses propres réactions émotionnelles, en prévoyant les conséquences de ce qui pourrait arriver en envisageant différentes réponses ou solutions possibles; c’est souvent le cas lorsque la personne s’avère incapable d’affronter une nouvelle situation sans l’avoir anticipée.
La complaisance
Le sujet a recours à la soumission passive pour éviter les conflits et les facteurs de stress, ce mécanisme assimilable à l’inhibition de l’action plus qu’à la fuite devant l’agression est très coûteuses. L’agressivité ainsi masquée se retourne contre le sujet. Elle est surtout pathologique; la complaisance peut aussi être une façon de se rendre indispensable dans le groupe.
Contrôler, gérer, diriger
Contrôler de manière exagérée les événements et les objets de l’environnement a pour but de minimiser l’anxiété et de résoudre les conflits internes. Ce contrôle peut s’exercer par différentes stratégies comme l’intervention avec des suggestions, la séduction et la complaisance excessive.
L’humour
Il apparaît comme une défense permettant une sublimation des pulsions agressives, l’humour aura comme effet de présenter une situation vécue comme traumatisante de manière à en dégager les aspects plaisants, ironiques, et insolites. C’est seulement lorsque l’humour est appliqué à soi même qu’il peut être considéré comme un mécanisme de défense.
Le déni
Le déni peut porter sur des aspects variés de la réalité, c’est refuser la réalité d’une perception vécue comme dangereuse ou douloureuse «c’était pour mon bien». Le déni sert à entretenir l’illusion d’invulnérabilité «cela ne m’arrivera jamais».
L’intellectualisation
L’intellectualisation est une des variétés d’isolement, et peut également constituer un moyen de se protéger de l’intensité des affects de déplaisir en les évacuant pour privilégier le monde des idées et de la rationalisation logique.
B. Les tuteurs et l’estime de soi
Deux éléments sont susceptibles de faciliter le développement de l’estime de soi:
- Sentir qu’on a de la valeur aux yeux d’autrui.
- Se prouver à soi même qu’on a de la valeur.
Les tuteurs de résilience jouent souvent sans le savoir, sur ces deux aspects. Un enfant mal aimé peut ressentir comme une véritable illumination dans son existence en étant au contact d’une personne chaleureuse, ouverte et attentive, humaine tout simplement. Certes le tuteur de résilience a généralement conscience qu’il a fait du bien. On peut dire que l’univers de la résilience est l’école de la modestie.
Les qualités d’un tuteur de résilience
- Il manifeste de l’empathie et de l’affection
- Il s’intéresse prioritairement aux cotés positifs de la personne.
- Il est modeste.
- Il est patient.
- Il laisse à l’autre la liberté de parler ou de se taire.
- Il ne se décourage pas face aux échecs.
- Il facilite l’estime de soi d’autrui
- Il associe le lien et la loi
- Il évite les gentilles phrases qui font mal
- La personne blessée est souvent méfiante, il faut du temps pour recréer la confiance, pour apprivoiser l’enfant qui n’a pas été habitué à l’amour.
C. Un cadre structurant pour les enfants et les adolescents
L’enfant et l’adolescent en difficulté ont non seulement besoin d’amour, mais aussi d’un cadre structurant;
en effet, tisser des liens n’est pas incompatible avec le fait de poser des règles; ces deux attitudes sont complémentaires et s'inscrivent dans le "triangle fondateur de la résilience": le lien, la loi et le sens.
Ces trois fondements s'influencent l'un l’autre pour former 4 types de comportements:
- Liens/sens : se sentir aimé permet de donner un sens à son passé et une direction à son futur.
- Sens/lien : témoigner et aider autrui crée des liens.
- Loi/sens : donner des repères à un jeune l’aide à se construire un avenir.
- Loi/lien : une attitude respectueuse des autres facilite la création des liens.
Il est important que l’enfant ne souffre pas du manque de repères dans l’univers familial: instaurer des règles de vie, des limites et le lien, n’est pas suffisant: il est nécessaire de lui associer la loi, en maintenant un bon équilibre entre les deux, en considérant que ce sont des attitudes complémentaire non contradictoires.
Ne pas fixer de limites à l’enfant est une façon involontaire de ne pas le reconnaître à sa juste valeur, de ne pas le considérer comme un être suffisamment responsable de ses actes ; l’équilibre entre les deux va engendrer la cohérence éducative et par voie de conséquence : la résilience.
