Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
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Dame Seli
UK09
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Quel type de divorcé/séparé êtes vous ?
Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
J'ai retrouvé un vieil article (1995) de l'Express qui décrivait les types de vies après séparation.
Je ne sais pas si ça a trop changé depuis ?
Le pourcentage de 86% de femmes qui le vivent en 'indépendantes' (à l'époque) m'a sidéré.
Du coup j'ai eu envie de lancer un sondage sur ZC, par curiosité.
(bon, ok, ça fait un paquet de cas de figure)
EDIT: J'ai un peu 'buggé' sur la conjugaison masculin/féminin des questions mais évidemment ça s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes
L'article :
http://www.lexpress.fr/informations/la-vie-apres-le-divorce_608262.html (les mises en gras sont de moi)
Je ne sais pas si ça a trop changé depuis ?
Le pourcentage de 86% de femmes qui le vivent en 'indépendantes' (à l'époque) m'a sidéré.
Du coup j'ai eu envie de lancer un sondage sur ZC, par curiosité.
(bon, ok, ça fait un paquet de cas de figure)
EDIT: J'ai un peu 'buggé' sur la conjugaison masculin/féminin des questions mais évidemment ça s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes
L'article :
http://www.lexpress.fr/informations/la-vie-apres-le-divorce_608262.html (les mises en gras sont de moi)
Harrois-Monin Françoise et Charles Gilbert et Masoni Isabelle a écrit:Chaque année, en France, plus de 100 000 couples se séparent. Comment vivent-ils ensuite" Hommes et femmes sont-ils égaux face au «démariage»"
Aujourd'hui moins qu'hier et sans doute plus que demain. Contrairement à l'adage, les amours de notre temps sont inconstantes et légères, et les mariages, éphémères. Dans les années 90, les divorces sont quatre fois plus nombreux qu'il y a trente ans et un tiers des couples mariés dans les années 80 ont déjà divorcé ou divorceront. Chaque année, ils sont plus de 100 000 à passer devant le juge, pour grossir les rangs d'une cohorte en expansion: celle des «démariés», qui vont devoir reconstruire une existence.
Phénomène majeur de ces dernières années, qui révèle un profond changement des mentalités: le divorce s'est banalisé, la culpabilité l'a déserté. L'intérêt des enfants n'est plus une obsession: mieux vaut pour eux, pense-t-on, le traumatisme d'une séparation que le spectacle de parents qui se déchirent. «Nous avons assisté à un bouleversement dans les années 70-80, explique Irène Théry, chercheur au CNRS, auteur du ?Démariage? (Odile Jacob). La famille comme cellule primitive a littéralement explosé. Elle est devenue évolutive.»
Il faut donc apprendre à vivre après la séparation. Mais comment? Y a-t-il une vie après le divorce? Non, répondent les sociologues, il y en a plusieurs. Plus ou moins jeunes, plus ou moins aisés, plus ou moins sociables, les démariés suivent des trajectoires inégales, toujours influencées par un ensemble de facteurs sociologiques, culturels et financiers. «Le divorce est autant une catastrophe financière qu'une épreuve psychologique», explique Patrick Festy, directeur de recherches de l'Ined, qui a étudié à la loupe le sort de 2 300 femmes divorcées. Toutes, sans exception, évoquent la baisse de leur niveau de vie: «J'ai recommencé à zéro», «Je n'y arrivais pas, je n'avais plus les moyens de sortir ni de recevoir». Le coût de la séparation est d'autant plus important que le couple se trouve bas dans la hiérarchie sociale. Les hommes sont deux fois moins nombreux que les femmes à subir une chute notable de leur niveau de vie. Parce que, souvent, celles-ci ne travaillent pas, parce que leurs ex-conjoints ne paient pas leur pension alimentaire, ou parce qu'elles quittent plus fréquemment que le mari leur ancien domicile.
«Pour les femmes divorcées, insiste Claude Martin, professeur à l'Ecole nationale de la santé publique et chercheur à l'université Paris V, le travail est le premier levier de la réintégration.» Les réseaux de relations sont, aussi, déterminants. «Ce fut ma planche de salut», commente Frédérique, une ravissante brune de 43 ans, cadre dans une banque et mère de deux filles. «Heureusement que j'avais des copines très proches, reconnaît de son côté Chantal, j'ai pu parler, être soutenue, sortir.» Mais «les amis se font plus rares dans les milieux sociaux les moins favorisés», indique Jean-Claude Kaufmann, chargé de recherches au CNRS (auteur de «La Sociologie du couple», PUF). Les ouvrières âgées sont les plus isolées après une rupture. 49% des non-diplômés divorcés déclarent n'avoir aucun ami (contre 9% chez ceux dont le niveau d'études est supérieur au baccalauréat). Comme le note Catherine Villeneuve-Gokalp, de l'Ined: «Une rupture conjugale va également resserrer les liens familiaux.» Mais, là aussi, ce sont les moins bien pourvus qui reçoivent le moins d'aides financières ou psychologiques.
En fait, le destin des démariés se joue selon quatre grands schémas. Dans la catégorie solitaires, les «isolés» s'enfoncent tristement dans l'esseulement, voire dans l'exclusion; au contraire, les «indépendants» découvrent, entre bonheur et angoisse, une nouvelle autonomie. Les «recomposés», espèce apparue dans les années 80 et aujourd'hui en pleine expansion, inventent des familles inédites, construites avec des pièces rapportées. Enfin, les «associés», catégorie mutante et minoritaire, se tiennent sur le fil entre l'union libre et le célibat, se considèrent comme des couples mais vivent séparément.
Les isolés. Ce fut le sort de Pierre, 50 ans, la voix calme et l'oeil sombre, blessé au plus profond de lui-même lorsque, en 1992, sa femme est partie brutalement, après plus de vingt ans de mariage, en lui laissant la charge de leur fils. «Elle a cassé la famille», répète-t-il. Après des déprimes successives, Pierre s'est replié sur lui-même, est devenu maniaque. Il a négligé son travail, oublié ses amis. «Dans 46% des cas, la séparation entraîne une rupture des réseaux sociaux (copains, relations) sans nouvelle construction, constate Claude Martin, qui a mené deux enquêtes, à trois ans d'intervalle, sur le devenir des divorcés. La personne ressent très fortement un sentiment de confinement, de solitude, même si elle voit très souvent sa propre famille.»
« Chez les moins de 30 ans, 50% des divorcés ont reformé une famille dans les trois ans qui ont suivi, explique Claude Martin, alors que ce chiffre tombe à moins de 5% chez les plus de 45 ans!» Et Catherine Villeneuve-Gokalp de confirmer: «Après une rupture, 6% seulement des femmes âgées de 21 à 25 ans sont seules, contre 18% de celles qui ont entre 40 et 44 ans.» Et, à partir de 25 ans, elles sont toujours plus nombreuses que les hommes à se retrouver sans compagnon. Pourquoi? Parce que ces messieurs reforment plus facilement un couple avec des femmes plus jeunes, parce que souvent elles souffrent plus du divorce, qu'elles ont, la plupart du temps, la garde des enfants, et qu'elles hésitent à cohabiter de nouveau. Frédérique a été tellement secouée par sa séparation, vieille maintenant de cinq ans, qu'elle a juré, malgré l'insistance de son nouveau compagnon, de ne plus jamais se faire passer la bague au doigt, par peur d'affronter un second divorce. Et elles sont nombreuses celles qui, comme Laura, 40 ans (voir l'encadré ci-contre), sont désormais convaincues qu'il n'y a pas de divorce heureux.
Les indépendants. Sur l'autre face du nouveau célibat, il y a celles et ceux qui ont réussi à trouver la voie plus épanouie de l'autonomie. Une voie qui accueille, il faut le souligner, une majorité de divorcés, à la frontière ténue entre les charmes de la liberté retrouvée et la peur de la solitude. Laurence, secrétaire de direction, une jolie blonde de 47 ans, à la démarche chaloupée, l'a bien compris. Lorsque son mari est parti, en 1988, avec une jeunette de 28 ans, après vingt et un ans de mariage, lui laissant leurs deux enfants de 17 et 9 ans, elle a su qu'elle n'avait pas de temps à perdre. Après plusieurs mois d'abattement, elle s'est ressaisie, a repris des cours de danse, s'est inscrite dans des clubs de loisirs et, très vite, s'est recréé un cercle de copines. Ces «autonomes» apprécient d'être - enfin! - maîtres de leur destin, de leurs choix quotidiens. Même si le divorce les a appauvris, ils ont le sentiment d'être plus riches, parce qu'ils contrôlent mieux leurs finances. Bien sûr, ils parlent de leurs craintes pour l'avenir des enfants, de la peur de vieillir seuls, mais aussi de l'étonnante qualité de vie que leur donne l'autonomie (voir l'encadré ci-dessous). Ils forment le gros de la cohorte des 1,2 million de familles monoparentales, dans laquelle on trouve 86% de femmes. Laurence, très fière de sa nouvelle indépendance, le clame haut et fort: «Plus jamais je ne serai la femme de M. Untel; j'existe par moi-même.»
Les recomposés. Henri, avocat, la soixantaine sérieuse, la voix empruntée, est fier lui aussi, mais d'avoir créé un nouveau foyer. Avec bonheur. Il avait 38 ans lorsqu'il s'est séparé de sa femme, dont il avait trois enfants. Moins d'un an après, il s'est remis en ménage, avant de voir naître son petit quatrième. Il a pris avec lui les enfants de son premier mariage. De telles familles recomposées le sont parfois avec une maîtresse ou un amant d'avant le divorce, parfois après des années de «monoparentalité». Ces constellations hétéroclites de parents, de beaux-parents et d'enfants naviguant d'un foyer à l'autre, qui désorientent les statisticiens et plongent les juristes dans la perplexité, ne cessent de se multiplier; on compte aujourd'hui plus de 700 000 de ces foyers en kit, dans lesquels vivent 1,5 million d'enfants de moins de 25 ans.
Cette situation, qu'on a tendance à présenter comme idyllique, est souvent difficile à vivre. La création d'un nouveau couple suscite autant de désarroi chez les enfants, qui voient arriver un indésirable (et parfois même sa progéniture) avec lequel ils devront transiger, que chez les «ex», qui se sentent inévitablement menacés dans leur rôle de parent biologique. Lise et Alain se sont mis en couple en apportant chacun un petit garçon. «Au début, ils étaient rivaux, raconte Lise. Et puis, un nouveau bébé est arrivé, et ils se sont unis, en faisant bloc contre lui.» La famille a mis deux ans pour se recomposer vraiment.
«Ni parent ni ami»: le rôle du beau-père ou de la belle-mère est aussi difficile qu'ambigu. D'autant qu'il n'existe aucune norme, que le droit reste désespérément muet et incapable de fixer le moindre repère. La loi ne reconnaît aucun statut aux beaux-parents. Ils ne peuvent ni signer le carnet de notes, ni léguer leurs biens, ni réclamer un droit de visite. La loi du 8 janvier 1993, votée pour préserver la filiation naturelle, empêche désormais un beau-parent d'adopter de façon plénière l'enfant de son conjoint. Les sociologues et les statisticiens ont, en tout cas, bien du mal à étudier ces tribus hétéroclites, alors que les critères de recensement ne connaissent que les «ménages». Il a fallu inventer le terme «quasi-frère» pour désigner le fils - avec lequel l'enfant cohabite - du conjoint de son père ou de sa mère. Que dire aussi de l'ambiguïté du terme «belle-mère», qui désigne, pour l'enfant, la conjointe de son père et, pour ce dernier, la mère de sa femme ou de son ex-femme? La famille recomposée vit donc dans l'improvisation totale, ce qui laisse libre cours à tous les dérapages. Peut-on accepter des relations sexuelles entre «quasi-frères et soeurs»? Ou entre un père et sa belle-fille, à l'exemple de Woody Allen? «La famille, creuset de la société, agonise», accuse le pédiatre Aldo Naouri, en dénonçant la confusion et la précarité de ces familles en morceaux, où les repères symboliques traditionnels n'ont plus cours, et où le rôle des pères, notamment, est de plus en plus confus. Et d'ajouter: «Un homme qui divorce de sa femme divorce toujours de ses enfants.» Cette situation va-t-elle durer? Pas sûr. Les Américains, qui furent les premiers à chanter les louanges de la famille recomposée, semblent aujourd'hui faire machine arrière. Récemment, un article du «New York Times» a déclenché une tempête en assurant que le traumatisme d'une séparation était plus néfaste pour l'équilibre des enfants que la vie face à un couple déchiré...