Sites internet parlant de la résilience
Forum de discussion : comment la lecture de certains ouvrages les ont aider à prendre conscience de ce qu'ils vivaient
Un livre phare surlal résilience : Le Murmure des fantômes de Boris Cyrulnik
Personne ne pouvait deviner que c'était un fantôme. Elle était trop jolie pour ça, trop douce, rayonnante. Une apparition n'a pas de chaleur, c'est un drap froid, un tissu, une ombre inquiétante. Elle, elle nous ravissait. On aurait dû se méfier. Quel pouvoir avait-elle pour tant nous charmer, nous saisir et nous emporter pour notre plus grand bonheur? Nous étions piégés, au point de ne pas comprendre qu'elle était morte depuis longtemps.
http://therapeute.consultations-online.com/resilience-rebondir-renaitre.htm
Pour ma part, je pense qu'on la reconstruit....
(PS : ceci n'est pas une pub pour coach ect et je n'ai rien à voir avec ce site et je ne suis pas pour les consultations en ligne voire même l'auto analyse....)
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
Super post. Merci Nath !
Être séduisant à soi-même, c'est avoir une bonne estime de soi . A relier à l'intégrité via la congruence.
Être séduisant à soi-même, c'est avoir une bonne estime de soi . A relier à l'intégrité via la congruence.
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
et comme en plus les autres deviennent de plus en plus moche, ça va faire double boulot
Nom commun
Singulier Pluriel
intégrité intégrités
\ɛ̃.te.ɡʁi.te\
intégrité \ɛ̃.te.ɡʁi.te\ féminin
État d’un tout, d’une chose qui est dans son entier.
Cette façade, […], n’est qu’un mur fort épais sans ouverture dans la partie inférieure. […].
Son couronnement consistait en un crénelage dont nous avons retrouvé les traces et que nous avons pu rétablir dans son intégrité. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
Il a remis le dépôt dans toute son intégrité.
Conserver l’intégrité du territoire.
(Figuré) Défendre l’intégrité de ses droits. — Garder l’intégrité de sa foi.
(Figuré) Vertu, qualité d’une personne intègre.
L’intégrité journalistique repose largement sur l’absence de conflits de loyautés, et même sur l’absence d’apparence de tels conflits.
— (Marc-François Bernier, Éthique et déontologie du journalisme, page 315, Presses de l’Université Laval, 2004)
L’intégrité physique et mentale de Gus est discutable. — (L'arnaque du Dimanche de Eminem Penza, L'honneur de Gus confronté au mépris d'autrui, page 2, Presses de l’Univer-cité Naval, 2040)
La problématique de l’intégrité des dirigeants renvoie à la question centrale du développement et du sous développement car elle soulève des préoccupations liées à la bonne ou mauvaise gestion, en un mot à la corruption […]. — (Ismaël Aboubacar Yenikoye, La gouvernance sous la Cinquième République au Niger, 2000-2004, page 177, L'Harmattan, 2007)
congruence \kɔ̃.ɡʁy.ɑ̃s\ féminin
Qualité de ce qui est adéquat et coïncide avec autre chose.
(En particulier) (Mathématiques) Se dit de certaines relations d’équivalence,
(Mathématiques) Relation entre deux nombres tels que leur différence est le multiple d'un troisième nombre.
(Par extension) (Algèbre) Relation entre deux éléments x et y d’un anneau ou d’un groupe tels que x-y appartienne, respectivement, à un idéal ou un sous-groupe.
(Géométrie) (Euclidienne) (Anglicisme) Relation entre figures planes semblables (homothétiques).
(Géométrie) (Riemannienne) Ensemble des courbes intégrales associées à un champ de vecteurs.
(En particulier) (Psychologie) Correspondance exacte entre l’expérience et la prise de conscience.
(Anatomie) Qualité d'une articulation ou d'une anastomose dont les deux parties s'adaptent parfaitement.
(Biologie) Concordance opérationnelle
Adaptation : Relation de congruence dynamique entre l'être vivant et son domaine d'existence dans laquelle l'être conserve son organisation d'être vivant parce que toutes ses interactions sont seulement des perturbations.— (Humberto Maturana, Jorge Mpodozis,
De l'origine des espèces par voie de la dérive naturelle.