Les associés. Entre ces deux maux, certains n'ont pas voulu choisir. Un nouvel objet mal identifié vient d'apparaître dans le ciel des relations humaines: le «CNC». Lisez: «couple non cohabitant». On est ensemble, sans vivre ensemble. En séparant les lieux d'habitation, situés parfois dans le même immeuble mais à des étages différents. La proximité sans la promiscuité. Jean-Claude, 49 ans, séparé il y a cinq ans, après vingt-trois ans de mariage, père de trois enfants, hésite beaucoup, après quatre ans de vie de bâton de chaise, à cohabiter avec son actuelle compagne, «parce que je n'ai pas envie de prendre en charge un enfant qui n'est pas de moi». Pierre, 35 ans, journaliste, revendique pour sa part ce mode de vie comme une garantie d'indépendance et, surtout, comme un remède à l'usure de la vie quotidienne, qui pèse tôt ou tard sur les cohabitants. «L'amour sans la routine, c'est pour moi la formule idéale.»
Cette «conjugalité non cohabitante» est surtout fréquente dans les catégories les plus aisées (cadres et professions intellectuelles supérieures). «Sans doute, commente Claude Martin, parce que ce type de relation nécessite l'entretien de deux logements et, donc, des moyens financiers.» Mais aussi parce que désormais, dans cette «civilisation de l'éphémère», comme l'appelle Aldo Naouri, on cherche à concilier le désir d'être toujours avec la personne qu'on aime et celui de se sentir libre, autonome, comme l'impose l'air du temps. Avec les enfants au milieu... Concilier l'inconciliable, c'est, aujourd'hui plus qu'hier, le sempiternel défi du couple.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bon, comme je vois que personne "n'embraye" sur ce sujet, je vais expliquer le "pourquoi" le sujet m'a intéressé.
(comme ça peut-être que ça lancera les commentaires)
Depuis 5 ans j'ai essayé les 4 options décrites dans l'article.
Je pense qu'il y a des gens qui aiment être indépendants et d'autres non. Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisant, et équilibré psychologiquement.
Tous les gens que je connais qui sont équilibrés, séduisants (ça va souvent ensemble) mais qui n'aiment pas l'indépendance, se sont mariés jeunes et sont toujours avec leur conjoint, heureux de l'être.
Devrais je me "spécialiser" dans la recherche de veuves ? (joke)
(comme ça peut-être que ça lancera les commentaires)
Depuis 5 ans j'ai essayé les 4 options décrites dans l'article.
- Au début je me suis retrouvé très isolé. Période hyper dure.
- J'ai essayé le mode "recomposé" plusieurs fois mais ça a échoué à chaque fois parce que a) je voulais aller trop vite et que b) la personne ne me plaisait pas tant que ça et enfin c) certaines de ces dames n'avaient pas envie d'un bonhomme dans mon état, et aussi "compliqué" intellectuellement (du genre, parler philo ou psycho, c'est pas top pour draguer).
- La "complexité" de nos enfants (pour diverses raisons) fait qu'il est indispensable que leur mère et moi fonctionnions en mode "associé" pour les "gérer".
- Je suis sorti de mon isolement grâce aux IRL de ZC et je me retrouve alors plus ou moins en mode "indépendant" mais je me rends compte que ce mode de vie (indépendant) ne m'a jamais plût. (et c'est ce qui fait que j'ai autant aimé ma vie de couple/famille)
Je pense qu'il y a des gens qui aiment être indépendants et d'autres non. Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisant, et équilibré psychologiquement.
Tous les gens que je connais qui sont équilibrés, séduisants (ça va souvent ensemble) mais qui n'aiment pas l'indépendance, se sont mariés jeunes et sont toujours avec leur conjoint, heureux de l'être.
Devrais je me "spécialiser" dans la recherche de veuves ? (joke)
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Je suppose qu'après une rupture, passer à travers l'isolement est normal. Ensuite, c'est selon notre éducation et nature et la nature de la rupture.
Je suis à l'aise avec mes partenaires tant que je n'ai pas l'impression de m'investir dans la relation; j'ai besoin des gens que j'aime, mais en tant qu'adulte et parent, c'est mieux d'être indépendant le plus possible.
Mais c'est une question souvent discutée avec quelqu'un donc la réponse peut évoluer.
Je suis à l'aise avec mes partenaires tant que je n'ai pas l'impression de m'investir dans la relation; j'ai besoin des gens que j'aime, mais en tant qu'adulte et parent, c'est mieux d'être indépendant le plus possible.
Mais c'est une question souvent discutée avec quelqu'un donc la réponse peut évoluer.
UK09- Messages : 958
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Localisation : La tête dans les nuages, les yeux dans un décolleté, de jolis yeux ou sur une paire de fesse, les pieds dans mes sandales, les mains sur un livre, du thé dans un thermos, sous un arbre quelque part dans Nantes. Ou entrain de faire l'imbécile avec mon fils.
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
parler philo ou psycho, c'est pas top pour draguer
Si, si, ça peut être vachement sympa comme entrée en matière !
Faut "juste" trouver celle que ça intéresse ....
Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisant, et équilibré psychologiquement.
Soit tu fais un lapsus, soit je ne comprends pas ta pensée ...
Dame Seli- Messages : 543
Date d'inscription : 09/08/2015
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Dans le sens où elle préfère vivre à deux (ou plus) que seule.Dame Seli a écrit:Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisante, et équilibrée psychologiquement.
Soit tu fais un lapsus, soit je ne comprends pas ta pensée ...
Par exemple de temps en temps je me dis que j'aimerais vivre dans une communauté, pas nécessairement des hippies dans les Cévennes, ni un truc ou y'a que des mecs comme un monastère, mais ce genre là.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Abonné absent a écrit:Devrais je me "spécialiser" dans la recherche de veuves ? (joke)
Jeunes alors u le reste de ton post
\"Abonné absent a écrit:Par exemple de temps en temps je me dis que j'aimerais vivre dans une communauté, pas nécessairement des hippies dans les Cévennes, ni un truc ou y'a que des mecs comme un monastère, mais ce genre là.
Tu n'est pa seul dans ce cas, cherches, investit toi, il y a foultitude soluces des chantiers participatifs aux activistes ou "stages" à thèmes ( bien être, développement personnel par ex.)...
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
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Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Hmm... Pour les activités je pensais plutôt au brassage de bière ou à la distillation de liqueurs en faitFab. Fabrice a écrit:bien être, développement personnel par ex.
Ce genre là de "développement personnel"
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Abonné absent a écrit:
Dans le sens où elle préfère vivre à deux (ou plus) que seule.
Parce que tu ne conçois le couple qu'en vivant ensemble ?
On peut être indépendant(e), aimer son indépendance, et vouloir être en couple.
Dame Seli- Messages : 543
Date d'inscription : 09/08/2015
Age : 57
Localisation : Normandie
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
On en parle ici : https://www.zebrascrossing.net/t23531p20-aimons-nous-vraiment-etre-independanteDame Seli a écrit:Parce que tu ne conçois le couple qu'en vivant ensemble ?Abonné absent a écrit:
Dans le sens où elle préfère vivre à deux (ou plus) que seule.
On peut être indépendant(e), aimer son indépendance, et vouloir être en couple.
Vivre à deux m'apporte un énorme sentiment de sécurité, ce qui apaise mon émotion dominante qu'est la peur.
Donc être en couple sans vivre ensemble... je l'ai fait à plusieurs reprise ces dernières années et ça finissait par m'ennuyer profondément. Et la fille s'ennuyait aussi parce qu'elle voyait bien que ça ne me rendait pas très enthousiaste.
Je n'ai pas réellement de "besoin affectif", plutôt un besoin de foyer.
D'où l'idée de vie en communauté.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Abonné absent a écrit:Hmm... Pour les activités je pensais plutôt au brassage de bière ou à la distillation de liqueurs en faitFab. Fabrice a écrit:bien être, développement personnel par ex.
Ce genre là de "développement personnel"
Ok sur le principe mais, tu compte vraiment résoudre ta problématique ( "Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisant, et équilibré psychologiquement.") à cette occasion ?
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Ah, je comprends mieux le quiproquo. Je pense en fait que cette problématique est, justement, irrésolvable. Mes "critères" (antinomiques) font que cette personne n'existe pas sous nos latitudes. Dans le Tiers Monde je pourrais peut-être la trouver, mais et encore ?Fab. Fabrice a écrit:tu compte vraiment résoudre ta problématique à cette occasion ?
D'où l'idée d'aller distiller des fruits à la place.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Ah, ok, si c'est sur place, je retire
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Ceci étant c'est pas totalement vrai. J'ai une amie qui, justement, en avait ras le bol d'être en couple avec des mecs qui ne voulaient pas vivre avec elle, ou qui éventuellement cherchaient une bonniche pour la maison.
Elle s'est mise sur un petit site de rencontre local. En trois mois elle a rencontré 50 mecs (sachant qu'il doit pas y en avoir beaucoup plus de 200 sur ce site à la fois) et elle a trouvé ce qu'elle cherchait. Ca fait deux ans qu'ils sont ensemble et ils viennent de s'acheter une maison.
Sa méthode de recherche a été exactement celle des "chasseurs de tête" qui cherchent un candidat pour un job.
Donc oui, des femmes équilibrées qui n'aiment pas vivre seules, ça existe. C'est juste qu'elles ne restent pas longtemps seule et qu'il faut avoir le bol de tomber dessus au bon moment. Tu as des "fenêtres de tir" super étroites avec ces femmes-là.
Un peu comme le coyote qui chassait le beep-beep.
Elle s'est mise sur un petit site de rencontre local. En trois mois elle a rencontré 50 mecs (sachant qu'il doit pas y en avoir beaucoup plus de 200 sur ce site à la fois) et elle a trouvé ce qu'elle cherchait. Ca fait deux ans qu'ils sont ensemble et ils viennent de s'acheter une maison.
Sa méthode de recherche a été exactement celle des "chasseurs de tête" qui cherchent un candidat pour un job.
Donc oui, des femmes équilibrées qui n'aiment pas vivre seules, ça existe. C'est juste qu'elles ne restent pas longtemps seule et qu'il faut avoir le bol de tomber dessus au bon moment. Tu as des "fenêtres de tir" super étroites avec ces femmes-là.
Un peu comme le coyote qui chassait le beep-beep.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
+1, c'est comme toutes les bonnes occases, elle partent vite , c'est à ça qu'on sait que c'était une bonne affaire, à postériori, après on acquiert l'oeil
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Je ne comprend pas très bien, on peut très bien vivre seule de façon très indépendante mais désirer être en couple. Puis je ne vois pas pourquoi vivre en couple serait antinomique d'indépendance. Il faut forcément un équilibre entre les deux pour que ça fonctionne. être totalement dépendant c'est louche quand même.
Invité- Invité
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Le problème aussi, c'est quand on a une liste de critères à n'en plus finir : ça augmente les chances de laisser filer les candidats/candidates avec lesquels/lesquelles ça aurait pu marcher...