La diversification des lignées à travers la conservation et le changement des phénotypes ontogéniques, Presses Universitaires de Lyon, 1999, p. 73.)
(Vieux) Pièce de vêtement très ajustée
(sinon à quoi ça sert que Ducros il se décarcassonne
Nom commun
Singulier Pluriel
intégrité intégrités
\ɛ̃.te.ɡʁi.te\
intégrité \ɛ̃.te.ɡʁi.te\ féminin
État d’un tout, d’une chose qui est dans son entier.
Cette façade, […], n’est qu’un mur fort épais sans ouverture dans la partie inférieure. […].
Son couronnement consistait en un crénelage dont nous avons retrouvé les traces et que nous avons pu rétablir dans son intégrité. — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
Il a remis le dépôt dans toute son intégrité.
Conserver l’intégrité du territoire.
(Figuré) Défendre l’intégrité de ses droits. — Garder l’intégrité de sa foi.
(Figuré) Vertu, qualité d’une personne intègre.
L’intégrité journalistique repose largement sur l’absence de conflits de loyautés, et même sur l’absence d’apparence de tels conflits.
— (Marc-François Bernier, Éthique et déontologie du journalisme, page 315, Presses de l’Université Laval, 2004)
L’intégrité physique et mentale de Gus est discutable. — (L'arnaque du Dimanche de Eminem Penza, L'honneur de Gus confronté au mépris d'autrui, page 2, Presses de l’Univer-cité Naval, 2040)
La problématique de l’intégrité des dirigeants renvoie à la question centrale du développement et du sous développement car elle soulève des préoccupations liées à la bonne ou mauvaise gestion, en un mot à la corruption […]. — (Ismaël Aboubacar Yenikoye, La gouvernance sous la Cinquième République au Niger, 2000-2004, page 177, L'Harmattan, 2007)
congruence \kɔ̃.ɡʁy.ɑ̃s\ féminin
Qualité de ce qui est adéquat et coïncide avec autre chose.
(En particulier) (Mathématiques) Se dit de certaines relations d’équivalence,
(Mathématiques) Relation entre deux nombres tels que leur différence est le multiple d'un troisième nombre.
(Par extension) (Algèbre) Relation entre deux éléments x et y d’un anneau ou d’un groupe tels que x-y appartienne, respectivement, à un idéal ou un sous-groupe.
(Géométrie) (Euclidienne) (Anglicisme) Relation entre figures planes semblables (homothétiques).
(Géométrie) (Riemannienne) Ensemble des courbes intégrales associées à un champ de vecteurs.
(En particulier) (Psychologie) Correspondance exacte entre l’expérience et la prise de conscience.
(Anatomie) Qualité d'une articulation ou d'une anastomose dont les deux parties s'adaptent parfaitement.
(Biologie) Concordance opérationnelle
Adaptation : Relation de congruence dynamique entre l'être vivant et son domaine d'existence dans laquelle l'être conserve son organisation d'être vivant parce que toutes ses interactions sont seulement des perturbations.— (Humberto Maturana, Jorge Mpodozis,
De l'origine des espèces par voie de la dérive naturelle.
La diversification des lignées à travers la conservation et le changement des phénotypes ontogéniques, Presses Universitaires de Lyon, 1999, p. 73.)
(Vieux) Pièce de vêtement très ajustée
(sinon à quoi ça sert que Ducros il se décarcassonne
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
http://www.les-scop-idf.coop/ressources/documents/1/3417,Exprimer-sa-reconnaissance-dossier-.pdf
un couple ça serait comme une équipe ?
un couple ça serait comme une équipe ?
Invité- Invité
Re: Pour séduire, d'abord se séduire ?
http://jacquet.stephan.free.fr/communication.pdf
http://www.love-communication.fr/le-schema-de-la-communication-a77047369
parce que me proposer de me déboucher le canal..... peut ne pas passer par le bon conduit auditif.... si tu t'es pas compris....tu ne risques pas de l'être....
http://www.love-communication.fr/le-schema-de-la-communication-a77047369
parce que me proposer de me déboucher le canal..... peut ne pas passer par le bon conduit auditif.... si tu t'es pas compris....tu ne risques pas de l'être....
Invité- Invité
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