A mon avis, mieux vaut avoir une idée claire de ce que l'on ne veut absolument pas, au lieu d'une longue liste de critères inclusifs décrivant le partenaire idéal selon nous.
Oui, j'ai pas répondu à la question du fil !
A mon avis, mieux vaut avoir une idée claire de ce que l'on ne veut absolument pas, au lieu d'une longue liste de critères inclusifs décrivant le partenaire idéal selon nous.
Oui, j'ai pas répondu à la question du fil !
Dernière édition par fleurblanche le Mar 15 Sep 2015 - 23:43, édité 1 fois
fleurblanche- Messages : 4481
Date d'inscription : 23/06/2010
Age : 56
Localisation : Hémisphère sud
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
@Marguerite : Je pense qu'il s'agit de "vivre ensemble" Vs chacun chez soi
Pour les critères, oui, je pense que c'est un "travers" qui se prononce de plus en plus avec les années, perso je n'ai même pas de liste de ce que je ne veux pas
( ce que font souvent les gens en fonction de leur (mal)passé or, je ne pense pas que son passé détermine forcément son avenir, le déterminisme, très peu pour moi)
Pour les critères, oui, je pense que c'est un "travers" qui se prononce de plus en plus avec les années, perso je n'ai même pas de liste de ce que je ne veux pas
( ce que font souvent les gens en fonction de leur (mal)passé or, je ne pense pas que son passé détermine forcément son avenir, le déterminisme, très peu pour moi)
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Parce qu'il faut composer, voire négocier avec le conjoint.Marguerite a écrit:je ne vois pas pourquoi vivre en couple serait antinomique d'indépendance.
Il ne s'agit pas d'indépendance financière.
Ca serait plus "d'indépendance culinaire" par exemple. Tant qu'à faire on cuisine les mêmes plats qu'on mange ensemble, on se prépare pas des repas séparés chacun dans son coin.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Ah, j'ai connu la bouffe séparée ( un repas sur les deux, l'autre en commun), question purement fonctionnelle, ça marche, ça dépend surement de chacun
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Question : vous pensez qu'il suffit de trouver quelqu'un correspondant à ses attentes voire critères pour ressentir quelque chose pour lui/elle au point de vouloir vivre avec lui/elle ?
Autrement dit : le fait de ne pas vouloir vivre seul nous amène-t-il à opter pour vivre avec une personne dont on n'est peut-être pas si amoureux que ça ?
Autrement dit : le fait de ne pas vouloir vivre seul nous amène-t-il à opter pour vivre avec une personne dont on n'est peut-être pas si amoureux que ça ?
fleurblanche- Messages : 4481
Date d'inscription : 23/06/2010
Age : 56
Localisation : Hémisphère sud
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
lol Je rêve d'être totalement dépendante culinairement, la corvée marmite en moins...
Mais bon faudrait que monsieur soit vegan ce qui est loin d'être facile à trouver comme critère. Bon alors pas grave on fera cuisine à part.
Mais bon faudrait que monsieur soit vegan ce qui est loin d'être facile à trouver comme critère. Bon alors pas grave on fera cuisine à part.
Invité- Invité
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Avec le recul, je pense que j'ai vécu 15 ans avec mon épouse sur cette base là. La séparation ayant été causée par un "accident de parcours" (dont je n'ai pas envie de parler ici).fleurblanche a écrit:Autrement dit : le fait de ne pas vouloir vivre seul nous amène-t-il à opter pour vivre avec une personne dont on n'est peut-être pas si amoureux que ça ?
Ne pas être amoureux n'empêche pas d'aimer.
Et je crois qu'il vaut mieux aimer qu'être amoureux.
Abonné absent- Messages : 2727
Date d'inscription : 21/12/2014
Age : 60
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Moi, pas possible
Fab. Fabrice- Messages : 1328
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Je me suis rendu compte que quand je suis amoureux, je fais moins attention aux défauts de l'autre, je les ignore, et que ces défauts peuvent devenir insupportables quand le sentiment amoureux s'estompe. En plus je peux même ignorer des "signaux d'alarme" qui me diraient que cette personne "n'est pas pour moi".
Tandis que quand j'aime, je vois les défauts, j'en suis conscient, je les accepte, voire ils me font rire. Ou même j'y palie si besoin.
Tandis que quand j'aime, je vois les défauts, j'en suis conscient, je les accepte, voire ils me font rire. Ou même j'y palie si besoin.
Abonné absent- Messages : 2727
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Je sais pas si c'est connexe à ce fil comme question, mais comment faites vous pour "communiquer des besoins d'ajustement organisationnels" après la séparation ?
Je m'explique : J'ai besoin de faire comprendre à mes enfants et leur mère que je suis pas leur 'larbin' et que j'attends un minimum de considération de leur part.
Je viens donc de demander à ce qu'eux et moi ayons un "meeting" pour en parler (et que je "remette les pendules à l'heure").
Demandant à un ami qui a des enfants du même âge que les miens comment il s'y prend, il me disait que ce genre de "questions" se réglaient durant les repas de famille quotidiens au fil de l'eau. Mais en l’occurrence les parents vivent toujours ensemble et avec leurs enfants, donc c'est facile.
Comment réglez vous ce type de "mise au point" depuis que vous êtes séparés ?
Je m'explique : J'ai besoin de faire comprendre à mes enfants et leur mère que je suis pas leur 'larbin' et que j'attends un minimum de considération de leur part.
Je viens donc de demander à ce qu'eux et moi ayons un "meeting" pour en parler (et que je "remette les pendules à l'heure").
Demandant à un ami qui a des enfants du même âge que les miens comment il s'y prend, il me disait que ce genre de "questions" se réglaient durant les repas de famille quotidiens au fil de l'eau. Mais en l’occurrence les parents vivent toujours ensemble et avec leurs enfants, donc c'est facile.
Comment réglez vous ce type de "mise au point" depuis que vous êtes séparés ?
Abonné absent- Messages : 2727
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bienvenue au club. ^^Je m'explique : J'ai besoin de faire comprendre à mes enfants et leur mère que je suis pas leur 'larbin' et que j'attends un minimum de considération de leur part.
En général, je refuse lorsque j'en ai marre et je le dis pourquoi je refuse.
Maintenant, s'ils veulent quelque chose, il m'aide à leur faire ou au moins, reste avec moi.
Quand mon ex/non-ex me sort "j'ai faim" un samedi soir à 23h, je lui demande ce qu'elle veut et lui dit de m'accompagner.
Idem pour le fiston: s'il veut qch, il doit m'aider à le lui obtenir.
Bon, c'est imparfait, mais c'est déjà ça.
UK09- Messages : 958
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Localisation : La tête dans les nuages, les yeux dans un décolleté, de jolis yeux ou sur une paire de fesse, les pieds dans mes sandales, les mains sur un livre, du thé dans un thermos, sous un arbre quelque part dans Nantes. Ou entrain de faire l'imbécile avec mon fils.
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Désolé, pas concerné par des enfants, je ne pense pas pouvoir apporter d'expérience.
Je pense juste que de toute façon il faut déja avoir cette mise au point, théorique puis éprouvé face aux fait, avec leur mère, d'aldulte à adulte.
C'est la première condition pour savoir comment gèrer las suite avec les enfants, parceque sipar derrière y'a sabotage....
Je pense juste que de toute façon il faut déja avoir cette mise au point, théorique puis éprouvé face aux fait, avec leur mère, d'aldulte à adulte.
C'est la première condition pour savoir comment gèrer las suite avec les enfants, parceque sipar derrière y'a sabotage....
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
J'ai gardé d'excellentes relations avec le père de mes enfants, donc il nous arrive régulièrement de se passer un coup de fil si on ne se voit pas pour discuter de la situation, de ce qu'on décide ou pas pour les enfants, d'un ressenti éventuellement différent vis-à-vis d'eux.
La communication orale est possible dans ta situation Abonné ?
Sinon, pourquoi pas l'écrit si il y a des tensions émotionnelles ?
La communication orale est possible dans ta situation Abonné ?
Sinon, pourquoi pas l'écrit si il y a des tensions émotionnelles ?
Dame Seli- Messages : 543
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Oui oui la communication orale est possible, c'est juste que je veux pas dire un truc à la maman d'un côté, au gamin de l'autre, et que par derrière ils se mettent d'accord entre eux pour une autre version.
C'est plus des "tensions de foutage de gueule" que "émotionnelle".
Bon, après, c'est un peu de la 'sémantique' de déterminer si quand on se fiche de toi c'est juste de l'émotionnel. Si ça touche au respect de l'individu c'est aussi un peu factuel, non ?
C'est plus des "tensions de foutage de gueule" que "émotionnelle".
Bon, après, c'est un peu de la 'sémantique' de déterminer si quand on se fiche de toi c'est juste de l'émotionnel. Si ça touche au respect de l'individu c'est aussi un peu factuel, non ?
Abonné absent- Messages : 2727
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Oui, c'est factuel, le foutage de gueule existe, ça se reconnait parceque plus c'est gros moins la victime à tendance à y croire ( c'était mon quart d'heure philo du jour ;-) )
Fab. Fabrice- Messages : 1328
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bonjour, je me permet d'intervenir juste pour dire que j'ai coupé l'herbe sous le pied aux "ententes par derrière" dont vous parlez Abonné absent, j'ai pris l'habitude de mettre mon ex mari et mes enfants au pied du mur.
Style il ramène les enfants , et de dire au fait faut qu'on se cause...je le fait entrer et là j'expose la situation tu as dit que et je cite, toi ( un des enfants) tu m'a dit que et je cite...bref je mets tout ce petit monde fac à ses dires devant les autres afin qu'il ne puisse pas ou plus nier, chacun se rend compte alors qu'il est pris au pièges de ses propos et/ou mensonges et/ manipulations et donc forcément après c'est discussion, solution et à chacun de tenir ses engagements et les autres de lui faire s'y conformer!
et je fais même cela avec la famille de mon ex mari quand il bave sur mon dos, je remets les pendules à l'heure histoire, non pas qu'il passe pour un con (et ça je m'en fou) mais histoire de dire à ses parents que ce n'est pas moi qui empêche mes enfants d'aller les voir ou autre!...
Cela évite le foutage de gueule et c'est bien là l'essentiel, non?!
Voilà, ça vaut ce que ça vaut, mais si ça peut aider
Style il ramène les enfants , et de dire au fait faut qu'on se cause...je le fait entrer et là j'expose la situation tu as dit que et je cite, toi ( un des enfants) tu m'a dit que et je cite...bref je mets tout ce petit monde fac à ses dires devant les autres afin qu'il ne puisse pas ou plus nier, chacun se rend compte alors qu'il est pris au pièges de ses propos et/ou mensonges et/ manipulations et donc forcément après c'est discussion, solution et à chacun de tenir ses engagements et les autres de lui faire s'y conformer!
et je fais même cela avec la famille de mon ex mari quand il bave sur mon dos, je remets les pendules à l'heure histoire, non pas qu'il passe pour un con (et ça je m'en fou) mais histoire de dire à ses parents que ce n'est pas moi qui empêche mes enfants d'aller les voir ou autre!...
Cela évite le foutage de gueule et c'est bien là l'essentiel, non?!
Voilà, ça vaut ce que ça vaut, mais si ça peut aider
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
Localisation : 62
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Divorcer est ce que j'ai fait de plus courageux et de plus intelligent dans ma vie.
Je suis une divorcée heureuse.
Une "copine" conservatrice m'a dit "ce divorce, c'est un échec".
Erreur de casting, j'en avais pris pour 12 ans !
L'échec aurait été de rester mariée.
Je suis partie en lui laissant tout le matériel (et en me faisant légèrement entuber, financièrement, par ma faute, j'ai été trop gentille ; mais j'ai pu me refaire, cela m'a valu des critiques de mes enfants, il m'a donc fallu, remettre les pendules à l'heure).
J'ai détesté et déteste toujours : la pression sociale sur mon statut de femme célibataire, donc suspectée (soit d'être méchante, soit d'être systématiquement en chasse de toute quéquette passant à ma portée).
J'ai détesté cette avocate débutante (donc jeune, mais conservatrice) qui a absolument voulu me coller d'office la garde des enfants ce qui m'a obligée à dire "non" (bon sang, ce que j'ai pu culpabiliser).
J'ai détesté la juge (jeune mais conservatrice, elle aussi) qui m'a entendue moi en privé pour s'inquiéter de ma situation matérielle et psychique, sans accorder le même privilège à mon ex-mari.
J'ai détesté ce petit con de clerc de notaire qui m'a accusée, moi, prof lib obligée de me constituer une retraite, de laisser mon ex-mari financer toute notre vie privée pendant que je "capitalisais" (alors que ... je vous passe les détails). J'avais eu le réflexe de me rebiffer (je ne peux pas vous laisser dire ça !). Si c'était aujourd'hui, je ferais au minimum un courrier recommandé pour informer le notaire, voire je porterais plainte.
Nouvelle vie de couple ?
Les statistiques disent que c'est plutôt raté pour moi.
Les hommes de mon âge recherchent des femmes plus jeunes.
Les hommes plus âgés auxquels j'ai accès le sont vraiment trop.
Je n'ai pas envie d'avoir dans ma vie quelqu'un d'intrusif.
J'aimerais vivre quelque chose de mûrement réfléchi qui s'apparenterait à du "seuls ensemble", sans dominant ni dominé.
Ça non plus, ce n'est pas gagné. Il faut que chaque partie prenante soit sacrément bien dans sa tête et dans sa vie (et j'ai encore beaucoup de boulot).
Et, de toute façon, j'ai la trouille.
Je suis une divorcée heureuse.
Une "copine" conservatrice m'a dit "ce divorce, c'est un échec".
Erreur de casting, j'en avais pris pour 12 ans !
L'échec aurait été de rester mariée.
Je suis partie en lui laissant tout le matériel (et en me faisant légèrement entuber, financièrement, par ma faute, j'ai été trop gentille ; mais j'ai pu me refaire, cela m'a valu des critiques de mes enfants, il m'a donc fallu, remettre les pendules à l'heure).
J'ai détesté et déteste toujours : la pression sociale sur mon statut de femme célibataire, donc suspectée (soit d'être méchante, soit d'être systématiquement en chasse de toute quéquette passant à ma portée).
- A ce propos:
- J'ai beaucoup aimé : La femme seule et le prince charmant de J.-C. Kaufmann. Ce n'est pas un bouquin à "bonnes femmes" en mal de dvpt perso, mais une vraie étude socio dans laquelle je me suis, hélas, retrouvée.
J'ai détesté cette avocate débutante (donc jeune, mais conservatrice) qui a absolument voulu me coller d'office la garde des enfants ce qui m'a obligée à dire "non" (bon sang, ce que j'ai pu culpabiliser).
J'ai détesté la juge (jeune mais conservatrice, elle aussi) qui m'a entendue moi en privé pour s'inquiéter de ma situation matérielle et psychique, sans accorder le même privilège à mon ex-mari.
J'ai détesté ce petit con de clerc de notaire qui m'a accusée, moi, prof lib obligée de me constituer une retraite, de laisser mon ex-mari financer toute notre vie privée pendant que je "capitalisais" (alors que ... je vous passe les détails). J'avais eu le réflexe de me rebiffer (je ne peux pas vous laisser dire ça !). Si c'était aujourd'hui, je ferais au minimum un courrier recommandé pour informer le notaire, voire je porterais plainte.
Nouvelle vie de couple ?
Les statistiques disent que c'est plutôt raté pour moi.
Les hommes de mon âge recherchent des femmes plus jeunes.
Les hommes plus âgés auxquels j'ai accès le sont vraiment trop.
Je n'ai pas envie d'avoir dans ma vie quelqu'un d'intrusif.
J'aimerais vivre quelque chose de mûrement réfléchi qui s'apparenterait à du "seuls ensemble", sans dominant ni dominé.
Ça non plus, ce n'est pas gagné. Il faut que chaque partie prenante soit sacrément bien dans sa tête et dans sa vie (et j'ai encore beaucoup de boulot).
Et, de toute façon, j'ai la trouille.
Invité- Invité
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bonsoir Bérénice,
A quelques détails prés, j'ai vécu exactement la même chose, et j'abonde dans votre sens en ce qui concerne les perspectives d'avenir post-divorce pour des femmes comme nous
Perso, je me suis faite une raison (je suis divorcée depuis 7 ans maintenant) même si des fois...mais je sais que non...suis-je lucide ou trop habitée par la peur de me reprendre une claque no say...................................
A quelques détails prés, j'ai vécu exactement la même chose, et j'abonde dans votre sens en ce qui concerne les perspectives d'avenir post-divorce pour des femmes comme nous
Perso, je me suis faite une raison (je suis divorcée depuis 7 ans maintenant) même si des fois...mais je sais que non...suis-je lucide ou trop habitée par la peur de me reprendre une claque no say...................................
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
Localisation : 62
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
....en tous cas, je souffre pas de la solitude, je l'apprécie même, j'en ai besoin pour me ressourcer...
en plus pas question d'être avec quelqu'un pour être avec quelqu'un, juste pour ne pas être seule, ça pas question!
en plus pas question d'être avec quelqu'un pour être avec quelqu'un, juste pour ne pas être seule, ça pas question!
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
Localisation : 62
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Hello,
Je relis mon message à l'instant et prend conscience de la dureté du ton.
Un peu d'humour n'aurait sûrement pas nui !
Il reste donc encore un paquet de colère derrière tout ça.
De mon côté, j'aborde en ce moment une période à la fois incertaine et luxueuse, celle du choix de l'affirmation.
Je suis à la fois dans le doute et dans la confiance.
Je me suis toujours dit que je ne pourrais rencontrer personne tant que je ne me serais pas rencontrée moi-même.
Se rencontrer soi-même est probablement une autre formulation pour "séduisant et équilibré".
Mais c'est d'abord moi-même que j'ai envie de séduire.
L'idée de séduire quelqu'un d'autre m'a toujours posé problème. J'ai tendance à assimiler l'idée de séduction à de la manipulation.
Ma représentation serait-elle un "truc de fille" ?
Je relis mon message à l'instant et prend conscience de la dureté du ton.
Un peu d'humour n'aurait sûrement pas nui !
Il reste donc encore un paquet de colère derrière tout ça.
Abonné absent a écrit:Le problème est, à mon âge, de trouver quelqu'un de libre (sans conjoint) qui n'aime pas son indépendance mais reste séduisant, et équilibré psychologiquement.
De mon côté, j'aborde en ce moment une période à la fois incertaine et luxueuse, celle du choix de l'affirmation.
Je suis à la fois dans le doute et dans la confiance.
Je me suis toujours dit que je ne pourrais rencontrer personne tant que je ne me serais pas rencontrée moi-même.
Se rencontrer soi-même est probablement une autre formulation pour "séduisant et équilibré".
Mais c'est d'abord moi-même que j'ai envie de séduire.
L'idée de séduire quelqu'un d'autre m'a toujours posé problème. J'ai tendance à assimiler l'idée de séduction à de la manipulation.
Ma représentation serait-elle un "truc de fille" ?
Invité- Invité
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bérénice a écrit:Hello,
Je relis mon message à l'instant et prend conscience de la dureté du ton.
Un peu d'humour n'aurait sûrement pas nui !
Il reste donc encore un paquet de colère derrière tout ça.
Ah bon ou ça! tu l'a écrit comme tu le ressent encore, il faut laisser le temps au temps! Et puis, on ne peut rire de ce que l'on n'a pas encore digéré...
[/quote] Je me suis toujours dit que je ne pourrais rencontrer personne tant que je ne me serais pas rencontrée moi-même.[/quote]
J'abonde dans votre sens. Mais ou est donc le chemin qui mène à moi
[/quote] ...."séduisant et équilibré".[/quote]
Je prend plutôt cette formule du côté physique et intellectuel. En ce sens que passé un certain âge (et encore pas toujours!) beaucoup d'hommes ne sont plus sveltes...bref ne se sont pas entretenus, et beaucoup veulent une femme pour ne pas être seul et qu'elle s'occupe d'eux "et je suis plus que diplomatique!). Ils ne sont PAS TOUS comme ça, je sais, mais c'est je retire de mon vécu (VDM!)
[/quote]Mais c'est d'abord moi-même que j'ai envie de séduire.
L'idée de séduire quelqu'un d'autre m'a toujours posé problème. J'ai tendance à assimiler l'idée de séduction à de la manipulation.
Ma représentation serait-elle un "truc de fille" ?
[/quote]
Là aussi je vous rejoint Bérénice, et d'ajouter que pour se séduire il faut d'abord s'aimer soi-même!
Itou pour le tandem "séduction/manipulation" mais je n'irai pas jusqu'à dire que c'est un truc de fille. Avant peut-être (Zébrée de découverte récente), mais ayant parcouru quelques sujets du forum je ne le pense pas...
Bon désolée pour les citations, suis pas encore au point
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
Localisation : 62
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Bérénice a écrit: J'ai tendance à assimiler l'idée de séduction à de la manipulation.
Ma représentation serait-elle un "truc de fille" ?
Je pense que cette réprésentation tiens plus d'un truc de Zèbre que de Fille, ou de Z'Fille alors ?
En tout cas, c'est dommage la séduction est un jeu subtil, plein d'interêt, élevé au rang des Arts, perso j'aurai plutôt tendance à y voir une chose positive, si tant est bien sur que l'on séduise en toute honneteté, avec ce que l'on est, pas avec ce que l'on est pas ( qui là, ok , relève de la manipulation ou de la promesse électorale )
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
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Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Fab. Fabrice a écrit:
En tout cas, c'est dommage la séduction est un jeu subtil, plein d'interêt, élevé au rang des Arts, perso j'aurai plutôt tendance à y voir une chose positive, si tant est bien sur que l'on séduise en toute honneteté, avec ce que l'on est, pas avec ce que l'on est pas ( qui là, ok , relève de la manipulation ou de la promesse électorale )
D'accord avec vous, la séduction est un Art, mais comment savoir si l'autre le fait honnêtement?!
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
Localisation : 62
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Ben moi j'ai réglé le problème du divorce, je ne me suis jamais marié.
Invité- Invité
Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
êtreounepasêtre a écrit:D'accord avec vous, la séduction est un Art, mais comment savoir si l'autre le fait honnêtement?!
C'est justement parce qu'on ne peut pas qu'on fini par se prendre une claque non?
Je valide et j'ai la vague impression que je vais rester un moment en tête à tête avec mes enfants.Bérénice a écrit: Je me suis toujours dit que je ne pourrais rencontrer personne tant que je ne me serais pas rencontrée moi-même.
pititechose- Messages : 8
Date d'inscription : 31/05/2015
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Re: Quel type de divorcé(e) êtes vous ?
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Ben moi j'ai réglé le problème du divorce, je ne me suis jamais marié.
Ceci n'empêche pas de se prendre une claque (car cette dernière se fiche que l'on soit marié!), comme le souligne pitichose
Et si il faut se faire ermite pour ne pas s'en prendre ou va-t-on?
Et ne vous inquiétez pas pititechose, les choses viendront en leurs temps. Trouvez-vous et profitez de vos enfants...si je puis me permettre
êtreounepasêtre- Messages : 29
Date d'inscription : 14/11/2015
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